Nous sommes ensemble depuis notre premier flirt dans un, jardin public. Nous, nous embrassions nos langues dans la bouche de l’autre. Je la pelotais: elle me laissait lui caresser les seins. Je posais une main sur une cuisse, elle écartait les jambes pour que j’aille plus haut. J’arrivais à son string, écartais l’élastique pour chercher son clitoris que je trouvais très vite tellement il était gros et long. Je le frottais légèrement et à ma surprise elle jouissait rapidement. J’espérais qu’elle voyait la bosse que faisait ma queue sous mon pantalon pour qu’elle me donne aussi du plaisir. Elle semblait l’ignorer, elle se levait et partait en me donnant rendez-vous pour le lendemain.
Déçu, je rentrais chez moi. Je rêvais encore d’elle. J’en bandais. J’avais des fantasmes où je la voyais me masturber. Je sentais presque sa main sur la queue. Il fallait que je me branle. Je prenais ma pine dans ma main, descendais le prépuce le plus bas possible et le remontais pour recommencer de plus en plus vite. Je la voyais toujours me branler et enfin je jouissais. Je serrais ma main pour que le sperme ne gicle pas partout comme je le fais presque toujours.
Le lendemain au réveil je bandais comme un âne: je me branlais encore avec un nouveau fantasme: elle était au milieu d’une foule et sans complexe aucun, elle se branlait devant toutes ces personnes.
L’après midi, vers 19 heures, nous sommes ensemble. Nous, nous embrassons comme la veille. Je la pelote et lui mets la main au con: elle se laisse faire facilement. Je la branle: elle jouit. Je bande encore. Cette fois elle pose sa main sur ma grosseur du pantalon défait ma ceinture et sort ma queue qu’elle regarde bien: elle la prend dans sa main et commence les vas et vient pour me faire jouir Quand elle sent ma pine gonfler, elle arrête la masturbation: elle me laisse en plan au moment où j’allais jouir.
Heureusement elle ne m’a pas oublié: elle remplace sa main par sa bouche et sa langue caresse mon gland, avant de prendre la plus grande partie de ma queue dans la bouche: elle me fait une fellation comme je n’en ai jamais eu. Je ne peux résister: je jouis. Je pense qu’elle va cracher mon sperme. Elle le garde en bouche, se relève et vient coller ses lèvres sur les miennes. Elle m’embrasse pour partager ma semence avec elle. Au début j’en suis dégoûté et finalement je fais comme elle j’avale mon sperme. Nous, nous séparons: notre rendez-vous est chez elle à la même heure.
Je rentre chez moi et rien que de penser à ce que je risque de lui faire demain de donne la trique. Un seul moyen ; je me branle encore. Cette fois mon fantasme a changé: je la vois se donner à d’autres personnes, hommes et femmes sans vergogne.
Le lendemain matin, il faut que je me branle encore, cette fois je vais sous la douche, sous l’eau chaude dirigée sur mon bas ventre, la bite bien tendue, le prépuce baissé, je laisse agir la pression d’eau qui m’emmène au paradis.
Enfin je suis chez elle. Nous commençons par un baiser toujours aussi chaud. Je lui caresse les seins, puis, je passe mes mains derrière elle: je relève sa robe, pour qu’elle l’ait juste à la taille. Je peux ainsi lui caresser les fesses.
J’en profite pour aller chercher son anus, je caresse lentement le pourtour. Ça doit lui plaire puisqu’elle ne dit rien. Mon autre main passe sur son clitoris, que je caresse toujours lentement pour la faire bien jouir. Elle ne reste pas statique; elle ma sorti la bite et me branle comme la veille. Elle arrête pareillement juste avant ma jouissance.
Nous, nous déshabillons. J’admire ce corps magnifique et béni Dieu d’avoir fait une chose aussi belle et sexy. Ses seins en forme de poires sont dressés, ses hanches appellent l’amour et ses longues jambes ne sont là que pour être écartées. Elle ne regarde qu’une seule chose: ma queue bien dressée.
Elle me veut. Je l’accompagne dans sa chambre où, dit-elle nous devons faire l’amour. Une fois couchée, elle vient contre moi, sa tête sur mon épaule. Nous, nous disons des mots doux pendant que ma main part à la recherche de son clitoris. Quand j’y suis, elle me prend la bite et me branle. Elle arrête vite: elle veut que nous nous sucions. Nous voilà en 69.
J’ai toute sa fente à ma disposition. Ma langue va de son cul où je la rentre à peine jusqu’à son vagin où là je la rentre en entier. Elle gémit sans arrêt: elle me dit souvent des "oui" des encore" des "c’est bon". J’insiste à peine pour qu’elle jouisse. Je lui doigte le cul. Elle m’a avalé presque en entier: elle fait des fellations comme je n’en ai jamais eu. Quand je suis sur le pont de jouir, elle me prend jusqu’au fond de sa gorge et cette fois garde tout mon sperme pour elle.
Nous reprenons une place normale. Je ne sais comment elle s’arrange, elle arrive à me faire bander encore plus fort qu’avant. Ses seuls mots sont " baise-moi".
Je n’attends que ça depuis que nous nous connaissons. Elle ouvre le compas de ses jambes. Je viens sur elle, sans m’y poser, pour voir ma pine quand je la lui mets. Je pose le bout sur son con mouillé comme jamais. Je rentre comme dans du beurre. Nos mouvements sont pratiquement de suite synchronisés. Elle jouit plusieurs fois: j’aime sentir ses crispations d’orgasmes autour de ma bite. Elle me demande de me retirer. Elle voudrait essayer une sodomie: elle est vierge de ce coté là.
J’aime bien enculer les filles. Elle se met en levrette, se mouille l’anus avec sa cyprine et dirige ma pine vers son cul. Je lui demande de se détendre complètement pour qu’elle ait du plaisir. Elle me laisse faire, sachant que je ne lui ferai que du bien: elle sait que son plaisir ne sera pas le même que dans son con. Aussi je pose ma queue sur l’anus, et très lentement je rentre le plus dur à passer, mon gland. Finalement elle est tellement détendue et excitée que j’entre sans peine. Je la lime depuis peu quand elle jouit en hurlant cette fois: je jouiiiiiiiiiiiiiis.
Je sors d’elle et veux la baiser encore: Non ! Elle la veut au cul et pas ailleurs; c’est meilleur que de l’avoir dans le con/
Depuis elle me donne son sexe que très rarement.