Le lendemain, vers 10h30 je me réveille doucement, le cerveau gavé de souvenirs très intenses. Je ne prends mon travail qu’à treize heures car je fais la fermeture aujourd’hui.
Tranquillement je prends mon petit déjeuner, toujours troublé par cette relation qui commence entre ma toute charmante collègue et moi. Sous la douche, je ne vous cache pas qu’il ne faut pas plus de quelques passages de savon sur mon sexe, pour que je n’en vienne à une petite partie de cinq contre un. Je revoie Maria m’engloutissant et me faisant jouir.
Arrivé au magasin, je croise ma douce maitresse, après un baiser sur la joue et un sourire malicieux, elle me rappelle de manière provocatrice mais discrète, qu’elle a hâte d’être à ce soir.
Pendant la journée, je n’ai pas l’esprit à ce que je fais, je rêvasse tranquillement devant un micro à réparer, quand la porte de la réserve s’ouvre et j’aperçois Maria qui s’approche de moi, je me lève. Me plaquant contre l’étagère elle m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se caressent, je sens son parfum qui m’enivre, l’excitation est trop forte, et je sens mon sexe à l’étroit dans mon caleçon, se raidir. Sentant alors la bosse dur, elle empoigne mon paquet, et s’arrêtant soudainement, de peur de se faire surprendre par nos collègues, me lance « j’ai de plus en plus hâte d’être à ce soir ». Elle me plante là, avec une frustration énorme, et sort de la pièce. Plusieurs fois dans l’après midi nous nous croisons, et échangeons des regards complices, à la limite de l’indécence. La journée me parait longue et passe tellement lentement.
22 h ! Enfin ! Je ferme à l’arrache le magasin, range mon rayon, non, sans un certain je m’en foutisme. Mais il faut dire que je n’y tiens plus. Maria, elle, est partie depuis un moment. J’arrive à la maison, et prépare un petit encas, pour nous deux. A peine un quart d’heure plus tard, j’entends ma belle qui frappe à la porte. J’ouvre et sans que je puisse dire un mot, elle se jette sur moi et nous nous embrassons langoureusement pendant quelques longues minutes. Puis elle entre dans la pièce principale, après avoir enlevé son manteau, s’approche de moi doucement, avec son sac à la main. Elle y glisse une main, et l’extirpant rapidement, elle dépose sur le bar un tube. Je découvre alors en plus de son sourire gourmand et provocateur, un brin cochon, qu’elle vient de sortir un tube de vaseline. Mon sang ne fait qu’un tour, j’ai une chaleur qui m’envahit, devant tant de provocation. Se rapprochant de moi elle me chuchote alors, que ce soir, c’est par le petit trou que tout va se déroulé.
J’attrape son bras me plaquant contre elle, et je lèche ses lèvres doucement, dessinant le contour de celles-ci du bout de ma langue. Nous entamons doucement une danse de caresses. Entre temps, j’ai passé ma main sous son pull de laine et découvre, qu’elle ne porte rien d’autre. A ma surprise, je la sens sourire pendant notre baisé. Elle m’avoue alors qu’étant rentré chez elle prendre une douche, elle avait imaginé ma surprise. J’attrape alors ces deux seins lourds à pleine main, toute en retenant mon excitation, pour ne pas être brutal, et ne pas m’emballer.
Je fais glisser son pull, la soulève et l’assied sur le tabouret du bar. Je commence doucement à descendre mes baisers. Tout d’abord dans son coup, l’odeur de sa peau me rend complètement fou. Puis laissant ma langue, parcourir chaque centimètre de sa peau, je me dirige doucement vers ces aréoles. Tournant doucement tout au tour de ces tétons, rapidement ils deviennent tendus et durs. Du bout des dents, je les titille et lui provoque quelques gémissements. Elle à glissé ses mains dans mes cheveux, et caresse doucement ma tête. Au bout d’un long moment de traitement délicat, ces gémissements se font de plus en plus forts, son souffle de plus en plus rapide. Elle halète, se tend et dans un râle profond, me plaquant littéralement le visage contre son sein, jouis bruyamment. Elle me garde quelques secondes dans cette position, puis me portant la tête, m’embrasse à pleine bouche.
Mon excitation est à son comble, j’ai même senti pendant sa jouissance, une goute de sperme perler dans mon caleçon. Descendant rapidement du tabouret, elle m’entraine, dans la chambre, et me pousse sur le lit, avec une vivacité inouïe.
Puis jette sur le lit, le tube de lubrifiant. Frénétiquement elle déboutonne ma chemise, me l’enlève avec fougue, défait ma ceinture, dégrafe mon pantalon, baisse mon caleçon qui libère alors mon membre tendu et déjà légèrement humide. Elle esquisse un sourire et me dit « je vois qu’il n’y pas que moi qui ai pris du plaisir. attends je vais terminer ce travail avant d’en entamé un autre. » Sur ces mots elle gobe entièrement mon sexe, le faisant cogné dans le fond de sa gorge. Doucement comme la veille, elle extrait ma queue pour la ré-enfoncé au plus profond, à la même vitesse. Mon gland décalotté par sa main qui maintient ma peau à la base elle joue avec celui-ci, comme avec une sucette. C’est dément, moi qui ne supportais pas les magasines, avec ces donzelles ayant une sucette dans la bouche. Je prends un immense plaisir. Écartant légèrement son visage, elle entreprend alors une branlette frénétique de ma bite. Alternant branlette et succions, pendant plusieurs dizaines de minutes, je lui saisi alors la tête pour me maintenir en bouche. Je sens le jus venir et me retenant de toutes mes forces, alors qu’elle amplifie le mouvement et la pression, dans un cri de fauve, je lui lâche plusieurs longues et abondantes giclées. Elle avale tout puis, léchant doucement ma queue redevenant mole, le regard toujours aussi déterminé et coquin, me gratifie de la quantité offerte.
Je reprends tranquillement mes esprits, et la déshabillant intégralement, je la caresse doucement. Je la fais s’allonger sur le ventre, et entame un léger massage, du dos. Arrivé à hauteur de ces reins, que je couvre de baisers. J’introduis délicatement ma langue dans la naissance de sa raie des fesses. Dans un va et vient de plus en plus humide de salive, je lui mouille de plus en plus loin, me rapprochant de son anus. Elle écarte les jambes, afin de me laisser un peu plus de place. J’aperçois sa petite rondelle, que j’effleure innocemment. Elle gémi, doucement. J’ai engouffré mon visage entre ses deux magnifiques fesses, et asticote le petit trou, objet du délit de cette soirée. Entre temps j’ai laissé trainer une main vers son petit minou, et titille son petit clito tout dur. Ces gémissements se font de plus en plus forts et longs. Elle ondule son cul sous le coup de ma langue, qui doucement s’enfonce dans cet antre. Je baise littéralement son trou du cul avec ma langue, maintenant. Mon mouvement se fait de plus en plus rapide, et je branle de plus en plus rapidement son clito. Alternant alors introduction de son anus et celui de sa chatte, elle commence à crier son plaisir. Accélérant encore les mouvements, elle se cambre d’un coup m’offrant un boulevard pour accéder à son intimité, je mange ces deux trous béants, et ayant introduit deux doigts dans sa vulve, je décuple la vitesse, de pénétration, elle souffle fort, crie, frappe sur le lit, empoigne l’oreiller et le serre fortement de ces mains, se cabre de plus en plus, je sens son corps tendu au maximum, elle libère alors son plaisir par des cris râleurs, pendant plusieurs minutes, s’écroulant, d’avoir relâché ses muscles. Sa chatte coulant comme une fontaine je bois son jus, et je continue à lécher doucement son clito, qui devenu sensible, lui provoque des petits soubresauts. Affalée sur le lit, elle respire fortement, les jambes écartées, m’offrant son cul magnifiquement voluptueux. Je n’ose même pas imaginer, vu l’épaisseur des murs, ce que les voisins ont pris ce soir là dans les oreilles. Et ce n’était que le début.
Au bout de presque dix minutes, après avoir repris ces esprits, je m’étais coucher à coté d’elle, et la caressait doucement. Elle souri, puis m’explique qu’elle pieds elle a pris. Qu’elle adorait qu’on lui « bouffe le cul » me dit elle. Ces mots crus dans sa bouche, me surprennent, mais surtout me remette en selle. Je sens une petite main, qui m’attrape la queue et commence à mesure que je raidi, un décalottage en bon et due forme. Elle, est toujours sur le ventre. Je m’extirpe et me positionne à genoux entre ces jambes. J’attrape ses hanches pour l’amener jusqu’à moi. Elle est à quatre pattes devant moi, m’offrant son cul tendu. J’attrape alors le tube de vaseline, alors que je sens une main me malaxer les couilles. La bite bien bandée, je commence à me branler face à son petit trou, recouvrant intégralement mon membre de plus en plus dur de lubrifiant. Puis je sens cette main qui remonte le long de ma hampe, pour doucement venir la présenter à l’entrée de sa sortie. j’appuie alors tout doucement mon gland sur son orifice, et le vois disparaitre dans son cul. Elle ondule son bassin afin de m’aider à la pénétrer, tout en recommençant, à pousser des petits cris rapides, au rythme de se respiration qui accélère. J’ai maintenant introduit 7 bons centimètres dans son anus, et tout doucement entame un va et vient, pour ne surtout pas lui faire mal, car mon expérience passée me restait encore collée à la mémoire. Tranquillement je sens son anus se dilater, et ma queue entrer de plus en plus profondément en elle, à mesure ces râles deviennent de plus en plus prononcés, et de plus en plus forts. Puis se lâchant complètement, elle recule ses hanches afin que ma bite entre au plus profond. Mon chibre planté complètement dans son cul, elle pousse un cri rauque, dans un orgasme monumental. De façon régulière j’accélère mon mouvement pour venir maintenant claquer mon bassin contre ses fesses, et lui pénétrer de plus en plus rapidement et fortement son petit trou du cul, son orgasme m’ayant serré la queue, je sens mon plaisir monter de plus en plus et au fur et à mesure que le la pilonne, mon désir de l’inonder, et me lâcher dans ses entrailles. Se remettant à peine de sa jouissance précédente, elle reprend de plus belle son plaisir sans aucune retenue vocale, qui a pour effet d’augmenter mon excitation. Ni de tenant plus de tant de plaisir, et la voir marteler le lit en hurlant, je retiens mon jus jusqu’à ce qu’ensemble nous venions, puis soudain, après le martyr d’une retenue impossible, nous jouissons. A chaque fois que je m’enfonce en elle, je lâche des jets de sperme dans le fond de son anus, lui provoquant un orgasme long et puissant. J’inonde son antre de mon sperme chaud, j’ai l’impression que nous ne finissons pas jouir. Après cette fantastique explosion de bonheur, nous nous écroulons sur le lit, moi toujours en elle, et hors d’haleine tous les deux. Ma queue perdant de sa vigueur, je fini par être éjecter de son orifice, laissant couler le jus chaud de son anus sur sa chatte. Il nous faut un bon moment avant de reprendre nos esprits. L’intensité du moment nous ayant anéanti, elle se blotti conte moi. « C’était tellement bon me dit elle ». Je lui explique alors que je n’aurais jamais imaginé faire jouir une femme de cette façon là, étant donné mon expérience loupée quelques années auparavant. J’étais aux anges, de se plaisir partagé, et de nos jeux. Nous somme dimanche matin, et il est environ 3h. Ne souhaitant pas qu’elle s’en aille, je lui propose de rester avec moi, et à ma grande surprise, elle m’explique qu’elle avait pris un rechange et quelques nécessaires de toilette. Nous avons dormi comme des bébés jusqu’à 10h, et nous nous sommes réveillé, par des caresses tendres, agrémentée de quelques caresses buccales des plus agréables.
Pendant plusieurs mois durant, nous avons fait l’amour intensément, de façons très variées, sujet d’autres récit.