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Elodie, piégée. – Chapitre 2

Elodie, piégée. - Chapitre 2



8h30. Pile. Elle s’en sortait bien.

Élodie était sorti du métro en trombe, et avait couru le petit kilomètre qui la séparait de la maison de presse local qui l’employait. Elle avait opté pour des ballerines, car elle avait pressenti qu’elle serait bien obligée de s’adonner à ce genre de sport. ("J’ai déjà droit à beaucoup d’exercices physiques, ce matin", se dit -elle.)

Elle était rédactrice en presse écrite. Jusqu’ici, on trouvait la plupart de ces rubriques dans les faits divers du journal, malgré un véritable acharnement au travail et plusieurs mois d’ancienneté. Mais aujourd’hui n’était pas une journée comme les autres. La veille, le rédacteur en chef, Monsieur Dugnat, lui avait déclaré vouloir lui confier un véritable reportage pour elle toute seule ! Il lui avait demandé de se rendre à son bureau à 8h30. Elle ne connaissait pas le sujet, mais peu importe, elle allait enfin pouvoir faire ses armes !

Après s’être très rapidement recoiffée , elle tapa à la porte du bureau du patron. Elle entendit une vague agitation à l’intérieur. Elle savait de quoi il s’agissait. En effet elle avait découvert depuis 1 mois que le rédacteur en chef, homme pas méchant mais au physique ingrat, se tapait Lydie, la secrétaire.

Elle avait apprit cela un soir où elle était resté tard au travail : voyant de la lumière et des bruits confus s’échapper de la porte entrouverte du patron, elle s’était risquée à y jeter un il. Ce qu’elle avait alors vu l’avait scotchée sur place !

M.Dugnat était tranquillement installé sur son fauteuil, un verre d’alcool à la main et le pantalon sur les chevilles, pendant qu’une tête féminine semblait s’activer au niveau de son entrejambe. Apparemment, le chef appréciait ce traitement, puisqu’on pouvait saisir des encouragements : " – Oh oui c’est bien, petite salope, suce moi bien la queue. Tu aimes ça, hein, la pipe ?!". La concernée ne répondait pas mais ne semblait pas non plus s’offusquer de ces paroles. Elle continuait son uvre.

Élodie n’avait pas tout de suite reconnu la femme qui s’occupait du manche de M.Dugnat, puisqu’elle lui tournait le dos à ce moment là. Elle ne pouvait donc qu’observer les amples mouvements de cette tête qui montait et descendait, et qui s’accompagnait d’un superbe corps nu. Élodie n’était pas spécialement attirée par les femmes, mais elle ne pouvait ignorer la beauté de cette chevelure noire, de cette chute de reins à damner un saint, et de cette paire de fesses rondes et fermes. D’ailleurs, bien malgré elle, le spectacle commençait quelque peu à l’émoustiller.

Les yeux dÉlodie s’attardait sur le derrière rebondit, et elle distinguait rapidement un objet entre les fesses. Elle était choquée de comprendre qu’il s’agissait d’un rosebud, dont l’extrémité était faite d’un faux diamant, mais cela l’excitait curieusement d’avantage.

M.Dugnat s’est adressée à nouveau à la femme qui était à genoux devant lui : "Lâche ma queue et mets toi à quatre pattes sur mon bureau. On va passer aux choses sérieuses.". L’intéressée se redressa donc et pris position. De cette façon, Elodie pu enfin voir de qui il s’agissait : Lydie Merrill ! Elle ne connaissait pas véritablement cette charmante secrétaire de direction, mais l’avait déjà croisée de temps en temps. Jamais Élodie n’aurait soupçonné de pareilles activités derrière ce jeune visage innocent. Elle continua à observer la scène : Lydie était coudes et genoux sur le bureau de son patron, et tendait son arrière train.

" -Caresse toi, ma petite chienne, pendant que je retire ton joujou…".

La jeune secrétaire plaça donc entre ses cuisses une main qui s’agita frénétiquement. Ensuite, elle posa sa tête sur le bureau, dirigeant son visage rougit par ce quÉlodie estimait être un mélange de honte et de plaisir, vers la porte entrouverte. Par réflexe, Élodie s’écarta de l’embrasure. Elle avait le cur qui battait la chamade. Elle tentait de faire le moins de bruit possible, respirant lentement, de peur d’être surprise. Elle était paralysée par l’émotion, ne se risquant à aucun mouvement. Elle fut donc bien obligée d’entendre le feulement de Lydie, que finit par couvrir une voix masculine :

"- Et voilà tu es toute ouverte, maintenant… Mais rassure toi je vais vite remplacer ton jouet par quelque chose de disons… plus chaud. Tu aimes que je t’encule, ma belle salope ?

— Oui…

— Demande le moi.

— S’il vous plaît, monsieur " Souffla t-elle. "Sodomisez moi…"

Ca en était trop pour Élodie, qui glissant une main sous sa jupe, découvrit sa culotte complètement trempée. elle écarta le tissu avec empressement et enfonça sans attendre un doigt dans son vagin. Elle se doigta furieusement tout en écoutant le souffle saccadé de la secrétaire qui prouvait que M.Dugnat avait commencé son intromission. Élodie imaginait la main de Lydie s’agiter au même rythme que la sienne, ainsi que son visage de plus en plus rougi et crispé par un brassage de douleur et de plaisir. Bientôt, le souffle devint un halètement, le halètement des gémissements, les gémissements des véritables cris de plaisirs, sur lesquels se superposaient les claquements réguliers et de plus en plus rapides du ventre de M.Dugnat contre les fesses de son objet sexuel. Élodie se laissa glisser contre le mur jusqu’à se retrouver assise sur le sol, et poursuivit sa masturbation, en introduisant un deuxième doigt dans sa chatte. Elle avait la tête appuyée contre le mur, les yeux clos, la bouche légèrement entrouverte. Son autre main malaxait ses seins, étirait ses tétons dressés. Le caractère imprévu et insoupçonnable de la situation, ainsi que la soumission assumée de la secrétaire devant son vicieux supérieur, la rendait folle de désir et remplissait son esprit de fantasmes inavouables. Elle entendit M.Dugnat grogner :

" – Han…! Han…! Ça te plaît, ma grosse queue au fond de ton cul ? T’aimes ça, te faire défoncer à quatre pattes comme une bonne grosse chienne !

— Oh oui, monsieur, je suis votre chienne, je vous suis dévouée ! Ooh ! Enculez moi ! Défoncez moi !"

Ces mots eurent raison dÉlodie, elle eut un orgasme intense, se mordant les lèvres pour retenir ses cris.

Elle se laissa deux minutes pour récupérer, entendant le son des ébats que se poursuivit, et, après s’être remise debout discrètement, partit de la maison de presse le plus discrètement possible.

Et aujourd’hui, il semblait toujours se passer des choses pas très catholiques derrière cette porte. Elle distingua confusément un bruit de braguette que l’on referme, de cliquetis de ceinture. Puis elle entendit le rédacteur en chef se racler la gorge et l’inviter à entrer.

Elle poussa la porte, et vit M.Dugnat assis derrière son bureau, à coté de qui trônait Lydie dont le teint avait tourné au rosé lorsqu’elle croisa son regard avec celui dÉlodie. Son supérieur, lui, avait gardé son self control et restait imperturbable.

"- Bonjour, monsieur Dugnat". Introduisit Élodie.

"- Bonjour, Madame Maerte, comment allez vous ce matin ? Asseyez vous je vous en prie". Puis, s’adressant à Lydie :

"- Merci beaucoup, mademoiselle Merrill, je pense que vous avez bien saisi ce que j’attendais de vous concernant ce petit problème administratif."

"- Parfaitement, monsieur.

— Vous pouvez nous laisser. A tout à l’heure.

— A tout à l’heure, monsieur."

Elle se dirigea vers la sortie. Lorsqu’elle passa à hauteur à hauteur dÉlodie, cette dernière crût voir une sombre sur le col du chemisier de la secrétaire, même elle en était pas sûre. Elle quitta la pièce.

— "Je suis navrée si je vous ai dérangés." dit Élodie.

— "C’est sans importance", répondit M.Dugnat qui ne sembla pas relever le sous-entendu. "Pour tout vous avouer, j’ai oublié que je vous avais donné rendez-vous ce matin. Vous m’en voyez confus.

— Il n’y a pas de mal.

— Je vous avais promis un sujet de reportage pour vous seule, et je sais déjà que je ne le regretterai pas. En plus d’être une très belle femme, vous avez toujours manifesté une grande intelligence et avez fait preuve d’une vraie force de travail et d’un don pour la rédaction. Vos brèves sont toujours agréables à lire et vous arrivez à rendre n’importe quelle information, aussi insignifiante soit-elle, captivante. Depuis vote arrivée, jamais je n’ai eu à me plaindre de vous. Autant de qualités qui font que je peux aujourd’hui vous léguer plus de responsabilités."

Intérieurement, Élodie bondissait de joie. Qu’il était agréable que son travail soit reconnu à sa juste valeur par sa hiérarchie ! Elle s’efforça de contenir ses émotions et se contenta de le remercier en souriant.

M.Dugnat se leva, ouvrit une armoire remplie de dossier. Quel méli mélo ! Élodie se demandait comment quelqu’un pouvait s’y retrouver là dedans. Cependant, le rédacteur en chef tendit sa main sans hésiter vers un dossier violet. ("Ma couleur préférée", pensa Élodie. "De bonne augure !"). Il le posa sur la table après s’être rassit. Il l’ouvrit.

— "Voici votre sujet. Deux femmes, de 19 et 27 ans, ont disparues dans le quartier de la Brissandre. Elle n’ont aucun lien entre elles. Le lieu exact des disparitions est inconnu. Les événements ne se sont pas déroulés le même jour, et on ne sait pas si il s’agit de fugues, d’accidents ou d’enlèvements. La police aurait ouvert une enquête mais elle se refuse à laisser filtrer des informations. Voici pour le moment la somme de tous les éléments dont nous disposons. C’est à dire pas grand chose.

Il fixa Élodie.

— "Pour l’instant, aucun média n’a reporté ces événements, mais si lhypothèse des enlèvements était avérée, et qu’une nouvelle disparation se produisait, nul doute que ce sujet deviendrait aussitôt national. Nous allons nous en offrir l’exclusivité. Néanmoins, je ne veux pas d’imprudence de votre part : faites la pêche aux renseignements chez les riverains du quartier, observez les lieux, mais le plus discrètement possible : inutile qu’on sache que vous êtes journaliste, ou encore qu’on s’imagine que vous travaillez pour la police. Si vous mettez le doigt sur quelque chose de douteux, mettez entre parenthèses votre investigation jusqu’à ce que l’on prenne certaines précautions. C’est bien compris ?"

Il marqua un temps.

"- Je suis on ne peut plus sérieux."

La jeune rédactrice déglutit.

"- Oui, c’est bien compris, M.Dugnat."

Celui-ci afficha un large sourire :

"- Détendez vous voyons ! Il est probable qu’il ne s’agisse que de coïncidences. Je n’ai aucune inquiétude pour vous, mais je suis bien obligé de demander à chacun un peu de prudence. Je ne veux aucune prise de risque inutile, voilà tout. Notre devoir est de chercher et de relayer un maximum d’informations à nos lecteurs, mais pas n’importe comment."

Il quitta son fauteuil. Élodie en fit de même après avoir pris le dossier sous son bras.

"- Vous commencez à étudier le dossier immédiatement. Je vous laisse jusquà la fin de la semaine pour nous faire un beau sujet. Je vous laisse à votre travail."

Il tendit la main vers Élodie. Celle-ci la lui serra.

"- Merci de votre confiance.", dit-elle sincèrement.

"- Vous l’avez mérité", répondit M.Dugnat. "Je vous souhaite une bonne journée, Madame Maerte !"

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