Mon nom est Sophie. Ce que je veux tout de suite? Me faire enculer. J’en peux plus. C’est trop fort. Une queue, deux queues, qui me défoncent le cul et l’inondent de foutre brûlant.
Ça a commencé dans le métro. Bondé. L’heure de pointe.. Un homme me serre par derrière. Je sens sa queue qui gonfle sous son pantalon. Elle est énorme. J’ose la toucher d’une main tremblante.
Je vois le visage de l’homme dans la vitre du wagon : il se cabre, il respire fort. Je sens une détente violente sous le tissu; je sais que le foutre coule en flot abondant car la braguette devient chaude et humide. L’homme tout énervé, sort sa queue, pour que je la touche : elle est baveuse à souhait, le sperme dégorge encore par saccades. J’en ai plein ma main, c’est délicieux.
Mais la rame s’arrête, je descends. Et pas lui. Il reste dans le wagon , et me regarde sur le quai quand la rame s’éloigne. Et moi, je reste avec le sperme de cet inconnu dans ma main droite. Je sens l’odeur, j’y mets la langue. A partir de ce moment, je deviens folle: je regarde les braguettes de tous les homme qui me croisent : ils s’en aperçoivent et me renvoient un regard vicieux que j’adore.
Arrivée à la maison, je me passe un film porno. c’est un spécial "Anal". Une fille se fait enculer à la suite par plusieurs mecs hyper membrés. Le foutre jaillit de son cul qui est plein ; Ça n"a pas l’air de déranger les mecs qui vident leurs couilles entre ses fesses bien écartées. Certains éjaculent dedans, d’autres sur ses fesses, et les vicieux trempent leur queue dans la couche de sperme qui recouvre ses fesses, pendant que le fille se masturbe à mort, et se tortille, orgasme après orgasme, en hurlant : encore, encore, je suis une salope, je veux des queues, encore des queues, du foutre, encore du foutre, violez-moi, je veux deux queues à la fois!!. Un homme se glisse en dessous, elle lui prend le membre d’une main, et l’enfonce dans son cul d’une main impatiente. Là, elle fait sa chienne, lève les fesses , regarde en arrière pour voir si une queue se présente ; En fait, il y a trois hommes qui veulent prendre la place . Elle hurle : je veux la plus grosse!! Les trois homme la laissent choisir : d’une main experte, elle tâte les trois queues ainsi que les couilles , puis choisis en effet la plus grosse et la plus longue.. " Vas-y, branle-toi à mort avant de me la mettre; je veux qu’elle soit dure et brûlante.
L’homme est excité, il agite sa queue très fort, et quand le gland est ultra gonflé et rouge foncé, il s’approche avec frénésie du cul qui se tortille déjà de plaisir sous l’effet de la première queue qui la défonce . La deuxième queue est là, elle veut se frayer un passage à côté de la première. Elle n’y arrive pas. Si, le gland énorme pénètre à moitié : les trois personnes sont immobiles pour faciliter l’opération. La salope a la tête cambrée : elle goûte avec délice cette nouvelle introduction douloureuse et bienfaisante ; " oui…oui, ouiiiiiii "
C’est fait : la salope a maintenant deux queues dans le cul, qui entrent et sortent, tantôt alternativement, tantôt simultanément. La fille se tord sous les coups. Les deux hommes qui viennent d’être écartés pour raison de queue insuffisante se sont approchés : " oui, venez, venez… branlez-vous en regardant. Ça vous excite, hein, vieux salauds ? " Ça les excite tellement que leurs deux queues explosent en même temps. Par jets puissants qui arrosent les deux queues en mouvement, qui ainsi glissent plus facilement, devenues gluantes et baveuses de ce sperme fraternel.
La salope , de la main droite touche de temps à autres les queues jumelles pour bien les maintenir en place. " OUI, OUi, DÉFONCEZ-MOI, ENFONCEZ-LES JUSQU’AUX…. COUILLES!!!!! SALAUDS. DILATEZ-MOI, ÉCARTELEZ-MOI, FAITES-MOI MAL, JE LES ADORE VOS QUEUES BANDÉES …À MORT!! " Elle tâte maintenant les deux paires de couilles de ses deux mains. Elles sont gluantes du foutre des autres, elle les triture sauvagement, elle est au comble du vice, elle souhaite maintenant l’explosion finale. Le mouvement s’est maintenant accéléré : la femme a écarté ses fesses des deux mains, elle sort sa langue et se lèche les lèvres, elle est en sueur, ses yeux sont révulsés de plaisir.
Et cela arrive : c’est une onde qui naît dans l’échine des deux hommes, qui arrive dans leurs couilles, et qui se propulse dans les membres exacerbés. On entend trois jouissances simultanées, les râles rauques des deux hommes et les plaintes suppliantes de la femme. Et s’est le grand désordre : la queue du dessous jouit dans le cul de la salope qui se tortille en accueillant avec reconnaissance le fluide épais et brûlant. L’autre queue sort du cul, veut y entrer à nouveau, n’y parvient… Alors elle gicle son foutre un peu partout, des jets atteignent les épaules de la femme, d’autres , plus courts, s’écrasent entre ses fesses et dégoulinent sur sa chatte qu’elle astique frénétiquement, les dernières sortent lentement du gland que l’homme serre fortement entre ses mains et viennent former des arabesques avortées sur des fesses encore agitées par les derniers spasmes du plaisir.
Et moi, dans tout ça. J’en peux plus. Je me suis choisi un énorme carotte dans le frigo, et je me l’enfonce dans le cul en imaginant que ce sont tous ces hommes qui me défoncent. De temps en temps, je sort doucement la carotte de mon cul, et je crache dessus en l’insultant, et quand elle est bien pleine de bave ( que j’imagine être du foutre ), je me mets à terre à plat-ventre, je fais ma salope, je tends mes fesses en l’air , et je m’enfonce la carotte jusqu’à la faire disparaître entièrement. Puis je pousse et la fais ressortir lentement. N’y tenant plus, je téléphone à tous mes amis les plus vicieux…
La suite dans " en chaleur, chapitre 4 ". VIRILO