Premier chapitre
Je mappelle Daniel et jai 40 ans. Après 7 ans de mariage avec Leslie qui a 10 ans de moins que moi, la routine, lennui se sont lentement installés entre nous. Sans nous lavouer véritablement, lamour qui nous avait unis était quasiment mort. Nous navions pas denfant, et cette situation ne pouvait pas durer.
Puis un jour ,l’occasion fut offerte den parler avec ma belle-mère, Jeanne, avec qui javais toujours eu dexcellentes relations et cest en pleurant quelle a réagi à lannonce de létat de notre couple.
Mon beau-père, tombé amoureux dune jeunette qui le menait par le bout du nez, avait quitté le domicile conjugal 6 ans auparavant et ma belle-mère, qui ne semblait pas avoir été très heureuse avec lui, sétait ainsi retrouvée seule à 46 ans. Elle avait demandé le divorce et lavait obtenu sans difficulté. Depuis elle navait jamais eu de relation avec un autre homme et lors de son 52 ème anniversaire en décembre dernier, elle nous avait dit combien cette solitude lui pesait de plus en plus .
Ma femme travaillant dans un hypermarché, elle ne rentrait jamais avant 21h à la maison, aussi depuis plusieurs mois, javais alors pris lhabitude daller passer quelques instants chez ma belle-mère qui habitait près de chez. Tous les jours, en sortant de mon travail, jallais ainsi la voir en fin daprès midi et rentrait vers 20h30 chez moi attendant ma femme et lidée que notre routine de vie conjugale brisée reprenne, me donnait chaque jour lenvie de rentrer encore plus tard et même parfois de ne plus rentrer du tout !
Des fils serrés sétaient tissés entre Jeanne et moi ; jappréciais de plus en plus ces visites journalières et Jeanne était aux anges en me voyant arriver. Ma femme était contente car sa mère avait au moins la possibilité de discuter tous le jours quelques heures avec son gendre quelle disait beaucoup apprécier
Sa conversation, au début, revenait assez souvent sur Leslie et moi et je ne voulais pas lui avouer que notre couple était en instance de chavirer dun moment à lautre. Il y a un mois, pour ma fête, elle avait préparé un punch, pas seulement le classique apéritif des autres jours. Nous en avons bu un verre, puis deux et au troisième je sentais bien que lalcool commençait à embrumer mon esprit. Je me dis heureusement, je navais pas à conduire pour rentrer chez moi, notre maison étant distante de 100 mètres de celle de ma belle-mère.
Il se faisant presque 20h30 et je devais partir, mais je navais ni la volonté ni la capacité physique de me lever
Jeanne était face à moi, affalée dans son fauteuil et me dit tout dun coup,
— Daniel, je suis complètement paf !
Je me levais péniblement du fauteuil, Jeanne essaya den faire autant mais elle trébucha en se levant. .Je tentais alors de la rattraper dans mes bras avant quelle ne tombe mais vu notre état, on se retrouva tous les deux au sol. Elle resta plaquée contre moi quelques secondes et elle reprit ses esprits. Cest alors que mon téléphone portable sonna. Cétait Leslie qui me demandait si ça ne me gênait pas de dîner avec sa mère, car après linventaire du magasin fait lors de la journée, elle et ses collègues avaient décidé daller dîner en ville. Dans létat où jétais, cela marrangeait bien. Elle entendit bien ma voix pâteuse et demanda à parler à sa mère. Jeanne lui expliqua.. le punch, et lui dit
— écoute quand tu rentreras, passe chez moi, et tu repartiras avec Daniel
Comme elle ne rentrerait pas avant 23 h, je proposais à ma belle-mère daller manger une pizza à langle de la rue mais elle me dit quelle avait des choses au réfrigérateur et qu’elle ne se sentait pas le courage de sortir pompette comme elle l’était.
En titubant elle devant et moi derrière, on se dirigea vers la cuisine. Oh! on nalla pas bien loin, à lentrée de la cuisine, elle se retourna vers moi et sentrave dans le balai qui traînait. Patatras, la revoilà au sol, la jupe remontée sur ses cuisses bien rondes gainées dans un collant noir et moi comme un couillon, je restais là, les bras ballants à la reluquer et rigoler comme un fou. Je décidais donc de la relever et la pris par la taille. Je la soulevais du sol et dans ce mouvement, je sentis son corps, ses hanches, ses seins collés contre moi et jaurais voulu que ce moment ne sarrête pas. Quoi, moi Daniel, en train de penser de telles choses au sujet de ma belle-mère ?
Tout en la relevant je laissais traîner un peu mes mains sur son corps, et elle poussait de petits cris de surprise. Quelques minutes plus tard, le charme était rompu et nous avions retrouvé notre place à la table de la cuisine et mangions des plats préparés trouvés dans le réfrigérateur, le tout accompagné d’une bonne bouteille de vin rouge.
Après quelques conversations banales elle me dit
— Daniel que préférez-vous chez une femme, quelle porte des bas ou des collants ? «
— des bas bien sûr, ..
Et là sa réponse immédiate me surprit :
— et bien, dommage je porte que des collants maintenant..
Je fis celui qui navait rien entendu et elle insista dune vois pâteuse,
— vous avez entendu Daniel ?
— Oui belle-maman jai entendu mais je pense que cette conversation est un peu étrange, vous ne croyez pas ?
Elle se mit à pleurer, mais était-ce lalcool ou ma réponse qui en était la cause ?
Le temps passait et onze heuses approchaient quand de nouveau mon téléphone sonna.
Leslie rentrée à la maison voulait savoir si jétais toujours chez sa mère
— Tu sais Daniel, dans létat où vous êtes tous les deux, et comme demain cest samedi, il serait mieux que tu restes chez maman cette nuit et tu reviendras demain matin, moi, je suis crevée, jai sommeil et je vais dormir je crois que c’est la meilleure solution. D’accord ? alors au revoir, à demain.
Jannonçai à ma belle-mère la décision de Leslie et cela la mit en joie
— Chic, je ne serais pas toute seule ce soir
Après ce léger dîner, on se mit sur le canapé du salon pour regarder un peu la télévision mais l’alcool aidant, le sommeil nous engourdissait peu à peu. On alla dormir, elles dans sa chambre, moi dans la chambre réservée à Leslie et moi et au matin, les effets de l’alcool avaient complètement disparu.
Je retrouvais Jeanne dans la cuisine, assise devant une tasse de thé qui me dit
— Daniel, jai du vous dire des tas de sottises hier soir, je ne me contrôlais plus, mais quel plaisir jai eu à vous voir rester quelques heures de plus avec moi, ah , si mon mari avait eu votre gentillesse , trop tard..
Sa chemise de nuit entrebâillée me laissait voir la naissance de sa poitrine assez abondante et javais une forte envie de la palper.
Je bus un café avec deux biscottes et dit à Jeanne
— toutes les bonnes choses ont une fin, il me faut partir
— déjà ? Et si jappelais Leslie et quelle vienne ? , je ne veux pas être seule aujourdhui, Daniel je vous en prie, ne partez pas tout de suite !! , Je ne supporte plus ma solitude, jai besoin de compagnie Je me levais pour la quitter et elle me suivit vers la porte d’entrée se mit à pleurer.
Je la prenais dans mes bras pour la calmer et elle se serra contre moi. Ma main droite caressait son dos et allait de ses épaules à ses hanches mais il me fallait partir. Elle saccrocha à moi et membrassa dune manière telle quelle effleura mes lèvres lors de ses deux bises.
Le week-end avec Leslie fut exécrable à tel point que le dimanche soir, elle me dit
— tu sais, je crois quil serait bien que lon se sépare au moins un moment pour faire le point et voir si on peut encore vivre ensemble ou si on doit envisager le divorce comme je le pense de plus en plus; tu nauras quà aller provisoirement chez maman, elle te recevra avec un énorme plaisir, jen suis sûre.
Le lundi en fin d’après-midi, quand je revis Jeanne, je lui fis part du houleux week-end avec Leslie et de la suggestion quelle m’avait faite.
Jeanne qui était déjà informée des difficultés de notre couple me dit
— Daniel, vous pouvez rester ici le temps que vous voudrez, bien au contraire, allez chercher quelques affaires et installez-vous dans votre chambre.
Jétais soulagé. Jappelai Leslie et lui fit part que je restais chez sa mère dès ce soir
— cest parfait, au moins tu pourras lui tenir compagnie et on pourra faire le point plus facilement.
Deux semaines sont passées depuis mon installation chez ma belle-mère, et Leslie est partie en vacances avec des collègues en Angleterre sans me dire quoi que ce soit sur sa date de retour; C’était de plus en plus évident, elle voulait tirer un trait pointillé je dirais même continu sur notre couple.
Jeanne souhaitait que je prenne des vacances pour me changer les idées. Pris dune inspiration soudaine, je lui proposais
— et si je vous emmenais en Afrique passer 15 jours au Club Méditerranée, ça ne serait pas une bonne idée ?
Elle sauta de joie et dit
— Oui, oui, mais à une condition, je paye ma part
Aussitôt dit aussitôt fait, jachetais le lendemain un séjour pour deux personnes au village du Club La Lagune en côte d’Ivoire et pris soin davoir un bungalow avec deux chambres séparées .Le départ, prévu samedi, mit en joie Jeanne. Durant ces cinq jours qui nous séparaient du départ, elle était de plus en plus transfigurée , elle décida daller acheter quelques vêtements pour ce voyage et des maillots de bain pour la plage et occupait ses journée à faire danser sa carte Visa. Elle aurait voulu que je laccompagne dans quelques boutiques mais cétait impossible, je travaillais. Le soir elle me dit
-Daniel, si on se tutoyait, ça serait mieux, moins formel entre nous . Vous ne croyez pas, surtout en cohabitant sous le même toit pendant quelques temps?
— Pas de problème, alors, moi, puis-je vous appeler Jeanne et non plus belle-maman ?
— Oui avec plaisir
Le samedi, en route pour laéroport et l’Afrique. A la descente du jumbo dAir France à Abidjan, une chaleur lourde et odorante nous saisit et Jeanne qui mettait pour la première fois les pieds hors de lEurope était heureuse et souriait.
Dans laérogare, on retrouvait un des G.O. qui nous fit monter dans le car et hop, en route pour le village du Club
Le bus roula plus une heure à travers des paysages époustouflants, des énormes baobabs, de la terre rouge. Il nous fit traverser des villages avec des tas de gamins courant de tout cotés et il franchit la barrière séparant le Club du reste du village voisin.
On nous rassembla devant le bar pour prendre un pot de bienvenue et le chef du village nous fit la description du village de vacances et de toutes les activités offertes ou payantes. puis une fois informés des heures des repas, chacun prit possession de son bungalow. Le notre était composé dun jardin entouré dune haie, dun rez de chaussée avec une salle de bains, d’une pièce salon avec un coin chambre et une mezzanine surplombait le tout avec un second lit
Je demandais à Jeanne où elle voulait dormir, elle me dit préférer rester au rez de chaussée. Cest ce que je souhaitais intérieurement car jaurais ainsi une vue plongeante sur son lit au travers des barreaux de la rampe de lescalier et de la mezzanine.
Au bout de 5 minutes Jeanne mappela,
— Daniel regarde ce que jai acheté pour venir ici
Elle sortit de sa valise trois bikinis noir, bleu marine et blanc assez sexy, des paréos, des pantalons en lin et des tee-shirts. Chouette jallais pouvoir me rincer lil et mieux vivre mon fantasme car cétait écrit, jétais attiré par ma belle mère et dans mon inconscient, je la désirais.
La nuit était tombée très vite et nous allâmes au restaurant du village pour dîner. Jeanne mit un tee shirt et un pantalon. En sortant du bungalow, elle me dit,
-est-ce que je suis convenablement habillée pour t’accompagner ce soir au restaurant ?
— quelle question?
A ma grande surprise, elle semblait ne pas porter de soutien-gorge ou alors il était très fin ; je voyant nettement ses mamelons darder sous le tissus et cela ne faisait quamplifier mon envie de la déshabiller et des lui sucer les seins.
Après le dîner noua nous dirigeâmes ver le bar de nuit qui jouxtait la piste de danse et la scène ou allaient se dérouler les animations de la soirée. Les GM arrivaient en grappes et sinstallaient autour des tables et sur les gradins, les lumières séteignirent et le spectacle commença.
La nuit était noire et la fraîcheur était tombée tout dun coup. Jeanne qui était assise à mon coté se pencha vers moi et me dit
— je commence à avoir froid
Jenlevais ma veste et la passais sur ses épaules, elle me remercia avec un sourire charmeur et susurra
— je voudrais que cette soirée dure des heures
Je passais mon bras droit sur son épaule, la serrais contre mon flanc tout en la secouant légèrement
— moi aussi Jeanne.
— Sil te plait Daniel, personne ne nous voit dans cette nuit noire, garde ton bras sur mon épaule, ça me réchauffe
Après deux heures de spectacle, le DJ, officia et la piste de danse fut envahie par des jeunes.
— Que veux-tu faire Jeanne, il est minuit et demi ; demain cest repos, farniente sur la plage et après demain, nous partons en excursion de bonne heure. Si tu le souhaites, on peut rester, danser un peu, ou retourner au bungalow pour dormir,
Avec un sourire, elle me dit avec des yeux malicieux
— sil y en a au bar, jaimerais bien boire un petit punch
Elle repensait sûrement à la soirée passée le jour de ma fête. Nous allâmes vers le bar et après avoir commandé et bu deux planteurs de bonne facture, on se dirigea vers le bungalow. Sur le chemin, elle me donna le bras, à lancienne, pour marcher à mes cotés.
Arrivés au salon, elle décida daller la première dans la salle de bains. Jen profitais pour monter dans ma mezzanine. Jentendais la douche couler et attendais le moment pour la prendre à mon tour. Au bout dune demie heure elle sortit de la salle de bains vêtue dune nuisette blanche avec ses vêtements sur les bras. J’essayais d’estimer la taille de sa poitrine qui tressautait à chacun de ses pas, elle devait faire du 95 et comment avait-elle le sexe ? Rasé, je ne le pensais pas, pas son genre et puis pourquoi le raserait-elle et surtout à la demande de qui ?
On se croisa et elle me fit deux bises claquantes et me souhaita une bonne nuit puis se dirigea vers son lit et moi vers la salle de bains. Bon et bien se soir je nen verrai pas plus.
Je pris ma douche et ma verge se gonfla sous leffet de leau chaude et de la vue que m’avait offerte ma belle-mère quelques minutes auparavant. Il fallait que je me soulage.. et je me mis à me masturber en mimaginant faire lamour à ma belle-mère.
Quand je sortis de la salle de bains je me dirigeais dans la pénombre vers la mezzanine et me couchais espérant faire des rêves érotiques dans lesquels Jeanne aurait une place. Quelques heures plus tard, un cri me réveilla,
— Daniel, Daniel, viens vite
Je me précipitais en bas et là je la vis toute affolée assise sur son lit
— quy a t-il Jeanne?
— quelquun me regarde par la fenêtre
Jallais discrètement vers la porte, louvrais mais il ny avait personne dehors, sauf une branche de bougainvilliers bougeant doucement sous leffet du léger vent quelle avait du prendre pour un voyeur. Je la rassurais et lui dit quelle pouvait se rendormir
— sil te plait Daniel, reste à coté de moi, j’ai vraiment peur
Je ne me fis pas prier et acceptais sa demande ; elle ouvrit le drap et jentrais dans son lit ; elle se blottit contre mon épaule et commença de grattouiller mon bras comme un chat qui patoune. Je passais mon bras droit sous ses épaules et la serrais un peu plus contre moi. Elle émit alors des soupirs de contentement. Nous étions face à face et lun contre lautre. De ma main gauche, je commençais à lui grattouiller le dos afin quelle se calme, cest du moins ce que je lui dis, et ma main se déplaça de plus en plus bas, jeffleurais ses reins presque ses fesses et me doigts transformèrent les chatouillis en caresses. Je commençais à bander très fort et javais un peu éloigné mon bassin de son corps afin quelle ne sente pas trop mon sexe en érection. Elle se rapprocha encore de moi et dit
— cest agréable..
Cest à ce moment là que ma main gauche atteignit ses fesses et commença à les malaxer. Dans un soupir elle dit
— Ho, Daniel, que fais-tu ? Je suis ta belle-mère quand même ?
Je retirais vivement ma main et me remis à lui caresser le dos durant de longues minutes et puis n’y tenant plus, je la fis descendre de nouveau sur ses fesses
Je m’attendais à une nouvelle réaction de sa part, mais rien
Dormait-elle ?
Oh non, car dans la pénombre, je vis un sourire sur ses lèvres
— ça va Jeanne, tu n’as plus peur ?
— oui, c’est trop bon; il y a tellement longtemps que personne ne m’a caressée.
Ma bouche chercha la sienne et nos langues se mêlèrent
Après un baiser qui dura un temps fou, Jeanne me susurra à loreille
— jattendais tant le moment de me retrouver dans les bras d’un homme, j’avais trop peur qu’il ne reviennent jamais
Elle empoigna ma verge et dans un sourire me dit
— et puis alors si ma fille nen veut plus, moi je suis peut-être preneuse, tu sais !
La balle était maintenant dans mon camp
Je lui enlevais sa nuisette et son corps nu apparut à ma vue pour la première fois dans la pénombre de la pièce. Ses seins tombaient un peu mais les auréoles très sombres étaient un aimant pour mes yeux ; mon cur palpitait et lenvie de faire lamour à ma belle-mère devenait obsédante.
Je la mis sur le dos et mes mains caressèrent ses seins. Ils commençaient avec les années à devenir .un peu souple même un peu flasque mais avaient encore un volume assez conséquent Mes doigts prenaient un immense plaisir à les malaxer longuement avec douceur; ma bouche quitta la sienne et atteignit ses mamelons ; je les mordillais puis les pinçais des lèvres . Ils durcirent et la tête de Jeanne oscillait de droite à gauche et par moment un petit gloussement séchappait de sa bouche sous leffet du plaisir qui commençait à venir.
Je descendis ma tête vers son ventre et tous les centimètre je déposais un baiser tandis que continuaient à soccuper des ses mamelons que je pressais avec régularité . Je bandais comme un fou et javais peur de ne pas pouvoir retenir une éjaculation que je sentais poindre au plus profond de moi .
Mes lèvres atteignirent son sexe, sa toison ; et oui, bingo, elle ne se rasait pas était toute parfumée par son eau de toilette, elle avait prémédité son coup la coquine, mais jaimais cela!!!
Je glissais vers le fond du lit et me dirigeais entre ses cuisses puis posais mes lèvres sur sa vulve. Jécartais ses grandes lèvres et ma langue fut en contact avec son clitoris.
Cétait divin ; je ne pouvais plus arrêter de le lécher. Je mis deux doigts dans son vagin tout en continuant mes caresses buccales; ses hanches commencèrent à se soulever et à onduler et des râles sortaient maintenant de sa bouche
— encore, oh oui, ça vient, narrête pas, je ten prie, non arrête, je suis ta belle-mère, oh oui que c’est bon ..
Je navais pas l’intention de stopper là ayant toujours adoré faire des cunnilingus et faire en sorte que la première jouissance de mes partenaires soit le fruit de ma langue sur leur clitoris.
Ses deux mains se posèrent derrière ma tête et la plaquèrent sur son sexe. Elle commença à geindre de plus en plus fort et des sons incompréhensibles sortaient maintenant de sa bouche
— Ah.., ha vient, prends-moi vite, je vais joouuiiirrrrr
Elle neut pas le temps de continuer, une vague la submergea et son corps se tordit sous leffet de la jouissance.
Cela dura de longues secondes et elle repoussa ma tête de son sexe puis ses muscles se relâchèrent et avec un sourire béat elle me dit
— je ne me souviens pas avoir autant joui sous leffet dune langue ; et mon Dieu comme la tienne sait sy prendre. Quest-ce quelle est agile !! .Sil te plait, attends un moment il faut que je reprenne mon souffle, je veux profiter jusquau bout de ma jouissance
Elle était allongée sur le dos, les yeux fermés et moi jétais affalée entre ses cuisses, je faisais avec deux doigts de lents va-et-vient dans son vagin, mes yeux toujours fixés sur sa chatte. Jentendais un léger clapotis à lintérieur du vagin, signe évident dune lubrification naturelle intense amplifiée par ma salive quand je léchais son sexe.
Après quelques minutes daccalmie, elle me dit
— viens, prends-moi maintenant, je veux sentir ta bite dans mon vagin, je veux que tu me heurte lutérus, prends-moi fort, fait-moi mal, je ten prie
Jaurais bien voulu mais ne le pouvais pas car mon sexe après cette interruption était redevenu flasque. Je le lui faisait remarquer et aussitôt elle se jeta dessus avec une bouche gourmande. Elle le happa, me suça, par magie, lérection revint. Je sentais le plaisir avancer au galop et ne voulut rien lui dire. Jempoignais sa tête et la maintenais avec mon sexe enfoncé dans sa bouche puis dans un cri, jai commencé à éjaculer. Elle essaya bien de faire un bref mouvement de recul de la tête mais elle ne le put sous leffet de la pression de mes mains sur sa nuque. Ma bite déversait des jets chauds de sperme dans sa gorge ; au bout de plusieurs spasmes, je la lâchais , mattendant au mieux à un reproche, au pire à une engueulade mais à ma grande surprise elle garda mon sexe en bouche et avala tout le sperme quelle avait recueilli
Après lavoir lécher sur toutes le faces telle une goulue, elle le retira de sa bouche et me dit
— et bien, ce nest pas si mauvais que ce quon mavait dit ! Tu sais Daniel cest la première fois quun homme jouit dans ma bouche
— et alors ?
— ton sperme, je ten redemanderai peut-être encore !
Deuxième chapitre
Les vacances commençaient fort bien. Nous sommes resté blottis lun contre lautre et après nous êtres assoupis environ deux heures, son corps chaud réveilla en moi un désir inachevé , pénétrer son vagin
Je lui tournais la tête vers moi et la réveillais par ce mouvement. Elle ronronna comme une chatte heureuse et dit
— que veux-tu que je te fasse ?
— rien cest maintenant moi qui vais te faire quelque chose. Mes doigts repartirent à la connaissance plus approfondie de son corps et sarrêtèrent à lentrée de sa grotte. Elle était humide, un doigt, puis un deuxième et un troisième pénétrèrent aisément dans son vagin et commencèrent à caresser la paroi intérieure à la recherche de son point G.
— Arrête, tu me donnes envie de faire pipi.
Je redescendais la tête vers son sexe et la chevauchais pour faire un 69. Elle happa mon sexe et commença un travail de piston sur ma hampe. Il devint dur, dur et durant ce temps, ma langue était repartie à lassaut de son clitoris. Jeu envie de profiter du fait que mes doigts étaient gluants pour essayer de pénétrer son anus. Je caressais doucement sa rosace afin den assouplir le muscle et par petites poussées successives jintroduisis une phalange
— non, pas ça, je ten prie, je naime pas
Je me retournai le haut du corps
— tu naimes pas ou tu n’as jamais essayé ?
Pas de réponse, jinsistai et dune petite voix, elle me dit
— non Daniel, je nai jamais essayé mais deux choses nouvelles dans la même nuit cest trop pour une vieille femme comme moi
Je ninsistais pas en pensant que nous étions là, ensemble, pour deux semaines. Après tout ne brusquons pas les choses.
Ma bouche repartis avec gourmandise à lassaut de son sexe et jévitais bien toute caresse des doigts près de son anus, par contre, quand ma langue ségarait dans ce coin, Jeanne ne disait rien.
Je sentis par ses mouvements de haut en bas que son plaisir venait. Je décidais alors ce cesser ce 69 et décidais de la prendre
.- maintenant je vais te pénétrer ma belle
Je guidais mon sexe vers lentrée de sa vulve, mais cétait inutile, il se dirigeait seul vers ce nid douillet et chaud qui ne demandait quà maccueillir. Je pénétrais en elle et quand je fut bien au fond, je pris ses deux jambes et les relevais au dessus delle. Jétais ainsi dans une position optimum pour aller au plus profond delle, et je suis sûr que mon gland ne devait pas être loin du col de son utérus.
Je relevais les genoux, mes seuls points dappui étaient maintenant mes orteils en extension, et mes mains sur ses mollets. Je commençais alors un lent mais régulier mouvement d’avant en arrière.
fais moi mal, va au fond, je veux mieux te sentir
Jappuyais sur mon bassin de tout mon poids et elle cria
-aie, aie aie, pas si loin, tu va me déchirer !
Je me redressais sur les genoux, ses jambes reposaient sur mes épaules et je continuais mon mouvement avec moins dampleur. Elle commençait à dodeliner de la tête, je passais une main entre nous et mes doigts atteignirent son clitoris, la conjugaison de mon sexe et de mes doigts provoqua en elle un orage soudain et elle roula les hanches de gauche à droite ; Jen profitais pour accélérer, ma jouissance arrivait. Cest un râle commun qui nous réunit et nous nous sommes affalés lun sur lautres en nous donnant des baisers passionnés.
Jétais fatigué, elle devait être dans le même état que moi, mais nous primes le temps de passer à la salle de bain pour prendre en commun une nouvelle douche. Puis on se coucha dans les bras lun de lautre et le sommeil fit son uvre. Cest vers dix heures que des toc toc sur la porte me réveillèrent.
— un instant sil vous plait , jarrive
Je passais très vite un maillot de bain et allait ouvrir. Je me trouvais en face dune charmante Ivoirienne qui voulait faire la chambre je lui demandais de revenir dici un quart dheure, le temps de réveiller Jeanne.
Ma belle-mère qui navait rien entendu, dormait à poings fermés. Je lappelai
-Jeanne, Jeanne, réveille-toi ; il est 10h du matin et la femme de ménage veut faire la chambre.
Avec un bâillement sonore elle sétira et saccrocha à moi en disant
— bonjour mon Daniel. Tu veux encore me gâter ?
Visiblement, elle navait pas entendu ce que je lui avais dit. Je lui répétais que la femme de chambre voulait faire la chambre; elle se précipita hors du lit et alla vers la salle de bain. De nouveaux toc toc retentirent à la porte, jallais ouvrir et laissait entrer la femme en charge du ménage de notre bungalow
Javais faim maintenant, ça devait être pareil pour Jeanne, mais javais bien peur quil soit trop tard pour prendre notre petit-déjeuner. Afin de men assurer je partais en courant vers la paillote restaurant ; mes craintes étaient malheureusement fondées, toutes les tables étaient desservies et les premiers préparatifs du déjeuner avaient commencé. Je demandais où on pourrait trouver à cette heure de quoi boire et manger car nous navions pas pris le petit déjeuner ; on me dit que le bar était lendroit adéquat pour exaucer ma demande. Jy allais donc et demandais sil était possible demporter dans mon bungalow, de quoi boire du thé, du café avec du pain, du beurre et de la confiture. Le serveur, certainement habitué à ce genre de demande à une pareille heure, me lança un sourire en disant
— vous avez une tête toute chiffonnée ; vous nêtes pas malade au moins?
— non pas de problème, je manque seulement de sommeil
— dans ce cas, ce que je vais vous donner de quoi vous rétablir très vite, vous en voulez pour combien de personne ?
— deux sil vous plait
Avec un sourire entendu il partit derrière, dans la cuisine, et revint dix minutes plus tard avec un sac et deux thermos
— le nom de votre bungalow sil vous plait; ne vous souciez pas pour les thermos, vous me les rendrez cet après-midi, bon appétit, au revoir Monsieur..
Je me dirigeais vers notre bungalow et retrouvais Jeanne qui me fit un grand sourire ponctué de coucous avec la main en me voyant.
Je lui présentais ce que je rapportais et on décida de prendre ce petit déjeuner de fortune dans un coin du petit jardin situé devant le bungalow, bien à labri des regards derrière la haie touffue, car la femme de ménage officiait à l’intérieur.
Elle portait le bikini noir avec un haut très échancré qui faisait remonter sa poitrine. Hum, jaurais tellement voulu tendre ma main pour la peloter
On prit place dans les meubles de jardin et on commença le petit-déjeuner. Au bout de vingt minutes, la femme de ménage réapparut en disant
— cest fini, bonne journée, au revoir et à demain.
Jeanne me sourit et dit
— on est seuls maintenant. Que veut-tu faire? Moi jirai bien me baigner une petite heure ; Tu vois, je suis déjà en tenue et jaimerais bien bronzer un peu.
Sitôt dit sitôt fait, je pris les deux thermos et pendant que Jeanne allait vers la plage, je me dirigeais vers le bar pour rendre les thermos. Je pris un chemin qui menait à la plage mais qui permettait de la surplomber avant dy accéder. Je pus voir de nombreuses femmes, des jeunes, des mûres et des plus âgées, se baigner les seins nus. Cest sûr, toutes navaient pas des seins parfaits qui auraient passé avec succès le test du crayon, mais qui sen souciait, elles étaient heureuses de passer un moment agréable sous le chaud soleil de la Cote d’Ivoire.
.
De loin, je vis Jeanne qui était en train denlever son paréo avant daller dans leau. Je la suivis du regard, son corps était beau et elle ne faisait pas ses 52 ans, pas de bourrelet sur les hanches, peu de cellulite, une poitrine encore bien agréable à voir, même si elle avait du être encore mieux, il y a quelques années; quimporte, elle me plaisait telle qu’elle était et je la désirais.
Elle partit vers locéan et ne me vit donc pas déposer mes affaires à coté des siennes et courir la rejoindre dans leau.
Je mapprochais derrière elle tout doucement et la saisit par les hanches. El poussa un cri de peur strident, se retourna, me vit, saccrocha à mon cou en membrassant à pleine bouche. Main dans la main on séloigna de la plage. Leau arrivait maintenant à la hauteur de sa poitrine. Je saisissait loccasion quil ny avait personne autour de nous pour glisser une main dans le slip de son maillot de bain.
— hannnnnnn ..gémit-elle ; non pas dans leau. Tout à lheure après le déjeuner, je te promets une sieste crapuleuse.
Fort de cette promesse pleine de sous-entendus, on chahuta dans leau et au bout de plusieurs minutes on revint sur la plage.
Jeanne sallongea sur le ventre sur sa serviette.
— Daniel, veux-tu sil te plait me mettre de la crème sur le dos, je ne veux pas attraper un coup de soleil dès le premier jour
Je pris le tube et afin de pouvoir en passer partout, je dégrafai le haut de son bikini sans quelle dise quoique se soit.
Jenduisis son dos, larrière de ses cuisses et de ses jambes de crème et revint vers sa taille. Je lui passais de la crème jusqu’à la lisière de la culotte de son bikini tout en laissant deux doigts passer sous le tissu ; elle me regarda avec un sourire prometteur. Et reposa sa tête sur ses bras. Au bout de vingt minutes elle voulut se retourner tout en ne tenant pas compte de son haut maillot dégrafé. Elle se mit sur le dos, ses seins étaient à lair; libres de toute contrainte. Je lui passais de la crème en insistant bien sur sa poitrine car il y a longtemps quelle navait pas vu le moindre rayon de soleil.
Après une demi-heure, elle me dit quil était temps de remonter vers le bungalow pour prendre une douche avant daller déjeuner. Jacquiesçais et nous partîmes ; elle entra dans la salle de bain la première pour prendre sa douche. Quand ce fut mon tour de me laver elle me croisa en me dévisageant de haut en bas tout en passant sa langue sur ses lèvres.
Quand quelques minutes plus tard, je sortais de la salle de bain, Jeanne était prête, habillée dune robe blanche avec de la dentelle et mattendait assise dans le canapé.
Je mhabillais rapidement et nous partîmes vers le restaurant.
Un sympathique buffet avec du poisson sous toutes ses formes était disposé à lentrée de la salle. Nous fîmes notre choix et allâmes vers une table à lécart.
Cétait délicieux et les tables sétaient remplies. La salle devenait plus bruyante, je suis allé chercher un café pour finir mon repas et revins à notre table. Jeanne avait ses deux mains croisées sous son menton et se mis à me dévisager avec un sourire coquin qui mannonçait, du moins je lespérais, un pousse-café des meilleurs qui soit.
— Tu as finis Daniel, que veux-tu faire maintenant ?
Je la regardais dun air étonné et surpris puis elle sesclaffa ;
— allez, viens, je temmène au paradis
On se dirigea vers le bungalow en nous arrêtant toutes les cinq minutes pour nous embrasser. Une fois dans le bungalow elle mordonna de masseoir sur le canapé et de ne pas bouger sous peine de rompre le charme puis elle partit dans la salle de bains. Elle y resta environ dix minutes puis en ressortit tout en restant à cinq mètres de moi et commença un strip-tease inattendu. Elle fit passer par-dessus sa tête sa robe blanche et là, surprise, elle apparut à ma vue en lingerie blanche, soutien gorge pigeonnant, porte jarretelles, slip et bas qu’elle venait de mettre.
— je voulais te faire une surprise ; quen penses-tu ?
Je la dévorais des yeux et compris alors le sens de sa question concernant mes préférences entre les bas et les collant pour une femme. Je me levais et allait vers elle.
Ses sous-vêtements tout en dentelle et transparence offraient une vue magnifique sur ses appâts. Javais la tête que chavirait, je levais le bras pour toucher le bout de ses seins à travers son soutien-gorge et ce contact me fit frissonner de désir. Je bandais comme un âne et mon érection me faisait mal ; jai ôté mon pantalon pour être plus à laise, de toute façon, tôt ou tard, je laurais enlevé.
Les bouts de ses seins sous leffet de mes légers pincements commençaient à durcir. Je ne résistais pas, létreignis dans mes bras et lembrassais. Nos langues jouèrent lune avec lautre pendant de longues minutes jusquau moment de reprendre notre respiration. Nous étions en apnée compète. Je me mis à genoux et ma bouche se trouvait maintenant en face de sa toison damour. Un subtil parfum séchappait par la dentelle de son slip et jaurais voulu le lui arracher avec les dents pour accéder au plus vite à sa fente intime. Je me mis à passer mon index droit entre ses deux cuisses à la hauteur de sa vulve. Ce mouvement provoqua chez Jeanne une décharge électrique et elle se mordit les lèvres de plaisir. La transparence de son slip me permettait de voir sa toison brune dans toute sa plénitude. Mon doigt arrêta son mouvement dans la fourche de son sexe et ma main descendit sur le haut de ses cuisses puis sur lorée de ses bas. Le contact si particulier de la texture des bas me procura une sensation indéfinissable. Jéprouvais un désir non maîtrisable de passer du soyeux des bas à la douceur de sa cuisse. Je sentais le plaisir monter, monter,
— Jeanne, jai envie de jouir
Elle se mis à genoux, ne renversa sur le dos et baissa mon slip ; elle avait eu juste le temps de prendre mon sexe dans sa bouche et de faire avec ses lèvres deux mouvements de haut en bas que, ne pouvant plus me retenir, jexplosais. Pour la seconde fois de notre relation, elle recueillit ma semence dans sa bouche. Elle continua ses mouvements de pompage, un filet de sperme sortait à la commissure de ses lèvres puis se retira, ouvrit sa bouche pour me montrer ma liqueur et lavala.
Excuse moi, ma chérie, la vue de ton corps ma tellement excité que je nai pas pu résister à mon désir. Mais ne tinquiètes pas, donne-moi une petite heure et je vais revenir en course et en attendant je vais moccuper de tes trésors et comme on a tout laprès midi devant nous …
Nous sommes allés nous allonger sur son lit dans le salon qui serait désormais notre lit et mis Jeanne sur le dos. Elle avait toujours ses sous-vêtements qui mavaient mis en émoi et je commençais à la caresser sans oublier une seule partie de sa peau. Les coins de son corps que mes doigts finissaient de caresser étaient repris par ma bouche et ma langue.
— Ah .. Ce serait peut-être mieux si tu enlevait mon soutien-gorge, non ? Le contact du tissus nest pas désagréable mais je préfère sentir directement ta langue sur mes seins .javais enlevé son slip et il ne lui restait que son porte-jarretelles et ses bas au pouvoir si érotique pour moi.
Jeanne ne cessait de me caresser la bite qui insensiblement commençait à passer peu à peu de létat flasque à un peut raide. Il nen manquait pas beaucoup pour quelle reprenne sa vigueur tant espérée par Jeanne.
Lenvie de pénétrer ma belle-mère revenait et je voulais quelle garde son porte-jarretelles et ses bas pour mieux assouvir mon fantasme. Je descendis entre ses cuisses et commençais à lui lécher le sexe au plus profond possible. Ma langue allait de lentrée de son vagin à son clitoris .Je le décapuchonnais entièrement pour exacerber un peu plus le contact de mes papilles sur son petit gland. Elle poussa de petit cris qu elle essayait en vain détouffer en fermant la bouche, mais à quoi bon,
Je restais de longues minutes à la lécher et me mis en tête de voir combien dorgasmes successifs je pouvais lui faire atteindre par un cunnilingus. .Jempoignais ses hanches et soudais mes lèvres sur ses grandes lèvres et ma langue continua à passer, glisser et fureter dans tous les recoins de sa chatte. Lodeur de son sexe accroissait mon excitation ; jétais comme une locomotive lancée sur une voie et incapable de sarrêter. Son gémissement se transforma en mots
— Oh, oui, encorrrrrre .. contiiiiinue, ça vient.oui, narrête pas encore
Puis un énorme spasme lui fit se dresser les hanches sans que ma bouche en action ne se décolle de son sexe, elle cria
— oui, oui oui, oh, oh, mon chéri, oh oh ..
Elle jouissait. mes mains lâchèrent ses hanches pour peloter ses seins et sans bouger ma bouche, jarrêtais de faire bouger ma langue pour quelle profite de sa jouissance ; Elle redressa la tête, me sourit et dit
— Daniel, cest énorme je ne sais pas où je suis ..
Après environ cinq minutes de repos, ma langue repartit à laction, mes mains emprisonnèrent ses hanches et en route pour le deuxième orgasme ; je prenais soin de ne pas trop sucer son clitoris afin que le plaisir ne devienne pas insupportable. Ma langue fit une petite déviation vers son périnée afin de voir sa réaction et repris le chemin de sa vulve. Il fallut quelques minutes pour quun second orgasme vienne lenvahir.
Jattendais de nouveau plusieurs minutes et repris mes mouvements ; le troisième orgasme la cueillit très vite mais quelques signes, grimaces et mots me laissaient voir que le plaisir commençait à devenir presque une douleur. Je ralentissais tous mes mouvements pour lui donner un quatrième et ultime orgasme successifs quelle atteignit en ne disant
— arrête, cest trop maintenant, jen peux plus Daniel, viens toi.
Je lui demandais de me branler pour me remettre dans de bonnes dispositions et la pénétrais. Son vagin était gluant et chaud cétait un plaisir inimaginable que de menfoncer et faire des mouvements de va et vient en elle. Je me retirais et mis un doigt dans son vagin pour le lubrifier et le posais sur sa rosette et le poussais à lintérieur de son anus. Mon sexe avait entre-temps repris possession de sa chatte et mon plaisir montait.
Jeanne sen aperçut très vite et dit
— viens, jouis en moi, ne te retiens pas, donne, donne.
Jéjaculais longuement et retombais sur elle.
Après quelques minutes dimmobilité durant lesquelles nous navons fait que de nous embrasser, je retirais mon sexe devenu flasque du sien et me levais pour aller vite chercher des serviettes en papier pour nous essuyer. Je revins au coté de Jeanne et allongés lun contre lautre, nous nous endormîmes.
Troisième chapitre
La soirée fut calme. On ne fit même pas lamour ; on navait ni lun ni lautre lénergie pour remettre une quatrième fois le couvert dans la même journée.
Après le dîner, on fit quelques pas de danse sur la piste de la boite de nuit du village, enfin les pas de danse tenaient plus du frotti-frotta que de la danse. Elle samusait à coller son sexe sur le mien et à faire onduler ses hanches espérant voir venir chez moi une réaction, en vain. On regagna le bungalow et après une longue discussion sur linceste et ses conséquences dans le cadre de notre relation, on décida de se coucher dans les bras lun de lautre et on sendormit.
Je rêvais que quelquun me faisait une super fellation avec une langue qui passait tout autour du gland, jaurais souhaité ne pas me réveiller pour ne pas arrêter ce rêve fabuleux mais trop tard et oh miracle je sentais encore cette langue. Je tournais la tête vers Jeanne personne. Elle était entre mes jambes en train de me sucer la bite. Je navais pas rêver, cétait le plaisir procuré pas la bouche de Jeanne qui mavais réveille. Quand elle vit que je ne dormais plus, elle lâcha ma queue et dit
— comment vas-tu mon amour ? bien dormi ? Laisse-toi faire javais trop envie de ton sexe alors jai choisi le meilleur moyen pour me lapproprier, il est aussi un peu à moi maintenant, non ?
Je fermais les yeux et me laissais aller à ce plaisir sourd que je sentais venir tout doucement. Elle passait du gland aux couilles et revenait, puis elle essaya denfouir mon membre le plus possible dans sa bouche. La première fois elle se mis à tousser puis recommença et il y eut du mieux. Sa bouche arrivait assez près de mes testicules. De la salive coulait de ses lèvres
— ninsiste pas si tu as de la gêne à la mettre toute entière dans la bouche
— Non, je veux que cette fois tu jouisses et que ton sperme aille directement au fond de ma gorge et pas dans ma bouche.
Elle insista donc encore, je navais jamais éprouvé cette sensation. Un étui doux et chaud entourait mon membre elle pris sa respiration et enfonça complètement mon sexe dans sa bouche au fond de sa gorge et par des mouvement de la tête de droite à gauche déclancha mon orgasme. Je lâchais tout mon jus dans sa gorge qui partit directement dans son sophage .Cétait la première fois que lon me faisait ça et cette découverte qui ne venait pas de ma volonté me donna un sentiment de plénitude immense, jétais avec une femme qui faisait tout pour me donner du plaisir.
Je regardais ma montre, on avait encore une heure avant le petit déjeuner et le départ en car pour lexcursion. Après nous être préparés, Jeanne revint vers moi et je l’embrassais.Pendant cette rapide effusion, elle me dit
— on na pas le temps maintenant, attendons ce soir car je ne sais pas combien de temps cela prendra, mais tu essaieras de menculer quand on sera rentré.
Avec une telle promesse la sortie de ce jour ne pouvait quêtre belle. Heureusement que dans ma trousse de toilette javais un tube de lubrifiant, il me servirait bien avec ma belle-mère.
Le car nous emmena visiter la brousse et sarrêta dans un village où nous vîmes un spectacle de luttes africaines. Un repas de poisson grillé nous fut ensuite servi sous une grande paillote et chacun profita des mets préparés Tout cela sentait beaucoup le théâtre pour touristes, mais on se doutait de ce qui nous attendait en faisant cette excursion.
Pendant ce buffet Jeanne qui était à coté de moi me glissa à loreille,
— Daniel, si je te dis que jai hâte que lon rentre
— tu as peur que les lutteurs ne tenlèvent, rassure toi, ils ne sont pas cannibales
— idiot, tu sais très bien ce que je veux dire
Et un large sourire vint sur ses lèvres.
laprès midi fut consacré à la visite d’artisans proposant des tissus imprimés et sculptures sur bois et vers 17h , alors que le soleil commençait à tomber , le car reprit le chemin de notre village.
Jeanne et moi, étions assis au fond du car, et il ny avait personne sur la rangée de sièges. Elle profita de lobscurité et de notre relatif isolement pour appuyer sa tête sur mon épaule et dune main me caressait le sexe. Cétait bien parti. Je lui demandais darrêter sinon je ne pourrais pas descendre du car avec une apparence normale. Après plus d’une heure de route, le car entra dans le village et tous les voyageurs allèrent vers leurs bungalows avant le dîner.
Une fois dans le bungalow, un aimant terrible nous attira lun vers lautre. Nos bouches se soudèrent et nos langues se mélangèrent allègrement. Ce furent des baisers à en perdre haleine.
-tu veux me baiser maintenant ? Me dit-elle
— non, tu as dit ce soir alors cest ce soir quon baise !!
— puisque cest ça, donne moi une demi-heure, je prends une douche et vais mhabiller pour le repas et pour toi mon chéri. Elle partit dans la salle de bain, jentendis la douche coulée et jattendais devant la porte pour en prendre une à mon tour.
Jeanne ressortit avec une serviette autour du corps et je me précipitais à mon tour sous leau.
Dix minutes plus tard, jétais douché, rasé, parfumé, près pour les festivités promises.
Je ne vis pas Jeanne et allais enfiler un pantalon de lin crème sur une chemisette bleu ciel– – — Daniel, où es-tu ?
— jarrive Jeanne
Je la retrouvais assise sue le transat dans le jardin devant le bungalow et elle était vêtu dune robe mexicaine blanche qui descendait jusquau sol avec une superbe écharpe autour se ses épaules.
-on y va ?
Elle pris ma main et on se dirigea vers le restaurant paillote.
La sale était pleine et on ne trouva pas de place coté à cote.
— Jeanne tu veux attendre pour manger et quon soit ensemble ou qu’on mange séparément ?
— quelle question, je peux attendre et toi ?
— je préfère attendre aussi et rester avec toi
Elle prit ma main et ses doigts serrèrent très fort les miens. je me suis dirigé vers un des serveurs pour lui demander combien de temps il fallait attendre pour pouvoir manger ensemble à une table
— revenez dans quarante minutes
Jentrainais Jeanne vers le bar boire un apéritif pour passer le temps La discussion tourna à la plaisanterie sur les lutteurs de laprès midi et le serveur que javais interrogé mappela
-Monsieur, Monsieur, il y a une table libre maintenant.
On sinstalla face à face et on nous servit les entrées composée de différents coquillages et poissons froids , un régal ; puis vint le plat principal fait de poulet cuit dans des feuilles de bananier avec une purée digname et on alla chercher des glaces pour terminer ce dîner.
Le temps avait passé et il était plus de 10 heures quand nous nous levèrent de table . il faisait nuit noire et seules des petites lampes placées au niveau du sol ,environ tous les 10 mètres indiquaient le chemin.
Je mis mon bras sur ses épaules et Jeanne me pris la taille et chantonna . De temps en temps je marrêtais pour lembrasser afin de préparer notre soirée intime.
On arriva devant le bungalow et Jeanne me dit
— prends moi dans tes bras pour entrer chez nous
jentrai avec Jeanne dans le bras et la déposait délicatement sur le sol . On repris une séance délirante de baisers jusquà en perdre haleine et je me mis à lui peloter les seins
— enlève ma robe, ça sera mieux pour toi et moi
Aussitôt dit, sa robe tombait au sol et je faisais de même avec mes vêtements <%2