Bernard voulait faire un achat avant de passer au studio, nous lui avons donc donné notre adresse pour qu’il nous rejoigne en fin de matinée.
Je profitais de ce laps de temps pour m’arrêter dans un magasin spécialisé afin d’y acheter une petite caméra de surveillance avec stockage.
En arrivant au studio, j’installais la caméra de telle manière de voir pratiquement toute la pièce.
Je branchais la caméra sur le wifi de l’immeuble.
– Si tu es d’accord, je pourrais ainsi te voir quand bon me semblera
– Oui bien sûr
– Super et si un jour tu veux être tranquille, tu fermes simplement la caméra.
Justine posa un baiser sur mes lèvres sans répondre.
– Mais là, si tu veux, je te laisse seul avec eux une petite heure et je vous observe sur mon portable.
– D’accord papy.
Dit-elle en m’embrassant une nouvelle fois. Ma main se glissa sous sa robe pour caresser ses fesses nues.
– Bon, je vais connecter tout cela à la plateforme spécialisée pour me permettre de visualiser en direct.
je décidais ensuite de la laisser seule en lui rappelant de dire à Bernard et Victoria que je m’étais absenté une petite heure maxi.
Au bas de l’immeuble, il y avait une petite pièce permettant aux habitants de l’immeuble d’y laisser leur vélo. Cette pièce était vide. Je me suis assis à même le sol, le mur me servant de dossier. J’allumais l’application de mon téléphone, la batterie était pleine, je n’aurais donc pas trop de difficultés à jouer les voyeurs avec mon portable.
Je n’avais pas vraiment planifié l’heure de mon retour ; dès que la batterie commencerait à être faible, ou plus tôt si le spectacle n’était pas intéressant.
Je vérifiais que j’avais accès à la plateforme, celle-ci était sécurisée par un mot de passe et seul moi pouvais accéder à la visualisation de ma caméra. Tout fonctionnait impeccablement.
Je m’étais relevé pour observer l’entrée de l’immeuble. Je m’étais placé de manière à ne pas être vu. En entrant dans l’immeuble, Bernard attira son épouse vers lui.
– Humm j’ai toujours aimé les halls d’immeuble.
Il glissa une main sous la jupe de Victoria, celle-ci se laissa faire.
J’ai ensuite regagné ma planque pour me connecter à nouveau à la plateforme. Justine était assise dans le canapé, elle lisait un livre. On frappa à la porte, elle alla ouvrir. En se dirigeant vers la porte, elle me fit un petit coucou puis m’envoya un baiser avec sa main.
Victoria entra la première.
– Nous avons apporté une petite bouteille
Bernard donna le champagne à Justine et regarda autour de lui.
– C’est coquet ici, votre papy n’est pas là ?
– Il avait une course à faire, il en a pour une petite heure.
– Ah, qu’il ne se presse pas
Dit-il en faisant un petit clin d’il à Justine.
– Je vais attendre son retour pour l’ouvrir.
Lui dit Justine en souriant.
– Comme vous voulez.
Elle leur proposa de prendre place dans le canapé. Ils enlevèrent leur manteau, Justine les prît et les accrocha au porte-manteau.
Bernard s’installa dans le canapé, Victoria allait faire de même quand il la stoppa.
– Si Justine est d’accord, tu pourrais peut-être mettre ta nouvelle robe pour qu’elle puisse prendre les mesures pour la retouche.
– Oui, bien sûr.
En faisant sa réponse, Justine jeta un petit coup d’il en direction de la caméra. Victoria sortit la robe du sac et la posa sur une des chaises.
– Je présume que Justine voudra bien te prêter sa salle de bain pour te permettre de te déshabiller et l’essayer.
– Oui, bien sûr.
Alors que Victoria se dirigeait vers la salle de bain, Justine regarda à nouveau vers la caméra, l’air de me dire « dommage, tu ne pourras pas la voir en sous-vêtements ».
La porte de la salle de bain à peine refermé que Bernard tapota sur le coussin du canapé.
– Viens t’asseoir ici Justine.
Sans répondre elle se dirigea vers la place qu’il avait indiquée et s’y installa.
– Ton papy sait que tu ne mets pas de culotte ?
Il s’était penché vers elle et avait posé sa main sur sa jambe.
– Euh
Elle ne savait pas trop ce qu’elle devait répondre.
La main de Bernard se glissa sous la robe de Justine pour atteindre sa chatte nue.
– Tu ne vas pas me dire que ton papy serait content de savoir que tu te promènes sans culotte ?
– Vous n’allez pas lui dire ?
– Quelle comédienne
Je regardais et écoutais ce qu’il se passait et j’étais aux anges. Justine avait pris un air de petite fille prise la main dans le pot de confiture et qui a peur de se faire gronder.
– Je ne sais pas encore ?
Dit-il en pelotant les petits seins de Justine.
Elle le laissait faire et comme l’autre main de Bernard était toujours sous sa robe, elle écarta ses jambes pour faciliter la caresse.
J’imagine que les doigts de Bernard taquinaient son petit bouton magique, car Justine avait laissé tomber sa tête en arrière et émettait de légers gémissements.
Quand Victoria sortit de la salle de bain, Justine se redressa en resserrant les cuisses. Bernard ne semblait pas troublé par l’apparition de son épouse et s’il se replaça plus correctement aussi, il le fit doucement et sans montrer la moindre gêne.
Justine se leva et s’approcha de Victoria. Elle mit à genou à côté d’elle.
– Le tissu est vraiment agréable
Dit-elle en caressant les fesses de Victoria. Elle était idéalement placée vis-à-vis de la caméra et je ne loupais rien. Justine savait que j’étais aux premières loges et voulait m’exciter avec cette caresse saphique.
Victoria n’eut aucune réaction négative, elle regarda Justine en souriant.
– Oui, je vous confirme que cela est loin d’être désagréable.
Parlait-elle du tissu ou de la caresse de Justine ? Bernard, était toujours assis dans le canapé et ne pouvait savoir que Justine avait fait bien plus que simplement palpé le tissu.
En effet, voyant que Victoria n’avait pas réagi à sa première caresse qui pouvait être ambigüe, elle avait ensuite carrément malaxé les fesses de Victoria et si Bernard ne pouvait rien voir, Victoria ne pouvait pas ignorer la signification de ce geste.
– Voyons comment est la doublure de cette robe.
Justine accompagna ses paroles en glissant sa main sous la robe de Victoria. Je pouvais voir à l’aide de la caméra que sa main était maintenant en train de caresser ses fesses sous sa robe.
– Elle me plait vraiment
Victoria toucha sa robe d’une petite caresse comme pour indiquer qu’elle parlait de son vêtement, mais elle fixait Justine et je n’avais aucun doute sur la signification de cette phrase.
Justine fit ensuite un petit pli au bas de la robe.
– Cette longueur vous va ?
– Dommage que votre grand-père ne soit pas là pour me conseiller, il me semble qu’il a bon goût et bon il concernant les vêtements féminins.
Répondit Bernard en cherchant le regard de Justine.
Il se leva et s’approcha. S’agenouilla à son tour et remonta un peu le plu et prenant en même temps la main de Justine.
– Ainsi serait certainement mieux
Justine laissa la main de Bernard sur la sienne et regarda son épouse
– Qu’en pensez-vous Victoria ?
– Si cela va à Bernard, cela me va.
Justine marqua la longueur à l’aide d’une épingle et se releva.
Victoria se dirigea vers la salle de bain pour se changer. Bernard, seul avec Justine s’approcha d’elle et glissa une nouvelle fois sa main sous sa robe.
– Bernard, vous semblez être un petit cochon
– Et toi une cochonne, non ?
Il l’attira vers lui et l’embrassa. Sa main malaxa ses petites fesses avec une telle vigueur que cela faisait remonter sa robe et m’offrait une belle vue de son cul.
Bernard l’embrassait et explorait tout son corps de ses mains. Justine répondait à ses baisers et ne fuyaient pas ses caresses. Elle était cependant passive et ne cherchait pas à la caresser.
Quand Victoria sortit de la salle de bain, ce fut encore Justine qui s’écarta de Bernard d’un bon en arrière.
– Bon ! Et si nous ouvrions cette bouteille, cela fera peut-être venir votre grand-père.
Je décidais en entendant cette phrase de ne pas le contredire, je fermais mon application et remontais les rejoindre.
