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Elle n'est pas qu'à moi – Chapitre 4

Elle n'est pas qu'à moi - Chapitre 4



Les visites de Rodrigue s’enchaînèrent. Mélanie semblait de moins en moins honteuse de baiser avec lui devant moi. Régulièrement, il lui ordonnait de passer le voir pour un week-end. A chaque fois qu’un rendez-vous avec lui approchait, je la sentais de plus en plus excitée. Je ne reconnaissais plus ma copine, ma compagne, la femme de ma vie.

Un soir, alors que j’évitais depuis un moment de parler d’avenir avec elle, elle voulut aborder le sujet.

« Ça fait un bon petit moment que nous sommes ensemble mon amour.

— Oui, lui répondis-je d’un air distant.

— Ne penses-tu pas qu’il est temps que nous franchissions une étape de plus ?

— C’est possible. Tu veux qu’on se marie ?

— Non, dit-elle en rigolant. Je ne suis pas vieille France comme ça Mais j’ai bien envie qu’on fonde une famille.

— Un bébé ?

— Tu n’as pas envie d’un bébé avec moi ?

— Si Bien sûr Tu veux qu’on fasse une enfant ?

— Oh oui ! J’appelle Rodrigue tout de suite ! »

Donc son plan était celui-là. Elle voulait un enfant mais de Rodrigue. Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle prit contact avec Rodrigue qui accepta avec plaisir de venir engrosser ma copine. Ils discutèrent un long moment des cycles de ma compagne. Quelques jours plus tard, Rodrigue vint à la maison.

« Mélanie doit être à point. Je vais endosser mon rôle de mâle reproducteur. »

Il appela Mélanie qui apparut déjà nue.

« Prête à être fécondée ?

— Oui, je n’ai pas baisé avec lui depuis des jours, dit-elle en me désignant.

— Parfait. Allez, hop, en position. »

Mélanie se positionna à quatre pattes sur le canapé, le visage vers moi. Elle m’embrassa pendant que Rodrigue se positionnait derrière elle. Remarquant qu’elle était déjà très humide, il s’amusa de son état puis la pénétra. Rodrigue baisait ma copine en levrette avec vigueur. Elle gémissait et haletait au rythme des coups de boutoir de son amant. A un moment de calme, elle réussit à s’adresser à moi.

« Je t’aime. Je suis ravie de faire un enfant avec toi. »

C’est à ce moment que Rodrigue se figea et jouit dans le sexe de ma copine. Son sexe se remplissait du sperme reproducteur de Rodrigue. Intérieurement, j’espérais que cette fécondation n’allait pas fonctionner car ce n’est pas mon sperme qui serait à l’origine de cet enfant. Se retirant, Rodrigue claqua les fesses de Mélanie. Ma copine cambra un peu plus les reins et garda cette position pendant quelques minutes. Passant derrière elle, je vis la liqueur de Rodrigue sur le sexe de ma compagne. Cette vision qui jusque là m’avait excité ne me plaisait plus vraiment. C’est alors que Rodrigue, me regardant, prit la peine d’ajouter :

« Dès que je retrouve la forme, on remet ça. Il faut mettre toutes les chances de notre côté pour que vous ayez un enfant. Au passage, il faudra aussi que tu arrêtes de baiser avec lui, dit-il à Mélanie.

— Mais si il a envie ?

— Ni ta chatte, ni ton cul, ni même ta bouche A la limite, il peut se branler en te matant.

— Et je peux

— Oui, tu peux le branler si tu veux. »

Mélanie se leva et alla enfiler une culotte « pour ne pas tâcher le canapé avec de la bonne liqueur ». Durant de longues minutes, ils m’exclurent de la conversation volontairement. Puis Mélanie s’adressa à moi pour que je l’aide à préparer le repas. Après celui-ci, Rodrigue signala à ma copine qu’il était de nouveau près.

Mélanie enleva sa culotte et posa ses mains sur la table cambra ses fesses. Elle me regarda de nouveau avec un grand sourire alors que Rodrigue baissait son pantalon. Il frotta un peu son sexe sur celui de ma compagne puis s’enfonça en elle. L’agrippant par les cheveux, il la besogna avec force. Il ne me lâcha pas des yeux comme pour me défier de bouger. Mélanie pointa alors sa main vers moi. Je lui tendis la mienne mais elle me dis qu’elle voulait autre chose entre ses doigts. J’ai alors sorti mon sexe qu’elle agrippa. Elle se mit à me branler doucement mais mon sexe ne fut pas vraiment très réceptif.

« Tu bandes pas vraiment beaucoup ? Des soucis ?

— C’est que

— Si tu ne bandes pas, tu n’auras pas l’impression de me faire un enfant, réussit-elle à dire.

— En même temps, votre gosse sera de moi, coupa Rodrigue. C’est peut-être ça.

— Oui j’avoue, tentai-je.

— Et bien c’est dommage pour toi. »

Rodrigue tira alors un peu plus sur les cheveux de Mélanie et s’enfonça au plus profond d’elle. Puis, dans un râle, jouit dans la sexe de ma compagne. Bien agrippé, il balança tout son jus en elle avant de se retirer. Il donna sa culotte à ma copine et remonta son pantalon. Mélanie lâcha mon sexe qui commençait à se dresser puis commença à débarrasser la table me laissant sur ma faim.

Quand la table fut débarrassée, nous nous sommes installés dans le canapé. Rodrigue attrapa Mélanie qui se blottit dans ses bras. Puis vint le moment d’aller au lit. Mélanie partit en premier. Rodrigue se leva pour aller chercher quelque chose dans la poche de sa veste.

« Si je me sens de nouveau d’attaque dans la nuit, il vaut mieux que je sois avec ta pétasse.

— Et moi ? Tentai-je.

— Tu dors là. Mais je t’ai prévu de la distraction, me dit-il en me tendant un DVD. »

Puis il rejoint ma compagne dans la chambre. Encore abasourdi, je mis le DVD dans le lecteur. En quelques minutes, une vidéo amateur commença. Un bon nombre de gars commençaient à parler de leur soirée avec une fille levée par l’un d’entre eux. Parmi les gars qui attendaient, je reconnus Gus et Nino. Puis, éclat de voix, satisfaction affichée des hommes et entrée d’une femme nue portant une cagoule en cuir amenée par Paulette et Rodrigue.

« Les mecs, la p’tite salope est là pour vous. Vous pouvez la baiser par tous les trous, lança Paulette

— Par contre, interdiction de jouir en elle, ajouta Rodrigue. »

Tous les hommes s’approchèrent de la jeune femme et des bouches, des mains et des doigts s’emparèrent d’elle. Puis la jeune femme fut mise à genoux et des queues tendues se présentèrent devant elle. Par le trou de la cagoule au niveau de la bouche, les verges passèrent une à une pour être sucées par la jeune femme. L’un des hommes malaxait violemment les seins de la jeune femme. Il y donnait aussi quelques claques.

Puis un autre des hommes s’allongea et la jeune femme prit place sur lui s’empalant sur le sexe tendu. Elle commença à se baiser sur le sexe et un autre se présenta devant son petit trou. Le deuxième entra pour l’enculer avec vigueur. Dans le même temps, quatre gars présentèrent leur sexe à la bouche de la jeune femme. Instinctivement, voyant la jeune femme baisée de toute part, je sortais mon sexe et commençais à me branler. Dans l’écran, les hommes se succédèrent dans le sexe, l’anus et la bouche de la jeune femme. De mon côté, l’excitation montait de plus en plus.

Alors que j’étais sur le point de jouir, les premier jets de sperme apparurent sur la vidéo. La jeune femme aux orifices rougis et distendus par les multiples pénétrations, reçut du sperme sur la cagoule de cuir puis sur ses seins, ses seins ou ses fesses. Les verges débordantes de liqueur passaient les unes après les autres pour se vider sur le corps de la souillon qu’il venaient de prendre à tour de rôle.

Puis la foule s’amenuisa petit à petit. Il ne restait à la fin que Rodrigue et la jeune femme. La caméra s’approcha alors de la jeune femme étendue au sol et couverte de sperme. Rodrigue se mit alors à défaire la cagoule de cuir et, au moment où mon sperme se mit à jaillir, le visage de Mélanie apparut sous la cagoule.

« Alors salope, c’était bien ? Demanda Paulette derrière la caméra.

— Oui, ils ont été merveilleux.

— Tu sais combien ils étaient ?

— Non.

— Ça te gêne de pas savoir ?

— Oui, un peu Ils étaient combien ? Demanda ma compagne.

— C’est un secret, lui dit alors Rodrigue.

— Et tu penses qu’ils en ont eu pour leur fric ? Se permit Paulette.

— Ils ont payé ? Vous m’avez Vous »

Paulette et Rodrigue se mirent alors à rire. Une immense colère s’empara de moi et je montais dans la chambre. Comme une furie, j’entrais dans la chambre réveillant les deux pervers qui dormaient dans mon lit.

« C’est quoi cette merde ? T’as vendu Mélanie ?

— Putain Je dormais

— Je m’en fous ! Tu t’es fait combien sur son cul ? Tu la prostitues souvent, connard ?

— STOP ! Je fais ce que je veux avec elle !

— C’est pas une pute ! Mélanie, tu n’es pas une pute !

— C’est vrai, je ne suis une pute Je suis SA pute, dit-elle en se blottissant contre Rodrigue. »

Quelque chose venait de se casser. J’ai foutu dehors Rodrigue qui attrapa ses vêtements au passage et Mélanie qui n’eut le temps de ne rien emporter, se retrouvent nue en dehors de l’appartement

Je ne l’aime plus

Mathilde, ma copine, et moi étions ensemble depuis quelques mois quand nous avons décidé de vivre sous le même toit. Mathilde avait 26 ans, c’était une belle brune aux cheveux longs. Elle mesurait 1m60 avec une belle petite poitrine (90b). Je le savais, elle était la femme de ma vie.

Quelques temps après notre installation, elle invita un copain à venir dormir à la maison. Lorsque le soir fut venu, nous l’avons installé dans le canapé et avons rejoint notre chambre. Mathilde semblait particulièrement excitée et elle m’invita à la câliner.

Doucement, j’ai commencé à lui caresser le petit bouton pendant qu’elle me faisait durcir de sa douce main. En quelques minutes, nous étions tous les deux fin prêts pour la suite. Elle se tourna doucement et je pus prendre place en elle. La cuillère est l’une de ses positions favorite. Bien placé, j’en profitais pour agacer ses tétons que je sais sensibles. Mathilde commençait à pousser de jolis soupirs de plaisir qu’elle essayait sans succès de contenir.

Elle me suivit sans hésiter quand je me suis mis sur le dos. Elle m’enjamba et plaça mon sexe dans le sien. Elle me chevaucha avec fougue tandis que je caressai son anus qui s’ouvrait sans difficulté. Tout à notre plaisir partagé, nous ne nous sommes pas rendu compte que la porte de notre chambre s’était ouverte.

« Je vois qu’on s’amuse bien ici, lança le copain.

— Tu veux te joindre à nous ? Lui demandai-je

— Avec plaisir.

— Viens t’allonger sur le lit, dit Mathilde. »

Le copain se déshabilla en quelques secondes et vint se mettre sur le lit à côté de nous. Lorsqu’il fut installé, Mathilde passa sur le copain et prit son sexe en elle. Je me positionnai derrière ma compagne et pénétrai son anus qui s’ouvrait sans difficulté. Je sentais le sexe du copain dans celui de ma copine. Nous avons commencé à la besogner de concert. Après quelques minutes de ce traitement, le copain finit par être pris d’un orgasme puissant et se déversa dans son préservatif au fond du sexe de Mathilde. Je suivis, inondant son anus de ma liqueur. Je me retirai en lui claquant violemment les fesses et nous sommes écroulés tous les trois sur le lit.

Au réveil, nous avons trouvé le copain dans la cuisine.

« Désolé pour hier soir, je n’avais pas l’intention de

— Ça t’a plu au moins ?, coupa Mathilde.

— C’était parfait !

— Donc tous ses vêtements sont inutiles. Tu serais mieux nue, ajoutai-je. »

Et Mélanie s’exécuta. Elle fit tomber sa chemise de nuit et sa petite culotte. Ainsi nue, elle prépara le petit déjeuner.

Cette histoire fut le début d’une nouvelle vie, Mathilde et moi nous sommes mis à fréquenter des clubs libertins. J’adorai voir ma compagne prise par d’autres, hommes ou femmes. Et elle aimait tout autant me voir baiser d’autres femmes.

Un soir, alors que nous étions tranquillement lovés sur le canapé, le téléphone sonna et je répondis.

« Salut, c’est Rodrigue.

— Qu’est-ce que tu me veux ?

— J’ai appris que tu avais une nouvelle copine avec laquelle tu t’amuses bien.

— Ça ne te regarde pas

— Rassure-toi. Je veux juste savoir si elle est au courant pour Mélanie parce que je voudrais t’offrir un cadeau, pour enterrer la hache de guerre entre nous.

— Elle sait.

— Et pour mon cadeau ?

— C’est Mélanie ?

— Oui mais un peu changée

— OK. Amène-la.

— Ce vendredi ?

— OK. A vendredi.

— A vendredi. »

J’expliquai à Mathilde le coup de fil qui se montra ravie d’enfin rencontrer Mélanie et Rodrigue grâce à qui elle avait « eu la chance de pouvoir [me] connaître et vivre avec [moi] ». Du coup, elle sauta sur la porte d’entrée quand on y frappa. La porte s’ouvrit sur Rodrigue. Il s’avança suivi de Mélanie qui arborait une très gros ventre de femme enceinte et d’un homme.

« Je vous présente Augustin, le mari de Mélanie, dit Rodrigue. »

Rodrigue m’expliqua alors qu’Augustin avait vécu la même chose que moi. Mais il l’avait épousée. Il ajouta d’ailleurs qu’il n’avait pas été autorisé à participer à la nuit de noces. Et il conclut en précisant que l’enfant que porte Mélanie était de lui.

« Mais pourquoi tu es là ? Demandai-je.

— Si vous voulez, Mélanie est à vous deux cette nuit. Vous pouvez faire ce que vous voulez de cette pute. Par contre, Augustin doit regarder. Ce n’est pas qu’il aime ça mais je veux qu’il voie tout ce qu’elle fait.

— Super ! J’ai toujours rêvé de coucher avec une femme enceinte, se réjouit Mathilde. »

La prenant par la main, Mathilde entraîna Mélanie dans la chambre. Augustin, Rodrigue et moi suivirent le mouvement. Dans la chambre, Mathilde demanda à Mélanie de se déshabiller. Nous avons eu la chance de découvrir son gros ventre sur lequel apparaissaient quelques vergetures et ses seins devenus plus gros et laiteux. Elle devait être sur le point d’accoucher.

Mathilde fit mettre Mélanie à genoux et me fit signe. Je sortais mon sexe et l’enfonçais dans la bouche de la future maman. Pendant que je donnais de grands coups de reins faisant cogner mon gland dans la gorge de Mélanie, Mathilde se mit sur le lit. Écartant les jambes, ma compagne commença à se masturber.

Puis Mathilde appela Mélanie. Elle s’installa à quatre pattes sur le lit, le visage enfoui entre les cuisses ma compagne. Elle commença à lui lécher le sexe. J’en profitai pour approcher du lit. Glissant ma main entre les cuisses de Mélanie, je m’aperçus qu’elle était encore plus chaude et humide qu’à l’époque où nous nous fréquentions. Je n’eus aucun mal à lubrifier son petit trou qui m’avait, je dois l’avouer, manqué. Dardant mon sexe contre l’anus de Mélanie, je m’y enfonçais sans difficulté. Bien agrippé à ses hanches, je me suis mis à la sodomiser avec vigueur. Mélanie tentai de continuer à lécher le sexe de ma compagne qui se mit à gémir sous l’effet des caresses.

Au bout de quelques minutes de cette pénétration, un orgasme me prit. Je déversais tout mon jus dans le rectum de Mélanie. Je me retirais ensuite en claquant brutalement les fesses de cette dernière. La vision de l’anus débordant de mon sperme entouré des belles fesses que j’avais fait rougir me ravit. Alors que Mélanie continuait à lécher la mouille de ma compagne, je m’approchais de Rodrigue et Augustin qui perdaient une miette du spectacle.

« Il ne se branle pas ? Demandai-je à Rodrigue en désignant Augustin.

— Non, il n’a pas le droit.

— Et pour le bébé ?

— T’imagines bien qu’il est de moi leur bébé, répondit Rodrigue.

— Mais, des fois, j’ai le droit de faire l’amour à Mélanie, coupa Augustin.

— Oui, quand je l’y autorise Mais comme il m’a coupé, il ne risque pas d’y avoir droit de sitôt D’ailleurs, sors ! »

Augustin baissa alors les yeux et partit. A ce moment-là, sur le lit, Mathilde fut prise d’un puissant orgasme, écrasant son sexe sur le visage de Mélanie. Après quelques minutes, Rodrigue partit nous laissant Mathilde et moi avec Mélanie. Comme il nous l’avait expliqué, nous avons pu jouir du corps de Mélanie pendant toute la nuit.

Le lendemain matin, Mélanie, Rodrigue et Augustin partirent. Je me retrouvais face à Mathilde qui semblait heureuse d’avoir pu jouir de mon ex-petite amie pendant ces longues heures.

« Ça fait un bon petit moment que nous sommes ensemble mon amour, me dit Mathilde.

— Oui, lui répondis-je.

— Ne penses-tu pas qu’il est temps que nous franchissions une étape de plus ?

— C’est possible. Tu veux qu’on se marie ?

— Non, dit-elle en rigolant. Je ne suis pas vieille France comme ça Mais j’ai bien envie qu’on fonde une famille.

— Un bébé avec toi. Avec plaisir ! »

Et c’est ainsi que, quelques mois plus tard, Mathilde accouchait de notre premier enfant et que je lui faisais ma demande en mariage. Une demande qu’elle accepta. Elle était bien la femme de ma vie.

Je l’aime.

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