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Essayages – Chapitre 5

Essayages - Chapitre 5



A partir de cette date, les commandes on redoublé. Nous avons du embaucher de nouvelles filles. Cloé et Ariane faisaient des progrès même du côté "gaudriole", surtout Cloé. Complètement décoincée, elle s’affichait maintenant devant l’objectif comme nous, culottes fendues, cuisses ouvertes, gode enfoncé dans la chatte jusqu’à la garde! Comme moi, elle appréciait particulièrement les séances supplémentaires avec Laurent. Elle m’a même fait cette confidence, un soir particulièrement torride, où Laurent venait de la prendre violemment et de lui remplir la chatte:

— Tu sais c’est toi qui avais raison "Van": c’est bon de se faire baiser comme çà! J’adore quand Laurent m’enfile. Il me défonce et j’adore çà!!!

— Ouais, c’est vrai. Il baise bien et j’adore moi aussi, surtout quand il me remplit hem

— T’as raison. Je trouvais çà dégueulasse, au début, et puis maintenant j’attends çà. Çà fait comme toi, j’adore le sentir, quand il me met tout. C’est drôle mais j’aime bien quand je le sens se vider dans mon ventre!

— Ouais c’est vrai! Tu tu prends la pilule?

— Ben ouais. Vaut mieux, j’ai un fiancé et je voudrais pas tu comprends!?

— Ouais, je comprends. Il baise bien?

— Hein? Qui? Pascal?

— Ouais! Il baise bien? Il te comble?

— Ben ouais. C’est pas comme Laurent. C’est de l’amour. Je sais que je suis pas fidèle mais même si Pascal hem baise bien, comme tu dis, c’est pas comme Laurent!

— Ouais. Pareille pour moi! En plus, avec Lucien on n’arrive pas avoir d’enfant!

— Ah! Et vous en voulez un!?

— Ouais! c’est compliqué!

— Tu l’aimes? Tu crois que çà vient de lui?

— Je sais pas. Il n’y a aucune anomalie. Ni chez l’un, ni chez l’autre. J’ai arrêté la pilule depuis plusieurs mois!

— Quoi? Mais t’es folle!!! Et laurent. Et les autres?

— Quels autres? Il n’y a que Laurent.

— Ben mais il te met tout, dedans aussi!

— Je sais.

— Tu tu le fais exprès? J’en reviens pas! Et si

— Si? Si je me retrouves enceinte, tant mieux. Je veux pas savoir qui est le père. C’est tout!

— C’est du délire! J’en reviens pas!

— Hé! Tu gardes çà pour toi hein?

— Ma chérie tu peux me faire confiance. Jamais, même sous la torture. Je te dois trop!

C’est ainsi que la vie suivit son cours. Nous y trouvions tous notre compte. Laurent pouvait profiter de "ses filles" comme il disait, et comme il nous adorait et était prévenant avec nous pas de soucis, pas de jalousie malsaine. En plus, il était très généreux. Lucien soupçonnait toujours des écarts mais ne se doutait pas que je "couchais" carrément avec mon patron. Il soupçonnait surtout quelques jeux érotiques plus ou moins poussés pour agrémenter certaines photos. Il savait que çà m’excitait, et je crois que le fait de le savoir, l’excitait aussi.

    Quant à Laurent, nous faisions l’amour de plus en plus intimement, de manière bien différente qu’avec les autres filles, et il me pressait de plus en plus pour rester en moi jusqu’au bout, ailleurs que dans mon derrière, ce que je continuais de refuser contrairement à ce que j’avais laissé croire à ma collègue, peut être parce que je pensais que cela allait arriver un jour ou l’autre. Je sentais bien que cette situation le contrariait et qu’il commençait à perdre patience. Je lui avais suggéré la capote, mais ce fut un non catégorique et je n’insistai pas. Finalement, ce qui devait arriver, arriva.

    Avec Lucien, je n’étais toujours pas tombée enceinte, et là, c’est moi qui perdais patience. Cela faisait maintenant six mois que je faisais l’amour avec mon patron, et j’en retirais de grandes jouissances.

Ce soir, Laurent m’avait conviée, ainsi que les autres employés, à un repas, pour fêter un gros contrat d’une chaîne de magasins, ainsi que les dix ans de la société.

J’avais mis Lucien au courant, il était invité mais n’avait pas désiré venir, je ne sais toujours pas pourquoi, et ce fut une erreur. Pourtant, pour le rassurer, c’est Carole qui était venue me chercher le soir à la maison. Lucien était prévenu que nous ne rentrions que tard dans la nuit, car "LE PATRON" avait réservé une table dans un cabaret.

Le repas était succulent, et le spectacle vraiment superbe. J’ai beaucoup apprécié, et nous avons même dansé un peu de jazz.

Vers deux heures du matin, chacun est rentré chez soi. Laurent a proposé de me ramener, j’ai accepté; En fait, j’avais envie de lui, et lui de moi, et je n’ai pas su dire non.

Nous avons roulé dix minutes, puis Laurent s’est arrêté devant un hôtel. Là, j’ai compris ce qui allait se passer. Il avait en fait réservé une chambre pour la nuit, j’en fus assez émue car il n’avait jamais fait cet honneur à aucune autre fille. Je compris alors qu’il tenait beaucoup à moi, même s’il faisait l’amour à d’autres filles de la boîte. J’avais envie de lui, de le sentir, et je ne résistai pas, le suivant sans rien dire, me laissant conduire, un bras enveloppant mon épaule. Il me dit simplement en traversant le couloir qui menait aux chambres:

— Ce soir, je te fais l’amour, et je te fais mienne. J’en ai trop envie Vanessa, tu n’as plus le droit de me refuser, plus maintenant. Je ne pourrai plus tenir.

Une boule monta dans ma poitrine. Cette déclaration m’a tellement émue que j’en ai eu les larmes aux yeux. Je n’ai pas répondu, je ne savais quoi dire. Je savais qu’il avait raison, et que je ne pourrai pas le repousser indéfiniment. Je le regardai intensément, et il sut que cette nuit, j’allais le laisser s’assouvir dans mon corps, sans restriction, et qu’il pourrait me prendre jusqu’à la jouissance, jusqu’à la délivrance des sens, de nos sens. Je serais à lui jusqu’à la dernière goûte.

La clef tourna dans la serrure. Laurent s’effaça et me laissa entrer. Je ne fis guère attention au décor et me dirigeai dans la salle de bains. Je pris une douche, l’eau me fit du bien. Sous la douche, je repensai à sa demande et cela m’excita soudain de penser qu’il allait me prendre jusqu’au bout, que pour la première fois, j’allais laisser un autre homme se vider dans mon ventre et me remplir comme une femelle.

J’enfilai le peignoir de l’hôtel et revins dans la chambre où Laurent patientait sur le lit.

Je m’allongeai à ses côtés et il se déshabilla. Je le trouvai beau. Il bandait ferme et je ne pus détacher mes yeux de ce sexe qui allait me baiser, une fois de plus, mais surtout, qui allait me remplir.

Ses mains sur mon corps me firent frémir et sa bouche sur mes tétons me fit bander. Laurent m’écarta les cuisses et sa langue entra en action. Il m’aspirait littéralement le clitoris et je faisais le pont sur le lit. Son doigt entra en moi et je me mis à râler de plaisir. Je n’en pouvais plus, je le désirais en moi, je ne pouvais plus attendre.

— Oh! Laurent c’est trop fort j’en peux plus. Prends moi! Prends moi, s’il te plaît.

— Je t’aime Vanessa. Je vais te prendre et tu seras mienne et je ne me retirerai pas. Je vais te prendre jusqu’au bout!

— Oh! Laurent fais le baise moi jusqu’au bout prends moi baise moi, et viens en moi!

Il se coucha entre mes cuisses écartées. Sa main entre nos deux corps guida son sexe et je le sentis me pénétrer. Il se laissa tomber sur mon ventre et m’embrocha sauvagement, me faisant délirer.

— Ah! Oui! C’est bon enfonce dans mon ventre, plus fort. Viens! Prends moi, baise moi

Mon patron me bourrait à fond, me pistonnant comme jamais. Son sexe me pilonnait profondément et il accéléra encore la cadence. Je commençai à ressentir les prémices du plaisir. Quelque chose roulait en moi, déjà. Je râlais, criais, ma tête roulait de gauche à droite. Je devenais folle de plaisir. Je lui criai de me prendre, encore et encore. Puis je le sentis se raidir à son tour. Un dernier réflexe me tétanisa sur place, j’arrêtai de bouger, soulevant mes fesses. En sentant sa queue se planter profondément dans ma chatte, je sus qu’il était trop tard, qu’il ne se retirerait plus. Le plaisir revint au galop, je me donnais à lui, entière et criai mon plaisir.

— Oh oui! Oui! Vas-y, prends moi mets moi mets moi fais le Laurent, fais le viens dans moi décharge moi tout dedans!

— Oui je viens je viens Oh, Vanessa, c’est bon vide moi les couilles

Et je le sentis d’un coup. La première giclée me surprit, violente, chaude. Laurent me déchargeait tout son foutre dans le ventre, me remplissait de sa semence et me faisait sienne, femelle. J’avais l’impression de recevoir des décharges électriques dans le ventre à chaque giclée. Il m’aspergeait le fond, encore, et encore.

Enfin, il finit de décharger en moi. Les derniers spasmes le secouèrent et il s’affala sur moi. Je venais de jouir et de ressentir l’une de mes plus grandes émotions. Un homme venait de décharger dans mon ventre, et ce n’était pas mon mari. J’étais pleine d’un autre homme, et j’étais consciente que je venais de me donner et d’offrir mon corps entièrement. J’en mesurais les conséquences, mais je n’étais pas inquiète, au contraire, j’en étais heureuse, très heureuse.

A présent, plus rien ne serait pareil. J’allais regarder mon mari autrement. J’étais amoureuse de lui et désirais rester avec lui, mais je ne me priverais pas du plaisir que me procurait mon patron. Il était devenu mon amant et comptait bien le rester. C’est également ce que je désirais.

Laurent me raccompagna devant chez moi et m’embrassa devant ma porte en me disant simplement "Merci". Je rejoins mon domicile à six heures du matin. Lucien était encore au lit. Je restai à la cuisine et me préparai un petit déjeuner. Lucien vint me rejoindre vers sept heures. Il me trouva assise sur le canapé, s’assit à côté de moi sans rien dire, me prit dans ses bras et commença à me caresser. Je me suis laissée aller dans ses bras et me suis mise à pleurer. Il m’a regardée, a secoué légèrement la tête et baissé les yeux. Je crois qu’il avait compris. Il m’a juste dit:

— T’en fais pas si tu l’as fait, c’est que t’en avais besoin Je ne t’en veux pas. Je ne t’en voudrai jamais!

    Je partis dans une crise de larme et c’est Lucien, paradoxalement, qui me consola, alors qu’il aurait du me jeter. Il me fit l’amour comme il ne me l’avait plus fait depuis longtemps. Je fus d’abord surprise de sa fougue soudaine et remarquai chez mon mari un état d’excitation inhabituel. Je me suis alors demandée à quoi il pensait en me faisant l’amour et fus prise d’un doute, gênée, me sentant tout à coup fautive.

Trois semaines plus tard, je fis un test de grossesse, puis consultai un gynécologue, j’étais enceinte, pour le plus grand bonheur de Lucien et de Laurent, qui, tous deux, sont persuadés qu’il s’agit de leur bébé. Moi, je ne suis sure de rien, Lucien m’ayant fait longuement l’amour à mon retour, toute la matinée. Je suis heureuse, je suis restée maîtresse de Laurent. Lucien me fait beaucoup mieux l’amour, et plus souvent, et je suis comblée. J’ai eu un petit garçon, il est châtain clair et a les yeux bleus, comme son papa sauf que je ne sais pas lequel est le papa.

4910 Fin

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