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Enfin elle a cédé – Chapitre 5

Enfin elle a cédé - Chapitre 5



La vie avait repris son cours après cette séance mémorable.

Maintenant, Martine était d’une grande docilité au lit et je ne me privais pas de me servir de son corps de toutes les manières possibles.

Ce qui me plaisait, en dehors de sa plastique remarquable, c’est que vue de l’extérieur, c’était une belle bourgeoise BCBGC plutôt réservée et très classique.

Personne ne pouvait se douter de ce qu’elle avait déjà subi certes avec un peu de réticences au départ, mais surtout avec une docilité et des orgasmes malsains dont on ne pouvait pas imaginer l’ampleur en la voyant.

J’avais, depuis quelques mois, intégré une petite société dynamique avec un bon poste.

Déjà deux fois, nous avions été invités chez mon patron et j’avais surpris son regard admiratif, voire plus, posé sur ma femme.

C’était un bel homme de cinquante ans de belle prestance, sportif et sympathique, aux belles tempes grises et à belle allure renforcée par son charisme qui ne pouvait laisser indifférent.

Sa femme était une très belle créature d’environ 45 ans, l’archétype de la belle bourgeoise fortunée qui s’entretient et aime les mondanités, peut être un peu sèche à mon goût, mais une belle silhouette élancée et élégante.

Ils allaient très bien ensemble.

Dans le cadre de nos relations devenues plus intimes bien que toujours hiérarchisées, mon patron et son épouse nous proposent en juin de venir passer quelques jours dans leur propriété du midi, étant entendu que cela devait me permettre de discuter au calme avec lui de mon avenir au sein de l’entreprise.

A notre arrivée dans sa magnifique propriété située sur les hauteurs de Grasse et dotée entre autres d’une superbe piscine avec une partie jacuzzi, nous sommes aux anges de pouvoir profiter d’un tel luxe.

A notre surprise, il nous annonce que son épouse arrivera dans quelques jours, car elle a été retenue à Paris et après notre installation, il nous suggère de profiter de la piscine, car le temps est au beau et il fait chaud.

Martine, pour l’occasion, a revêtu un bikini assez mini qui ne laisse rien ignorer de ses formes généreuses et, après quelques brasses, elle s’installe sur le ventre sur une banquette au soleil pour bronzer.

Ça tape et elle me demande vite de lui passer de la crème solaire, je commence à m’exécuter quand mon patron arrive et me dit qu’il va m’aider.

Il se met aussi de la crème sur les mains et commence à l’étaler sur les épaules de ma femme, je ne bronche pas, elle non plus.

Petit à petit cependant, il étend le champ au creux des reins et masse maintenant le superbe postérieur de ma femme.

Je vois que Martine, sans doute intimidée comme moi, se détend et même écarte imperceptiblement les cuisses, laissant le champ libre à mon patron.

L’étalage de crème se transforme petit à petit en caresses qui, maintenant, sont carrément dans la raie des fesses et même commencent à se faufiler loin. Martine halète, ce qui ne laisse aucun doute sur les caresses et j’imagine bien que les doigts la fouillent maintenant, car elle pousse de petits cris et soudain se tend, atteinte d’un orgasme autant dû aux caresses qu’aux conditions et à l’homme qui les prodigue.

Elle se détend et, comme si de rien n’ était, mon patron s’éloigne d’elle en nous disant que nous dînerons sur la terrasse vers 21 h.

Nous ne parlons pas de la séance, mais j’insiste pour expliquer à Martine que je pense avoir en rentrant une très grosse promotion, je pense qu’elle comprend le message.

Nous faisons un délicieux dîner à la fraîche, assez arrosé, mon patron se révèle un hôte charmant, discret et ne fait aucune allusion à sa petite séance de tripotage poussée de ma femme.

Il se fait tard et nous nous retirons dans notre chambre, Martine revêt une nuisette très transparente que ses seins tendent et je la trouve très excitante, sa nudité presque dévoilée et ses formes feraient bander un mort.

Je l’attire sur notre grand lit et après de multiples caresses, nous nous retrouvons en position de 69, je la rends folle en lui mordillant la chatte tandis qu’elle me pompe comme elle sait si bien le faire.

Une petite sonnerie, un texto vient d’arriver, bizarre, à cette heure, j’attrape le téléphone posé sur la table de nuit.

Effectivement, il y a un texto baptisé : URGENT : c’est de mon patron :

Je suis en train de réfléchir à ta promotion, merci de m’envoyer de suite ta femme pour qu’on en parle.

Le message est clair et je le fais lire à Martine, encore très excitée de mes caresses et qui reste sur sa faim.

Martine, on joue gros, tu vas y aller, ne t’inquiète pas, je ne suis pas loin.

Tu es sûr, chéri.

Je sens qu’en fait, cette convocation l’excite beaucoup et je la regarde sortir, son cul magnifique à peine voilé par la nuisette arachnéenne.

Je lis un peu et au bout de deux heures, la porte s’ouvre et ma femme entre, elle a l’air épuisée.

Allez, raconte.

Elle me fait un récit très excitant, elle me révèle que mon patron est très pervers et lui a dit en préambule que c’est elle qui fera ou non ma promotion.

S’ensuit une séance de baise comme elle en a rarement subi, il l’a prise par tous les trous, l’a obligée à se soumettre à tous ses caprices, ça a fini en apothéose, il l’a enculée tout en la fistant après l’avoir bâillonnée (pour ne pas me rendre jaloux, lui a-t-il dit).

Je vois qu’elle est épuisée, mais je la sens fière d’avoir contribué à ma future promotion, conscient de son état, mais aussi très excité, je me contente de me branler sur ses seins qui portent encore des marques de manipulations plutôt appuyées.

Ensuite, elle va se doucher et on s’endort emboîtés l’un dans l’autre.

Je me réveille tôt, le soleil éclaire déjà la chambre et le drap est tombé, ce qui fait que j’ai une vue imprenable sur sa délicieuse croupe, ce qui me fait instantanément bander à fond.

Je ne résiste pas à lui doigter le petit trou qui me semble encore pas entièrement refermé et voyant que ça ne la réveille pas, je lui pousse ma queue tendue jusqu’aux couilles et commence des va-et-vient énergiques.

Je vois petit à petit son bassin s’animer et son cul venir à la rencontre de ma queue qui la remplit ; je l’entends dire :

Pas si fort Luc.

c’est le prénom de mon patron et cette petite salope dans son demi-sommeil doit penser que c’est encore lui qui l’encule).

Ça me vexe un peu et je m’agrippe à ses mamelles que je pince très fort tout en déchargeant dans son cul qui me serre quand même délicieusement ;

Elle doit s’apercevoir de la confusion, car pour se faire pardonner, elle me nettoie la queue avec sa langue sans rechigner.

On se lève enfin et arrivons, vêtu chacun juste d’un léger peignoir sur la terrasse où un petit-déjeuner copieux est servi et où mon patron est déjà attablé juste vêtu d’un short, son puissant torse bronzé à l’air libre.

Je lui serre la main, il a l’air jovial et nous dit juste :

Allez, venez vous restaurer, les nuits sont parfois épuisantes avec la chaleur !

Martine se penche pour l’embrasser et je vois juste la main de Luc lui effleurer délicatement le cul, sans plus, on dirait qu’il veut que les choses restent calmes dans la journée.

Il nous annonce juste que ce soir, il a quelques amis qui vont venir profiter de la piscine et dîner avec nous et que, vu les fêtards, une longue sieste ne sera pas de trop.

La journée se déroule tranquillement entre farniente, piscine, cocktails et bains de bulle, c’est comme s’il ne s’était rien passé et je n’ose pas interroger mon patron sur mon sort, après tout, on verra bien.

Le soleil commence à se cacher et nous aidons Luc à préparer table, salade et barbecue, la cuisine d’été sous la véranda est très agréable.

Martine est allée revêtir un ensemble en soie, elle est très désirable dans cette tenue et je la soupçonne d’avoir justement l’intention de susciter le désir.

Elle est magnifique, le pantalon est assez collant et le chemisier assez décolleté pour qu’on s’aperçoive d’un coup d’il qu’il n’y a rien dessous.

Luc lui jette un regard admiratif et lui dit qu’il pense que ses amis vont apprécier comme lui ; elle minaude la salope, elle doit avoir encore en tête comment sa grosse queue l’a fait jouir cette nuit.

Ses amis arrivent comme prévu, on dirait deux clones de mon patron, deux quinquas dans toute leur splendeur, athlétiques, grisonnants et surtout très fortunés vu leur arrivée en coupé sport anglais très haut de gamme.

Dès leur arrivée, je vois bien que la plastique de Martine ne les laisse pas indifférents.

La soirée se déroule joyeusement et est surtout très arrosée, l’ambiance, l’alcool aidant s’alourdit petit à petit, Martine glousse et circule entre les mâles.

Je m’aperçois que de temps en temps, une main s’égare sur les fesses de Martine qui passe entre eux.

A mon avis, Luc a dû leur dire qu’elle n’était pas trop farouche et que j’étais plutôt d’accord, surtout en échange d’une promotion.

Luc ne tarit pas d’éloges sur nous, notre couple, et appuie lourdement sur l’implication de Martine pour ma carrière et au bout d’un moment, dit qu’on va le prouver à ses amis :

Allez, je suis sûr que mon futur bras droit va nous dénuder gentiment sa femme et nous faire admirer sa plastique parfaite.

Nous voilà coincés, Martine est immobile devant les trois hommes, je me lève, me place derrière elle et déboutonne doucement son chemisier, elle se laisse faire et même m’aide à lui retirer, ses superbes seins dressés fièrement devant les trois cochons…

Ils lui font signe d’approcher et je la pousse un peu, elle est devant eux offerte et consentante.

Les mains maintenant la parcourent et lui tirent des halètements en lui tripotant sans vergogne les pointes des seins qui ont durci à l’air libre.

C’est tout naturellement que son pantalon est baissé et retiré, la laissant complètement nue devant les mâles qui commencent à s’échauffer.

Ils ne prennent plus de gants maintenant et elle est tripotée, doigtée par trois hommes très excités qui en plus, l’inondent de mots crus : petite salope, on va te défoncer, tu es une vraie pute et on va te faire hurler, etc.

Elle est allongée en travers de la table, écartelée, sa chatte offerte et Luc profite que sa tête pend de l’autre côté pour lui enfourner sa grosse queue à fond, ses couilles battant contre son visage.

Les deux autres profitent de ce bâillon naturel pour la baiser chacun leur tour, sans ménagement avec de violents coups de reins.

L’excitation semble les gagner et un des deux hommes prend une bouteille de rosé et lui enfile dans l’anus, il pousse fort et je vois ma pauvre femme se tendre, est-ce sous la douleur ou de jouissance ?

Ils se remettent à lui défoncer la chatte avec vigueur, c’est un déchaînement sur ma pauvre Martine, dilatée, défoncée, avilie, ce n’est plus une femme, mais une femelle, un objet de désir sale et sans autre sentiment que le plaisir de ses trois dominateurs.

C’est plus fort que moi, la voir ainsi démolie me donne une trique énorme, mais je préfère ne pas me mêler à leur déchaînement.

Ils se vident chacun plusieurs fois dans ses orifices et quand ils arrêtent, repus, il n’y a plus sur la table qu’une petite femelle sans force, anéantie et dégoulinante de sperme, presque évanouie.

Ils s’en désintéressent et je l’aide à se lever et la soutiens jusqu’à notre chambre où elle tombe littéralement sur le lit et s’endort, anéantie.

C’est plus fort que moi, son cul ayant été largement dilaté par la bouteille, j’en profite pour l’enculer et me vider dans ses entrailles sans qu’elle ne manifeste rien, sans doute déjà endormie…..

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