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Elodie chérie – Chapitre 10

Elodie chérie - Chapitre 10



Elodie 10

L’orgie

En cette dernière soirée avant le retour de mon épouse, Maria, le dîner avec nos invités se révèle plein de surprises ! A table, je m’attendais à être au coté d’Elodie, mais c’est Hélène que j’ai comme voisine. Ma fille a préféré être entre son ami Eric et la belle transsexuelle, Linda.

Je remarque que ma fille chérie s’occupe à caresser lentement les deux bites de ses futurs amants. Elle m’a confié en aparté que c’était la première fois qu’elle aurait une relation avec Eric, mais hors de question de l’embrasser, car elle souhaite qu’ils restent amis et non amants après cette soirée. Toujours est-il qu’elle semble trouver du plaisir à manipuler la grosse queue de son copain, sans délaisser Linda pour autant.

Hélène me colle, elle presse et frotte son genou contre le mien et me lance de nombreux regards très appuyés que je feins de ne pas remarquer. Elodie ne s’occupe pas du tout de moi. Quant à Linda, d’un battement de paupières, elle m’autorise à aller plus loin avec ma voisine.

C’est curieux, mais je me sens comme libéré d’obtenir l’assentiment de cette transsexuelle que je ne connais que depuis moins de quarante-huit heures ! Comme si son avis était plus important que celui de ma chérie ou de mes propres désirs.

Je regarde enfin Hélène dans les yeux et un sourire éclaire son visage.

C’est une très belle femme qui, à ce que j’en sais, n’a eu de relations sexuelles qu’avec des femmes et que son fils est le seul homme de sa vie depuis que son mari l’a délaissée pour partir avec sa jeune assistante. Je sais en outre qu’elle a une maîtresse attitrée dénommée Laure avec laquelle elle file le parfait amour (*).

Je lui adresse un sourire complice, ce qui l’encourage à poser sa main sur ma cuisse. Je la laisse me caresser, mais mon regard se replonge dans celui de Linda.

J’éprouve une grande attirance pour cette fille, si jolie et sachant si bien se servir de sa bite.

Toutefois, il me faut me lever pour aller chercher les plats. Hélène, d’un bond, est sur mes talons pour m’accompagner à la cuisine. Sur place, elle m’enlace, se love contre moi et pose ses lèvres dans mon cou.

Je l’enlace à mon tour et apprécie le contact de sa poitrine ferme sur mon torse. Je glisse une main sur son postérieur pour qu’elle s’approche davantage et presse son pubis contre mon sexe. Elle ondule délicatement le bassin et masse ma queue avec son bas ventre.

Décidément, aujourd’hui, la cuisine se révèle être une pièce propice aux contacts charnels !

Sa féminité et sa « félinité » me troublent, l’harmonie de nos corps ne fait aucun doute. Elle me susurre :

— Tu es le premier homme qui m’attire depuis bien longtemps !

— Pourtant, tu as ton fils pour te servir

— J’aime faire l’amour avec Eric, c’est vrai. J’ai également découvert l’amour au féminin avec ma compagne. Je pensais ne plus éprouver de sentiments envers la gent masculine, mais toi tu es différent.

— En quoi suis-je différent ?

— Il ne faudrait pas que Laure m’entende dire cela, mais voilà : Tu es différent des autres mecs en tout ! Tu es beau, charmant, drôle et surtout sans complexe

— Que tu dis ! Je suis bourré d’inhibitions !

— Ah bon ? Tu laisses ta fille faire l’amour avec moi, tu te fais enculer par mon fils devant nous, tu te fais draguer par une transsexuelle et tu te dis coincé ?

— Il faut dire que j’ai fait beaucoup de progrès grâce à ma fille en deux semaines !

— Elodie m’en a un peu parlé tout à l’heure. Moi aussi, je me suis libérée avec mon fils alors qu’il était puceau ! C’est terrible qu’à notre âge il ait fallu attendre que cela soit nos enfants qui nous enseignent le plaisir de la sexualité.

— Ma fille est très douée pour ça ! Tu ne peux pas savoir comme je l’aime. Je n’aime qu’elle !

— Ça se voit ! Tu es prêt à tout pour elle, n’est-ce pas ?

— Absolument !

— Tu veux bien m’embrasser avant de retourner à table

— Mais bien sûr, Hélène.

J’embrasse cette femme sans la moindre gêne. En plus, elle met de la passion et de l’originalité dans notre baiser. Quand je pense qu’il y a peu je n’aurais jamais osé faire ça ! Moi, qui me voulais être le mari parfait et surtout un homme fidèle, je n’aurais jamais imaginé pouvoir embrasser une autre femme, ni un homme, ni une transsexuelle, ni ma propre fille.

Et pourtant, c’est si agréable

Mon pantalon est bien déformé quand nous retournons à la salle à manger, les bras chargés.

Linda la robe retroussée se tortille sur sa chaise, Elodie s’est penchée sur elle pour sucer sa bite tendue.

Eric nous voyant arriver, se lève vers nous, braguette ouverte, sexe en main et nous demande :

« Qui de vous deux veut bien me sucer ? »

Hélène est plus prompte que moi, elle pose le plat sur la table, s’agenouille devant son fils et avale le gros chibre avec avidité. Eric lui caresse les cheveux alors qu’elle le pompe à tout va.

La jolie croupe d’Hélène attire mon regard et surtout ma main. Je caresse ses fesses délicatement et m’attarde dans son sillon. Elle se tortille sous ma caresse et cesse de sucer son fils pour me proposer de prendre le relais.

Je délaisse la raie d’Hélène pour emboucher avec plaisir le gros gland du jeune homme, alors que sa mère s’occupe de m’ouvrir la braguette pour se saisir de mon sexe et le pétrir.

Avec les deux mains sur l’imposante colonne de chair d’Eric, je tète à fond, mordille, lèche, pompe alors que sa mère finit de baisser mon pantalon pour mieux me doigter le derrière.

J’entends Elodie nous dire d’une voix engluée :

«  À table maintenant ! »

Dommage, j’étais à deux doigts de faire jouir Eric avec ma bouche !

Nous nous réajustons tous les trois et regagnons nos places alors que ma fille, toute souriante, finit de déglutir le sperme de Linda. La belle brune est ravie de la pipe qui vient de lui être prodiguée et à du mal à redescendre sur terre. Elle reste un bon moment les bras ballants de part et d’autre de sa chaise.

Ensuite, le repas se passe au mieux alors qu’Hélène me flatte le bas du dos, et moi, son sein gauche, bien ferme sous mes doigts.

Elodie, robe relevée, est assise sur la main gauche d’Eric qui la fouille. Elle se tortille de temps en temps en gémissant quand son ami la doigte trop profondément.

Linda à le coude posé sur la table et ne cesse de me regarder comme fascinée, avec un désir non dissimulé, je lui fais bien comprendre que moi aussi j’ai envie d’elle.

L’ambiance est si chaude que nous sommes pressés de passer à la suite.

Elodie est reine de la soirée, c’est ce qui est convenu entre nous tous.

Elle nous entraîne tous au salon et me demande de faire de la place sur le grand tapis qui va être le terrain de nos amours débridées. Elle me fait déplacer les fauteuils pour les placer autour du tapis.

Nous faisons cercle autour d’elle dans l’attente de connaître ses désirs.

Elle se place alors au centre de l’espace créé et entame un langoureux strip-tease en nous proposant de nous dévêtir également. Nous sommes tous surexcités, je ne sais plus où regarder, tout est génial, que ce soit le cul de ma fille qui ondule, le beau torse et la bite raide d’Eric, le corps sublime de sa mère ou le membre tendu de Linda pointé vers moi comme une invitation ou une offrande.

Elodie attire Eric par la main et le fait s’allonger sur le tapis avant de le chevaucher, en poussant un soupir quand la grosse bite lui écartèle le vagin. Elle me regarde quelques secondes, hésite, puis se détourne vers Linda à qui elle demande de se placer derrière elle.

Avec énormément de délicatesse, la brunette enfonce son sexe dans l’anus de ma fille qui roucoule quand elle se fait pénétrer. Ensuite, Elodie me fait agenouiller près d’elle pour prendre ma bite en bouche. Hélène quant à elle s’est placée de l’autre coté de ma fille pour lui caresser tantôt la poitrine, tantôt le clito.

Commence alors une cavalcade de ma petite chérie sur les deux bites qui l’envahissent. Elle n’arrive plus à me sucer tant elle est essoufflée de monter et descendre sur les pieux qui pénètrent ses chairs.

Par contre, quand elle fait une pause dans sa chevauchée, elle apprécie énormément les lents allers et retours dans son derrière. Linda est vraiment douée pour ça ! Vivement mon tour !

Hélène préfère cesser de caresser ma chérie. Elle s’allonge à son tour sur le tapis près de son fils et me tend la main pour m’inviter à la couvrir. Avant de la pénétrer, je me glisse entre ses jambes et donne quelques coups de langues avides dans sa vulve trempée.

Le goût de sa mouille est agréable sur mes papilles. J’en reprends un peu avant de me redresser pour honorer cette jolie femme qui m’attend avec impatience.

Alors que j’approche mon gland de son antre, j’entends Elodie gémir de plaisir en reprenant sa course folle.

Hélène soupire de bonheur quand je m’enfonce en elle. Elle m’enserre la taille avec ses jambes et, de ses bras enlacés autour de mon cou, m’attire à elle pour un long baiser.

Le feu qui brûle en elle se propage vite en moi et c’est avec beaucoup de passion que nous faisons l’amour.

J’entends bien Elodie crier sa jouissance, mais je suis trop pris dans un tourbillon des sens avec ma partenaire. Je continue à la pistonner bien après sa jouissance et Hélène me demande grâce. Alors que je me retire et me redresse, Linda quitte précipitamment le derrière d’Elodie et vient se coller à moi, je sens rapidement sa bite glisser dans mon sillon.

Alors qu’Hélène est encore comateuse, Elodie se redresse et, la chatte emplie du sperme de son copain, vient chevaucher la bouche de la maman. Hélène retrouve vite de l’énergie et se met à dévorer l’abricot de mon amour pour lécher le jus qui s’en écoule.

Linda me tient par les épaules et sa bite coulisse délicieusement dans mon anus. Sa façon de me faire l’amour est absolument fantastique. Je me redresse vers elle et nos bouches se trouvent pour un baiser, alors qu’elle me nique de mieux en mieux si c’est encore possible !.

Avec les mains en arrière, posées sur ses hanches je l’invite à me saillir plus brutalement, mais elle n’y tient pas et continue à être délicate pour m’aimer.

Eric s’est relevé, il s’approche de nous et me tend son sexe à nettoyer en se positionnant debout devant moi. Je gobe alors son engin et aspire les quelques gouttes de semence restantes. J’aime tant avoir sa bite en bouche que je m’ingénie pour lui faire retrouver sa vigueur. Son énorme gland me distend les joues, mais j’adore le pomper.

Linda m’enserre la taille avec tendresse tout en continuant à me liner délicieusement, puis se crispe et je sens son jus chaud m’envahir.

Quel pied d’être aimé comme cela !

Je reconnais que j’adore être sodomisé sans pour autant être homosexuel. Cette bisexualité nouvellement découverte m’enchante. Merci Elodie !

Linda est à peine sortie de moi, qu’Eric la remplace pour m’enfoncer d’un seul coup, son gros pieu jusqu’à la garde. Linda s’assied en tailleur près de moi et me regarde me faire embrocher avec un peu de dépit dans le regard. Je lui prends la main et ne la lâche plus tout le temps qu’Eric se défoule dans mon trou.

Il me claque les fesses, m’invective, m’écrase les couilles entre ses doigts. J’ai droit à me faire défoncer le cul par ce jeune mâle en rut et sa sauvagerie me ravit.

Le pire est que plus il cherche à m’humilier, plus j’aime ça, même quand il me traite d’esclave, de salope ou de pute.

Je finis par m’allonger à plat ventre alors qu’il m’appuie sur les épaules pour mieux me violer.

La douceur et la tendresse de Linda contrastent énormément avec la brutalité du jeune homme qui s’est maintenant couché sur mon dos pour me saillir à grands coups de sabre.

Il est tellement bien membré que j’ai l’impression d’être déchiré en deux à chaque fois qu’il m’envahit.

Il s’amuse à sortir complètement pour ensuite s’enfoncer sèchement jusqu’à la garde. Même si le sperme de Linda qui me tapisse permet une relative lubrification, le gros machin du garçon me distend le trou à chaque passage.

Elodie ne s’occupe absolument pas de moi, ni de mes plaintes, elle est trop occupée avec le soixante-neuf qu’elle réalise avec la belle Hélène.

Seule Linda m’apporte son soutien en serrant ma main dans les siennes. Je remarque en particulier qu’elle refuse qu’Eric la touche, surtout quand il cherche à lui peloter les seins.

Le jeune Eric semble transcendé pour m’enculer, comme si il n’avait attendu que cela de toute la soirée. D’ailleurs, après un long et brutal pistonnage, il émet un râle bestial qui accompagne ses nombreux jets de semence dans mes profondeurs.

Même si je n’ai pas encore éjaculé, j’ai pris un sacré pied ce soir.

Je me redresse avec difficulté et me trouve avec la bite de mon jeune enculeur devant le nez.

J’enfourne son monstre encore gluant pour le nettoyer soigneusement, alors que Linda s’applique à éponger délicatement le sperme qui sort de mon anus et coule sur mes jambes.

Eric s’installe dans un fauteuil et regarde sa mère et ma fille qui roulent ensemble lors de ce tête-bêche endiablé. Je m’agenouille près de Linda et lui prends la taille pour la serrer contre moi.

Mon geste la ravie et elle pose sa tête, amoureusement, sur mon épaule pour assister au spectacle des deux femmes en plein orgasme.

Elodie peine à se relever, Linda et moi nous précipitons pour la soutenir puis à l’installer dans un fauteuil. Elle est trempée de sueur, ruisselante de mouille et de salive, les yeux hagards, mais comblée au vu du petit sourire satisfait qu’elle arbore.

L’infatigable Eric s’est jeté sur sa mère dès que la place a été libre. Hélène gémit sous les coups de buttoir que lui assène son fils. Je regarde avec admiration le fessier d’Eric monter et descendre alors qu’il force la chatte maternelle.

Linda se rapproche de moi et je l’enlace à nouveau, j’aime la tenir dans mes bras, elle a la peau si douce. J’aime aussi l’embrasser quand elle me tend ses lèvres. Le contact de sa langue sur la mienne m’électrise, je me remets à bander. Ma partenaire sans interrompre notre baiser se saisit de mon membre et le presse entre ses doigts fins.

A mon tour je glisse la main, cherche et trouve son sexe dur.

Dans un souffle, Linda me dit :

« Aime-moi mon chéri ! »

Qu’elle m’appelle mon chéri ne me perturbe pas, car je suis comme dans un brouillard voluptueux où la raison n’a pas sa place.

Elle se tourne et prend appui sur l’accoudoir du fauteuil où est assise Elodie.

Linda à vraiment un joli cul, je ne résiste pas au désir de caresser ses jolies et douces fesses.

Je m’accroupis et glisse le bout de ma langue dans sa raie pour forcer son petit trou, puis le lécher avec application.

Ma fille ne perd pas de temps, elle s’est saisie de la queue de ma partenaire pour la malaxer alors que je me suis redressé pour pointer mon gland sur l’illet impatient.

Je m’applique à être excessivement délicat pour aimer Linda. Autant qu’elle peut l’être avec moi. Toutefois quand je suis au fond d’elle, je pousse peut-être un peu trop fort sur ses épaules. Linda, déséquilibrée, bascule en avant, se couche en travers du fauteuil et surtout de ma fille qui y est assise.

Elodie ne pouvant plus branler Linda, s’applique à lui caresser les tétons alors que je sens monter ma sève. J’ai beau tenter de retarder mon éjaculation, toute la pression sexuelle que j’ai accumulée ce soir, se libère et j’ai l’impression que mes jets claquent au fond du corps tressaillant de la jolie brune transsexuelle.

J’aide Linda à se redresser et à se remettre sur pied, mais sans sortir de son anus pour que mon jus ne sorte pas. Elodie ne résiste pas devant la bite tendue de la femme et l’embouche avec frénésie. J’aime caresser les seins de cette beauté tandis que ma fille la pompe vigoureusement.

Elodie est insatisfaite et souhaite avoir toutes les bites à disposition en même temps.

Je sors donc la mienne du cul de Linda, libérant le flot de ma semence.

Eric cesse de saillir sa mère et s’approche à son tour d’Elodie, désormais agenouillée devant les trois membres à sucer.

Elle est comme folle et passe d’une bite à l’autre alors qu’Hélène s’est mise derrière elle pour lui peloter la poitrine.

La bouche d’Elodie s’adapte à toutes les tailles de gland sans la moindre difficulté.

Elle tète, lèche, pompe nos bites indifféremment, puis petit à petit, se consacre exclusivement à celle de Linda.

Eric se sentant délaissé, pose sa main sur mon épaule et m’invite à m’agenouiller devant lui, à coté de ma fille. Il m’offre son totem que mes lèvres absorbent. Il me bloque alors la tête dans ses mains et se met à me violer la bouche. Il s’enfonce profondément dans ma gorge à chacun de ses coups de reins et n’a que faire de mes hauts le cur.

Voulant faire bonne figure auprès de ma fille, j’arrive à maîtriser mes réactions afin de mieux apprécier le traitement qui m’est infligé. Il ne me tient plus la tête que d’une main et de l’autre il s’attaque à mes tétons pour les pincer si fort que j’émets des cris étouffés.

Ma douleur l’excite encore plus. Il sort soudainement sa bite de ma bouche, me bascule en arrière. Je me retrouve les quatre fers en l’air quand il me saute dessus pour m’embrocher. Je le sens passer car il ne prend aucun ménagement pour me perforer. Il se maintient au dessus de moi les bras tendus et me fixe avec un regard conquérant ou plutôt de vainqueur.

Il lit dans mes yeux de la reconnaissance et quand j’enlace son cou pour l’attirer à moi il ne résiste pas et change même de comportement à mon égard.

Son baiser est langoureux, amoureux puis passionné.

D’un ou deux mouvement de bassin, je l’invite à poursuivre sa saillie. Il se redresse et je lui prends une main que je pose sur mon sexe puis l’autre sur mon téton. Il exerce de petites pincées sur mon mamelon et sent bien l’effet que ça me fait, mon sexe durcit dans sa main.

Je m’empale le plus possible et il comprend mon souhait d’être sous son joug.

Tout en me branlant et me martyrisant les tétons il arrive à me niquer à la perfection.

Je suis aux anges, même quand Elodie se penche sur ma bouche ouverte, pour y déverser la semence de Linda qui emplit la sienne.

Alors que son ami me fait souffrir, ma fille me caresse le visage avec douceur. Elle se penche et quand ses lèvres rencontrent les miennes je ne peux me retenir d’éjaculer si fort que mon sperme lui atterrit dans les cheveux. Eric me saisit par le bassin et se met à me limer si intensément que j’ai du mal à embrasser ma fille tant je suis secoué dans tous les sens.

Quand la grosse bite du garçon sort de mon cul, mon trou béant déverse à nouveau un flot de semence incroyable sur le tapis. Je n’en reviens pas de la vigueur de ce garçon, ni de l’incroyable quantité de sperme que j’ai reçue en moi, ce soir.

Je prends conscience que je commence à sacrément aimer me faire enculer et en plus à devenir masochiste.

Nos invités, fourbus, nous remercient pour cette soirée exceptionnelle et prennent congé de nous. Hélène fera un petit détour pour déposer Linda à qui j’ai promis de nous revoir très vite.

Cette jolie transsexuelle me trouble plus que de raison !

Une fois seuls, Elodie et moi demeurons enlacés sur le canapé. Ma fille me dit :

— Je te remercie infiniment mon chéri.

— Ça t’a plu ? C’était plutôt orgiaque comme soirée !

— C’est ce que je désirais vivre au moins une fois ! Mais dis donc, tu ne deviendrais pas un peu maso ?

— Je l’avoue, mais c’est toi qui as commencé !

— Ça te plaît d’être dominé ? De te faire enculer ?

— Oui, de temps en temps, ce n’est pas désagréable.

— Très bien, c’est noté ! Alors tu vas mettre un tablier et me débarrasser tout ce bordel !

— Oui maîtresse Dis-je, sur un ton soumis

Bon sang ! Je deviens nettement accro à ses jeux pervers.

Elodie s’absente quelques minutes pour revenir harnachée de son gode ceinture, tenant en main son martinet en me regardant d’un air sévère.

Je me doute bien de ce que ma douce fille me réserve pour cette fin de soirée !

Ça va chauffer ! Surtout mon cul .

J’ai hâte .

(*) Se reporter aux sagas : « Hélène et le garçon » et « Le retour d’Hélène et le garçon » Yphos, 2016.

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