La journée se passe comme d’habitude: Tonton Marcel, rentrant du travail à quatre heure du matin, est encore au lit quand nous nous levons tante Germaine et moi… Pendant le petit déjeuner pris en commun, nous parlons de choses et d’autres. Tante, en bonne initiatrice, détaille les différentes façons ou positions pour partager le maximum de plaisir avec une partenaire… Elle cite souvent quelques unes de ses aventures amoureuses tant avec tonton qu’avec d’autres amants… A part les paroles, nous n’avons aucun geste ou attouchement sur le sujet de toute la journée… Puis chacun vaque à ses occupations, tante à sa couture, moi à l’atelier de serrurerie ou sur les chantiers…
Le soir venu, tonton embauchant à vingt heure, il quitte la maison sitôt le repas fini. J’aide tante à débarrasser et à ranger… Quand tout est en place, nous nous retrouvons sur le divan du salon pour regarder la télévision… Très vite nous délaissons le petit écran pour des rapprochements plus intimes… Ce soir là, changement de programme… Tante me dit:
"- Je me sens un peu fatiguée. Il n’y a rien d’intéressant à la télé, j’ai envie d’aller m’allonger sur mon lit… Tu viens avec moi?"
Quelle question!… Bien sur que je veux aller avec elle…
Nous nous retrouvons au lit, nus, dans les bras l’un de l’autre, bouches contre bouches, langues et jambes emmêlées, chacun une main caressant le sexe de l’autre… L’excitation monte doucement…Soudain, tante écarte sa tête, me regarde dans les yeux …Un moment passa, avant qu’elle reprenne la parole:
"- "- Hier soir, quand tu m’as baisée en levrette, tu as vu mon petit trou… Ça t’a excité?… Tu n’aurais pas envie de l’explorer de plus prés?… Tu aimerais enfoncer ta queue entre mes fesses?"
Je restais sans voix… C’était trop beau… Tante Germaine venait de m’offrir ce que tout adolescent espère, mais que très peu obtient: faire l’amour avec une vraie femme, pouvoir enfoncer son membre viril dans un sexe féminin. Et voila que cette même femme me demandait si je désirais l’enculer, comme on disait entre nous au CFA. Certains camarades se vantaient bien d’avoir pris des filles par derrière… C’était plus des vantardises que la vérité… Cela nous faisait tout de même fantasmer…
Face à mon mutisme, tante reprit:
"- Ça te ferais plaisir?…
– Oh ou-ou-oui, bégayais je… Mais tu crois que je vais pouvoir y rentrer ma bite?… Ça va pas te faire mal?
— C’est un petit trou… Parfois ce qui en sort est dur et plus gros que ta queue, il peut donc s’ouvrir tout grand… Et puis, il faut le préparer… – Attends, je reviens…"
Disant cela, tante se lève, va dans la salle de bains et revient aussitôt, un tube à la main. Sur l’étiquette, je lis: "Vaseline médicinale"
Elle ouvre le tube pour faire couler, dans sa main, la grosseur d’une noisette d’une crème translucide avec laquelle, elle me masse la verge…
"- Avec cette crème, ça glissera plus facilement… – Tient-elle à me prévenir -. Ça aidera… C’est que tu es rudement bien monté pour ton âge".
Sous l’excuse de m’enduire le membre de ce gel, tante me branle d’un mouvement des plus exquis, faisant grimper le désir dans mon bas ventre. Enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, Germaine, me tend le tube et, se couchant sur le ventre, passe ses mains dans son dos pour écarter largement ses fesses.
"- A toi, – me dit- elle-. Passe moi de la crème dans mon petit trou".
Je n’en revenais toujours pas. Devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, tante Germaine, cette femme qui quelques jours plus tôt m’accueillait comme son fils, m’offre avec une vrai impudeur son petit trou du cul légèrement poilu… La gorge nouée, j’approche et presse le tube… Un petit boudin de crème incolore se dépose autour de l’entrée toute plissée et fermée du gouffre mystérieux…
"- Fais la bien pénétrer à l’intérieur avec ton doigt". – Me conseille tante, m’offrant son cul dans une position des plus obscène.
J’étale la crème tout autour de la collerette fripée, massant consciencieusement les bords avec un certain plaisir. Peu à peu, cependant, comme attiré par cet orifice si tentant, mon doigt glisse jusqu’au centre du mini cratère de chair, s’y enfonce lentement. Lorsque ma première phalange se trouve dans le conduit anal, il me semble que celui-ci se relâche un peu, s’ouvrant de lui-même pour accepter mon intrusion. Je continue à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouve avalé dans ce cul féminin, sans problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur était loin d’atteindre le volume de ce qui sort naturellement de ce conduit….
"- Oui, frotte bien…" – m’encourage tante en cambrant ses reins au maximum.
Puisqu’elle me le demande avec une réelle insistance, je rajoute de la pommade et j’active mon doigt dans l’orifice anal, éprouvant un certain plaisir à explorer ce cul féminin étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve que j’avais fouillé de ma bite la veille… Je fais coulisser mon majeur rigide dans le mignon petit trou.
"- Oh oui, c’est bon!… – gémit Germaine au bout d’un moment-. Continu mon chéri… Masse-moi bien le cul… Ohhh oouuii . Ouiii."
Enhardi par ces encouragements et par la facilité de la pénétration, je rajoute de la pommade et je joins l’index au majeur… La pénétration est aussi douce… Les muscles se détendent d’avantage… Tante se trémousse de plus en plus en gémissant de plus belle… Je pousse au maximum mes doigts explorateurs en y joignant l’annulaire… D’alternatifs, les mouvements de mon massage deviennent rotatifs…
Soudain, d’un coup de rein, tante replie ses jambes, soulevant et présentant ainsi son postérieur à hauteur de ma bite … Passant une main entre ses cuisses, elle attrape mon chibre pour le positionner au centre de son valseur…
"- Vas-y! Encule moi mon chéri!… Défonce moi le cul avec ton gros mandrin!… Oh oui!, j’aime ça!… Il y a longtemps que ça ne m’est pas arrivé… Fais-moi bien jouir!…"
Le bout arrondi de mon gland s’appuie sur son oeil plissé, qui me semble bien petit.
"- Là, tu y es, – me prévient tante d’une voix sourde- Va doucement…, tu es si gros…".
Avec émotion, je sens comme des pulsations sortant du minuscule trou… Saisissant les larges hanches de tante, je pousse pour enfoncer mon dard dans ce cul offert qui, malgré la lubrification auquel il avait été soumis, résiste quelque peu, faisant ployer ma verge pourtant rigide… Germaine pousse un petit gémissement, je la voyais agripper des deux mains un oreiller.
"- Oh comme tu es gros – gémit-elle-. Vas-y, pousse!… N’ai pas peur!…
Millimètre par millimètre, je sens l’étau se desserrer doucement… La poussée devient douloureuse…
Doutant du résultat, j’exerce quand même une nouvelle pression, en tirant à moi tante que je tenais fermement par les hanches… Celle-ci pousse un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri… Sans bien réaliser ce qui m’arrive, je me retrouve planté jusqu’aux couilles dans le cul féminin qui venait de s’écarteler brusquement.
" – Oui, oui, ça y est…- grogne Germaine-. Ne bouge plus… Oooh c’est terrible!…, tu m’as défoncé le cul… Ne bouge pas, je t’en prie… Pas tout de suite…"
Son anus est tellement serré, j’ai l’impression que mon chibre est coupé en deux par un élastique trop petit… Je sens le bout de ma bite gonflé à l’intérieur des intestins de tante qui gémit et pousse des petits cris de douleur.
Je reste immobile… Heureux d’enculer une femme… J’enculais cette femme qui m’avait tellement appris…
"- Vas-y maintenant, -me demande Germaine-. Va doucement… j’ai l’impression que tu m’as déchiré le cul…"
Je commence alors un va-et-vient entre ses fesses dodues.. .
Tante, passant sa main entre ses cuisses, se caresse le clitoris en poussant des petits gémissements
"- Oui, vas-y mon chéri… Encule-moi bien à fond…. Ça devient bon!… Huumm…"
Sa raie des fesses était assez large et remplie de poils noirs. Je vois ma bite entrer et sortir de l’anus affreusement dilaté. Je suis heureux comme jamais je ne l’aurais imaginé et les gémissements plaintifs de tante m’encouragent à continuer…. J’accélère peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément… Germaine pousse de tels cris, que je me demande si elle éprouve du plaisir ou de la douleur.
Mais d’un seul coup je sens la montée de ma jouissance vers ma verge. Sans que je puisse me retenir, je m’enfonce à fond et je lâche ma semence en longues giclées dans son fondement…
Elle se cabre au maximum faisant reculer son postérieur… Je perçois les spasmes de sa jouissance dans les muscles de son anus… . Il me semble que ça n’en fini pas…
Retrouvant notre calme, nous nous allongeons l’un à coté de l’autre, l’un dans les bras de l’autre… Un long baiser de remerciements réciproques nous unit intimement…
"- Ça t’a plus me dit tante dans un soupir…
— Oh oui! beaucoup!…
— Pour une première fois, tu ne t’es pas mal débrouillé… A moi aussi, ça m’a plus… J’ai bien joui même si ton engin m’a défoncé, que j’en ai encore un peu mal maintenant…
— Excuse-moi tatie, mais je n’y peu rien si je l’ai aussi grosse et longue…
— Ce n’ai pas grave… et tu verras, quand tu iras vers les filles, elles aimeront à condition d’être très doux et patient… Mais pour ça, je te fais confiance…
— Je ne te remercierai jamais assez tante de m’avoir appris tant de choses sur le sexe et la façon d’avoir du plaisir et surtout d’en donner…
— C’est moi qui te remercie de tout ce plaisir dont j’étais privée depuis longtemps… Avant, avec ton oncle, nous avons tout essayé, dans toutes les positions, par tous les trous que la nature nous a donné. Depuis qu’il a du mal à bander, il ne me reste que les souvenirs des bons moments de notre jeunesse. Je rêve à tout ce que j’aurais pu faire pour avoir encore plus de plaisir… En reconnaissance pour ton tonton, je lui suis restée fidèle… Trois ou quatre fois dans l’année nous arrivons encore à faire l’amour… Mais c’est de plus en plus difficile pour lui… Quand je t’ai vu, chez toi, j’ai fantasmé… De toute la nuit je n’ai presque pas dormi… je voulais trouver le moyen de nous rapprocher sans éveiller de soupçons… C’est pour ça que l’idée de t’inviter chez nous, pour travailler, m’est venue… Marcel n’a pas trop rechigné pour accepter cette solution… C’est grâce à toi que mes rêves sont devenus réalités…
— Tu veux dire que tonton Marcel sait ce que nous faisons quand il travaille?…
— Surtout pas, malheureux!… S’il savait, il pourrait me tuer!… Ce sera un secret entre nous… Je vais beaucoup regretter quand tu vas partir…
— Je te promets de venir te voir chaque fois que ce sera possible…
— Allons nous laver et dormir… Le cafard risque de nous prendre et je suis capable de pleurer…"
Ensemble sous la douche, nous nous sommes savonnés, lavés, essuyés mutuellement…
Après un dernier baiser, chacun a rejoint son lit pour une bonne nuit réparatrice dans un sommeil peuplé de doux rêves…
A suivre…
Petikokin
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