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Erreur de film – Chapitre 2

Erreur de film - Chapitre 2



Pour situer les événements, après une erreur involontaire, nous nous sommes retrouvés avec un porno à la place du film que nous voulions voir. Décidant de nous masturber en le regardant, les choses ont un peu dérapé entre ma cousine et moi, qui me fit une pipe et un pseudo strip-tease. Le tout, juste avant de sinstaller sur mes genoux, et de me demander si jétais prêt a continuer. A moitié perdu, encore un peu sous leffet de surprise et les restes de mon orgasme, javais les yeux dans le vague, mais je répondis tout de même.

— Eh bien, oui, je pense Mais ne tattends pas a de grandes performances de ma part. Tu sais que je nai jamais

— Oui, je sais, me coupa-t-elle, mais ce nest pas grave. Je veux juste une bite dans ma chatte. Je veux passer la nuit à baiser comme une chienne. Je suis en manque, et lidée de coucher avec mon cousin me fait mouiller comme une fontaine.

Jouvris la bouche, plus que sidéré par les mots crue quelle avait utilisés. Je ne suis pas du genre prude, mais je ne laurais jamais cru quelle soit capable dêtre aussi coquine. Un sourire se dessina doucement sur mes lèvres.

— Je suis tout à toi, ma Mélody fis-je avec un air vicieux.

Elle me fit relever pour déplier le canapé sur lequel nous étions assis. Cela nous permettrait dêtre plus à laise tout en profitant du film. Pendant quelle se penchait pour replacer le matelas du canapé, je me faufilai derrière elle et je glissai ma main entre ses fesses, descendant toujours jusqu’à glisser le long de sa fente. Je caressai doucement le clitoris et je finis par lui enfiler un doigt. Elle se redressa légèrement, puis retira ma main et elle se tourna vers moi. Alors quelle membrassait, elle mattrapa par la taille et elle mentraina avec elle sur le canapé.

Malgré mon inexpérience, javais quelques souvenirs des caresses et des petits préliminaires avec ma précédente relation. Je la caressai sur tout le corps, et mes baisers descendirent sur ses seins. Jembrassai les pointes, suçotant les tétons, mordillant Après cette étape, qui arracha quelques gémissements à Mélody, je poursuivis la descente, en mattardant rapidement sur le nombril avant de poursuivre. Quand je fus arrivé à son entrejambe, elle écarta par réflexe et elle mexposa sa chatte détrempé. Sans attendre, jy enfouis le visage. Jembrassai ses lèvres, les mordillant doucement, ma langue vint visiter lentrée de son vagin, et je récoltai un peu de sa liqueur. Un goût salé, mais pas très fort. Je fis jouer le bout de ma langue sur son clitoris, lui arrachant des petits cris, comme de surprise. Un de mes doigts se glissa dans sa grotte, où il fit quelques va-et-vient, avant dêtre rejoint par un second. Son rythme respiratoire était désormais bien accéléré et ses gémissement de plus en plus forts. Je me sentais bander rien quà lidée de la faire jouir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, alternant mon pouce et ma langue sur son bouton damour, elle finit par sarcbouter en poussant un véritable cri, assez aigu. Lorsquelle retomba sur le matelas, elle était essoufflé, rouge et couverte de transpiration, comme si elle avait couru un marathon. Elle me fit un sourire et elle prit le temps de calmer sa respiration. Je remontai en direction de son visage et je vins me coucher à côté delle. Elle se tourna et elle vint se mettre sur mon torse le temps de se remettre un peu de ses émotions. Moi-même, je me sentais émotionnellement fatigué de lavoir fait jouir. Cétait la première fois quune femme jouissait sous ma langue.

Au bout dune minute, je la sentis frissonner légèrement. Comprenant quelle avait froid, je me levai et jallai récupérer une couverture dans la chambre dami, que jutilisais lorsque je restais dormir. Habitué des lieux, je me savais ici comme chez moi. Je repris ma place et jétendis la couverture sur nos deux corps nus. A peine réinstallé, je sentis les doigts de Mélody senrouler autour de ma queue pour la branler doucement. Ses lèvres membrassèrent le torse, puis le cou, et enfin mes propres lèvres. Je la sentis bouger alors que je posais mes mains sur elle pour lui rendre ses caresses. Elle menjamba et vint frotter son minou sur ma bite. Elle madressa un regard interrogateur, pour savoir si jétais prêt à franchir le cap. Je répondis à voix haute :

-Vas-y

Et alors, doucement, afin de me laisser savourer linstant, elle sempala sur mon sexe raide comme un piquet. Quelle sensation ! Se sentir pénétré et glisser dans cet antre chaud, doux et humide, qui enserre le pénis juste comme il faut, cest dune extase !

Voilà seulement quelques secondes que je faisais lamour pour la première fois, et déjà je voyais les étoiles et jétais à deux doigts de jouir. Je devais faire appel à toute ma volonté pour me retenir. Ma cousine commença des va-et-vient. Afin de faire durer le moment en occupant un peu mes pensées, et aussi pour lexciter un peu plus, je lui caressai les seins, et je me redressai pour les embrasser et les mordre. Elle se saisit dune de mes mains et elle la mit sur ses fesses. Je suivis son envie et je les lui massai, doucement tenté par lentrée de son cul. Mes doigts sapprochaient jusqu’à frôler sa rosette.

-Oh oui ! Vas-y ! Mais doucement me dit-elle, dune voix entrecoupée de gémissements.

Je lui enfilai alors un doigt dans le cul, forçant doucement jusqu’à ce que ses muscles cèdent et me laissent entrer. Je fis de doux va-et-vient, au rythme de ses mouvements sur ma bite. Mais je sentais peu à peu ma résistance céder.

Sous cette nouvelle sensation, elle me plaqua contre elle et enfonça son visage dans le creux de mon cou en gémissant plus fort. Ne pouvant plus tenir, bandant tellement que jen avais des douleurs tout le long de la verge, jéjaculai dans son vagin, en lemplissant complètement et en jouissant comme je navais jamais joui lors de mes masturbations.

En sentant mon sperme la remplir, elle jouit à son tour et elle membrassa à pleine bouche pour étouffer ses cris. Nous nous couchâmes, moi encore en elle, le temps que mon sexe mollisse et sorte de lui-même.

Épuisé et à moitié endormi, je prononçai quelques mots :

— Merci, Mélody Cétait absolument fantastique Je ne sais pas comment te remercier

— Alors, tais-toi, me répondit-elle doucement.

Un instant plus tard, en réalisant que javais joui en elle, je demandai :

— Bien Mais as-tu bien pris ta pilule aujourdhui ?

Je ne craignais pas les maladies. Elle avait fait le test du sida avec son copain il y a peu et elle men avait parlé, en me disant que les résultats étaient négatifs. Quant à moi, je me savais sain puisque jétais puceau.

— Ne tinquiète pas. Jy ai pensé, me rassura-t-elle.

Et, couchée contre moi, cest ainsi quelle sendormit doucement.

Un sourire sur le visage, je ne tardai guère à la rejoindre au pays des rêves.

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