Je vous ai raconté mes orgies à six, nous, trois grands pères, et nos trois petites filles que l’on s’échange, que l’on s’offre, pour leur plus grand plaisir. Il y avait Anne-Laure, ma petite fille, et Vanessa et Emma les petites filles de mes deux complices trouvés sur internet.
J’ai passé une chaude nuit avec Emma, une jeune et ravissante blackesse de vingt ans. Elle m’a avoué son fantasme de sucer un chien, et pourquoi pas se faire saillir. L’idée me trotte dans la tête, et j’aimerai lui faire concrétiser son rêve.
J’habite au pied de la montagne, vais régulièrement dans les stations, et ai lié connaissance avec Stéphanie, une belle plante de quarante-trois ans, et dont l’activité est de proposer des ballades en traineaux tirés par des chiens, en hiver, et d’autres activités en été, toujours avec les chiens. Elle possède trois attelages, soit une bonne vingtaine de bêtes, des mâles pour la plus grande majorité. .
Elle vit seule et je me suis toujours demandé si elle baisait avec ses chiens, sans doute parce que je suis un pervers, mais pour en avoir discuté avec d’autres mecs je ne suis pas le seul à me poser la question.
Je me décide à l’appeler pour lui dire que je recherche des chiens habitués à des relations avec des humains, pour satisfaire une de mes copines. Je lui demande si ses gros toutous pourraient faire l’affaire, ou si elle a un tuyau à m’indiquer.
Elle est perplexe, s’interroge sur le sérieux de ma demande, me soupçonne d’inventer un truc pour connaître le vrai sur la rumeur qui court sur elle et qu’elle connait.
Je lui jure que je n’ai jamais été aussi sérieux, lui vante la beauté et les talents d’Emma, et pour finir de la convaincre, cerise sur le gâteau, lui dit qu’elle aime aussi les femmes.
Elle se livre alors à moi sans pudeur, m’avoue que ses chiens sont tous habitués, du premier au dernier, à ce genre d’exercice, et qu’ils sont de très bons queutards.
Je la remercie, et lui dis que je la rappelle après avoir contacter ma jeune petite coquine.
J’appelle Emma, un peu inquiet de sa réaction, mais elle me rassure d’entrée. Elle est cent pour cent partante et viendra passer quelques jours chez moi lors des prochaines vacances scolaires.
Je rappelle Stéphanie et l’affaire est entendue.
Trois semaines se sont passées et le jour J arrive. Je vais chercher Emma à la gare, au train de
vingt-deux heures du vendredi. Elle me saute au cou et on se roule une chaude pelle, se foutant complet du regard incrédule des gens voyant une jeune et un vieux aussi intimement soudés l’un à l’autre.
On est dans la voiture, on prend des nouvelles l’un de l’autre, on se raconte nos expériences sexuelles. Je lui dis que je fornique toujours avec ma petite fille, mais qu’elle est rentrée chez elle pour les vacances. En ce qui la concerne, elle se fait toujours mettre par son papy, sauf que les séances ont pris une autre tournure. Depuis notre partie à six il sait qu’il peut l’enculer, lui planter son gros boudin ébène de 23×5,3 dans le fion, et il ne pense plus qu’à ça. Elle ne s’en plaint pas, adore cette incroyable sodomie, mais regrette toutefois qu’il délaisse souvent sa chatte qui se trouve en jachère. Elle compte sur moi pour labourer son sillon, l’ensemencer.
J’ai reçu sa demande cinq sur cinq, et lui jure de ne pas la décevoir.
On arrive chez moi, on a déjà diner tous les deux, et on va à la chambre sans perdre de temps. On est à poil en quelques secondes, et elle s’allonge sur le dos, jambes écartées, ouverte, offerte. Je suis à quatre pattes et enfouis ma gueule entre ses cuisses. Je soude mes lèvres aux siennes, petites et grandes, sans risque de bouffer du poil puisqu’elle est toute rasée, parfaitement lisse. Je glisse ma langue dans son vagin qui suinte, lèche ses parois, m’enivre de ses premières sécrétions de plaisir.
Je me recule pour admirer son sexe sublime. Je l’ouvre, le met à plat comme une escalope à la crème. C’est divin: son intérieur tout rose, son extérieur tout noir, on dirait un succulent dessert fraise chocolat, et que j’espère napper de sa chantilly que je vais faire couler en abondance.
Elle est effectivement en manque, et le moindre de mes baiser, la moindre de mes léchouilles, la font jouir. Elle enchaine orgasme sur orgasme, mais en veut plus:
— Baise moi, baise moi, j’ai envie de ta queue. Prends moi, comme tu prends ta petite fille, pense à elle si tu veux, je m’en fous, pourvu que tu me baises.
Je viens aussitôt sur elle, la bite bien raide, et je m’emboite comme un rien dans sa fente accueillante:
— Oh! Emma! Putain, que tu es bonne. Je vais te baiser ma chérie, mais je peux te dire que c’est à toi que je vais penser, et pas à Anne-Laure. En musique il parait qu’une blanche vaut deux noires, mais pour moi, en amour, tu vaux deux blanches.
— Je dois le prendre pour un compliment?
— Mais bien sûr ma puce, tu es la plus belle de toutes, la plus désirable, la plus bandante.
Je m’applique à bien l’aimer, écoute ses encouragements, ses conseils, pour la prendre plus fort, plus vite, plus loin, mais aussi s’offrir quelques coulissages plus tendres. Je l’honore pendant de longues minutes, puis sens ma sève qui monte:
— Oh Emma, je vais jouir, tu es trop bonne ma petite salope…
— Non, pas déjà, on vient de commencer.
— Désolé, mais tu m’excites trop, ça vient.
— Ok, vide toi les couilles, mais tu n’as pas intérêt à débander. Baise moi, baise moi encore, et tu auras peut-être une récompense!.
— Et c’est quoi?
— Je n’ai pas fait pipi depuis ce matin, exprès pour toi. Je pourrais t’offrir à boire, mais il faut le mériter.
— Tu sais que j’aime ça, petite vicieuse.
— Oui gros cochon, et moi j’aime tes coups de queue. Continue, c’est bon, je la sens bien ta grosse bite bien dure.
Tout en discutant on continue à baiser, j’ai éjaculé longuement dans son ventre, je la lime toujours et je me surprends à bander encore. Ma trique ne va pas défaillir, mais ce sont mes reins et mes jambes qui faiblissent. Je la préviens, me retire, m’allonge sur le dos, et elle s’empresse de venir sur moi et de remettre mon sexe bien au chaud dans le sien affamé.
Elle me chevauche à cadence soutenue, fait du yoyo sur ma colonne, tripote son clito, se branle sauvagement. Elle gémit, tout comme moi, elle crie, elle miaule, elle jouit, jouit, jouit encore.
Je la regarde faire, émerveillé de sa beauté, de ses beaux seins qui sautent dans tous les sens, de sa langue bien rose qui pourlèche sensuellement ses lèvres noires.
Je la sens dégouliner, j’entends le clapotis bruyant de son vagin inondé qui coulisse sur mon pieu. Elle y met de plus en plus d’ardeur, toute l’énergie de ses vingt ans, si bien que de temps en temps mon sexe s’échappe de son orifice et qu’elle s’empresse de le remettre en place.
Je vais jouir à nouveau, et elle redouble d’activité. Je décharge, j’éjacule, finis de la remplir d’une bonne deuxième couche. Elle attend que j’ai terminé, se calme, puis vient s’allonger sur moi, épuisée, satisfaite. On est en sueur, collés l’un à l’autre, et on se bouffe tendrement la poire.
Elle me dit que j’ai mérité ma récompense, mais avant ça j’aimerais bien que l’on se nettoie. Elle se redresse, se décolle pour libérer ma bite toute molle, et attend quelques instants, que sa chatte se vide de mes offrandes. J’ai le bas ventre, le manche, les couilles, recouverts de mouille et de foutre, et elle vient sur moi en 69. Elle bouffe tout ce qu’elle peut, et je m’empiffre de ses cuisses et de son huître dégoulinants de cyprine et de sperme.
Elle n’en peut plus de se retenir de pisser, et on va à la salle de bain.
On est à la douche, elle pose un pied sur le robinet pour s’ouvrir en grand, et je m’agenouille, la gueule grande ouverte, tout près de sa chatte adorée. Elle urine à jet dru et continu, j’en ai plein la bouche, ça déborde et je me caresse pour tout étaler sur mon corps. Je lui fais signe d’arrêter, elle stoppe, j’ai son urine plein la gueule, elle est encore un peu forte mais tant pis; je veux la boire. Je ferme la bouche et j’avale tout. Le plus dur est fait, et je vais continuer sans problème. Elle se remet à pisser direct dans ma gorge, je remonte son jet doré, soude mes lèvres aux siennes, et vais m’abreuver à sa source, en veillant à ne rien laisser perdre.
Elle m’a tout donné, je me relève et on se roule des pelles goulues.
On prend une douche, et on se couche, à poil.
On baise deux fois dans la nuit, sachant que le lendemain on fera abstinence toute la journée.
Elle n’a jamais été à la montagne et on va y partir de bonne heure pour qu’elle en profite. On va passer une journée sympa, on l’espère. Stéphanie va être occupée jusqu’à dix-huit heures avec ses activités, il faut ensuite qu’elle soigne ses chiens, aidée de ses deux salariés. Ils quittent vers vingt heures, et on a prévu de la rejoindre à vingt et une heure, pour une longue soirée zoophile dédiée principalement à ma belle petite salope qui attend ce moment avec impatience.
A suivre…