Toujours le dimanche 2 mai 2004
Ber ne compte pas en rester là et attend que je sois lancée pour demander à sa voisine:- Elle te fait envie ma queue ?
J’interromps un moment ma fellation pour regarder comment ça se passe. Devant l’absence de réponse de Michèle, Ber s’est levé et se tient debout à côté d’elle. Elle n’a pas lâché sa bite et continue à le branler, maintenant à quelques centimètres de son visage. Elle jette un nouveau regard de défi vers nous et enfin s’avance pour passer sa langue sur le gland qui la nargue. Puis elle le gobe et se met en mouvement, ses lèvres coulissant de plus en plus loin sur la tige pendant que sa main est descendue empoigner les couilles. Du coup, je reprends mon action sur celle de son mari.
Un petit moment plus tard, j’entends un bruit d’eau et je vois apparaître Ber qui vient s’asseoir à côté de Michel. Michèle ne tarde pas à se positionner à genoux à côté de moi pour continuer à s’occuper de Ber tout en jetant des coups d’il vers la queue de son mari dont je prends grand soin. Elle m’imite sans attendre plus. Tandis que Ber prend ses seins, elle baisse sa tête et le pompe avec soin.
Alors, je tente une main vers son dos qu’elle me laisse lui caresser. Du coup, je descends jusqu’à sa croupe que je flatte sans qu’elle ait un geste de retrait. Mes doigts viennent donc explorer son sillon où ils trouvent son illet et sa fente qui est bien humide. Et c’est un peu gluant, donc ce n’est pas que de l’eau du jacuzzi.
Je la doigte un moment d’une main tout en suçant la bite de Michel à qui je dis:
Un peu à moi, non ? Viens me prendre en levrette.
Il ne se le fait pas dire deux fois et se positionne immédiatement derrière moi. Vu que je suis bien excitée, il n’a aucune difficulté à faire passer le seuil à son gland puis à toute la longueur de sa tige. Il me cramponne les hanches et me pilonne d’abord en douceur avant d’y aller plus en force et en profondeur. Ber propose à sa partenaire:
Quand tu en veux toi aussi, tu me le demandes.
Oui, je veux.
Non, pas comme ça, demande-le de manière plus crue.
Viens, baise-moi !
Ah, tu vois quand tu veux…
Il se dégage de sa bouche et vient à son tour se positionner derrière elle pour lui investir la chatte sans trop de ménagements. Elle marque le coup, apparemment pas habituée à ce calibre, mais elle s’y fait assez vite. Pendant ce temps, Ber a un peu attendu que sa queue fasse sa place et maintenant il se met en mouvement très doucement pour ne pas la meurtrir.
Michèle et moi nous faisons baiser accoudées côte à côte sur le bord du jacuzzi. Michel ne tient pas trop longtemps, excité par la situation et me lâche tout au fond. Il reste un moment sans bouger puis ressort de ma chatte pour s’asseoir sur le banc dans le bain. Pour ma part, je profite que je suis plus libre de mes mouvements pour caresser les seins de Michèle pendant qu’elle commence à annoncer son orgasme.
Elle jouit sans retenue et Ber attend un peu qu’elle redescende pour sortir sa bite toujours en pleine érection. Il la fait s’asseoir à côté de son mari et se fait pomper sous son nez, ne ressortant pas au moment d’éjaculer. Elle a un haut-le-cur, mais ne se retire pas et avale tant bien que mal une bonne partie de la quantité abondante de sperme qu’il lui délivre.
Je dis à Michel dont je caresse la queue que cette vision a remise en forme:
Dis donc, elle suce bien ta femme, tu as de la chance !
Euh, c’est la première fois qu’elle va jusqu’au bout, elle a jamais voulu.
Eh bien, comme ça tu pourras en profiter maintenant.
Sur la proposition de Ber, nous sortons du bain et allons nous poser sur les bancs du sauna. Les deux bancs intégrés sont superposés et Ber attend que Michel soit assis sur celui du haut pour se poser juste en dessous de lui, laissant Michèle monter à côté de son mari. Je me place en dessous d’elle et commence à m’occuper avec une main de remettre Ber en forme. C’est surtout pour inciter Michèle à faire pareil, et j’entends très vite qu’elle ne s’en prive pas.
J’attends juste un peu, puis je me retourne pour m’agenouiller sur le banc, ce qui me met la tête à hauteur de son pubis qui est d’autant plus apparent qu’elle a les jambes ouvertes. Comme elle ne fait pas le mouvement de les refermer, je lui dis:
J’adore ton petit triangle de poils, on voit bien que tu es une vraie blonde.
Euh, merci. Et toi, j’ai vu que tu étais entièrement épilée.
Oui, c’est plus pratique pour Ber quand il me mange le clito. Ça te plaît à toi aussi ?
Euh oui, j’adore quand Michel me le fait.
Alors, je peux ?
Euh, j’ai jamais rien fait avec une femme.
Mais si, juste tout à l’heure quand je t’ai caressée pendant que tu suçais mon mari.
C’est vrai, je me suis laissée aller, j’étais prise dans l’action.
Eh bien, laisse-toi aller encore.
Je la prends par les genoux pour la faire asseoir bien au bord du banc et je plonge dans sa fourche. Elle ne se retire pas et même finit par poser ses mains sur ma tête pour me tenir bien contre sa chatte. Elle remue le bassin et gémit, donc c’est gagné.
Toute à mon ouvrage, j’entends Ber demander à Michel:
Elles nous ont laissés en plan. On s’en occupe sans elles ?
Comment ça ?
Ben, de la même manière, évidemment…
Oh ! Mais… Euh, non, arrête.
Quoi, c’est pas bon ?
Si, mais tout de même…
C’est ta première fois aussi ? Eh bien, il y a un début à tout. Laisse-toi aller et profite !
Je relève la tête pour vérifier que c’est bien ce que je pense et oui, Ber est en train de le branler. Michèle le regarde faire elle aussi. Je replonge. Mais il fait un peu trop chaud dans le sauna pour des ébats qui nous chauffent déjà bien assez par eux-mêmes. Je propose donc de retourner continuer dans le jacuzzi. Ce que nous faisons sur-le-champ.
Comme la plage en bois du bain est trop étroite, je fais allonger ma partenaire sur le tapis en bois tressé au sol, en prenant soin d’y poser une serviette pour qu’elle ne se râpe pas le dos. Puis je me positionne en soixante-neuf et reprends mon action. Mais en même temps, je lui présente ma chatte devant sa bouche. Jinsiste un peu en me frottant sur ses lèvres et elle finit par céder et commence à me lécher la fente tout en me pétrissant les fesses. Pendant ce temps, Ber a fait asseoir Michel sur les marches d’accès au jacuzzi et a repris sa branlette. Puis il monte d’un cran dans les découvertes de son partenaire en lui suçant le gland en test avant de carrément le gober. Vu que Michèle a la tête de ce côté, elle a une vue directe sur son mari en train de recevoir cette fellation masculine.
Ne voulant pas l’épuiser, Ber arrête sa gâterie et l’entraîne pour venir s’occuper de nous. C’est Michel qui vient me prendre en levrette, mais Ber ne se positionne pas tout de suite entre les cuisses de Michèle. Il vient d’abord se mettre debout à cheval au-dessus de moi pour demander à Michel qui s’active déjà dans ma chatte:
Tu m’en dois une !
Je ne vois rien, car c’est dans mon dos, mais je sais qu’il lui présente sa bite à sucer. Ça n’est pas gagné tout de suite, car il continue:
Oui, avec la main, c’est bien, mais mets-y aussi la langue. Oui, voilà, fais comme tu aimes qu’on te le fasse. Oui, c’est bien pour une première fois.
Je sens que ça excite Michel de sucer un mec pour la première fois de sa vie, mais comme je n’ai pas envie qu’il parte trop vite et encore au fond de mon vagin, je me retire en me faufilant entre les jambes de Ber pour me redresser derrière lui. Le spectacle n’est pas mal, y compris pour Michèle qui voit enfin en contre-plongée son mari sucer un mec. Mais je ne les laisse pas continuer, je demande aux deux de venir s’occuper de moi ensemble. Ber s’allonge sur le tapis à la place de Michèle et je viens m’empaler sur sa queue en me couchant sur son torse tout en demandant à Michel:
Allez, viens m’enculer, que j’en profite un max !
Il ne se fait pas prier et vient illico s’agenouiller derrière moi pour présenter son gland contre ma rondelle. Il hésite un peu, mais comme il sent que la porte s’ouvre sans peine, il s’introduit et a la surprise de se retrouver sans à-coups au fond de mon boyau. Il me cramponne par les hanches et se met à faire des va-et-vient de plus en plus amples au fur et à mesure que sa bite prend sa place. C’est tellement bon que je prends mon pied rapidement, et c’est tant mieux, car lui aussi annonce qu’il vient. Cette fois, c’est au fond de mon cul qu’il lâche ses salves, bien enfoncé jusqu’à la garde.
Il se calme et perd du volume, donc me quitte et je me dégage de la bite de Ber qui est toujours en pleine forme pour qu’il en fasse profiter Michèle qui n’a été que spectatrice de cet épisode. Il choisit de retourner dans le jacuzzi où il la fait mettre à genoux sur le banc intérieur et la reprend comme tout à l’heure en levrette. Mais je vois bien qu’il ne veut pas s’en tenir à ça, car il commence à lui caresser l’anus avec le pouce.
Comme elle le laisse faire, il continue à l’assouplir avec de la salive pour bien faire glisser et enfin aventure son pouce de plus en plus vers l’intérieur jusqu’à ce que la première phalange passe entièrement. Il lui branle le cul tout en la baisant en levrette et elle a l’air de bien apprécier. Puis il passe à la phase B en sortant sa bite pour la pointer sur la rondelle et la promener de haut en bas pour déposer de la mouille. Michèle proteste:
Euh, non, pas là. J’ai pas l’habitude.
Eh bien justement, laisse-toi aller et tu vas la prendre très vite.
Il pousse un peu, en douceur, remet le gland dans la chatte pour le lubrifier, recommence à le promener tout autour de la rondelle, repousse un peu et enfin le gland est absorbé. Michèle ouvre la bouche pour dessiner un Oh muette Ber reste figé pour lui laisser le temps d’accepter cet intrus qui prend du volume dans ce conduit.
De mon côté, j’ai pris soin de Michel en lui nettoyant un peu sa queue souillée et en le branlant pour le remettre en forme. Je suis aidée en cela par la scène qu’il a sous les yeux et que je ne me prive pas de lui commenter:
Ouah, pour une novice, elle l’a pris assez facilement. Et pourtant c’est une belle pièce.
Euh oui, je suis étonné, elle n’a jamais voulu qu’on le fasse.
Eh bien tu vois, elle s’améliore.
Quand j’avais essayé, j’arrivais pas à entrer tellement elle était crispée.
Maintenant, ça va aller beaucoup mieux quand tu vas vouloir recommencer.
Oui, je vois ça, surtout après le calibre de Bernard.
Tu devrais aller l’aider en te faisant sucer pour qu’elle soit moins fixée sur ce qu’il lui fait.
Il ne se le fait pas dire deux fois et va présenter son gland à sa femme qui le gobe sans hésiter et se consacre à le sucer goulûment. Du coup, Ber sent qu’elle se décontracte et pousse pour prendre possession de tout son rectum. Elle marque le pas tout de même et donc il attend encore un peu qu’elle se détende en pompant son mari pour commencer à la sodomiser tranquillement puis de plus en plus fort lorsqu’il sent qu’elle est prête.
Lorsque j’estime qu’elle est bien rodée, je propose de lui faire découvrir aussi le sandwich. Je fais allonger Michel au sol et Ber la libère pour qu’elle puisse sortir du bain et aller s’empaler sur la bite de son mari. Puis il se positionne derrière et la fait bien se pencher en avant pour reprendre sa place avant que l’anneau ne se soit rétracté. C’est lui qui mène la cadence, la faisant décoller chaque fois qu’il va buter sur ses fesses puis la laissant retomber sur le pubis de Michel. Je profite que celui-ci soit plutôt passif dans cette position pour venir m’asseoir su son visage afin qu’il s’occupe un peu de moi. Ce qu’il fait de la langue et des doigts pendant que sa femme grogne de plaisir.
C’est à ce moment que ce que j’attendais se produit enfin. On entend frapper doucement à la porte de l’espace détente et la voix de la patronne nous dire:
Mesdames, messieurs, l’espace détente doit fermer. Je vous invite à libérer les lieux.
Comme nous ne répondons pas, elle réitère son appel:
Allons, ça fait dix minutes que l’heure est passée. Merci de quitter l’espace détente.
Toujours sans réponse, elle pense peut-être que nous avons quitté le local à un moment où elle était affairée ailleurs dans l’établissement, car cette fois elle ouvre la porte et nous découvre en pleine action dans cette position bien mélangée. Et elle ne peut avoir de doutes sur notre occupation, car nous sommes de profil par rapport à la porte. Occupation que nous n’arrêtons pas malgré son intrusion. Elle reste bouche bée puis réagit enfin. Elle ressort et nous dit par la porte qu’elle garde entre baillées:
Euh, bon, je ne voudrais pas vous déranger dans vos… ébats, mais j’ai besoin de fermer. Alors si vous pouvez terminer assez vite, ça m’arrangerait bien. Je compte sur vous.
Et elle referme la porte, ce qui ne change rien à notre activité en cours. Michèle était tellement partie déjà que c’est tout juste si elle avait noté la présence de la femme. Elle annonce son orgasme sans retenue. Heureusement que le lieu est insonorisé, ça aurait pu déclencher une avalanche…
Ber la quitte et la fait retourner avec lui dans le bain où il la fait asseoir et lui présente son gland à gober après avoir fait une toilette à sa queue souillée. Michel et moi les rejoignons et nous mettons à côté d’eux dans la même position. Je mets tout mon savoir pour pomper Michel et il ne met pas longtemps à me tapisser le palais avec ce qu’il lui restait au fond des couilles. De son côté, Ber a enlevé sa bite de la bouche de Michèle qui le suçait voracement et se fait plaisir entre ses seins avec une belle branlette espagnole. Ça m’étonnait aussi de lui qu’il ne l’ait pas fait avant, vu qu’il adore ça et qu’avec ma poitrine peu volumineuse, ce n’est pas l’idéal. Il la guide pour qu’elle enserre sa tige et la fasse coulisser entre les deux globes jusqu’à ce qu’il sente la sève monter et qu’il se dégage pour lui éjaculer un reste de sperme encore conséquent sur les seins avant de lui donner son gland à nettoyer de la langue.
Cette fois, il est temps de mettre fin à notre petite séance, sinon la femme va finir par se fâcher vraiment. De toute façon, Ber a eu son compte et Michel est apparemment bien essoré. Il n’en revient toujours apparemment pas d’avoir non seulement éjaculé dans ma chatte, mon cul et ma bouche, mais aussi d’avoir vu sa femme se gouiner avec moi, se faire prendre par tous les trous et avaler sans sourciller. De bonnes perspectives pour lui dans l’avenir.
Comme ils commencent à remettre le peignoir pour sortir, je leur propose de tout laisser là et de retourner à poil jusqu’à nos chambres. Michèle fait remarquer:
Mais, il risque d’y avoir la femme au comptoir quand on va passer dans le hall.
Eh bien, justement, c’est rigolo. Et elle nous a vus en position bien plus chaude.
Donc, ils se laissent faire et prennent juste leurs maillots dans la main pour nous suivre. Et évidemment, comme je l’espérais, la patronne de l’hôtel est là, à nous attendre pour fermer l’espace détente. Elle marque encore sa surprise et je lui dis:
Bon, pour vous faciliter la tâche, on a tout laissé à l’intérieur. Bonne nuit !
Et nous passons, la laissant bouche bée devant tous nos attributs offerts à sa vue. Dans l’escalier, nos partenaires finissent par rire avec nous de la bonne blague et nous les quittons sur le palier du premier, car notre chambre est à l’étage au-dessus. Nous ne leur proposons pas de reprendre les festivités, car en plus d’être vidés, il est un peu tard et nous devons prendre la route tôt demain matin. Ils ne nous le proposent pas non plus de leur côté. Donc nous leur faisons une dernière bise et les quittons.
Lundi 3 mai 2004
Au matin, nous nous préparons et descendons avec nos bagages. A la réception, c’est une autre femme plus jeune qui est là. Celle d’hier doit encore dormir, je pense. Et elle n’a rien dû raconter de ce qu’il s’est passé la veille, car celle qui est de service nous accueille d’un grand sourire sans aucun regard suspicieux. Elle nous sert le petit-déjeuner, bien copieux, puis nous réglons la note et partons. Nous n’avons pas vu Michel et Michèle, ils doivent faire la grasse matinée. Evidemment, nous avons pensé à échanger nos coordonnées avec eux. Ils sont cordialement invités à venir quand ils veulent à la maison. Pareil pour nous.