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Elle est ma raison – Chapitre 1

Elle est ma raison - Chapitre 1



Enfin je la touchais, je la tenais dans mes bras, j’osais la serrer mes mains sur son ventre elle blottie contre moi. A hauteur de son cou, un baiser délicat (aussi possible que l’on puisse l’être en étant excité) se fit.

Sa tête se pencha sur le côté afin de mieux m’offrir ce cou, long, doux et sentant son parfum qui m’enivre encore aujourd’hui.

Une suite de baisers s’ensuivit, ma main vint être coquine et osa soulever son petit pull et toucher son ventre pour la première fois. Quelle chaleur se dégageait de ce corps, elle bloquait de dos mes mains remontèrent le long et arrivèrent à ses seins. Mon excitation était à son comble, je ne sais pas si elle sentait la bosse sur ses fesses et n’osais pas bouger de peur de la faire fuir.

Par-dessus son soutien-gorge mes mains pelotaient ces seins volumineux, bien plus que ne pouvaient mes mains. Quel plaisir !! Quelle sensualité ! Ne tenant plus, je la retourne et enfin notre premier baiser est échangé, de là suit très rapidement le fait que je la pousse sur le lit et quelle y tombe encore habillée.

Je descends le long de son corps pour baiser, par-dessus son pull ses seins, sa respiration saccélère (cest encore le souvenir le plus marquant avec ce qui va suivre), son ventre devient ma cible, puis le bas-ventre, son jean est encore présent et quelle joie de le faire, puis ses jambes. Je m’affaire à lui défaire ses chaussures ensuite. Ses yeux sont entre le plaisir et la peur.

Une chaussure tombe, puis l’autre, je remonte en faisant des bisous délicats et m’arrête à la hauteur de sa ceinture, le « clic » se libère, le premier bouton et là le premier tirage de pantalon s’effectue.

Son corps hésite puis se libère, le pantalon tombe doucement, découvrant un tanga noir (cest fou ce que l’on se souvient de certains détails même 10 ans après). Enfin ses jambes sont disponibles aux baisers qui remontent, pour s’arrêter à son tanga, de nouveau le rythme respiratoire augmente.

Ma main défait le début de son tanga pour embrasser le haut de son sexe. Je ressens immédiatement une crispation !!! Elle m’avoue qu’elle n’a jamais eu de cunnilingus et qu’elle hésite à se laisser faire. C’est donc avec respect que je remonte et embrasse son ventre qui m’est offert pour le coup. Son pull est en train de remonter et quelques instants après, la voici en sous-vêtements.

Son soutien-gorge est le dernier rempart à sa nudité du haut, pouf en un quart de seconde je fais sauter l’agrafe et de beaux seins viennent dans ce paysage sublime. Un grain de beauté sur le sein gauche, m’interpelle et me fait remarquer qu’en plus d’être intelligente elle est sublime aussi. Mon excitation est à son comble, mon sexe durcit de folie et j’ai peur qu’elle n’en soit apeurée.

De nouveau des baisers sur ses seins, pendant que mes mains la caressent partout. Son plaisir est là, nul doute, c’est humide voire trempé !! (Comme elle ose le dire encore aujourd’hui, « mon corps ce traître !! ». L’exploration se fait délicate, son sexe épilé s’y prêtant, la douceur appelle la douceur.

Mes gestes sont doux, posés (aussi bien que je puisse l’être à ce moment), mon majeur découvre pour la première fois, un sexe qui ne demande qu’à être caressé. Sa respiration s’accélère, ses jambes alternent entre ouvertes et fermées pour finalement totalement s’ouvrir et se donner aux préliminaires.

N’y tenant plus, je l’embrasse de nouveau en la masturbant et faisant pénétrer mes doigts dans ce sexe offert de cette femme que j’aime déjà (eh oui c’est fou de se rendre compte que parfois une femme a dû être faite pour vous sans que vous le sachiez).

Baiser après baiser je retourne sur son sexe, l’hésitation passée et la crainte effacée par un « laisse-toi faire s’il te plaît, si cela ne te plaît pas j’arrête immédiatement ». M se met à ronronner et découvrir cette pratique, son plaisir n’est pas feint… Ca ne coule plus ça ruisselle littéralement !

Sa voix alterne entre des « non non non » et des « encore encore » pour finalement arriver à sa première jouissance. Ses jambes m’emprisonnent la tête (pour les pratiquants d’arts martiaux, elle fait une guillotine), ses mains me tiennent la tête, ses yeux sont dans le flou total…..

C’est à ce moment-là que je me déshabille pour être son égal, deux êtres nus comme Adam et Eve !!!. Elle n’a pas visiblement l’habitude de caresser cela se sent, mais que diable la volonté de faire plaisir est là et cela se ressent sur sa passion, ses expressions, ses sentiments… quelle femme, je l’aime !!

(La suite si vous voulez)

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