"- Tout de même, avança monsieur Dugnat alors que la belle journaliste se rhabillait. Je suis curieux de savoir pourquoi vous tenez tant à faire disparaitre ce dossier."
Elodie remarqua que le tutoiement avait disparu, alors qu’elle venait de lui offrir ses trous comme un vide couille. Comme si de rien n’était.
"- Cessez de vous en faire pour ça, monsieur Dugnat" Lui répondit-elle. "Sachez simplement que je ne compte pas vous voler le sujet en faveur d’un autre média. Je n’ai aucunement l’intention de nuire à notre maison de presse."
Le rédacteur en chef, bien que circonspect, arrêta là son interrogatoire.
"- Je vais essayer de vous trouvez un autre sujet, dit-il avec un air de reproche. En espérant que vous le meniez au bout, cette fois-ci. En attendant, occupez votre journée comme vous le pouvez."
Elodie se dit qu’à son avis, son supérieur ne serait pas si fâché que ça si son prochain reportage se concluait de la même façon.
"- Merci, monsieur Dugnat. Passez une agréable journée."
Elle prit la direction de la sortie, l’estomac remplit de la semence de son rédacteur en chef.
Lorsqu’elle rentra chez elle le soir, ses traits étaient tirés, son maquillage avait coulé. Dans le métro, elle avait craqué. L’avenir qui lui était destiné, la pression des événements et la baise avec son supérieur qui la faisaient se sentir sale eurent raison de ses nerfs. Elle avait pleuré à chaudes larmes au milieu d’une foule de gens qui semblait pas se préoccuper de sa détresse. Seule une vieille dame, gentiment, lui avait demandé pourquoi elle était malheureuse, mais Elodie ne sut rien répondre.
Maintenant, elle avait besoin de son homme, de l’amour qu’elle portait pour lui et qu’il lui rendait.
Elle entendit en pénétrant dans l’appartement l’eau de la douche couler. Elle décida d’aller le rejoindre. En entrant dans la salle de bain elle s’exprima :
"- Bébé, ça te dérange pas si je te tiens compagnie sous la douche ?
— Bonjour mon ange ! Non, bien sûr, viens ! Tu as passé une bonne journée ?
— Oui." Répondit-elle en se déshabillant. "J’ai discuté avec M.Dugnat, aujourd’hui, il est d’accord pour me confier un autre reportage. J’en prendrai connaissance un de ces jours.
— Au fait, veux tu bien m’expliquer pourquoi tu arrêtes ton enquête si tôt ?
— Je te l’ai dit : je pense que le sujet ne vaut rien. Je suis même sûre qu’elles n’ont jamais posé un pied dans le quartier." Mentit-elle, presque automatiquement.
— "Ah…"
Elodie sentait le coté soupçonneux de la voix de son mari, mais heureusement celui-ci ne rajouta rien. Elle se mit sous la douche, l’enlaça et l’embrassa affectueusement. Ce simple geste, et la chaleur réconfortante de l’eau et du corps de son homme, la faisait se sentir tellement bien. Elle décida d’oublier toute cette histoire, ne serait-ce le temps d’une douche. Les doutes de Guillaume avaient l’air de s’être volatilisés, puisqu’il mit ses mains sur les hanches de sa femme et lui rendit son baiser.
"- Donne moi le gel douche et tourne toi." réclama Elodie une fois leurs lèvres séparées. "Je vais te savonner."
Ses mains, lubrifiées par le gel douche, glissèrent sur la musculature de Guillaume. Elle explora largement son corps, s’attardant généreusement sur ses abdos qu’elle affectionnait. Le simple fait d’avoir son corps nu à disposition contre le sien faisait monter en elle une chaleur, conséquence indirecte de l’énorme pression de son désormais quotidien. Elle plaqua son sexe contre les fesses de Guillaume, et balada ses mains autour de son pénis, sans toutefois le toucher. Elle soufflait d’excitation.
Son homme avait l’air d’apprécier aussi, puisque son sexe se dressa peu à peu. Elle prit la queue en mains et souffla à Guillaume :
"- Dis donc mon cochon… On dirait bien que je te fais de l’effet…!"
En réponse, celui-ci mit une main dans son dos pour réussir à trouver la chatte d’Elodie. Il y enfonça un doigt, déclenchant chez elle des soupirs de satisfaction. Elle était déjà bien mouillée. Il constata :
"- Je crois bien que moi aussi, je te fais de l’effet."
Il remua son doigt à l’intérieur, frottant sur les parois. Elle, secoua son engin. Bientôt, Guillaume lui déclara en se retournant :
"- A mon tour de te savonner." Et il mit une noisette de gel douche dans sa main.
"- Par contre, reprit-il. Je vais commencer par tes épaules, et ca serait plus facile pour moi que tu te mettes à genoux."
Amusée, Elodie s’exécuta, voyant où elle voulait en venir. Aussitôt, elle se retrouva en face d’un sexe bien dur. Elle le prit dans sa main, le souleva, et lui lécha les couilles, tandis qu’il la lavait. Elle prit une couille en bouche, l’aspira en buvant dessus. Ensuite, elle remonta jusqu’au gland et, souriante, le branla contre sa langue.
Guillaume, impatiemment, pressa sa nuque pour qu’elle le prenne en bouche. Pendant que sa femme gobait goulument son sexe, il savonna ses seins.
Elodie avait les yeux fermés, mais elle savait que son homme la regardait. Il aimait, de sa hauteur, la voir manipuler avec suavité sa queue. Consciente de cela, Elodie s’amusait à faire le show, pour l’exciter plus encore, exhibant exagérément sa langue en contact de sa bite, passant d’une technique à l’autre pour lui montrer toute sa palette de suceuse.
Au bout de quelques minutes, Guillaume lui demanda de se relever. Puis il lui dit :
"- Je vais te nettoyer une autre partie du corps, mais pour ça, je me passerai de savon."
Il l’adossa au carrelage mural de la douche, se mit à genoux à son tour et, lui soulevant un jambe pour poser sa cuisse sur son épaule, entreprit de la lécher.
Elodie profitait de la caresse buccale que lui offrait son mari, en passant une main dans ses cheveux. Elle sentait sa langue agile remuer entre ses lèvres, partir de son trou et faire pression jusqu’à son clito. Il recommença l’opération plusieurs fois, avant de s’attarder sur son clito gorgée de sang. Il y remua sa langue de gauche à droite puis, après l’avoir le lui avoir décalotté, suça son bouton.
Le plaisir commençait à envahir Elodie. Elle se cambra.
Guillaume pénétra Elodie avec sa langue, avalant sa cyprine. Elle plaqua la tête de son mari contre sa chatte, afin de sentir ce petit organe le plus profondément possible. Elle finit par le libérer, mais celui-ci n’en eut pas terminé : il lécha son clito en la doigtant. Il sortit ses doigts enduits de mouille, et en enfonça doucement un dans l’anus de la femme. son autre main s’occupa de son vagin, et sa langue était restée active.
Ces attouchements menaient Elodie vers la jouissance. Elle s’agitait de plus en plus, se plaignait fort… Cependant, elle ne parvint pas à jouir. Elle se rappela que Joris le lui avait interdit.
Elle se concentra sur le délicieux cunnilingus de son mari mais rien n’y fit : son orgasme ne venait pas.
"- Viens." Lui dit-elle. "Prends moi fort."
Guillaume obéit et la prit dans cette position. Elle mit ses mains autour de ses épaules, lui griffa le dos. Le plaisir était intense mais, lorsqu’elle pensait que la libération était proche, elle ne jouissait pas. Elle se frottait désespérément le clito, invitait Guillaume à la défoncer, sans succès.
Guillaume la pistonnait puissamment. Au bout de quelques minutes, il se retira, se masturba, et éjacula sur la cuisse de sa femme. Alors qu’elle pensait devoir récupérer tout le foutre de son mari pour le boire, l’eau de la douche l’évacua dans le siphon. Sauvée.
La soirée se passa normalement, mais elle resta frustrée toute la soirée.
La nuit, elle se réveilla, follement excitée. Par habitude, elle se masturba, enfonçant deux doigts dans sa chatte complètement trempée. Elle réessaya de se mener à l’orgasme. Ses gémissements lubriques réveillèrent Guillaume, qui découvrit sa femme en train de s’exciter au dernier degré, d’une façon très érotique. Cette l’image le fit bander, et il se masturba à quelques centimètres de son visage, lui donnant de temps à autres ses couilles à bouffer, son gland à lécher, et sa queue à sucer. Tandis qu’Elodie continuait à se fouiller la chatte, il fit courir sa queue le long des lèvres entrouvertes de la belle, sans la rentrer dans sa bouche. Il s’en servait ainsi pour se masturber, et Elodie appuyait sa langue contre le morceau de chair pour lui faire le plus de bien possible.
Au bout d’un moment, Guillaume enfonça sa queue dans la bouche de sa femme, et après quelques allers-retours, éjacula. Elodie arrêta de se doigter pour prendre sa bite dans ses mains et fit pression pour récupérer les dernières gouttes de sperme. Ensuite, la queue toujours plantée dans sa bouche, elle le nettoya et avala tout précautionneusement.
Consciente qu’elle n’aurait pas son orgasme, elle prétendit être trop fatiguée pour l’obtenir et refusa même que son mari la lèche.
Elle se blottit dans ses bras, et tenta de s’endormir. Elle n’y parvint qu’au bout d’une heure.
Il était 18h00. Elle se trouvait là où tout avait commencé. Où sa vie avait commencé à basculer.
Plantée devant la brasserie où elle avait rencontré Dominique, elle songeait à la discussion qu’ils eurent ce midi là. Comment n’avait-elle pas pu être plus méfiante ? Sa naïveté lui coûte très cher… Il faut dire que le discours de son kidnappeur était bien rodé, pour une simple improvisation, et qu’elle devait reconnaitre qu’il jouait très bien la comédie. L’aplomb dont il avait fait preuve avait amené Elodie à baisser sa garde. En y réfléchissant, elle se dit qu’elle s’était condamnée en sortant sa carte de presse. Un nom, un prénom, une signature. Bien plus qu’il n’en faut, elle supposait, pour être retrouvée par un groupe mafieux qui s’en donne les moyens. Sans doute aurait-elle reçu une visite à son domicile si elle avait refusé de monter dans la voiture du "détective".
Elodie réalisa que le prix a payé n’aurait, alors, peut être pas été préférable. Cela aurait possiblement entraîné sa propre mort… Ainsi que celle de son mari. Elle eut des sueurs froides en y songeant.
Elle essaya de penser à autre chose, se disant que de toute façon elle ne pouvait plus revenir en arrière. Plus facile à dire qu’à faire.
Elle se concentra sur la journée qu’elle venait de passer, et se satisfaisait qu’en apparence, M.Dugnat ne la traite pas différemment malgré ce qui s’était passé la veille dans son bureau. Il n’avait fait aucune allusion, ni gestes déplacés, et n’était pas revenu à la charge malgré ses craintes. Elodie médita sur le fait qu’il avait déjà une secrétaire qui dépassait ses fonctions.
Le bruit d’une voiture qui stoppait sa course devant elle la tira de ses pensées. C’était la voiture aux vitres teintées de Dominique. Elle ouvrit la portière arrière. Une voix grave lui somma :
"- Non. Tu montes devant."
Elle s’installa alors à la place du mort. Dominique était derrière le volant. Il lui demanda :
"- Alors ? Comment s’est passée ta journée d’hier ?
— Vas te faire foutre."
Dominique la dévisagea, interloqué. Elodie se dit qu’un homme comme lui ne devait pas avoir l’habitude qu’on lui tienne tête, et qu’elle ne devrait pas jouer avec le feu, mais elle méprisait profondément ce type. Furibond, celui-ci répliqua :
"- Tu serais n’importe quelle autre pute, je t’aurais cognée. Tu as de la chance que tu doives rentrer chez toi tout à l’heure et que je ne puisse pas laisser de marque sur ta jolie gueule. Par contre tu vas me montrer un petit peu plus de respect. A partir de maintenant, tu me vouvoies et tu m’appelles Monsieur. Et quand je te donne un ordre, tu me réponds. C’est bien compris ?!"
Il affichait un sourire triomphant.
"- C’est bien compris, mais allez vous faire foutre, Monsieur."
Le sourire de Dominique disparu, contrastant avec celui insolent d’Elodie. Furieux, il enclencha le contact, mit la première et rétorqua :
"-Rira bien qui rira le dernier ! Au fait, j’ai oublié le bandeau que tu devais te mettre sur les yeux pour que tu ne connaisses pas la direction de la base. Mais rassure toi, j’ai une autre idée pour être sûr que tu ne regardes pas la route : tu vas me faire une bonne turlutte sur le trajet.
— Oui, monsieur."
Furibonde, elle se pencha vers la braguette de ce rustre, qu’elle descendit. Elle suça sa bite hâtivement, bien décidée à en finir au plus vite. Dominique savourait ce moment :
"- Aha tu es moins bavarde tout à coup !" Railla t-il. "Je te préfère ainsi : obéissante comme une bonne chienne."
Elodie enrageait. Elle attrapa le pénis à sa base et le palucha vivement, en secouant sa langue sur le gland qu’elle avait englobé de sa bouche.
"- Sois plus douce, espèce de salope."
Elle relâcha le gland et prononça un "Bien, monsieur", avant de reprendre le dard plus délicatement. Elle se sentait humiliée.
Durant tout le trajet, Dominique, bien que concentré sur la route, s’amusa à donner des instructions à Elodie, moins pour le bien être qu’elle lui procurait que pour se divertir à la voir servilement répondre à tous ces caprices. Au bout d’un certain temps, il lui dit :
"- Accélère tes mouvements. Je vais bientôt jouir et tu vas tout avaler."
Elodie n’avait pas besoin qu’il renouvelle l’ordre donné par Joris pour qu’elle avale, mais le fait qu’il l’aie souligné la rabaissa un peu plus encore.
"- Bien monsieur."
Sa bouche allait rapidement sur la tige. Elle devinait les tressautements de la queue sur sa langue. Elle sentit ensuite plusieurs jets s’écraser sur son palais. Elle avala tout et pris soin de bien nettoyer le sexe. Une fois certaine de n’avoir rien laissé, elle esquissa le geste de se redresser.
"-Tu finis le trajet avec ma queue dans la bouche." Dit sèchement Dominique.
Elle termina le parcours ainsi, ridicule avec une bite qu’elle sentait débander petit à petit dans sa cavité buccale. Elle ne voyait ni la route, ni son maître, et n’avait comme seules sensations celui d’un corps flasque ballotant au gré des virages dans sa bouche, ainsi que l’odeur de sexe qui émanait du boxer. Finalement, il lui dit :
"- Tu peux arrêter de me happer la bite, petite chienne : on est arrivés."