Esclave sexuelle de mes filles (épisode 1)
Je me prénomme Monique et jai eu 50 ans il y a peu de temps. Je suis brune, cheveux courts, 1m65 pour 55kg, un corps ferme avec des seins en forme de poire et de longs tétons. Je suis mariée depuis 30 ans à Jean-Paul et jai 2 filles de 25 et 23 ans; Esther et Marie. Mon mari est officier supérieur dans larmée de terre et de fait doit sabsenter très régulièrement.
Jean-Paul était donc parti pour quelques jours il y a six mois quand je dus rentrer à la maison plus tôt que prévu. Je vis bien quil y avait quelque chose dinhabituel car quand je suis arrivée, il ny avait aucun bruit alors que je savais mes filles à la maison. Après avoir posé mes affaires, je suis montée à létage sans faire de bruit et en mapprochant de la porte de la chambre de ma cadette, jentendis des gémissements. Jentrouvris la porte doucement et là, je suis restée tétanisée par ce que je vis: Esther était nue à genoux, les fesses bien en lair sur le lit pendant que sa sur était derrière elle et la pénétrait bien à fond avec un gode ceinture. Après le moment de stupeur passé, je me suis avancée en criant:
«Non mais ça va pas!… Arrêtez ça tout de suite!… Attendez que je le dise à votre père!…».
Au lieu dêtre honteuse ou autre chose et après la surprise de mon intrusion dans la chambre, Marie me toisa et argumenta sur leurs goûts auxquels je ne comprenais rien. Mais devant mon intransigeance, Marie et Esther me bousculèrent vers le lit où je fus jetée sans ménagement.
«Alors comme ça, maman, tu veux tout raconter Et bien on va te faire voir que tu te trompes sur les lesbiennes Allez Esther !… Aide-moi !… Elle va aimer ça après !…».
Mes filles marrachèrent mes vêtements tandis que je me débattais tant bien que mal. Voyant que je naurais pas le dessus, je me mis à hurler mais Marie me mit dans la bouche une balle en caoutchouc qui tenait avec une lanière en cuir attachée derrière la tête. Elles me menottèrent dans le dos puis se mirent à me lécher les seins en me mordillant mes pointes qui durcirent immédiatement.
«Regarde Marie!… Tas vu comme elle a les seins qui pointent!… Ses tétons doivent faire plus dun centimètre Et bien maman Tu verrais tes tétons Hhhmmm quils sont beaux!…».
Tandis que leurs langues et leurs lèvres sacharnaient sur mes seins, Marie me caressa lintérieur des cuisses puis sa main se faufila sur mon sexe quelle se mit à branler doucement. Elle fit entrer 2 doigts en moi et se mit à me branler de plus en plus vite, jusquà ce que je jouisse malgré moi. Marie se positionna entre mes jambes et malgré mes protestations, me pénétra avec le gode ceinture quelle navait pas quitté. Je sentis passer le gland en caoutchouc et tandis que je me mettais à pleurer, ma fille commença à me limer en cadence comme un homme. Elle prit son temps, me pénétrant bien à fond en donnant de grands coups de rein, puis elle changea de position avec sa sur. Esther avait enfilé un gode ceinture encore plus gros que celui de sa sur et me reprit dans ma chatte toute humide. Marie me caressait doucement le clitoris tandis que sa sur accéléra ses mouvements jusquà me faire crier de jouissance une nouvelle fois.
«Et bien maman Tu vois que tu commences à aimer Quand on va en avoir fini avec toi; tu seras une vraie lesbienne, tu verras Allez Marie Cest de nouveau à toi!…».
Marie me retourna afin de me prendre en levrette, les fesses bien en lair pendant que sa sur appuyait mes épaules sur le lit. Ma fille se cala entre mes jambes, elle mattrapa par les menottes avant de se déchaîner en me pistonnant la chatte à toute vitesse, ce qui me fit couiner de plaisir malgré la balle en caoutchouc dans ma bouche. Esther quitta la chambre et revint 5 minutes plus tard pour dire à sa sur que tout était prêt Les filles me mirent debout et nous prîmes la direction de ma chambre. Je vis quEsther avait ouvert mon lit, installé un trépied juste à côté avec un caméscope dessus, prêt à filmer.
«Maman; on va faire du cinéma!… Ca va être un bon film…Tu vas devenir une vedette ».
Je regardais mes filles avec incrédulité, ne voulant pas croire à ce que je voyais, puis jessayais de me rebeller. Marie me fit tomber sur mon lit pendant que sa sur enclenchait le caméscope. Mes 2 filles me mirent une fessée, marrachant des gémissements de souffrance, puis lune delle me repositionna en levrette et réinvesti mon sexe trempé. Marie me lima un bon moment avant dêtre remplacée par sa sur et ainsi de suite. Ma fille ainée se coucha après sur le dos et je fus contrainte de lenjamber pour quelle me reprenne dans la chatte.
Je navais pas vue Marie prendre un tube de gel et je compris trop tard où elle voulait en venir quand je sentis du liquide sinsinuer dans la raie de mes fesses. Ses doigts sattardèrent sur ma rondelle quelle caressa avant dy enfoncer un doigt, puis un deuxième. Elle les fit aller et venir, massouplissant lanus, puis elle se positionna derrière moi et alors que je gémissais de douleur, je sentis son gland contre ma rosette puis la pénétration terrible que je subissais
«Et bien maman Tu vas pas me dire que papa ne ta jamais enculée?… Détends-toi!… Lààà Tu vois, ça passe tout seul!… Tu vas aimer tu vas voir!… Hmmmm!… Quel cul!…».
Elle donnait de petits coups de rein et à chaque poussée, son faux sexe allait plus loin dans mes fesses. Quand elle fut au fond de mon cul, elle donna le signal à sa sur et toutes les deux de déchaînèrent en même temps, me faisant gémir de nouveau. Marie se retira, maida à me mettre debout sur le lit, puis mordonna de me mettre accroupie au-dessus de sa sur en lui tournant le dos. Esther qui était restée allongée sur le dos, sa fausse bite dressée à la verticale, neut quà guider le mandrin pour me le réenfiler dans le cul. Ma fille aînée mattira contre sa poitrine tandis que sa sur me retirait la balle en caoutchouc de ma bouche. Jessayais de nouveau de raisonner mes filles malgré mes pleurs mais rien ny fit. Marie me prit les chevilles puis me releva les jambes tout en les écartant, après quoi elle entra son gode dans ma chatte. Mes 2 filles allaient et venaient dans mes trous et je narrêtais pas de jouir. Je me mis à crier sans discontinuer jusquà ce que Marie se penche vers moi et me roule une pelle, me clouant le bec. Mes filles me firent rouler sur le côté, toujours menottée dans le dos. Marie arrêta le caméscope, le décrocha du trépied tandis que sa sur sharnachait un gode ceinture encore plus gros que le précédent ; celui-ci devait faire 25cm de long pour 6cm de diamètre. Esther memmena au salon et elle sassit sur le canapé, la fausse bite dressée comme un I. Marie mordonna de monter sur le canapé puis de mettre un pied de chaque côté de sa sur tout en lui tournant le dos. Là aussi, je dus maccroupir lentement pendant quelle filmait face à moi. Esther me tenait les fesses bien écartées aussi le gland se positionna tout seul sur ma rosette. Lénorme engin eut quand même du mal à entrer mais dès que lextrémité fut dans mon cul, Esther appuya sur mes épaules, me forçant à masseoir sur son gode. Marie qui nen perdait pas une miette avec le caméscope apprécia la scène et mencouragea:
«Super maman Allez!… Bouge bien!… Vas-y!… Remue ton cul!… Oui ; cest bien!…».
Jétais accroupie sur ma fille, les jambes largement écartées avec le gode fiché dans mon cul jusquà la garde. Esther mit ses mains sous mes fesses et imprima ses mouvements, me faisant monter et descendre de plus en plus vite sur le gode monstrueux, jusquà ce que je cris de nouveau un orgasme. Mes filles me laissèrent me calmer puis Marie prit la parole:
«Maman!… Jespère que tas compris que cest nous qui commandons!… Tas pas intérêt à parler de ça à quiconque sinon je mets le film que jai fait sur internet; tas compris?… Désormais, tu nous appartiens et tu devras nous obéir!… Allez ; on va se coucher!…».
Les filles me retirèrent les menottes, et après être passées aux toilettes et sous la douche, on alla se coucher toutes les 3 dans mon lit conjugal où je mendormis immédiatement
à suivre