Il ajoute que si je n’y parvenais pas il serait obligé de montrer ces photos a quelques amis à lui.
J’ai un sentiment de colère, mais aussi d’excitation.
Arrive le soir, je vais chercher ma copine Ève, et je lui dis que ce soir il me faut lui parler.
Nous faisons l’amour, et comme a son habitude elle me raconte sa journée, et surtout les caresses de ses clients, dont le récit me provoque toujours des érections.
Au bout de quelques instants, elle me demande ce que j’ai à lui dire. Et je lui explique dans quelle galère je me suis mis, et tant que l’on y est je lui avoue avoir sucer le maître chanteur.
Je guette sa réaction, m’attendant au mieux à des cris, au pire à des insultes et a ce qu’elle me quitte immédiatement.
Mais au lieu de ça, j’entends sa respiration qui s’accélère, et je vois sa main qui se caresse son clitoris.
Elle me dit… tu l’a sucé à fond??
Non mais il a craché son foutre sur ma figure…
Et elle poursuit ses questions, tout en se masturbant. Au moment ou je dis qu’il m’a doigté le cul, elle explose de jouissance.
Devant la tournure des choses, je lui demande si … elle serait d’accord, pour se montrer à poil chez le boucher.
Elle me dit qu’il est vieux, gros et pas très appétissant, mais qu’elle ne voit pas comment faire pour éviter le scandale.
Elle dit qu’elle accepte de se déshabillée, mais pas plus. Rien que de penser qu’elle va se mettre à poil devant un autre homme, je bande immédiatement. Nous baisons toute la soirée dans tous les sens, tout en évoquant des situations de plus en plus hard.
Entre deux baises, elle m’avoue que le fait de se faire palper par les clients, la fait mouiller, qu’elle imagine souvent que ces mêmes clients vont plus loin.
Le lendemain, paradoxalement, je suis pressé d’amener la bonne nouvelle au boucher. Nous mettons au point le rendez vous. Il nous attendra ce soir au "laboratoire" vers 22h. Je lui précise que ma copine, se mettra à poil, mais pas plus. Il sourit, et me déclare que si c’est pas plus, il faudra que je le soulage. J’élude la réponse, et j’attends toute la journée que le soir arrive, avec inquiétude, mais aussi impatience.
22h 30, nous arrivons au laboratoire, malgré la température hivernale, Ève, a mit une micro jupe, des cuissardes, un chemisier léger, sans autres dessous. Elle s’est recouverte de son manteau long.
Nous rentrons, Pierrot le boucher a allumer deux chauffages mobiles électriques.
Il a préparé du champagne. Il remercie Ève d’être venu, et me dit "" tu vois c’étais pas si difficile"". Pendant ce temps, il détaille Ève sous toutes les coutures, la complimentant sur ses seins qui pointent sous le chemisier, ses longues jambes, etc…
Nous buvons un verre, et Ève demande si on il veut qu’elle se mette à poil maintenant. Pierrot nous dit qu’il y a le temps, et il retire son pantalon et son boxer, restant la bite à l’air.
Ève regarde cette queue, Pierrot bande, et moi j’ai aussi une trique énorme. Ève a retiré son manteau, et commence a retiré son chemisier, mais Pierrot l’arrête. Pas encore, attends encore un peut. Elle est étonnée, mais enfin attendons. Nous continuons à siroter notre champagne, quand j’entends taper, Pierrot ouvre, et c’est 2 amis à lui qui rentre. L’un âgé d’une soixantaine d’année, exploite un bar de la station, il connait Ève et sa famille, et le second environ quarante ans exploite un magasin de souvenirs. Je m’adresse à Pierrot, et je lui dis que ce n’est pas prévu. Il sourit, et les autres aussi.
Ève lui dit aussi que ce n’est pas prévu, mais les 3 hommes attendent. Le plus jeune lui déclare qu’elle est moins farouche au bar, où elle se laisse peloter facilement.
Les nouveaux arrivant, retirent aussi leurs pantalons, et autres boxer, se retrouvant tous la bite à l’air.
Si le plus jeune a une queue que je qualifierai de normale, le plus vieux lui a une sorte de trompe violacée, qu’il branle doucement. Sa queue fait au moins 25 cm de long, et surtout bien 5 cm de diamètre. Tout comme eux je suis devenu spectateur, et je me branle aussi doucement.
Ève, retire son chemisier, laissant apparaître ses gros seins, bien lourds. C’est aussitôt un concert d’expression les plus hard les une que les autres.
Pierrot lui dit qu’avec des nichons comme ça, elle se faire traire. Le type à l’énorme bite lui dit qu’elle devrait branler les mecs avec ses miches….
Ève, sourie, et retire sa micro jupe, sous laquelle elle est à poil. Tous lui dise qu’elle est une vraie salope, qu’elle a un cul de pute et autres compliments du même genre.
Je vois alors que ça dégénère, car les trois hommes s’approchent de Ève, et commence à la peloter. Je m’interpose. Aussitôt le plus jeune et Pierrot, me prennent bras et jambes, me font assoir à califourchon sur une chaire de secrétaire, et m’immobilise avec du scotch marron très solide. Pendant ce temps le troisième a coincé Ève, et explore sa chatte avec ses doigts.
Ève crie qu’elle ne veut pas, mais les 3 hommes poursuive leur exploration.
Devant la résistance de Ève, elle se retrouve allongée de force sur l’unique canapé de la pièce, et tout comme moi les poignets entravés dans le dos.
C’est Pierrot qui la pénètre le premier, il l’a baise longuement, sous les encouragement des deux autres. Ève a le visage de mon côté, et je peux voir les larmes couler.
Le plus jeune, se place face a elle, et lui dit de le sucer. Elle secoue la tête, mais une gifle la fait revenir a de meilleurs sentiments comme il dit. Pierrot crache son foutre sur le cul d’Ève, et c’est celui qui a une queue énorme qui prends sa place.
A son tour il la pénètre sans ménagement, il lui a soulevé le bassin, et j’aperçois sa trompe se perdre dans la chatte de ma chérie. Sous la pression, elle crache la que du plus jeune, et essaie de se dégager n’excitant ainsi qu’un peux plus son violeur, car c’est un viol qu’elle subi.
Longuement il l’a baise, puis il se retire, et crache de longs jets de foutre sur son cul. Le plus jeune quitte alors sa bouche, et dilate avec ses doigts l’illet de ma copine, puis il l’encule alors qu’encore une fois elle se débat.
Peut a peut je remarque que son visage s’éclaire, elle a l’air d’apprécier. Le plus vieux, s’est mis vers elle et la prenant par les cheveux, l’oblige à lécher sa bite.
Pierrot lui est passé derrière moi, je suis le cul offert de par ma position. Et malgré ce qu’ils font subir a Ève, je bande. Le plus vieux tirant toujours sur les cheveux de Ève l’oblige à regarder dans ma direction, Pierrot tourne légèrement la chaise, et me sodomise. Il prend son plaisir dans mon cul, tout en me branlant. Rapidement je jouis mettant du sperme sur le siège. Pierrot s’étant soulagé dans mon cul, c’est au tour du plus jeune, de cracher son foutre dans le cul de Eve.
N’ayant plus ou moins de ressources, les trois hommes nous délivre. Eve reste allongée, puis elle tente de s’assoir, mais avec ce qu’elle a subi son arrière train est douloureux.
Elle se lève, ruisselante de sperme. Le plus vieux lui tend un rouleau de papier, avec lequel elle s’essuie.
Sans un mot elle va pour se rhabillée, Pierrot lui tend une coupe de champagne, elle laisse ses affaires et c’est à poil qu’elle boit son verre.
Un grand silence s’est installé.
La voix d’Eve s’élève doucement, déclarant……. Putain que c’était bon. Tu as aimé mon chérie.
D’autres soirées ont eut lieu chez celui qui avait un bar, dans l’annexe du magasin de souvenirs en plein après midi, et bien sur chez Pierrot.
L’apothéose fut atteinte le jour de notre mariage, car nous nous étions bien trouvé. Ceci sera un autre récit, qui sera comté une autre fois.
