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Elle était ma meilleure amie – Chapitre 2

Elle était ma meilleure amie - Chapitre 2



Quelques semaines avaient passé depuis cette fameuse nuit. Jamais nous n’avions pris la peine de revenir sur les événements de notre voyage à Amsterdam. Pourtant nous nous étions revus plusieurs fois avec Nina. Je me demandais si elle avait oublié, si la drogue lui avait enlevé tous les souvenirs de cette nuit ou si à l’inverse elle préférait faire comme moi et ne pas en parler. J’avoue que j’étais gêné. C’était ma meilleure amie, ma confidente, une fille que je pouvais prendre comme une sur. Mais la voir dans cette état d’extase, voir son vagin mouiller ainsi et l’entendre gémir juste à côté de moi qui me masturbais nu devant elle, ça m’avait retourné l’esprit. 

Plusieurs fois je repensais à cette soirée. Je me rappelais le contact chaud de sa cuisse contre la mienne. J’aurais tellement aimé la toucher plus que cette infime partie de son corps. Voir de plus près cette poitrine qui me paraissait généreuse mais que je ne pouvais contempler correctement. Et son sexe. Son dernier rempart d’intimité qui mouillait entre ses propres doigts. Rien qu’en y repensant je me mettais à me masturber en pensant à elle. À cette soirée…

Malgré cela nous avons continué à voir nos moitiés respectives. Mais moi je n’ai pas pu continué. Il était inconcevable de rester avec une fille alors que j’avais vécu cette soirée. De son côté, Nina avait gardé son cher et tendre et devait poursuivre sa relation comme si de rien n’était. 

Un soir après s’être donné rendez-vous dans un bar, nous parlions de tout et de rien comme à chaque fois. On aimait perdre notre temps à refaire le monde en enchaînant les pintes de bières belges. Ce soir là, nous avions tellement bu que nous n’avions pas vu le temps passer. A tel point que le dernier métro était passé depuis plus d’une demi-heure. Nina ne pouvait plus rentrer chez elle vu qu’elle habitait en banlieue et qu’un taxi coûterait bien trop cher. Comme à chaque fois dans ces cas là je lui proposais de dormir chez moi. Je n’habitait qu’à une dizaine de minute de marche du bar. Nina ne refusait évidemment pas. Instantanément, je repensais à cette soirée à Amsterdam. Même si depuis on avait déjà dormi encore ensemble sans qu’il ne se passe quoi que ce soit.

En titubant dans la rue, Nina se plaignait d’avoir atrocement mal au dos. 

— "Tu sais un bon massage et ça va tout de suite mieux", lui glissait-je.

-"Ça je ne peux pas vraiment te le dire parce que jamais personne ne m’a massé."

-"Ah bon ?!", rétorquais-je avec étonnement.

-"Non je n’ai jamais eu cette chance."

-"Tu sais moi je peux te masser si tu veux."

-"Vraiment ? Tu ferrais ça pour moi ?"

-"Bien-sûr. Surtout que sans me vanter, on me dit que je masse plutôt bien."

-"Voyons ça alors."

En arrivant chez moi, Nina pris place sur mon lit directement. Sa douleur était visiblement très vive. Je lui demandais pourtant de mettre des vêtements que je lui donnais pour que ce soit plus simple. Elle enfilait un de mes shorts de sport et ne gardait que son soutien gorge en haut. Rien que cette vue d’elle me faisait quelques choses. 

Je me lançais directement au massage m’occupant du bas de son dos. Elle avait deux petites fossettes à cet endroit qui me faisait craquer. Ne pouvant pas vraiment bien masser, je m’asseyais sur ses fesses en califourchon. Nina ne disait rien, tête plongée dans l’oreiller, elle ne lassait transparaître que de petits gémissements. Après avoir passé quelques minutes à cet endroit là je remontais mes mains en lui disant qu’elle allait avoir droit à un vrai massage intégral pour sa première fois et pas juste où elle avait mal. Nina acquiesçait avec envie. 

En remontant mes mains vers ses épaules je butais sur le dos de son soutien gorge. Je pris alors l’initiative de le défaire sans lui demander. Il faut dire que l’alcool m’aidait à aller plus loin.

Nina ne bronchait pas et se le relevait même un peu pour l’enlever complètement. À ce moment là mon sang ne fit qu’un tour et je commençais à être excité. Mon sexe durcissait dangereusement sous mon short. Après avoir masser le dos je décidais de passer au jambe ce qui me permettait de changer de position et de cacher mon érection naissante. En passant sur ses jambes je remontais sur ses fesses mais à ma grande surprise Nina m’arrêta. Elle se redressait et enlevait le short et se recouchait sur le ventre, me laissant avec ses fesses seulement couvert d’un string noir qui parcourait sa fente.

-"Je préfère comme ça, c’est divin de sentir tes doigts directement sur ma peau et pas à travers un tissu", se justifiait-elle. 

Le fait pour moi de toucher ses fesses bombées avait un effet immédiat sur moi. J’avais désormais une véritable érection impossible à cacher. En la massant j’écartais ses jambes pour passer sur l’intérieur de ses cuisses. À ce moment là, je pouvais sentir que Nina était brûlante. Est-ce qu’elle mouillait au contact de mes doigts sur son corps ? 

Je décidais d’aller encore plus loin en la retournant et la mettant sur le dos. Je me retrouvait face à superbe poitrine qui étais comme je l’imaginais. Elle avait deux seins bien gros et surtout ronds. Ils n’étaient pas parfaitement symétrique mais c’est ce qu’ils les rendaient très excitant. Ni une ni deux je me replaçait en califourchon sur son string chaud et humide. Nina remarquait immédiatement la bosse qui se présentait devant elle. Mais je ne lui laissait pas le temps de l’observer puisque je passait mes mains sur ses seins. Je les malaxait dans toute leur rondeur. Elle avait les seins très fermes. Je glissais mes doigts autour de ses tétons qui pointaient immédiatement. Nina gémissait de plus en plus fortement et intensément. Je n’avais qu’une envie c’était de l’embrasser, de goûter ses lèvres et de rencontrer sa langue avant de descendre dans son cou et de finir par mordiller le bout de ses seins. Rien que cette pensée me faisait presque jouir. Mais je me retenais et préférais me contenter d’un simple massage avec mes mains.

 

Néanmoins, je ne m’arrêtais pas là. Je descendais lentement vers le dernier bout de tissu qui lui restais. Nina devinait évidemment où je voulais en venir et ne présentait aucune opposition. Je passais ma main sur le string. Immédiatement je remarquais la chaleur et l’humidité de celui ci. Nina avait le sexe trempé de désir. Je commençais à la toucher par dessus son string mais Nina me stoppait et enlevait d’elle même le dernier vêtement qui lui restait.

-"J’ai dit que je voulais sentir tes mains directement au contact de ma peau", par ces mots Nina ne passait pas par quatre chemins.

Je remettais ma main cette fois sur son sexe nu. Je sentais ses lèvres trempées d’excitation. Je touchais enfin à cet objet que je désirais tant. J’utilisais deux doigts pour faire vibrer son bouton d’amour.

Nina commençait à crier de plaisir. Puis je glissais ces deux doigts dans son vagin trempé. Je sentais la chaleur de son corps. J’entrais doucement et une fois bien au fond je commençais des légers va et viens dans son sexe. Nina n’en pouvait plus et était au maximum de son excitation. Et dans un souffle me disait :

-"Fais moi jouir je t’en prie…"

À ces mots je retirais mes doigts de l’intérieur de son corps. Ils déhouillaient de son jus que je m’empressais de porter à ma bouche. Je goûtais à la saveur de son corps pour la première fois. Je redressais Nina de manière à ce qu’elle soit assise. Je me mettais derrière en collant mon corps au sien. J’avais ainsi mon sexe entre ses fesses et malgré le fait que je sois encore habillé, elle sentais mon sexe dur contre elle. Directement je me remettais au travail et je glissais ma main dans son sexe toujours luisant de cyprine. Je remettais deux puis trois doigts. Elle se remettait à gémir. Avec la paume de ma main je pressais son clitoris gonflée comme jamais. En reprenant mes va et vient Nina hurlait de désir. De mon côté la voir dans cet état m’excitais tellement. Nina l’avais peut être sentit et se crispait de tout son corps. Elle était transpercée de spasmes puissants et électriques. Elle venait de jouir sur mes doigts qui se retrouvaient noyés de son jus si délicieux. En la voyant dans cet état je me mis à éjaculer dans mon propre caleçon.

Je me laissais tomber sur le dos et Nina, dans un état second, ne pouvait se retenir et tombait sur moi. Elle sentait mon entre jambe trempé de sperme et me souriait avant de s’endormir nue dans mes bras. Je me déshabillais et me blottissait contre elle, nu également, comme si nous étions un vrai couple. Peau contre peau.

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