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Emilie jolie – Chapitre 1

Emilie jolie - Chapitre 1



Je m’appelle Emilie Jolie

Enfin, c’est comme ça que beaucoup de gens m’appellent, car d’après les dires, je suis une jolie femme.

L’histoire que je vais vous raconter commence un jour durant ma 22ème année, Raphaëlle, ma meilleure amie depuis toujours, m’avait invitée à son mariage. Nos parents avaient été voisins pendant très longtemps et nos mère ont été enceintes en même temps, elles ont donc échangé les informations et les vécus de grossesses. Nous sommes nées à 2 jours d’écart seulement. Autant vous dire que ça rapproche bien.

Raphaëlle a un frère, Stéphane, qui a 2 ans de moins que nous. Il n’arrivait pas à dire mon nom et m’a longtemps appelée Mimilie quand il était petit, ce qui ne cessait de me faire enrager. Il a fini par réussir à le dire correctement, cependant, quand il voulait me faire réagir, il revenait à Mimilie.

Pourquoi ça me faisait enrager, parce que j’avais un oncle qui s’appelait Camille, mais que tout le monde appelait Mimile. Il me faisait peur, il était très grand, pour une petite fille, et il avait une grosse voix qui effrayait.

Bref, vous avez compris, je n’aime pas le surnom Mimilie.

Revenons-en à mon histoire, le mariage de ma meilleure amie. Ses parents avaient dû déménager quand nous avions 14 ans, nous nous étions revues lors de vacances et à quelques autres occasions, mais je n’avais pas revu son frère depuis 8 ans. En début d’année, elle m’annonça son mariage pour le mois de juillet dans un village des Alpes. J’étais super contente, car elle me demanda d’être son témoin.

Quand arriva la date de son mariage, je venais de rompre avec mon copain. Ce salop me trompait allègrement, tout en me promettant fidélité éternelle les rares fois où nous arrivions à faire l’amour. Autant vous dire qu’il a dégagé vite fait.

Du coup, pour le mariage, j’étais célibataire, j’allais donc seule au mariage, tant mieux, je n’aurais personne pour m’embêter et contrôler ce que je ferais. Je sus que le futur aurait deux témoins, elle avait dû en choisir un autre quelques jours avant le mariage. Je ne savais pas qui serait le second, elle ne voulut rien me le dire. Bah, pas grave, je verrais en arrivant.

Pour diverses raisons, je n’avais pas pu réserver d’hôtel sur place et devais arriver après mes parents. Aussi, avais-je demandé à mon père de me prêter son camping-car. Comme ça, encore une raison d’être tranquille et de pouvoir faire ce que je voudrais, pas besoin de prendre le volant pour rentrer. Oui, j’avais l’intention de me prendre une cuite, quoi, vous n’aviez pas encore compris ? J’allais arroser mon célibat d’avec l’autre con.

Trois jours avant le mariage, j’arrivais en fin de journée sur le lieu de la fête, je planquais mon camping-car à l’écart du parking principal, dans un coin arboré, pour avoir de l’ombre, et je m’installais un campement sympa. Je me fis un repas rapide et allais m’allonger pour lire. Bien qu’ayant tout le confort, télé, lecteur de DVD, satellite avec plein de chaînes à regarder, je préférais lire, c’est plus reposant.

La journée de conduite fut longue, je me couchais tôt car le lendemain, les préparatifs allaient occuper une partie de la journée. En plus, le soir, on enterrions la vie de jeune fille de mon amie. Ça promettait, je savais qui avait organisé la soirée, ça allait être chip and dale, strip-tease masculins, beaux mecs et tout le toutim. Pour une célibataire comme moi, de quoi craquer sur ces corps masculins sexys.

La nuit se passa bien, je me réveillais avec les chants des oiseaux, douche de bateau, en économisant l’eau au maximum, et j’enfilais une tenue légère, débardeur et jupe courte, pour prendre mon petit déjeuner. Quel bonheur, le village est à 1000m d’altitude, pas trop chaud, c’était génial. Une fois mon petit déjeuner terminé, je fis la vaisselle et comme il était encore tôt, je partis faire un tour dans le village, faire quelques courses pour avoir des produits frais. Nous avions rendez-vous à 10h pour les préparatifs de la salle des fêtes.

De retour de mes courses, je rangeais tout, je passais un short et un t-shirt pour aller préparer la salle avec mon amie et d’autres personnes.

À 10h, personne n’était là sauf Raphaëlle et son père, Jean. Ils faisaient la gueule, plein de promesses et personne au rendez-vous. Surtout, aucun garçon pour porter les choses lourdes. Oui les mecs, ne me dites pas que vous n’aimez pas rouler des muscles devant les filles je n’y croirais pas.

Salut ma belle, me dit Raphaëlle en me faisant la bise. C’est toujours les vrais amis qui sont là quand on en a besoin, ajouta-t-elle en faisant un clin d’il.

Bonjour Émilie, dit son père en me faisant la bise à son tour.

Bonjour ma chérie, bonjour Jean, répondis-je en retour. Bon, quel est le programme ?

Je vais commencer par ranger quelques trucs en attendant les muscles des garçons qui doivent arriver, expliqua Jean, vous commencez les décorations en attendant.

Ainsi fut dit, ainsi fut fait. Les renforts commencèrent à arriver au compte goutte avec une demi-heure de retard minimum. Le seul qui avait une excuse, c’était Antoine, le futur marié, il était parti à 6h chercher du matériel de son avec le fourgon de Jean et il avait dû attendre lui aussi.

C’était parti, tout le monde s’affairait à installer, décorer, courir après les outils empruntés et partis on ne sait où. Bref une super journée bricolage et amusement coupée par une pose repas préparé par Julie, la mère de Raph.

Le soir, les tables installées, les décorations en place, tout était prêt. Demain, nous pourrions cuver de notre soirée, rien de spécial à faire et après-demain, le grand raout.

La soirée d’enterrement de vie de jeune fille de Raph fut fabuleuse. La future mariée était charriée par toutes les copines, elle était la première de la bande à se marier. Moi j’avais mouillé mon string toute la soirée à voir ces corps masculins tous plus beau les uns que les autres. Nous rentrâmes joyeuses et bien éméchée chez nous.

Quand je rejoignis mon camping-car, j’étais tellement chaude que je m’installai sur mon transat, après avoir récupéré mon jouet vibrant, et me donnais un orgasme afin de pouvoir dormir sans être trop en manque. Mais décidément, rien ne vaut une bonne queue bien vivante et bien utilisée. Mine de rien, il me manquait un peu pour baiser, l’autre con, bien que nous ne faisions plus beaucoup l’amour, il savait se servir de sa bite. Chaque fois que nous baisions, il me faisait grimper aux rideaux 2 ou 3 fois.

La nuit se termina bien sagement et je me réveillais juste à temps pour aller prendre le déjeuner chez Raph et ses parents. Encore ce jour là, aucune trace de son frère. J’appris qu’il était en stage et n’avait pas eu de jours de repos. En demandant à Raph, elle me dit qu’il devait arriver le lendemain, pour la cérémonie.

Après-midi piscine et jeux avec les divers membres des familles des mariés qui étaient déjà arrivés, puis soirée plus calme. Tous ceux qui devaient arriver ce jour là l’étaient et chacun se préparait à passer une nuit reposante pour être prêt pour la bringue de la nuit suivante.

Pour me préparer, je passais par la chambre d’hôtel de mes parents, la douche bateau c’est bien pour les jours ordinaires, mais pas pour passer du temps à se faire belle. Passage chez le coiffeur avec la mariée, puis maquillage et enfin l’enfilage de robe. J’avais choisi une robe en soie assez simple mais mettant bien en valeur mon corps de sportive. Pas de soutien-gorge à cause du dos nus avec juste 2 bretelles qui se croisaient entre mes omoplates, un string invisible pour ne pas avoir le relief avec la robe, chaussures à talons moyens assorties à la robe et confortables pour danser. J’adore danser mais ne suis pas très douée pour les danses de salon.

Nous nous rendîmes à la mairie, qui était à 2 pas de l’hôtel, à pieds. L’avantage des villages pas trop grand, c’est que tout est à proximité. En arrivant, nous vîme la mariée, elle était magnifique dans sa robe de mariée crème. Le marié était déjà dans la mairie et nous suivîmes pour procéder à la partie civile de la cérémonie.

Quelle ne fut pas ma surprises, quand en rentrant je vis un garçon de plus d’un mètre quatre vingt-dix qui me disait quelque chose. Avec mes talons, j’arrivais à peine à sa poitrine. C’était Stéphane, le frère de Raph. Où était était passé le gringalet tout maigrichon que je connaissais ? J’avais en face de moi un colosse musclé et charmant. Je sentis mon minou s’humidifier en le voyant. Moi qui n’avais jamais pu le supporter étant gamins, me voilà à m’imaginer faire des choses avec lui au lieu de penser au mariage de ma meilleure amie.

Il me fit la bise en me gratifiant d’un :

Bonjour Émilie jolie, tu n’as jamais autant mérité ton surnom qu’aujourd’hui. Tu es tellement jolie que tu en éclipserais presque la mariée, ajouta-t-il de façon à ce que je fus la seule à entendre et en glissant une main sur mes fesses.

Au lieu de m’offusquer et d’enlever sa main, je me sentis rougir et un torrent tremper mon string. Je devrais passer d’urgence par les toilettes avant d’aller à l’église. Il m’accompagna pour rejoindre les mariés en remontant un peu sa main de façon à ce qu’elle ne fut pas placée à un endroit indécent. C’était donc lui le second témoin de Raph.

Je vous passe les cérémonies : Bla bla bla, oui, bla bla bla, oui félicitations et soyez heureux

Dès que je pouvais, je regardais Stéphane, qui ne semblait pas beaucoup plus attentif aux cérémonies que moi.

Lors du lancer de bouquet, j’étais tellement ailleurs que je le reçus sur la tête. Ça fit bien rire tout le monde. Surtout Stéphane qui me gratifia d’un :

Attention, Mimilie, tu es encore dans la lune !

Raph arriva en riant et prit ma défense en me faisant la bise, puis nous rejoignîmes le lieu de la suite de la fête.

Je n’avais pas participé à la mise en place des tables, mais en toute logique, je me retrouvais à celle des mariés, avec comme cavalier Stéphane. J’avais appris lors de l’apéritif qu’il était lui aussi célibataire, son ex ayant trouvé qu’il était trop demandeur et qu’elle n’était pas très portée sur la gaudriole.

L’affreux gamin, limite délinquant, que j’avais laissé il y a des années était devenu un apollon. Il pratiquait les arts martiaux à haut niveau, champion d’Europe universitaire, et était en train de se former pour les enseigner. Je savais déjà qu’il était en école d’ingénieur et qu’il réussissait bien et s’était assagi. Mais je ne pensais pas à ce point !

Nous passâmes une partie de la soirée à discuter et danser, Stéphane et moi, si bien qu’à un moment, Raph dut presque m’arracher de ses bras pour pouvoir passer un peu de temps avec moi.

Il te fait de l’effet ? me dit-elle en riant.

Qui ? répondis-je sans comprendre sur le coup.

Mon frère, idiote

Je piquai un fard et répondis en bégayant :

Oui… euh… non… enfin… si, il a tellement changé.

Nous partîmes dans un fou rire et retournâmes à la table pour nous calmer avec un peu de champagne.

Pendant ce temps là, Stéphane put s’occuper de faire danser plusieurs personnes qui n’attendaient que ça. Il était excellent danseur, et l’est toujours, d’ailleurs. Chaque fois que j’étais dans ses bras, j’avais l’impression de savoir danser toutes les danses alors que ce n’était pas le cas.

L’un des meilleurs moment de la soirée fut la partie zouk, Stéphane revint me chercher pour danser avec moi. Il se frotta à moi tant et si bien qu’à la fin, je sentais bien son érection et que j’étais heureuse d’avoir une robe longue, car je sentais mon jus couler le long de mes cuisses. Nous fûmes applaudis par toute l’assemblée quand nous sortîmes prendre l’air. Nous nous éloignâmes un peu des fumeurs, dans un coin pas trop éclairé. Arrivés dans ce coin, Stéphane m’enlaça et m’embrassa en me disant :

J’en rêvais depuis que je t’ai vue entrer dans la salle de la mairie, Mimilie chérie

Je répondis à son baiser avec gourmandise, il savait très bien faire. Mais je lui mordis un peu la lèvre en vengeance :

M’appelle pas comme ça, sale gamin, lui répondis-je avant de l’embrasser à mon tour.

Je ne sais pas combien de temps nous avons passé à nous embrasser, mais toujours était-il que je sentais dans son pantalon un membre qui me faisait envie, à tel point que je relâchai mon étreinte sur Stéphane et l’entraînai vers mon campement.

Nous entrâmes dans le camping-car en nous embrassant et en quittant nos vêtements tout en allant vers le lit. Je le poussai sur le lit et en profitai pour gober son membre gonflé de désir pour moi. Quelle belle bite il avait, et quel bonheur de la sucer. J’entrepris de le sucer sur toute sa longueur, alternant léchouilles des couilles, succions et jeux de langues sur son gland. Je m’appliquais comme si ma vie en dépendait et adorais le sentir palpiter dans ma bouche.

Il m’arracha à son membre en me disant :

Pas si vite ma belle, nous avons le temps

Tu as bon goût, lui dis-je en remontant l’embrasser.

À mon tour de te montrer ce que je fais avec ma langue ajouta-t-il en m’allongeant à sa place et descendant du lit pour entreprendre un cunni de premier ordre.

Il me léchait ma fente dégoulinante de mon jus en changeant de rythme, jouait avec mon bouton en feu, mordillait mes lèvres et plongeait sa langue dans mon vagin pour en extraire encore plus de jus. Il avait à peine commencé que je jouis dans un long feulement. J’étais excitée depuis des heures et me retrouver là m’avait fait un effet tel que je ne l’avais jamais vécu auparavant. Il attendit que je me calme avant de reprendre son travail de léchage. Il dégustait mon jus en connaisseur aurais-je dit.

Après m’avoir fait jouir une autre fois, il remonta sur le lit pour m’embrasser et en profita pour me pénétrer de son membre viril qu’il avait habillé d’un chapeau en latex. Oh quel bonheur ! Il me remplissait comme jamais je ne l’avais vécu. À croire que sa bite était taillée sur mesure pour mon vagin. Et en plus il savait s’en servir, un coup pénétrations profondes, puis en jouant de son gland sur les lèvres de mon sexe et mon clitoris, alternant rythmes rapide et plus lents un artiste du sexe. Il me fit jouir encore une fois et accéléra le rythme en remplissant le préservatif de son sperme.

Il roula sur le côté du lit et m’enlaça pour m’embrasser.

Emilie Jolie, je t’aime ma chérie. Quand je t’ai vue entrer dans la salle de la mairie, j’ai failli oublier pourquoi j’étais là, il n’y avait plus que toi et moi dans cette salle.

Moi aussi, quand je t’ai vu en rentrant, je me suis sentie fondre. Tu as tellement changé depuis toutes ces années, envolé le sale gamin, envolé le gringalet. Je t’aime aussi, répondis-je en l’embrassant encore une fois.

Nous avons continué à nous bécoter encore un moment avant de nous relever et de nous rhabiller après une rapide toilette intime. Nous devions retourner au mariage. Quelle excellente idée j’avais eu de prendre le camping-car et de me garer ici.

Nous retournâmes à la salle des fêtes en nous embrassant presque tous les mètres. Le trajet pris du temps. En arrivant, Raph venait de sortir et regardait partout quand elle nous aperçut :

Ah, vous êtes là, ça fait une heure que je vous cherche, c’est le moment de la rétrospective.

Voyant que nous nous tenions par la main, elle ajouta en souriant :

Quelque chose me dit que vous avez exploré des territoires inconnus vous deux Heureusement qu’Émilie a garé le camping-car pas loin…

Stéphane la regarda en souriant, lui fit un clin d’il et m’attira pour m’embrasser encore sous le regard heureux de Raph. Puis nous rentrâmes tous les trois en souriant pour aller faire la rétrospective des mariés.

La conclusion de ce mariage magique, c’est qu’un an plus tard, nous étions encore réunis, pour célébrer notre mariage à Stéphane et moi. Raph et Antoine étaient jeunes parents et très heureux de venir montrer leur progéniture au monde.

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