Je trouve qu’il est plus agréable de s’imaginer des protagonistes en s’inspirant de personnes réelles permettant ainsi, de se les représenter facilement. Voici donc celles qui m’ont inspiré pour mes personnages :
Jeanne : Connie Britton.
Katherine : Natalie Portman.
Emma : Elle Fanning.
J’espère que ma toute première histoire vous plaira, bonne lecture.
« Installe-toi Jeanne et mets-toi à l’aise. » Comme à son habitude c’est tout sourire que ma thérapeute m’accueille et m’invite à m’asseoir sur le divan (et non pas à m’allonger contrairement aux clichés). Je suis à 43 ans une femme mariée, mère de deux filles (Claire, mon aînée et Emma ma cadette de cinq ans plus jeune) avec une vie des plus paisibles et des plus comblées, autant dire que je ne pensais pas un jour avoir besoin de consulter ce genre de… "spécialiste". Mais la vie réservant bien des surprises parfois me revoici comme tous les jeudis depuis déjà quatre semaines dans ce cabinet, assise sur ce divan. Et comme tous les jeudis je m’apprête à me livrer sans retenue et à confier à Katherine (ma thérapeute) des choses que je n’oserais jamais dire à personne d’autre.
Il faut dire que son sens du contact aide grandement les gens à se mettre à l’aise et à se confier. C’est elle d’ailleurs qui, dès la première séance avait beaucoup insisté pour que nous nous tutoyons ce que je trouvais parfait tant il m’aurait paru étrange de vouvoyer une femme de presque 15 ans plus jeune que moi. Fraichement diplômée, cette petite brune de 29 ans aux cheveux mi-longs ne doit pas mesurer plus d’1m65. Plutôt bien foutu, on l’aurait certainement plus destiné à finir en mannequin qu’en psychothérapeute. Quant à moi, le terme le plus à même de me définir physiquement serait "MILF" (c’est ce que disent les jeunes je crois). Même en ayant dépassé (de peu) les 40 ans mon 90 D-60-90 fait toujours son petit effet. « Comment vas-tu cette semaine Jeanne ? me demande-t-elle toujours avec ce même sourire chaleureux.
Bien, bien, je… je te remercie.
Bien, vraiment ? C’est étrange tu m’as l’air quelque peu préoccupé, es-tu sûre de n’avoir rien à me dire ? Encore un rêve peut-être ? »
Rhaaaaalala ! Cette Katherine doit avoir une sorte de sixième sens ou je ne sais quoi, impossible de lui cacher quoi que ce soit. M’enfin bon, c’est un peu son job aussi… « Eh bien oui en effet j’ai… J’ai encore fait un rêve.
Oh… Encore un ? me répond Katherine. Qui était-ce cette fois ? L’aînée ou la cadette ?
M… ma cadette, Emma. Mais je… je ne sais pas si j’aurais la force de… celui-ci était vraiment… » Je marque une pause le temps de chercher un mot approprié. « Différent. »
Comme à son habitude Katherine me fixe longuement en silence et finit par dire d’un air pensif : « Hum, différent… différent comment ? Je veux dire, sur une échelle d’érotisme de 1 à 10 combien lui donnerais-tu ? »
Je me mets à rougir et réponds : « C… cette fois-ci je… je ne crois pas que le terme "érotique" soit suffisant pour… pour décrire mon rêve.
Eh bien alors, il n’en sera que plus intéressant à analyser, n’est-ce pas ? » me répond Katherine, alors que sur son visage se fend un large sourire. Toujours en souriant, elle s’assied dans son fauteuil, met en marche la caméra dont elle a l’habitude de se servir pour filmer nos séances et me demande de lui décrire mon rêve. Je suis d’ordinaire assez hésitante à raconter ces rêves où je suis avec mes filles et cette fois-ci c’est encore pire. J’essaye de gagner du temps, mais devant l’insistance de ma thérapeute je finis par prendre une grande inspiration et par fermer les yeux (histoire de me remettre le plus de détails possible en tête). C’est drôle, mais tout me revient immédiatement, pas comme dans les rêves ordinaires qu’on a du mal à se remémorer au bout de quelques minutes seulement. J’ai l’impression de revivre pleinement mon rêve, comme en tant que spectatrice, c’est presque comme un film qui passe dans ma tête. Et je le raconte à Katherine tel quel.
La scène se déroule dans ma chambre, dans mon lit plus exactement, je ne sais pas où se trouve Pierre, mais il n’est manifestement pas là, je suis seule. Seule et nue. Il doit être une heure tardive, car il faut nuit noire dehors. Quoi qu’il en soit je suis allongé sur le côté, la couverture m’arrivant à peine aux genoux et je suis en train de regarder quelque chose. Un album… un album photo.
À ce moment j’ai beau avoir les yeux fermés alors que je raconte mon rêve, je perçois distinctement que Katherine sourit à pleine dent lorsqu’elle me demande : « Et que fais-tu en regardant cet album photo, Jeanne ?
Eh bien je… j… je prends un peu de plaisir en… en me caressant, lui réponds-je en rouvrant les yeux.
Oh, tu prends un peu de plaisir en te hum… "caressant", vraiment ? »
Encore et toujours ce satané sixième sens ! « Heu… eh bien heu non, p… pas vraiment. En fait de la main gauche je feuillette l’album photo et… et de la droite je… je me donne du plaisir avec un gros godemichet, voila. Il est en silicone je crois et il a cette espèce d’heu… de petit machin qui permet de se masser le clitoris pendant les va-et-vient, j… j’en ai toujours voulu un comme ça… » Je sais bien que c’est stupide d’avoir honte de ce genre de choses, mais je ne peux m’empêcher de rougir et de baisser les yeux vers le sol. Et cette fois-ci c’est avec un soupir que me répond Katherine.
« Combien de fois vais-je devoir me répéter ? Tu n’as pas à me cacher quoi que ce soit Jeanne et encore moins à en avoir honte. Je suis ici pour t’aider, pas pour te juger, me lance-t-elle d’un ton qui semble se vouloir apaisant. Bon, quel genre de photos ? Et pas de cachotteries cette fois.
Des photos d’Emma, prises lors de notre dernier week-end à la plage, réponds-je timidement.
Ah oui, ce fameux week-end à la mer… Tes rêves ont commencé peu après si je me souviens bien. Que portait-elle déjà ? Emma je veux dire.
Elle… elle portait ce magnifique petit maillot de bain deux pièces bleues que nous avions achetées deux semaines plus tôt et qui finalement se trouva être de deux tailles trop juste pour elle. Elle a une poitrine déjà bien faite pour son âge alors le haut ne cachait pas grand-chose, et le bas… le bas encore moins. En… en fait, Il était tellement serré au niveau de son entrejambe que c’en était presque indécent. son petit trésor a la vue de tous, elle s’est donné en spectacle tout le week-end sans même le savoir.
Ou alors, m’interrompt Katherine, peut-être était-ce dans le but d’attirer ton attention. N’as tu jamais pensé à cette éventualité ?
Qu… que… a… attirer mon… quoi ? Mais non voyons, elle… elle ne peut p… »
Mais Katherine m’interrompt presque immédiatement. « Tu sais Jeanne, certaines jeunes filles plus précoce que d’autres sont bien moins ignorantes de l’effet qu’elles produisent sur leurs entourages que tu ne sembles le penser. Emma n’a-t-elle pas essayer son maillot de bain avant de faire son choix et de l’acheter ?
E…… essayer son… eh bien.. o… oui en effet mais…
On peut donc supposé qu’il était exactement à la taille voulue, non ? me coupe Katherine. N’arrive-t-il jamais à Emma de se promener en petite tenue en ta présence ? Vêtue d’une simple culotte par exemple ? ou même nue qui sait, entrant inopinément dans la salle de bain alors que toi tu en sors ? Enfin, ce genre de choses.
Eh bien si… ça… ça arrive parfois, mais… vous… tu ne penses pas qu… qu’elle pourrait… dis-je, sans même oser finir ma phrase.
Je ne sais pas, dit Katherine en m’interrompant encore une fois, disons seulement que je n’écarte aucune possibilité. Mais je crois que nous nous égarons, reprend-elle précipitamment. Continue je te prie, tu es nue dans ton lit, tu te godes en mattant des photos de ta fille en maillot de bain et… ? »
Je ne sais pas si c’est le fait que ma thérapeute suppose à demi-mot que ma propre fille essaye de me séduire au quotidien ou bien qu’elle puisse me dire "tu te godes en mattant des photos de ta fille" d’un ton aussi naturel, mais en tout cas je reste bouche bée sans pouvoir pipé mots. Jusqu’à qu’une petite quinte de toux me rappelle à l’ordre. « Oh ! Ah heu… oui m… mon rêve » dis-je en m’éclaircissant la gorge. De son côté Katherine me promet de ne plus m’interrompre jusqu’à la fin.
Je ferme les yeux et me replonge quasi-instantanément dans mon rêve, je n’arrive pas à croire que je puisse en garder un souvenir si précis, mais qu’importe. Je suis donc dans mon lit à me heu… à m’occuper de mes petites affaires, lorsque tout a coup on frappe à la porte. J’ai à peine le temps je rehausser ma couverture d’un geste brusque jusqu’au niveau de la taille qu’Emma est déjà dans la chambre. De son petit air timide elle s’excuse de me déranger à une heure si tardive et m’explique qu’elle a du mal à dormir. Sans un mot elle s’approche et vient me rejoindre dans le lit, c’est alors que je remarque qu’elle porte ce même petit bikini que dans l’album photo, toujours aussi serré, peut-être même encore plus. Je me décale comme je peux pour lui faire une place en faisant bien attention à la couverture qui masque cet énorme gode planté bien profond entre mes cuisses. Emma doit remarquer que je suis un peu tendu car elle me demande : « Tu es sure que je ne te dérange pas maman ? Tu es toute rouge.
Bi…. bien sur que non mon coeur, je regardais juste quelques photos. Maman aussi a un peu de mal à dormir, mais tu peux rester les regarder avec moi si tu en as envie.
Des photos ?! Chouette ! Chouette ! Chouette ! » me lance-t-elle toute guillerette et en venant se blottir près de moi. Une fois bien installée, Je passe mon bras gauche par-dessus son épaule, la serre contre moi et lui donne un baiser sur le front. Le fait que j’ai la poitrine entièrement nue ne semble pas la gêner le moins du monde, idem pour mes seins qui pointent, les grosses gouttes de sueur qui perlent sur mon front ou bien encore la façon dont je reluque sa superbe poitrine rebondit.
Nous feuilletons l’album pendant une petite demi-heure, nous attardant surtout ces fameuses photos d’Emma en maillot de bain. Elle rit de son petit rire juvénile lorsque je lui dis que dans cette tenue je pourrais la manger toute crue et je trésaille lorsqu’elle me dit que rien ne pourrait lui faire plus plaisir que de se faire manger par maman. Elle se frotte de plus en plus à moi et est tout agitée. Pire encore, ses mains commencent à devenir quelque peu baladeuses. L’une d’elles d’ailleurs, à force de me caresser tendrement et de descendre toujours plus vers le sud finit sa course en plein dans ma jolie petite touffe blonde. Je sais que de nos jours de plus en plus de femmes optent pour une épilation totale, mais j’aime ma toison dorée. À la brésilienne, touffue juste ce qu’il faut. Pierre aussi l’adore.
Bref, Emma y engouffre innocemment sa main et ne semble pas avoir l’air de trouver ça inconvenant. 3 centimètres plus bas, se trouve ma chatte et le gode fourré à l’intérieur. Dans ma tête ça cogite à 100 a l’heure et je me demande si je dois la laisser continuer ou s’il vaut mieux tout arrêter maintenant. Mais Emma tourne sa tête vers moi et la question fuse de ses lèvres avant que je puisse décider quoi que ce soit : « Pourquoi tu ne portes pas de culotte maman ?
C’est… c’est seulement que maman a très chaud mon coeur, lui réponds-je en essayant de rester naturel.
C’est vrai qu’il fait chaud, me répond-elle d’un air songeur tout en continuant de passer et de repasser sa main dans ma toison. De mon côté je dois être prise d’un accès de témérité car, toujours en essayant de rester le plus naturel du monde je lui demande si elle laisserait maman touchée la sienne, juste pour comparer.
« Moi je n’en ai pas, c’est tout doux à cet endroit-là » l’entends-je dire l’air un peu honteuse. Elle abaisse négligemment, mais légèrement le devant de son maillot de bain afin de me laisser voir son pubis et effectivement pas un poil en vue. Une vraie peau de bébé.
Elle reste ainsi pendant plusieurs secondes, je crois qu’elle a envie que je touche comme pour m’assurer de cette douceur par moi-même. Je ne peux refuser une telle invitation ! Je pose l’album photo sur la table de nuit et effleure délicatement son pubis du bout des doigts. Cette fois-ci c’est moi qui ne suis qu’à quelques centimètres de son petit trésor. « C’est… c’est vrai que c’est doux… » est tout ce que j’arrive à articuler alors qu’en fait me dire qu’il me serait incroyablement facile de lui mettre un doigt ou bien encore me demander qu’elle teinte de rose peut bien avoir son petit abricot sont les seules pensées qui traversent mon esprit en ébullition.
Toutes ces pensées commencent à m’engaillardir… Avec ma main toujours passée par-dessus son épaule je commence à très délicatement lui caresser le sein gauche. Un peu nerveuse, je m’attends à une réaction de sa part mais il n’y en a pas, pas de négatives en tout cas. Emma se contente de me sourire pendant que mon index effleure son téton au travers de l’étoffe de son haut de maillot de bain. Ce sourire coquin ne m’incite définitivement pas à m’arrêter, aussi je commence à peloter son magnifique sein d’une façon plus entreprenante. C’est incroyable, il tient à peine dans ma main tant le corps de ma douce Emma s’est développé ces derniers mois. la dureté de son téton et la façon dont elle pousse de petit gémissement me font pensé qu’elle ne déteste pas ce que sa mère est en train de lui faire. C’est très certainement la première fois qu’on la pelote de cette façon et doit être trempée sous son bas de maillot. Les vierges mouillent si facilement…
L’atmosphère de la chambre commence vraiment à devenir électrique, je me sens bouillir ! J’étais déjà bien humide grâce aux photos, mais là c’est un véritable torrent que j’ai entre les jambes, tout ce qui m’importe à présent c’est de caresser les beaux nichons naissants de ma fille. Elle aussi d’ailleurs se met à me caresser les seins, d’une façon un peu maladroite bien sur, mais tout de même très agréable. Collées l’une à l’autre ma fille et moi nous tripotons mutuellement d’une façon on ne peut plus torride. Le regard qu’elle me jette pendant notre petit massage mammaire me fait dire qu’elle a furieusement envie d’en avoir plus. Si jeune, mais une telle envie d’apprendre… j’ai l’impression de me voir au même âge. Je décide d’accélérer un peu les choses. « regarde ça mon coeur. » Je jette ma couverture au sol, écarte mes jambes et lui offre une magnifique vue sur le gode toujours bien sagement planté dans mon con. Il est inutile de s’efforcer à être discrète plus longtemps, aussi je saisis mon godemichet et recommence à lui faire faire de langoureux va-et-vient. « Hmmmm… Oh ouuuuui… Tu as vu dans quel état tu me mets mon coeur ? Maman n’a pas le choix, elle va devoir se goder le minou en ta présence, tu n’y vois pas d’inconvénient j’espère ? » Emma fait "non" de la tête le regard braqué sur mon entrejambe, une petite lueur dans les yeux. Je me gode la chatte avec délice en laissant Emma profiter du spectacle à loisir. Spectacle qui a véritablement l’air de la fasciner, n’en ratant pas une miette elle finit même par s’arrêter de jouer avec mes seins. De temps en temps je la surprends à jeter de rapide coup d’oeil en direction de sa propre intimité puis revenir très vite à l’énorme godemichet. J’ai l’impression qu’elle est en train de se demander comment un engin de cette taille pourrait réussir à entrer dans une si petite fente. La question me traverse l’esprit également et l’image d’une Emma hurlant de plaisir la chatte empalée par un gode aux proportions délirantes s’imprime dans mon cerveau et me fait saliver.
Au bout d’une petite minute Je remarque qu’elle se pince les lèvres comme pour retenir une question. Je souris en comprenant ce qu’elle n’ose me demander. « Ça te plairait de goder Maman mon coeur ? » Elle ne répond pas immédiatement et reste silencieuse toujours fascinée par ce mystérieux jouet entrant et sortant à intervalles réguliers dans sa mère. Puis, tout d’un coup ayant l’air de sortir d’un songe elle tourne la tête vers moi et un sourire angélique apparaît sur son visage. Elle ne pourrait pas avoir l’air plus heureuse même si je lui disais que Noël allait tomber 15 fois cette année. « Je… je peux ? vraiment ?!
Bien sûr mon ange, mais d’abord retire-moi ça » D’un mouvement de tête je désigne son haut de maillot de bain. « J’en ai assez de caresser du tissu, c’est la douceur de tes seins que je veux sentir entre mes mains.
Tout ce que tu voudras, maman. » me répond-elle les yeux pétillant de joie.
Sans perdre une seconde elle se relève, passe ses mains dans son dos et d’un geste délicat dégrafe son haut de maillot de bain. Elle est encore jeune, mais possède décidément la plus parfaite et la plus adorable paire de seins qu’il m’ait été donner de voir. Un joli 90 C, légèrement en poire, tous tétons dressés. L’un après l’autre je les prends et les soupèse d’un geste fébrile. « C’est une poitrine magnifique tu as là, Emma » lui dis-je une étincelle de gourmandise dans les yeux juste avant de saisir un sein sans ménagement et de commencer à le sucer. C’est délicieux, ça dépasse de loin tout ce que je pouvais imaginer ! Je suce tout d’abord son petit téton qui est maintenant dur comme de la pierre puis de ma langue je parcours le reste de son sein. Sa peau est douce comme de la soie et a un goût indéfinissable et une fois avoir commencé, il me devient impossible de m’arrêter. Je lèche avec passion le moindre centimètre de sa peau sucrée, resuce son téton que je me mets à mordiller, puis lèche son sein de nouveau. Emma prend son pied je le sens, sa main dans mes cheveux elle maintient mon visage plaqué contre sa poitrine comme pour être sûr que ma bouche reste bien là où elle est. Et une fois m’être assuré d’en avoir léché l’intégralité je passe au second et m’en occupe de la même façon. C’est seulement après 5 bonnes minutes de léchouilles ininterrompu, lorsque je sens la main d’Emma entre mes jambes, qui tente de saisir mon gode que je me décide à arrêter. Ces seins sont luisants de salive. « Oh je suis désolé mon coeur, je me suis laissé emporter. Ça fait tellement longtemp que maman a envie de lécher tes beaux nichons… Ça t’a plu ?
J… Oh oui ç… c’était génial maman, dit-elle en reprenant son souffle. Mais maintenant est-ce qu’heu… est-ce que je peux… heu… enfin tu sais…
Bien sûr mon coeur, le minou de maman est tout à toi, la rassurè-je en écartant un peu plus les cuisses. Fais jouir maman mon amour.
C’est que… heu… Co… comment est-ce qu’on… ? Qu… qu’est-ce que je dois faire ?
N’ais pas peur Emma c’est très simple tu vas voir, lui réponds-je en souriant. Maman va t’apprendre comment faire.
Je lui attrape le poignet et guide sa main jusqu’à la monstrueuse verge de silicone toujours en position et lui dit de la tenir fermement, ce qu’elle fait. « Et maintenant, lui dis-je toujours en lui tenant le poignet et en lui faisant faire des mouvements d’aller et retours, tu n’as plus qu’à le faire bouger dans le vagin de maman de cette façon . Tu vois c’est aussi simple que ça. » Je lui lâche le poignet tandis qu’elle commence, seule cette fois-ci, à actionner le gode tout doucement. Son innocence me fait sourire lorsque je lui demande pourquoi aller si lentement et qu’elle me répond avoir peur de me faire mal en y allant trop fort. Je la rassure en lui disant que sa mère en a vu d’autres et un peu plus en confiance elle accélère le mouvement. « Oh oui mon coeur c’est bon comme ça… hmmm ! » Encourager par mes caresses et mes gémissements de plaisirs Emma accélère encore un peu plus. « Hmmm oui profond… gode-moi bien profond… » Les va-et-vient deviennent de plus en plus rapides et brutaux. « Ohhh OooOOHhh ouais vas-y ma puce, con… continue comme ça c’est boooon ! Ahhhh putain c… c’est presque aussi bon que de se faire baiser par une vraie queue ! OoOOhhhHh mon amour, OHHHH OUUUUI ! » Emma laboure maintenant mon sexe à un rythme frénétique et juste au moment où je me dis que rien ne pourrait me donner plus de plaisir elle ouvre grand la bouche et se met à me téter le sein gauche avec gourmandise. Bien qu’un peu malhabile de ses mains elle se révèle être une véritable experte avec la bouche. L’extase est totale, je ne me donne pas trente secondes pour atteindre l’orgasme si seulement elle pouvait sucer une chatte ne serait-ce qu’à moitié aussi bien.
Si le paradis excite, il est ici en plein milieu de ma chambre et il ressemble à un plumard. Je le sais car un ange me suce les seins tout en me godant le con ! « Oh mon Emma chérie… Maman adore la façon d… dont tu lui baises le minou !! C’est magnifique, c’est merveilleux, c’est… c’est DIVIN ! articulè-je dans un râle de plaisir. Oh mon bébé d’amour dis-moi… ce gode est trop gros pour ton petit minou, mais… mais peut-être que ça te plairait d’en lécher la mouille une fois que tu auras fini ? Hum ? » En guise de réponse je n’ai le droit qu’à d’obscènes (mais excitants) bruits de succion. De ma main gauche je pince alors fortement le téton d’Emma qui pousse un petit cri de douleur. « Jeune fille, dis-je avec un ton faussement sévère, c’est très malpolie de ne pas répondre lorsque quelqu’un vous adresse la parole !
Mais ma mère m’a appris qu’il était encore plus malpoli de parler la bouche pleine, me répond-elle avec un sourire des plus malicieux.
Ohhh… on joue la maligne maintenant ? Attention mon coeur ou maman pourrait te renvoyer dans ta chambre, rétorquè-je toujours du même ton.
Tu pourrais oui, mais… » Emma lâche le gode et se met à se mouvoir de sorte à se retrouver entièrement allongé au-dessus de moi. Mes mains sont fermement agrippé à ses fesses, son corps tout contre le mien. Ses cuisses contre mes cuisses; son ventre contre mon ventre et ses seins contre mes seins. J’ai comme une impression de décharge électrique à chaque fois qu’un de ses tétons frôle un des miens, j’ai une soudaine envie de les sucer de nouveau.
Elle approche son visage et il est maintenant si près du mien que je sens souffle sur mes lèvres, elle esquisse alors un mouvement et pendant une fraction de second je pense qu’elle va m’embrasser, mais non. Elle se penche un peu plus et me susurre quelque chose à l’oreille d’une façon sensuelle dont je ne l’aurais pas cru capable. « Si tu me renvoies dans ma chambre comment feras-tu pour gouter à mon petit abricot ? Il est tout juteux tu sais… dit-elle juste avant de me lécher et de me mordiller le lobe de l’oreille.
Hummm c’est vrai que maman a très envie de déguster ton petit abricot… réponds-je en me passant la langue sur les lèvres. Qu’attendons-nous mon coeur ? Tu sais que tu n’as qu’un mot à dire, un seul mot de ta part et maman te broute la chatte, mon coeur. »
Sans un mot Emma se redresse lentement de tout son haut puis l’une après l’autre, porte mes mains jusqu’à sa bouche et en lèche sensuellement quelques doigts avant de les redéposer sur ses seins. J’obtempère sans poser de questions et une fois me deux mains bien en place et malaxant tendrement sa jolie poitrine Emma se penche un peu en arrière, saisi de nouveau le gode de la main gauche reprend d’un mouvement délicieux là où elle s’était arrêté quelques secondes plus tôt. « Humm je ne sais pas trop… » me dit-elle d’une voix hésitante. Il est évident qu’elle veut faire durer le plaisir aussi je ne l’interromps pas et la laisse continuer son petit cinéma, sa chatte n’en sera que plus humide au moment de la dégustation. Après une ou deux minutes passées à faire mine de réfléchir la main d’Emma finit par atteindre son bas de maillot et commence tendrement à caresser sa vulve au travers du tissu maintenant totalement imprégné de désir. « C’est que… c’est affreusement gênant de parler de ça mais je suis toujours vierge et je ne sais pas s’il est bien sage d’offrir mon intimité à qui que ce soit sans… sans connaitre ses véritables intentions, même s’il s’agit de ma propre mère. Tu comprends n’est-ce pas ? » me lance-t-elle finalement de son air le plus ingenue.
Oh bien sur que oui coeur, c’est une très sage décision, très mature. Je suis fière d’avoir de toi, dis-je en souriant et en tirant fort sur ses tétons. Et si maman te rassurait au sujet de ses intentions, tu te sentirais peut-être plus en confiance ?
Hmmmm, eh bien j… je crois oui… » me répond-elle en se passant la langue sur les lèvres d’une façon on ne peut plus équivoque. « Si maman a des intentions honorables je serais très très gentille avec elle, c’est promis »
Ce petit jeu commence vraiment à me plaire et à m’exciter, Emma aussi apparemment. Elle a maintenant la main entièrement sous son maillot et se masturbe sans retenue tout en continuant de me goder sauvagement. Je la regarde se branler le minou durant quelques secondes en m’imaginant être à la place de ses doigts puis je finis par dire : « Eh bien ma file sache que mes intentions envers toi sont tout ce qu’il y a de plus honorable. Tout d’abord maman va te débarrasser de ce satané bikini pour que tu puisses lui ouvrir les cuisses bien en grand comme la belle cochonne que tu es. Et ensuite maman va honorablement de bouffer ta jolie petite chatte ! dis-je presque en bavant. Alors ? Est-ce assez honorable pour toi mon coeur ?
OhhhOOOHHH J… j’h… j’hésite encore, je… Ohhh maman je… je me sens tellement salope ! OHHHH OUI TELLEMENT SALOOOOPE, AAAAHH… !! »
Emma se masturbe de plus en plus vite et commence à avoir du mal se contenir. Moi aussi d’ailleurs, le gode continuant ses va-et-vient à une vitesse folle et à une profondeur extrême. Ma voix commence à trembler, je suis au bord de la jouissance. « O… on hésite encore hein !! Et… et te faire déflorer par… par maman chérie… hein ? c’est ass… c’est assez HONNORABLE POUR TOI CA ? C’EST CA QUE TU VEUX DEPUIS LE DEBUT ESPECE DE SOUILLON, HEIN ? hurlè-je comme une dément. OHH MON COEUR, MAMAN VA TELLEMENT BIEN TE FOURER LE CON QUE T… QUE TU…. ARGHH…
AAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
Je Jouis.
Je jouis, mais pas dans mon rêve. Pour de vrai, ici, dans cette pièce, sur ce divan. Il faut croire que me remémorer cette scène torride une nouvelle fois était au-dessus de mes forces. Je sentais bien le plaisir monter petit à petit, mais de là à m’oublier au point d’avoir un orgasme au beau milieu d’une consultation d’avec ma thérapeute… Pourtant c’est bel et bien le cas, même les yeux fermés je sens bien que ma jupe est remonté haut, que ma culotte est descendu jusqu’au genou et qu’une main est plongée dans mon intimité. Cet orgasme phénoménal me cloue littéralement sur place, je suis prise de terribles et délicieux spasmes de délice et crie comme une folle. Mais il a beau être long et puissant il finit fatalement par s’estomper.
C’est avec la respiration difficile et en étant toujours légèrement tremblotante que j’ouvre les yeux, prête à affronter le regard scandalisé de Katherine. Mais je ne constate aucun regard, qu’il soit scandalisé ou non, en fait il n’y a même plus de Katherine. Enfin si, mais elle n’est plus assise dans son fauteuil face à moi, mais sur le divan à ma droite. Elle retire lentement sa main de mon sexe, cette main que j’ai prise pour la mienne, la porte à ses lèvres et s’en régale apparemment avant de me m’adressé la parole. « Tu peux prendre une pause avant de raconter la suite Jeanne, prends ton temps ma grande. »
Encore trop sonné par cet orgasme démentiel je ne trouve rien d’autre à dire que : « C… c’est tout, il n’y a pas de suite… Je me suis réveillé une seconde avant d… une seconde avant de…
Une seconde avant de jouir, me coupe Katherine. Une seconde avant de pouvoir profiter pleinement de cet orgasme mère/fille. Je vois je vois… Eh bien c’est dommage mais tout de même très intéressant. Je suis vraiment satisfaite Jeanne, Nous avons beaucoup avancé aujourd’hui. » me dit Katherine tout en finissant de lécher mon jus de femme sur ses doigts et en retournant à son fauteuil. À moitié nue.
Cette fois-ci, avec cette main hors de mon vagin mes idées sont un peu plus claires, j’ai envie de poser 10 questions en même temps. J’arrive difficilement à bafouiller un semblant de phrase : « M… mais… avancer, mais… c… comment ? Et… et ta main ? Qu’est-ce que tu… Avancer ? Mais mon rêve ? Tu as bien entendu, je… je perds pied, j… je… avoir des relations sexuelles avec ma propre fille… ce n’est pas normal comme rêve !
Calme toi Jeanne, calme toi, me dit doucement Katherine. Tout d’abord en ce qui concerne mon petit "coup de main" c’était seulement dans le but de t’aider à te concentrer. C’est un procédé tout à fait banal et je suis parfaitement qualifié pour ce genre de chose. Et si j’en crois l’état de ma main ce n’est pas toi qui me contrediras non ? » Aucune réponse de ma part, sinon un visage devenu aussi rouge qu’une tomate, Katherine continue : « Ensuite, jusqu’à preuve du contraire, la spécialiste ici c’est moi, je suis donc la seule à pouvoir donner un avi professionel et objectif sur ce rêve. Et mons avi est qu’il est tout à fait normal. Je n’y vois rien d’alarmant, bien au contraire.
"tout à fait normal", "rien d’alarmant" ? Je suis désolée Katherine, mais rêver de faire l’amour à sa fille moi je… je ne trouve pas ça vraiment normal ! » dis-je avec véhémence.
Sur ces mots, Katherine se lève lentement, retire sa veste de tailleur et la laisse négligement tombée au sol, très vite rejoint par son soutien-gorge. Elle est décidément très bien foutue, ses seins sont relativement petits, mais ils ont l’air bien fermes. « Qu… qu’est-ce que tu fais ? » bredouillè-je. Mais pour seule réponse Katherine se contente de me regarder fixement et de retirer son string d’une façon très érotique. Son string qu’elle ne laisse pas tomber par contre, elle le garde a la main. En la voyant je me fais la réflexion que, mis à part en rêve c’est la première fois que j’ai l’occasion d’admirer le sexe d’une autre femme et c’est fou ce que je trouve ça beau. Maintenant complètement nue en dehors de son porte-jarretelles et de ses talons hauts elle s’avance vers le divan et s’assied sur moi à califourchon.
« chhhhhhhh, me dit-elle en plaçant son index sur mes lèvres. Il faut que tu restes calme Jeanne et d’ailleurs de quelles relations sexuelles parlons-nous au juste ? As tu pénétré Emma dans ce rêve ? As tu eu le temps de lécher son petit bouton d’amour ? Il me semble que non, dit-elle sa main plongée dans mes poils pubiens. Toi tu y as vu quelque chose de déplacé, quelque chose de honteux, mais moi au contraire j’y ai vu quelque chose de merveilleux. Une jeune adolescente en fleure troublé par de toutes nouvelles pulsions se faisant initier à de somptueux et délicieux plaisirs saphiques par une mère aimante. Il faudrait plus de mères comme toi.
E… en effet, avouè-je, j… je n’avais pas vu les choses sous cet angle… M… Est-ce que ça voudrait dire que… que je n’ai pas envie d’Emma ? sexuellement envie, je veux dire. » réponds-je d’une petite voix teinté d’espoir.
Katherine éclate de rire, elle est belle lorsqu’elle rit. « Oh bien sûr ma puce que tu as sexuellement envie d’Emma, de Claire aussi par ailleurs. Tu as envie de tes filles comme rarement j’ai vu une mère en avoir envie.
Mais je n…
Je tente de rétorquer quelque chose, mais ma phrase se meurt sur mes lèvres à l’instant où Katherine glisse deux de ses doigts dans mon intimité et me susurre à l’oreille : « Est-ce que je dois comprendre que tu n’aimes pas tes filles ?
Bi… Bien sûr que je les aime, dis-je dans un murmure à peine audible. De tout mon coeur, mais… pas.. pas de cette façon, je ne… hmmm…
Ne les trouves-tu pas adorables ? Ne les trouves-tu pas belles ? Ne les trouves-tu pas… désirable ? » surenchérit Katherine en accentuant légèrement le mot "désirable" et toujours en explorant de ses doigts experts ma caverne aux mille plaisirs. Mais ce n’est pas tout, de son autre main elle fait humer le doux parfum de son string, une odeur de mouille et de sexe, une odeur de femme. Ce parfum intime me monte à la tête. Je me demande si Emma sent aussi bon sous sa culotte…
« Ohhh oui elle le sont… adorables, belles et… et désirables… Elles le sont toutes les deux c’est vrai… elles…
Mais Katherine m’interrompt encore une fois. « Ferme les yeux Jeanne et dis-moi ce que tu vois. Qui imagines-tu en train de donner du plaisir avec ses doigts ? De qui respires-tu l’odeur la plus intime ? Qui te fait mouillé de cette façon ? Moi ? Ton mari ? Un collègue ? Un acteur célèbre peut-être ? Qui Jeanne, qui ?
Non, dis-je simplement.
Alors qui ? insiste Katherine.
Emma.
Je m’attends à éprouver de la honte, du remords ou un quelconque autre sentiment du même genre, mais non. Le mot sort aussi naturellement que si on m’avait demandé l’heure. En effet c’est avec Emma que je m’imagine. Emma en train de me caressait, Emma en train me donner du plaisir, Emma faisant tout ce que Katherine est en train de me faire. Impossible de continuer à me mentir à moi-même plus longtemps, Katherine semble ravie « C’est bien Jeanne, je suis vraiment très fière de toi, me dit-elle. Maintenant ouvre les yeux et regarde-moi. »
J’obéis et me retrouve de nouveau face à face avec Katherine et cette fois-ci son visage a un air un peu plus sérieux, plus professionel. « L’acceptation de tes fantasmes était la première étape de ta guérison, la seconde en sera la concrétisation, afin de mettre fin à tes rêves. Il te faut donc coucher avec tes filles. Les deux ! me lance-t-elle d’un ton qui ne laisse pas place à la discussion.
Coucher avec mes… oui… C’est… c’est de ça dont j’ai envie, je le sais maintenant.
Bien, très bien… Claire étant géographiquement indisponible, nous nous occuperons d’Emma en premier lieu et ens…
Nous ? la coupè-je brusquement. Tu… tu comptes m’aider à… avec…
Bien sur, je suis ta thérapeute non ? me répond-elle d’un air vaguement offensé et les sourcils froncés. Je n’ai pas pour habitude de laisser tomber mes patients à mi-chemin de la guérison. Et si tu veux tout savoir j’ai déjà une petite idée sur la façon de procédé, mais tout d’abord… » Katherine me prend alors la main et la guide au travers de ses lèvres gonflées jusqu’à son sexe tiède et moite avant de se remettre prestement à me donner du plaisir de ses doigts, puis me lance d’une voix atrocement sensuelle : « …et si tu me racontais ce rêve encore une petite fois ? »
Prochain chapitre: Première consulation pour Emma.