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Elodie chérie – Chapitre 3

Elodie chérie - Chapitre 3



Elodie 3

Après cette séance lubrique où elles mont utilisé comme un sex-boy, les deux filles sont collées lune à lautre. Ma fille, Elodie a posé sa tête entre les seins de son amie. Toutes les deux me regardent, satisfaites. Je change de position pour masseoir en tailleur face à elles.

« Ca vous dit que lon aille au restaurant ce soir ? Jen connais un avec une terrasse extérieure près dune rivière, daccord ? »

Elles sont partantes toutes les deux. Sandrine ajoute :

« Je vais retourner chez moi prendre quelques affaires pour ce soir et en profiter pour me changer »

Elle se rhabille prestement et nous laisse tous les deux face à face sur le lit.

Elodie sapproche de moi et me tend ses lèvres, jy dépose une petite bise et lui demande :

« Dis, ma chérie, cétait quoi ce plan avec ta copine ? Jaurais préféré que ça reste entre nous »

« Tu sais mon petit papou, Sandrine te kiffe depuis longtemps et puis elle va partir lundi chez sa cousine, après on pourra être à deux, mais je voulais lui faire plaisir et quand je lui ai raconté ce que nous avions fait, elle ne se sentais plus !».

Je suis intérieurement flatté dêtre apprécié par cette jolie blonde, je nimaginais pas être kiffé par elle. Bon, il est vrai que quand elle venait à la maison, je regardais souvent son corps à la dérobée, mais de là à ce quelle sintéresse à moi, je nosais y penser.

« Je ne savais pas non plus que tu aimais les filles ! »

« Jaime les deux, avec les filles cest différent ! Et puis, avec elle, ça fait très longtemps quon se fait des câlins et plus même ». Elle a un sourire qui en dit long sur leurs relations antérieures.

« Javoue que cest une fille charmante ! »..

« Oui et puis elle sait être discrète, ne tinquiète pas pour la photo quelle ta montrée ! Au fait, tu as aimé ce que nous avons fait ensemble ? »

« Franchement, jai adoré ! ».

Les deux coquines semblent avoir beaucoup dexpérience pour leur age.

« Oui, jai remarqué aussi que tu nas pas protesté de te faire doigter le cul ! »

Elle dit tout ça très directement et je me sens un peu mal à laise que ma fille me parle ainsi. Toutefois, cest le genre de conversation que lon peut avoir avec sa maîtresse, voire avec son épouse. Ma fille serait-elle désormais ma maîtresse ?

Pour détourner ses questions, jajoute :

« Jai besoin de prendre une douche, maintenant »

« Je viens avec toi ! »

Peu de temps après, nous sommes tous les deux dans la cabine, un peu serré, mais nous laver le corps mutuellement nous ravit lun et lautre. Après nous être essuyés, nous regagnons nos chambres respectives pour nous vêtir. Elle repasse par la salle de bain et en sort coiffée dune queue de cheval très haute sur la tête. Elle a enfilé une robe noire légèrement décolleté, ses boucles doreille très longues lui tombent sur ses épaules dénudées. Elle a mis des bas malgré la chaleur, des souliers à talons hauts. Elle est splendide et je me sens amoureux tout à coup ! Je lui dis combien elle est belle en déposant un baiser au dos de sa main.

Quelques instants plus tard, Sandrine est de retour et je vais laccueillir. Elle a mis un pantalon blanc moulant et une tunique suffisamment transparente pour que lon distingue son soutien-gorge bien rempli. Elle pose son sac dans lentrée et me fixe dans les yeux. Son regard me pénètre, mais je lui sens une certaine retenue. Elle jette un oeil vers Elodie derrière moi et, je pense, sur son assentiment, se colle à moi en menlaçant. Je sens sa poitrine ferme sur mon torse et à mon tour je la serre dans mes bras.

Son parfum est agréable et menvoûte quelque peu. Je pose une main sur ses reins et lautre sur sa nuque que je caresse délicatement. Elle relève la tête, tend ses lèvres et nous nous embrassons à pleine bouche.

Elle a changé de piercing, celui-la nest plus une boule mais plutôt un genre de strass qui par ses arêtes vives qui me griffent, agréablement, la langue.

Elodie intervient :

« Bon les amoureux ! Cest fini ? ». Est-elle un peu jalouse de cette jolie blonde ?

Je me détache de son amie et mempare de mon téléphone pour réserver le restaurant qui doit être pris dassaut. Puis, je compose le numéro de Maria, mon épouse pour prendre de ses nouvelles.

Les deux filles sinstallent sur le canapé de part et dautre de moi.

Tandis que je converse, Sandrine a posé sa main sur mon genou quelle caresse lentement.

Pour masquer mon trouble, je passe le téléphone à ma fille, qui elle, reste très naturelle.

Sandrine se penche et me fait une bise dans le cou et sort sa langue pour me lécher un peu.

Je me sens à la fois, gêné et dautre part excité, car je me sens durcir du bas ventre.

Elodie, à qui rien néchappe, glisse sa main entre mes jambes et éprouve ma dureté entre ses doigts tout en discutant avec sa mère. Elle me pétrit les testicules à men faire mal.

Ouh là là ! Il faut que je reste calme avec ses deux furies. Je me lève donc pour aller chercher des rafraîchissements à la cuisine, mais surtout pour recouvrer mes esprits.

Je reviens masseoir entre les filles qui restent bien sages désormais.

On passe un petit moment à discuter jusquà lheure de nous mettre en route.

Quand nous arrivons au restaurant, avec ces jolies filles qui me tiennent le bras, nous faisons sensation. Tous les regards se tournent vers nous et les commentaires vont bon train.

Nous avons droit à une table un peu en retrait des autres ce qui nous convient parfaitement.

Je choisis de prendre un apéritif et les filles préfèrent un soda.

A peine commençons nous à trinquer que Sandrine qui est face à moi memprisonne les pieds par les siens tandis quElodie frotte sa cuisse sur la mienne.

Oh là là! Comme cest chaud !

Le repas se passe et à lissue, Sandrine propose que nous allions dans un bar, puis en boîte.

Personnellement, je préfère que nous rentrions à la maison et cest ce qui est retenu.

Toutefois, Comme jai bu un peu trop, Elodie prend le volant et mintime daller derrière avec son amie. Cette dernière se colle à moi durant le trajet et après avoir enlevé quelques boutons de ma chemise, me caresse les tétons. Elle sy prend si bien que ceux-ci sont érigés comme jamais. Elle en profite pour me les pincer à tour de rôle de plus en plus fort. Cest à la limite de la douleur, mais en même temps extrêmement agréable.

Elodie se retourne de temps en temps et sourit de me voir ainsi soumis à son amie.

Quand nous arrivons à la maison, je ne sais plus où jen suis.

Je laisse entrer les filles sans négliger de fixer leur croupe. Le sillon fessier de Sandrine est bien dessiné par son string et je suis totalement hypnotisé par ses formes.

Elodie jette son sac à main sur le canapé et met une musique douce. Sandrine sest retournée et menlace en dansant en rythme tout en se déhanchant langoureusement.

Je me colle à elle pour lembrasser à nouveau et nos langues sont vite dans un ballet passionné.

Elodie, se colle derrière moi et fait glisser ses mains sur mon ventre pour me faire quitter mon pantalon, puis mon slip.

Sandrine, sactive à enlever les derniers boutons de ma chemise et en peu de temps je suis totalement nu. Inutile de préciser que ma verge est terriblement tendue.

Elodie passe maintenant derrière son amie et la déshabille presque complètement. Il ne lui reste que son string. Sandrine se saisit de mon membre et le place entre ses jambes quelle resserre. Nous reprenons notre baiser alors quelle ondule sa chatte humide sur ma hampe. La dentelle de sa culotte mirrite un peu la peau mais je préfère profiter au maximum de cet instant. Nous sommes collés lun à lautre en dansant lentement. Elodie à quitté sa robe et sest mise à genou derrière moi et je la sens écarter mes fesses, puis sa langue me lécher lanus.

Je ne connaissais pas la feuille de rose, et là, cest une découverte sensationnelle !

Au bout dun moment, elle se relève et je sens une phalange forcer mon petit trou alors que je suis en plein baiser avec Sandrine. Son doigt sactive et entre en moi de plus en plus, et moi, au lieu de protester, je me laisse faire.

Sandrine tremble sur ses jambes et son rythme saccélère, jai la hampe en feu sous le frottement intense quelle impose. Elle se crispe et se met à jouir. Elle se recule pour reprendre son souffle et enlève sa culotte trempée quelle jette au sol.

Ma fille a toujours son doigt en moi et continue de lagiter. Puis avant de le retirer, elle annonce :

« Bon, maintenant, on va aller dans la chambre »

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