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Elle n'est pas qu'à moi – Chapitre 1

Elle n'est pas qu'à moi - Chapitre 1



Mélanie, ma copine, et moi étions ensemble depuis quelques mois quand nous avons décidé de vivre sous le même toit. Mélanie avait 21 ans, c’était une belle blonde aux cheveux courts. Elle mesurait 1m60 avec une belle petite poitrine (90b). Je le savais, elle était la femme de ma vie.

Quelques temps après notre installation, elle invita un copain à venir dormir à la maison après sa rupture. Rodrigue, le copain, était plus âgé qu’elle. Il devait avoir une petite quarantaine d’année. A mon grand étonnement, il ne semblait pas vraiment perturbé par cette rupture et c’est un homme enjoué que nous avons accueilli.

Lorsque le soir fut venu, nous l’avons installé dans le canapé et avons rejoint notre chambre. Mélanie semblait particulièrement tendue, ce qui ne m’a pas empêché de commencer à la câliner mais sans succès.

« Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu as l’air inquiète ? Lui ai-je demandé.

— Une peu Il est juste à côté. Il vient de rompre et j’ai peur qu’on le perturbe à faire enfin, tu vois

— Je comprends mais on peut être discrets, non ?

— Si si tu veux Mais pas trop long alors. »

Doucement, j’ai commencé à lui caresser le petit bouton pendant qu’elle me faisait durcir de sa douce main. En quelques minutes, nous étions tous les deux fin prêts pour la suite. Elle se tourna doucement et je pus prendre place en elle. La cuillère est l’une de ses positions favorite. Bien placé, j’en profitais pour agacer ses tétons que je sais sensibles. Mélanie commençait à pousser de jolis soupirs de plaisir qu’elle essayait sans succès de contenir.

Elle me suivit sans hésiter quand je me suis mis sur le dos. Elle m’enjamba et plaça mon sexe dans le sien. Elle me chevaucha avec fougue tandis que je caressai son anus qui s’ouvrait sans difficulté. J’espérai bien avoir droit à cette petite friandise qu’elle m’accorde de temps en temps.

Tout à notre plaisir partagé, nous ne nous sommes pas rendu compte que la porte de notre chambre s’était ouverte.

« Je vois qu’on s’amuse bien ici, lança Rodrigue.

— Mais qu’est-ce que tu fous là ? Ai-je répondu, franchement énervé.

— Je viens prendre ma part.

— Ta part de quoi ? Fous le camp de là !

— Non, laisse-le faire Je te promets de t’expliquer me supplia Mélanie. »

Je pensais qu’il allait se contenter de regarder mais il s’approcha du lit. Il se déshabilla et nous rejoint sur le lit. Il retira ma main de l’anus de Mélanie et y plaça son sexe. D’un coup, il poussa et entra entre ses fesses. Je sentais son sexe dans l’anus de ma copine. Nous avons commencé à la besogner de concert. J’étais gêné mais visiblement moins que Mélanie qui me regardait perdue malgré son plaisir bien visible. Rodrigue lui tourna la tête et l’embrassa à pleine bouche. Ce baiser, Mélanie l’accepta un peu contrainte.

« Elle est toujours aussi bonne cette petite pute, rigola Rodrigue devant mon air hébété. »

Après quelques minutes de ce traitement, Rodrigue finit par être pris d’un orgasme puissant et se déversa dans l’anus de Mélanie. Il se retira en lui claquant violemment les fesses et me laissa finir en elle.

Mélanie m’expliqua alors Un problème familial, un pari perdu, du chantage Et voilà comment Mélanie ne pouvait qu’accepter les rapports imposés par Rodrigue. Franchement perturbé par cette information, je réussis tout de même à m’endormir aux côtés de Mélanie qui dut rester remplie de sperme.

Au réveil, nous avons trouvé Rodrigue dans la cuisine. Je ne savais pas si je devais m’énerver, tenter de sauver Mélanie de la situation ou ne rien faire Tout se bousculait dans ma tête. Rodrigue et Mélanie coupèrent court à mes pensées.

« Mélanie, tu lui as expliqué ?

— Oui, dit-elle honteuse.

— Parfait ! Donc tous ces vêtements sont inutiles. Je te veux nue, ordonna-t-il. »

Et Mélanie s’exécuta. Elle fit tomber sa chemise de nuit et sa petite culotte. Ainsi nue, elle prépara le petit déjeuner sous les commentaires désobligeants et salaces de Rodrigue. Il ne se gênait pas pour faire des commentaires grivois sur son corps et sa façon de faire l’amour. C’est ainsi que j’appris que c’est lui qui avait pris son pucelage lorsqu’elle eut 18 ans. Ayant fini notre petit déjeuner, Rodrigue s’adressa à nous.

« Tu peux aller te laver, me dit-il. Mélanie, tu sais ce que j’aime de bon matin. »

Alors que je commençais à partir vers la salle de bain, je vis Mélanie s’agenouiller devant Rodrigue. Elle attrapa son sexe et le mit dans sa bouche. Ne voulant pas voir le spectacle de la femme de ma vie en train de faire une fellation à ce quarantenaire légèrement bedonnant, je m’enfermais dans la salle de bain. Je pris pas mal de temps mais rien n’y fit. A mon retour, Mélanie était toujours à genoux. Rodrigue tenait sa tête des deux mains et faisait aller et venir son sexe dans la bouche de ma compagne. Il me regarda dans les yeux :

« Je vais juter dans la bouche de ta petite salope. »

Dans un râle puissant, il le fit. En donnant de grands coups de reins faisant frapper ses couilles sur le menton de Mélanie, il jouissait dans sa bouche. Lorsqu’il se retira, je vis que du sperme coulait sur le menton de ma copine. Des larmes coulaient de ses yeux car Rodrigue avait dû forcer sa gorge. Sur ordre de Rodrigue, elle avala tout ce qu’il y avait dans sa bouche.

« Mélanie, va te laver. Tu dois être bien propre. »

Les yeux baissés et plus inquiète encore que la veille, Mélanie s’exécuta. En prenant soin de faire une remarque sur la qualité de suceuse de celle-ci, Rodrigue la suivit dans la salle de bain. Le bruit d’une douche se fit entendre. Je commençais à trouver que le temps était extrêmement long quand, enfin, la porte de la salle de bain se fit entendre. C’est Rodrigue qui arriva le premier dans le salon.

« Mélanie va porter des vêtements qui lui iront très bien aujourd’hui.

— Comment ça ?

— J’ai moi-même choisi sa tenue. Je ne suis pas sûr que ça te plaise mais ça me plaira à moi. C’est le plus important, dit-il en ricanant. »

Sur ces paroles, Mélanie descendit les escaliers. Elle portait une paire de sandales à talon noires, une mini-jupe d’une blancheur virginale et une chemisier noir en voile sous lequel on pouvait voir ses seins nus. Sur ordre de Rodrigue, Mélanie souleva sa jupe nous montrant ainsi un minuscule string noir.

« Je confirme. Elle me plaît vraiment comme ça. Une vraie petite pute habillée comme une vraie petite pute. Tu en penses quoi ? Me demanda-t-il.

— Je te comprends. Tu es trop ému et tu dois bander, non ?

— Pas vraiment.

— Pas grave ! Moi, elle me fait bander cette salope. »

Durant toute la matinée, Rodrigue ne se gêna pas pour caresser les seins de Mélanie sur ou sous le chemisier qu’il ouvrait largement par moment. Il passait aussi ses mains sous la jupe de ma compagne jouant ouvertement avec son string.

Alors que je vaquais comme je pouvais à mes occupations, je surpris Mélanie et Rodrigue sur le canapé. Mélanie avait le chemisier grand ouvert et les seins qui prenaient l’air. Sa jupe était relevée. Les jambes écartées, elle laissait Rodrigue lui caresser le sexe. La main droite de Rodrigue était sous le string de Mélanie et bougeait sur son sexe. Celui-ci devait déjà être bien humide au vue de la tâche qui commençait à bien se voir. De sa main gauche, il triturait un téton qui était sorti et bien dur. Mélanie, les yeux fermés, haletait doucement. En me voyant, Rodrigue me sourit et se pencha pour parler à l’oreille de Mélanie. Elle rouvrit alors grand les yeux. Rodrigue redoubla l’intensité de ses caresses. Mélanie semblait de plus en plus proche de l’extase mais elle luttait pour continuer à me regarder dans les yeux. Au bout d’un moment, le plaisir fut plus fort et ma compagne jouit bruyamment en me regardant tant qu’elle pouvait. Rodrigue fit lécher ses doigts à Mélanie puis se leva. En passant à côté de moi, il me donna une tape sur l’épaule comme une sorte d’encouragement.

Et il me fallut du courage pour supporter le reste de la journée. Rodrigue prit un malin plaisir à tripoter Mélanie dès qu’il en avait l’occasion. Dans le même temps, il ordonna à ma compagne de refuser tout contact avec moi, ce qu’elle fit sans sourciller.

Au repas du soir, alors que Mélanie venait de finir de débarrasser la table, il l’entraîna vers lui. Il lui ouvrit le chemisier pour faire sortir ses seins, souleva la jupe et retira son string qu’il me donna. Ce petit bout de tissu était tâché par les différents plaisir pris par ma copine durant la journée. Une forte odeur de sexe s’en échappait. Il la poussa sur la table pour qu’elle écrase ses seins sur celle-ci.

« J’adore son cul, lança Rodrigue. Tu l’aimes son cul ?

— Oui, il est

— Je m’en fous de ce que tu penses. Son cul est à moi ce soir. »

Sans attendre ni même préparer Mélanie, il enfonça un doigt entre les fesses de Mélanie. Celle-ci eut un soubresaut comme surprise par son assaillant. Puis elle se posa de nouveau sur la table en esquissant un sourire. Elle ne semblait plus gênée ni même honteuse envers moi. Elle avait l’habitude de se soumettre aux caprices pervers de cet homme et ne semblait plus vouloir s’en soustraire. Rodrigue, de son côté, pénétrait avec vigueur l’anus de Mélanie de son doigt. Voyant ma compagne s’ouvrir, il décida d’en enfoncer un second. Il masturba ainsi de longues minutes Mélanie avant que celle-ci ne fut prise d’un orgasme. Sortant ses doigts de l’anus de ma compagne, il lui claqua les fesses.

« Pas la peine de refermer ton chemisier ou de remettre ton string, ordonna-t-il. »

Mélanie passa le reste de la soirée débraillée et à moitié dénudée jusqu’à ce que vint le moment de se mettre au lit.

« Je dors’ avec Mélanie ce soir. Tu prends le canapé, me dit-il.

— S’il te plaît, je voudrais dormir avec lui, supplia Mélanie.

— Ok, il peut venir avec nous. INTERDICTION DE LA TOUCHER, me dit-il avec un regard noir. C’est MA salope ! »

Ainsi, tous les trois nous sommes retrouvés dans la chambre. Rodrigue ordonna à Mélanie de le dénuder puis, devant nous, de se mettre nue. Il me contraint à garder mon boxer pour « éviter toute intrusion malheureuse » dans Mélanie. Je me couchais ainsi et vis Rodrigue se relever pour aller vers ma copine. D’une main ferme, il la fit s’agenouiller devant lui. Il la contraint alors à une fellation. Je voyais les lèvres de Mélanie aller et venir sur le sexe bien dur de Rodrigue. Il lui caressait les cheveux en lui lançant des « bonne chienne ».

Rodrigue fit relever Mélanie et l’entraîna vers le lit. Il m’ordonna de quitter le lit et, à Mélanie, de s’y installer. Il se mit sur elle et la pénétra. En missionnaire, il commença à prendre vigoureusement ma compagne. Celle-ci ne me lâcha pas des yeux. Je voyais son plaisir monter de concert avec ma honte de la voir ainsi prise par un autre devant moi. Au bout d’un petit moment, il se retira et ordonna à ma copine :

« A quatre pattes comme la petite chienne que tu es. »

Mélanie se redressa et se mit dans la position ordonnée par Rodrigue. Celui-ci, qui avait prit place derrière elle, s’enfonça d’un coup dans son sexe. Il la prit non sans lui claquer les fesses violemment. Je voyais ses reins aller et venir. Son ventre heurtait les fesses de Mélanie au même rythme que les soupirs puissants de ma compagne. Il finit par lui attraper les cheveux pour lui redresser la tête.

« Regarde bien ton mec. Je suis sûr qu’il bande dans son boxer. Tu bandes ?

— Non !

— Menteur… »

Il avait raison, je commençais à me sentir à l’étroit dans mon boxer. C’est alors que Rodrigue se retira du sexe de Mélanie et fit darder son sexe à l’entrée de son petit trou. Agrippant une hanche de ma compagne et son sexe dans l’autre main, Rodrigue se planta entre les fesses de Mélanie.

« Tu m’as fit mal, lança-t-elle.

— Je m’en fous ! Ton cul est mon terrain de jeu. Si tu as mal, c’est parce que tu ne te fais pas enculer assez souvent. »

Il continua à lui prendre l’anus pendant un temps qui me sembla interminable. Mélanie poussait de petit cri à chaque fois que Rodrigue s’enfonçait en elle. Au bout d’un moment, il se retira d’un coup sec et mit Mélanie sur le dos. L’enjambant, il approcha son sexe de la bouche de ma copine. Il s’enfonça entre ses lèvres et lâcha son sperme. Mélanie avala le tout. Puis Rodrigue se tourna vers moi :

« Tu peux te branler puisque tu en as envie.

— S’il te plaît, fais ce qu’il te dit, me supplia Mélanie. »

Honteusement, je baissais mon boxer et commençai à me branler. Voulant m’approcher du lit pour finir, je fus arrêter par Rodrigue. Je finis donc par jouir sur le sol.

« Tu peux nettoyer. »

Je le fis tandis que Mélanie et Rodrigue s’installaient dans le lit. Lorsque j’eus fini, je voulus m’approcher du lit pour me coucher mais Rodrigue m’arrêta de nouveau. Il m’ordonna d’aller dormir sur le canapé devant le regard étonné et honteux de Mélanie qui n’intervint pas. Je fis donc demi-tour et allai me coucher dans le canapé.

La nuit fut courte et sans sommeil. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Mélanie dans les bras de Rodrigue. Assez étonnement, cette pensée arrivait à me donner une belle érection. Étais-je devenu un de ces hommes qui aime voir sa femme prise par un autre ? Je ne pense pas. Mais je n’étais pas jaloux juste perturbé’ par la situation.

Le lendemain matin, je m’affairai à préparer le petit déjeuner quand Rodrigue descendit suivi de Mélanie, entièrement nue.

« J’avale un petit déjeuner en vitesse et je rentre rejoindre ma femme et mes fis.

— Vous vous reviendrez ? Balbutiai-je.

— Bien sûr ! On ne peut pas se passer d’une salope comme Mélanie. »

Quelques minutes plus tard, Mélanie, toujours nue, raccompagnait Rodrigue à la porte de notre appartement. Puis elle se retourna vers moi et s’écroula en pleurs.

« Tu dois me détester, dit-elle entre deux sanglots.

— Je ne pourrai jamais te détester.

— Même si ?

— Tu m’aimes ? Tu as pensé à moi pendant qu’il te prenait ?

— Oui, j’avais honte et je me sentais mal pour toi.

— Alors je ne peux te détester mais je veux que tu me suces tout de suite. »

Avec ce sourire aux lèvres qui m’avait tant manqué, Mélanie s’approcha de moi et libéra mon sexe. Elle l’engloutit entièrement. Sa bouche, ses lèvres, sa langue, ses mains Elle me donnait du plaisir avec toutes les parties de son corps. Jamais elle ne m’avait aspiré à ce point dans sa bouche. Elle se força même à une gorge profonde qui fit de nouveau couler des larmes dans ses yeux. Alors que j’étais bien au fond de sa gorge, elle sortit sa langue et me caressa les testicules avec. Ceci, bien nouveau pour moi, me plut au plus haut point. Ses deux mains fermes agrippaient mes fesses pour m’empêcher de partir. Mais je n’en avais pas du tout envie. Bien évidemment, l’excitation de la nuit et la caresse de ma compagne eurent raison de mes dernières résistances et je jouis dans cette bouche offerte. J’eus l’impression que mon orgasme ne s’arrêterait jamais et que je déversais des litres de sperme dans la gorge de ma copine.

Lorsqu’elle me relâcha, aucune goutte de sperme ne perlait sur ses lèvres. Elle avait tout avalé.

« Je vais prendre une bonne douche et vais enfiler une tenue pour la journée, dit Mélanie.

— Non !

— Quoi ?

— Tu vas prendre une douche si tu veux mais tu redescends comme ça.

— Nue ?

— Oui C’est une tenue idéale pour la salope que tu es et que j’aime. »

Mélanie me sourit et partit dans la salle de bain. Quand elle revint, elle était toujours nue.

Je l’aime.

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