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Enfin libre – Chapitre 3

Enfin libre - Chapitre 3



Enfin libre 3

Je regarde lécran géant fixé au mur du salon et découvre une scène digne des pires films pornos quon doit trouver dans les cabines de sex-shop. Mon visage en gros plan en train de sucer deux bites, le regard extatique, jai vraiment lair dune salope et à linverse des actrices de film x, on peut voir sans aucun doute que jy prends du plaisir et que jai vraiment envie de boire leurs jus dhommes. Un autre plan me montre en train de me faire sodomiser sans ménagement mais même là, mes gémissements ne laissent aucun doute sur le plaisir que je prends, on mentend même (je ne men souviens pas) demander à mon enculeur dy aller avec plus de force, je réclame des bites et les hommes présents répondent à mon attente.

Mon dieu cest encore pire que la vidéo des toilettes, la salle est équipée de plusieurs caméras dissimulées dans la déco et cest un vrai film x amateur qui passe sur lécran et jen suis l’héroïne.

Jean goguenard me parle enfin :

-« Tu vois Viviane, jai tenu parole pour la première vidéo, mais celle-là, pour la récupérer, ce ne sera pas avec une partie dun soir Dorénavant, je veux que tu sois disponible à tout moment, tu ne porteras plus que des tenues de pute comme ce soir, porte-jarretelles, bas, jupes ou robes très courtes, et évidemment plus jamais de culottes. Je viendrai par surprise et si jamais tu déroges à mes règles je diffuserai ce film sur internet et jenverrai les liens à toutes tes connaissances, sache que jai copié le répertoire de ton téléphone, imagine la tête de ta famille et de tes amis quand ils découvriront la salope que tu es.

Alors Viviane, quen penses-tu ? »

Tétanisée, jimagine alors les réactions de tous mes êtres qui me sont chers, jallais me retrouver seule, bannie de tous, sans travail, la honte du voisinage.

-« Je vous en prie ! Ne diffusez pas ce film, je ferai tout ce que vous me demanderez »

-« Cest bien Viviane, alors maintenant tu peux rentrer chez toi, je te contacterai bientôt »

Vite, rentrer chez moi et prendre une douche pour menlever toutes ces souillures mais il me faut dabord traverser le restaurant avec mes vêtements et mon visage luisant de sperme séché sous le regard des clients dégoûtés, je crois le cauchemar fini mais à peine arrivée à la voiture, le patron du restaurant me rattrape

-« Alors salope, tu comptais partir sans payer ? Je toffre le repas mais tu vas devoir me sucer pour ça, dailleurs tu aimes tellement que ça devrait te faire plaisir »

Il mattrape par les cheveux et moblige à magenouiller sur le parking, les phares des voitures méclairent par intermittence et le patron défait sa braguette et sort son chibre et commence à le frotter sur mes lèvres et mes joues. Il na pas dû le laver depuis longtemps, il pue lurine et des résidus blanchâtres le maculent.

-« Sors ta langue et nettoie ma bite grosse pute ou jappelle les flics »

Dégoûtée, à la limite de vomir, jobéis et je commence à nettoyer son sexe avec ma langue, il durcit de plus en plus et sa bite devient énorme sous mes coups de langue, il me gifle les joues avec sa bite, je recommence à mouiller sous cette humiliation et imaginer que des gens puissent me voir à genoux, à quelques mètres des vitrines du restaurant en train de sucer un homme déclenche en moi un orgasme très violent et cest avec voracité que javale enfin cette bite imposante.

Mon dieu que suis-je devenue ? La pire des traînées et jaime ça, jusquoù je suis-capable daller

Je mactive sur la bite du patron telle une goule, il me force par les cheveux à lavaler complètement puis enfin se vide dans ma gorge à grands jets puissants. Il me tient fermement, le nez dans ses poils pubiens, je suis obligée de tout avaler pour ne pas métouffer. Il me libère enfin, sessuie le sexe dans mes cheveux puis se met à me pisser dessus, jai à peine le temps de mécarter mais je nai pu éviter le premier jet durine qui a giclé sur mon visage et dans ma bouche. Cest dégueulasse et je le traite de salop mais il nen à cure.

-« AAAHHH tes vraiment une bonne pute toi, reviens quand tu veux, je toffrirai le repas et mes employés sauront satisfaire une vraie vide-couilles comme toi »

Je peux enfin rentrer chez moi, mon chemisier sent lurine et je manque plusieurs fois de vomir sur le trajet mais heureusement jarrive enfin. Je prends une longue douche mais jai beau frotter, les traces sur ma peau disparaissent mais je ne peux enlever celles de mon esprit. Je suis devenue en une soirée une nymphomane assoiffée de sexe et lesclave dun homme qui tient ma vie sociale entre ses mains.

Le lendemain matin, après une nuit peuplée de cauchemars érotiques, je me retrouve devant ma garde-robe en hésitant sur la tenue que je vais mettre. Si jobéis à Marc, mes collègues vont découvrir une tenue de salope et je vais me faire draguer par tout ce qui porte un pantalon et ça ne manque pas dans ma boite essentiellement masculine. Mais si je nobéis pas et que Marc le découvre, il va diffuser cette foutue vidéo.

Que faire ?

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