Ce récit fait suite à ma première parution sur ce site, jespère que vous aurez le courage de le lire en entier, car il est un peu plus long que le premier.
Éric et Emma 2, Descente aux enfers.
Emma étais tétanisée en bas de son escalier. Même si elle adorait cocufier son mari, là il sen était rendu compte. Son sexe à cet instant némettait plus la moindre humidité.
Aussi entreprit-elle de gravir quatre a quatre les marches qui la séparait de ces deux amants.
Ceux-ci étaient ravis de la réapparition de « leurs salope ».
Le premier à sexclamer de son retour fut Yves :
« Ah, mais quest-ce tu foutais ? Jai une demi-molle et Henri a encore du jus dans les couilles !! »
« Ta gueule Yves » Rétorqua Emma sur un ton qui ne souffrait aucune contradiction possible.
« Ho mais te fâche pas ma pucequest-ce quon ta fait ? Aller viens sucer, ça va te calmer »
Emma ne plaisantais pas du tout et ajouta sur le même ton que tout a lheure.
« Aller dégagez tout les deux, je vous ai assez vus ! »
« Mais vas-tu nous dire ce qui ne vas pas ? » demanda, assez penaud, Yves.
« Éric nous a surpris je croisputain. »
« Ha !!! Cest pour ce putain de cocu que tu tinquiète ? Quand il a vu deux vrais hommes soccuper de sa femme il sest tirer vite fais oui !!! »
« Cest fin, cest poétique, tu te sens intelligent peut être ? » rétorqua Emma.
« Sa te dérange pas dhabitude de te foutre de lui quand on te met des coups de bite »
« Oui mais là il est au courant et de la pire façon, il y a beaucoup en jeu putain, allez cassez vous »
« Bon OK, tu sais ou me trouver salope » Répondit Yves.
« Ouais cest ça, aller bon vent »
Apollon et le gros ayant débarrassé le plancher, Emma se rafraîchit dans la douche.
Éric savait, et elle ne savait que faire de cette information.
Elle se calma rapidement, après tout elle connaissait Éric mieux que personne.
Il valait mieux quelle le laisse faire le premier pas, quelle le laisse appeler en premier pour décider de la suite a donné.
Emma tournait en rond dans la maison, depuis plusieurs heures maintenant. 21 heures, son portable sonna, cest le nom dEric qui était affiché sur lécran.
Emma pris une grande respiration et décrocha.
« Oui allo ? » fit- elle dune voix quelle espérait assurée mais qui ne létais aucunement.
« E..Emma cest..Éric.. » son souffle était court, il semblait parler avec peine.
« Oui je técoute mon amour »
« PUTAIN , tu ose mappeler comme ça !!!.sasalope. »
Emma déglutie avec peine, il ne semblait pas le prendre dans le sens quelle espérait.
« Je je tai vu te te faire mettre par ces porcs.. »
Des larmes commençaient à ourlet sur les paupières dEmma.
« Je suis désolée mon amour !!!….. » Osa-t-elle proféré dans un sanglot.
« Tutu parles sasalope » La voix dEric semblais de plus en plus traînante.
« Mais dis moi Éric, tu es ivre ou quoi ? »
« Jai..jai peut être, pr.pris un verre ou deuxouaissa change pas que tes une sal.. »
Un bruit effroyable se fit entendre dans le combiné.
« ERIC !!!ERIC !!! »
Emma ne put dire que ces mots avant que le téléphone ne se fasse muet. Chaque petit bip de tonalité lui rappelait, chaque secondes, les propres battements de son cur, qui ne demandait quà sauter hors de sa généreuse poitrine.
A lautre bout du fil, le téléphone broyé dEric avais laissé des bouts de verre dans un break qui ne létait pas moins, broyé, encastré dans un poteau sur les boulevards de bordeaux.
Lundi 17 aout, les contours dune lampe fluorescente commençais à se dessiner, timidement, les paupières clignais, comme pour chasser les dernières incertitudes de ce quelles révélaient aux précieux organes en dessous.
« Bonjours monsieur » une voix fluette acheva le réveil difficile dEric.
« Bonjours, je suis où là ? »
« Vous êtes a lhôpital Pellegrin, vous avez eu un accident de voiture, vous venez de faire douze jours de comma »
« Laccident..ouije me souvient. »
« Bon je vous appel le médecin »
« Merci mademoiselle »
Tout le corps dEric semblait sanimer avec peine. Il essaya vainement de se lever, les épaules, les coudes, les principales articulations, tout nétais que souffrance.
« Ça va revenir, tu sais !! » Une voix venait de le cueillir à l instant.
« Ce ne sont que des ankyloses, 15 jours de rééducation et tu retrouveras une bonne partie de ton autonomie »
Éric fut très étonner de celui qui sadressait a lui de manière si cavalière, puis le reconnu.
« Mathias, ça alors, tu es a Pellegrin je ne savais pas !!! »
Eric et Mathias étais sur les bancs du lycée étant plus jeune, puis leurs chemin se sépara a la fac où lun partit en économie et lautre fit médecine. Il sétait perdu de vue depuis.
« Bon tu vas être content, on a prévenue ta femme de ton réveil, elle est en chemin »
« Hamerci »
Éric venait de revenir a la réalité, le pourquoi de ça présence ici. Pourquoi sétait-il repu dalcool ce soir là, lui dhabitude si maître de lui-même, même dans les pires situations.
Maintenant quil savait, il devait savoir ce qui lui avait échappé. Il devait épier les allés et venues de sa femme qui avait soudainement tout dune étrangère, et pour ça il avait un plan.
« Hé bien ça a lair de te faire plaisir dis donc !!! »
« Bon, Mathias, cela fais longtemps quon sest perdu de vue mais jai déjà quelque chose a te demander, tu veux bien ? »
« Bon je técoute, en souvenir du bon vieux temps je te dois bien ça.. »
Emma fonçais vers Pellegrin, le médecin lavais prévenue depuis un moment déjà, mais Yves, qui la prenant en levrette a ce moment là, lui avais mit la dose encore une fois, et accessoirement lavait mise en retard.
Elle arriva dans le service où séjournait Éric, le médecin lattrapa au vol.
« Bonjour, vous devez être Emma Marchal ? La compagne de monsieur Éric Marchal? »
« Oui cest bien moi, comment va-t-il ? »
« Sur le plan physique tout vas bien, il est ankylosé mais il devrait très vite récupérer, par contre au niveau cérébral. »
« Comment ça, il a quelque chose de grave ? » sembla sinquiéter Emma.
« Disons quil souffre damnésie post-traumatique, il lui manque les quelques jours précédent son accident, il est possible qui ne sen souvienne jamais, je suis désolé »
« Si il va bien et quil nauras pas plus de séquelles que cela, tant mieux »
Emma semblait sincèrement soulagée, tant par ce que son mari allait bien que par ce quil semblait que les dieux de linfidélité étais avec elle. Il navait pas de souvenir des derniers jours, et ça, cela dessinai un large sourire sur son visage, au moment même ou elle poussait la porte de la chambre dEric.
Éric joua les surpris en voyant entre sa femme :
« Ho mon chéri, tu es enfin réveillé, jai eu si peur ..»
« Tout vas bien mon amour » répondit mielleusement Éric.
Emma sétala de tout son long sur le lit, au niveau de lentrejambe dEric. Elle leva la jambe droite afin sassurer son propre équilibre, mais, trop absorber par le rôle dépouse modèle quelle se donnait, elle ne perçu pas quEric regardait son entrecuisse et que de grosses et douteuses traces blanches en marbraient la si douce peau.
Éric nen revenait pas, il était à lhôpital après un grave accident et elle trouvait quand même le moyen de se faire tringler avant de venir le voir, cette pute navais aucune limite. Comment avait-il pu être aussi aveugle.
Emma tira Éric de sa contemplation, il eu juste le temps de se ressaisir avant quelle ne saperçoive de ce quil regardait une seconde auparavant.
« Jai vu le médecin, il a dit que tout aller bien mais que tu avais une petite amnésie du a laccident. »
« Oui, je nai aucun souvenir de laccidentJe ne sais même pas pourquoi je lai eu, ce qui la provoqué. »
« Ces derniers temps, tu avais du mal à supporter la pression de ton travail, tu es sortis boire plus que de raison, et tu as conduit, malheureusement »
Éric étais perdu dans ses pensée, putain la salope, elle mentait avec un aplomb quil ne lui connaissait pas. C étais décidé, il allait la filer dès quil le pourrait, il devait savoir jusquoù elle était prête à aller.
« Bon aller mon amour je te laisse, jai des choses importantes a faire, remet toi vite, te faire lamour me manque ».
« Ton corps me manque aussi tu sais » Mais il pensait en son fort intérieur :
*Tu te fais pas chier salope, tu viens den prendre plein le cul et tu me dis que tu souffre dabstinence*
Emma se dirigea vers la porte et se saisie de la poignée, se retourna vers Éric et dis :
« Je suis contente que tu aille bien malgré ton accident, bisou amour »
Traduction, tu ne peux pas savoir comme sa le fait que tu nai aucun souvenir.
En partant Emma ne pu sapercevoir du rictus de satisfaction dEric, là, ce coup-ci , cest lui qui menait la danse , et elle croyais sen sortir a si bon compte, elle en aurais pour son argent, mais ce quEric ignorait , cest que lui aussi , passerait a la caisse.
Éric étais tellement motivé quen 8 jours, il récupéra quasiment toute sa mobilité, mais fit croire a sa femme, avec le soutien de son complice et ami médecin qui jouais son rôle a merveille, quil lui fallait encore quinze jour sans bouger de chez lui, au repos strict.
De retour chez lui, Emma était très câline et Éric se laissais gentiment faire.
La nuit ensemble se passa sans encombre et quelquun qui ne les verrai qua travers la lucarne de ce seul instant, se dirait quil sagit là dun couple très uni, qui ne voyais pas poindre le moindre orage a lhorizon.
Le plateau petit déjeuner déposé par Emma réveilla Éric. Un petit mot ornait le verre de jus dorange, lui improvisant un bouchon de fortune. Éric sen saisi et put lire : « Partie faire du sport, je rentre a midi, gros baiser mon amour ! » Quelle ironie dans le verbe ! Sa pour baiser, elle va être servie pensa-t-il.
Il laissa le plateau sans y toucher plus avant, et se prépara en vitesse.
Il devait se rendre a une adresse a bordeaux, quil avait put voir sur le net. Une boutique despionnage, ces mêmes boutiques assez a la mode ces dernières années. Ces boutiques étaient comme les sex-shops, tout le monde se défend dy aller, mais le chiffre daffaire de celle-ci montre bien que la fréquentation était elle, au top.
Il avait déjà repéré ce quil voulait, il acheta deux porte clefs a positionnement GPS, en plus de faire positionneur, ces mêmes objets pouvaient servir despion de conversation via une carte SIM prépayé glissée a lintérieur, il suffisait dappeler le numéro puis découter ce qui se passe alentour.
Il prit soin de les prendre de la même couleur afin de les échanger souvent, question de batterie.
Emma rentra vers midi, Éric étais de nouveau au lit en pyjama afin de parfaire son rôle de malade.
Il tendit un des portes clefs à Emma.
« Tiens, ou as-tu trouvé ce petit porte clef si mignon ? » senquiert-elle.
« Tout a lheure, en fouillant dans mes affaires je lai trouvé il avait lair neuf, alors je suppose que javais du lacheter avant laccident dans loptique de te loffrir, je ne vois que ça, ou un client dentreprise me las peut être donné, que sais-je Au moins tu pensera à moi si tu laccroche à ton sac à main. »
« Très bonne idée mon amour, comme ça je taurais partout avec moi »
Elle ne croyait pas si bien dire.
« Mais tu nas pas toucher a ton petit dej que je tavais préparer? »
« Oui désolé, tu sais je nai pas très faim depuis laccident »
« Daccord je comprends il y a quelque-chose que tu aimerais ce midi ? »
Une idée venais de traverser lesprit dEric a cet instant, il ne faisait aucun doute que « apollon » avais une nouvelle fois besogné sa moitié, aussi voulait-il la tester ici même.
« Oui ton joli petit cul, il ma manqué tu sais ! »
« Ho tu es bête quand tu veux, je suis sérieuse là ! » fit-elle trop rouge pour être honnête.
« Mais moi aussi figure toi, voudrais-tu te refuser a ton langoureux mari ? »
« Ne sois pas bête laisse moi faire un brin de toilette, jai fais du sport, je sens horriblement mauvais »
« Non justement, laisse, je veux te prendre « nature », là, comme ça »
Il joignait le geste à la parole, le rythme cardiaque dEmma fit un bon en flèche a cet instant, le sperme dYves tapissais sa matrice, impossible pour Éric de ne pas sen apercevoir.
Éric commençais à lembrasser, doucement, lui travaillant les seins. Ce simple petit travail suffisait déjà la rendre tremper, elle adorait le sexe. Pourtant elle avait jouis 2 fois ce matin avec Yves, mais il lui en fallait encore, elle en arrivait à se demander si elle avait une limite en la matière.
Elle attrapa la queue de son mari et la mit en bouche. Elle le suçait comme une pestiférée, il cru défaillir tellement elle le suçait divinement bien. Elle croyait sen tirer a si bon compte, en le faisant éjaculer rapidement, mais lui ne voulais pas en rester là.
Il larrêta et elle eu lair très déçu, comme si elle réclamer sa dose de sperme à avaler.
Éric ne lui connaissait pas une telle ardeur sexuelle.
« Hé bien quelle fougue dis moi, je ne te savais pas comme ça ! »
« Cest que çaça fais longtemps que je tattends mon chéri »Les hésitations de sa chère et tendre néchappait pas a Éric qui eu un tout petit rictus de satisfaction. Il enfonça alors le clou.
« Met toi en levrette que je te pénètre, jai trop envie de ton sexe. »
Emma étais en panique complète, que faire, vite une solution.
Éric approchais sa main de son antre chaude, dans 1 seconde il serait fixé.
« Non arrête ! »
Éric était comme sonné de cet ordre brutal et la regardait, interdit.
« Je veux dire tu ne veux pas essayer autre chose ? Tu as toujours eu le fantasme dessayé la sodomie pas vrai ? Aujourdhui jai envie de te faire plaisir, pend moi par derrière mon amour. »
Éric lubrifia avec sa salive, et commença à forcer lentrée de la grotte interdite. Il nen revenait pas, lui le cocu, le seul à navoir JAMAIS profité de sa femme par cette voie, aujourdhui et uniquement dans la but de sen sortir indemne, elle était prête à le lui offrir son cul sur un plateau.
OK, ainsi soit-il, il lui laissait cette manche, il était trop tôt de toute façon pour faire tomber les masques, aussi décidât-il den profiter un maximum avant de remettre les pendules a lheure.
Il la besognait sans ménagement, sans douceur aucune, et bizarrement cest ce quelle semblait aimer. Il la fourrait depuis dix minutes mais étais au bord de lexplosion et les petits gémissements de satisfaction dEmma ne laidais pas à tenirtrop tard, il se répandit dans son fondement, déversant un sperme chaud et abondant, trop longtemps contenu.
Sa femme navais pas jouis mais quimporte, aujourdhui il sen foutait, alors quhabituellement cétait pour lui un leitmotiv.
« Merci » Glissa-t-il à loreille de sa compagne qui se dirigea dans la salle de bain sans un mot.
Ce nest pas que cela lui avait déplut, mais elle lavait échappé belle et de plus, les queues qui la défonce habituellement de ce coté là font au moins presque deux fois celle de son mari, elle navait pas trop sentie par rapport a dhabitude. Heureusement quelle ne sétait pas faite sodomiser ce matin même, Éric laurais trouvé bien large, mais quimporte, elle sen était bien sortie en fin de compte.
Emma passa le reste de la journée avec Éric en soccupant dans la maison pendant que lui semblait travailler un peu sur son ordinateur portable, dans son lit.
Le lendemain, huit heure quinze, Éric séveilla le premier cette fois .Il fit mine de se lever péniblement, car son épouse se réveillait à l instant même.
« Bonjour mon amour » fit-elle enjouée.
« Bonjour ça va ce matin ? »
« Oui, je ne tavais pas dis pour hier, cétait bien finalement »
« Ha oui ? Tu as aimé ? On le fera plus souvent si tu veux. »
Elle se dirigea vers les toilettes pour seule réponse.
La matinée sécoula comme laprès midi de la veille, monotone, midi passa puis, vers quinze heure, elle annonça a Éric quelle sortait voir une amie et quelle pensait rentrer vers 19 heures.
Il acquiesça, et elle se prépara donc.
Éric fut abasourdi quand elle ressortit de sa préparation. Mini jupe en cuir noir, escarpins vertigineux en cuir brillant noir et blanc, petit top a décolleté pigeonnant et maquillage appuyé parfaisait ses atours. Elle ressemblait, certes, à une pute des très beaux quartiers, mais elle était diablement sexy comme ça. Éric en avais une érection en béton.
« Je te plait comme ça ? » Se fendit-elle.
« Ho que oui » réussi péniblement a déblatéré Éric, totalement soufflé.
« A ce soir mon amour, bisou » se fendit-elle dun geste de la main a la Marilyn Monroe.
« A ce soir » répondit Éric, mâchoire décrochée.
Elle était partie depuis 3 min, Éric sarracha a sa contemplation passive, cest vrai que cétait une pute, mais quest-ce quelle était belle, et cétait sa femme.
Non, il ne se laisserait pas attendrir par ses sentiments a cet instant. Il fallait agir et vite.
Il prit son nouveau Smartphone, équipé du software en lien avec les portes clefs.
Il attendit 10 min avant de sortir, autant être sur quEmma soit déjà partie.
Lamie chez qui elle se rendait prétendument, Éric connaissais son adresse, et a priori Emma étais sur la bonne route. Au moins une vérité dans cet océan de mensonges.
Éric prit le tramway en direction du centre ville, et sarrêta place des quinconces et choisi dattendre a une terrasse de café. Il composa le numéro de la carte prépayé en lien avec le porte clef quEmma avais accrochée a son sac, et tendit loreille dans son combiné.
On reconnaissait la voix dEmma et aussi Catherine son amie mais également celle dun homme quEric ne reconnaissait pas. Cest la voix de sa femme quil capta en premier.
« Catherine, tu trouve pas que ce string fendue laisse bien ressortir mon clito ? »
« Siiii, tu me donne envie de men régalé petite putain. »
« Commence pas à mexciter comme ça, après on va commencer avant dy aller »
« Tu as raison, on samusera moins si on se soulage maintenant. »
«Bon les salopes on se magne un peu si il vous plait on va être en retard, encore une fois ! »
« ho ça va ! » reprirent-elles en chur
« Tu nous emmène ou cette fois ? » entrepris de sinformer Catherine.
« Au sex-shop, cours de la marne ! » dis lhomme, un sourire dans la voix.
« Bon Emma fait voir que je te passe tes chaussures »
Emma tendit un pied à Catherine qui enfila le précieux escarpin.
« Ho ! Arrête salopetu sais que jadore ça ! »
Catherine étais en train de sucer un orteil de lautre pied, de lécher la partie de la plante juste en dessous des orteils, pratique qui semblais combler daise la femme dEric.
« Je sais que tu adore ça ! Cest pour mieux te mettre en jambe ! »
« Aller, on décolle si il te plait, jai envie comme jamais là ! »
Éric entendit tout ce petit monde se mettre en en branle. Il fallait agir vite, il nétait pas très loin du cours de la marne, en tram, tandis quau vu de ladresse de lamie dEmma, ils leurs faudrait quinze bonne minutes de trajet, mais lui ne connaissait pas les lieux, au contraire des trois comparses apparemment.
Éric laissa dix euros sur la table pour payer le café quil avait commandé, sans se soucier du retour de monnaie, et fila aussi vite quun vendeur a la sauvette lors dun contrôle de police.
Arriver sur place, il hésita quelques minutes avant dentrer, tel un Dante Alighieri sur le seuil des enfers, il savait quen franchissant cette porte, le retour dans sa vie davant ne serai peut être pas possible. Son hésitation faisait écho à un sentiment profond, une impression que si il entrait dans cet endroit, il y perdrai une partie de lui-même a jamais.
Il balaya ce doute passager dun revers de la main et pénétra dans lantre redouté dun pas franc et assuré, après tout il était là pour ça, pour « savoir ».
Lentrée, composée de la boutique étais moins « glauque » que lidée quil sen était fait.
Le gérant lui fit un petit signe de tête accompagné dun grognement guttural en guise de bonjours.
Il entreprit de visiter les lieux.
Il descendit dans une sorte de sous-sol et tomba sur des cabines de type « glory-hole » (cloisons percées et communicantes entre deux cabines).
Il y avait plusieurs hommes déjà présent et il semblait régné une certaine tension.
« Tu viens pour le show toi aussi ? »
Eric regarda avec étonnement lêtre singulier qui sadressait à lui.
Un homme fluet au visage émacié, quEric aurais pris pour une caricature gay, avec son pantalon de cuir totalement ouvert a lentre jambe, venais de lui poser cette question.
« Un show ? Quel show ? »
« Ha je vois tu es là par hasard, alors cest ton jour de chance lami, tu vas assister a la représentation de deux putes de premières, et si tas de la chance tu pourras peut être faire parti des quinze qui aurons lhonneur de se faire sucer au glory-hole, mais, les places sont chères ! »
Non ce pourrait-il quenon quand même pas se dit-il. Elle nirait quand même pas jusque là.
Éric se dit intérieurement quEmma venais elle aussi assister a cette « représentation » dont il ne connaissait pas le contenu .Mais son subconscient lui, lui criait la méfiance.
Il ressentit tout à coup des nuds dans le ventre, et une curiosité malsaine mêler dexcitation de bientôt être fixé.
Une légère clameur monta den haut de lescalier, ça y est, elles arrivaient.
Éric étais pris de panique, que faire ? Il ny avait pas pensé, mais il pouvait être découvert dès les premières minutes.
Il avisa un recoin plus sombre et sy engouffra.
Deux femmes et un homme arrivèrent en bas de lescalier, lune delle était Emma.
Ce quEric se refuser à croire en se mentant à lui-même était finalement confirmé.
Cest une vraie pute, pensât-il, cest elle qui va se livrer en pâture à tous ces mâles en ruts, et cela semblait la combler daise.
Lhomme qui les accompagnait désigna deux hommes de lassemblée, dont celui qui avait son pantalon de cuir. Il laissa exploser sa joie dêtre choisit. Éric pris conscience de la taille de son vit, qui, au vu de cette désignation, étais déjà bandé, raide. Un mandrin dau moins 25 de long par 6 de diamètre. Un vrai cheval pensa Éric, elle a vraiment le chic pensât-il et saperçut que le choix du deuxième larron avait été aussi fait selon la taille, toute aussi impressionnante, surement un critère dEmma.
Emma qui, au demeurant, était maintenant les yeux bandés et accessoirement la langue de sa copine Catherine sur le clitoris. Elles ne perdaient pas de temps, cest le moins que lon puisse dire se fit comme réflexion Éric.
Éric ressentais un malaise, une excitation malsaine mêler de colère.
Alors pourquoi malgré lui il avait sortis son sexe et commençais à se masturber devant le spectacle ?
Les mains dEmma étais attachés dans le dos de celle-ci et elle fut positionnée en levrette.
Lhomme au pantalon de cuir fut appelé du regard par Catherine. Il se plaça directement a lentrée de son illet. Il la pénétra dun coup, sec et violent.
Les cris dagonie dEmma furent étouffés par le sexe du second protagoniste, qui venait de le ficher directement dans sa gorge, lui baisant la bouche, lui aussi sans aucune douceur.
Éric est partagés entre le sentiment dintervenir pour mettre fin au « calvaire » de sa femme, mais se dis quaprès tout, elle lavait bien cherchée. Il se fit une autre réflexion, quand il voyait la taille du sexe de celui qui sodomisait sa femme, il se dit intérieurement que hier, elle navait rien du sentir.
Les cris étouffés dEmma sétait changés en suppliques de plaisir.
Elle fut secouée de spasme caractéristique de lorgasme. Cette salope jouissait par le cul !
Éric augmenta la vitesse de sa masturbation, le deuxième homme, celui qui prenait sa bouche, était en train de jouir en se répandant dans son orifice buccal, abondamment. Emma avala tout sans sourciller le moins du monde, la salope, elle le lui avait toujours refusée a lui, son mari.
Comme lautre homme avait joui, celui qui la sodomisait se retira et se positionna par terre, queue tendue. Catherine fit relever Emma et la fis sassoir sur la queue. Lhomme au pantalon de cuir lui pilonnait maintenant violemment la chatte et elle couinait comme une petite salope.
Lhomme qui semblait diriger les deux salopes sécria soudain :
« On veut une petite bite ! La salope a besoin dêtre léchée ! Qui est volontaire ? »
Tous les mâles présents, blessés dans leur orgueil et ne voulant pas être reconnue en tant que tel ne se manifestais pas beaucoup.
« Toi là ! Planqué dans le coin, tu me semble un bon client, fait pas ton timide, viens lécher ma pute ! »
Sa pute ! Éric sentit une grande colère lui monter, quil refréna a grand peine, mais ce nétais pas le moment de perdre le contrôle de lui-même. Cet homme ne manquait pas de souffle.
Il sapprocha néanmoins, non sans lancer un regard assassin vers cet homme qui ressentit, lespace dun court instant ,un léger malaise, comme si il avait sentit la légitimité du statut dépoux dEric.
Il se pencha devant la chatte distendue de sa femme, qui en prenait pour son grade.
Il commença à se régaler de son clitoris gonflé a lextrême, et commençais à se prendre au jeu et lexcitation montais de plus en plus.
De son coté Emma était tellement pilonnée avec violence, que le bandeau commença a se relever, et elle put ainsi voir les cheveux de lhomme qui la léchait, morphotype qui lui disais quelque-chose, puis, un doute affreux sinsinua en elle a cet instant, on diraitle bandeau venait de tout rendre de nouveaux imperceptible. Elle voulut prononcer le nom de son mari à cet instant, mais la bite du deuxième homme, de nouveau en forme, étouffa cette supplique au fond de sa gorge.
A suivre, si le cur vous en dit. ;-)