Chapitre 6 – La piscine
Une lueur de stupeur dans le regard, il me suit vers la douche. Le vieux, qui a observé tout le manège, semble abandonner lidée de se rhabiller. Il réenfile tant bien que mal son maillot de bain, handicapé en cela par une farouche érection.
Arrivé dans les douches, nous retrouvons Chantal qui, lair résigné, se tient sous le jet dune douche. Outre le fait quil semble encore plus rétrécir son maillot, leau rend celui-ci presque transparent par endroit. Ainsi ruisselante, elle est magnifique de féminité, elle suinte le sexe par tous les pores de sa peau. Et de fait, sa présence rencontre un certain succès au regard du nombre dhommes qui prennent leur temps pour se doucher.
– Chantal, tu es prête ? Je te présente Patrick, un ami très méritant qui prétend que tes seins sont des faux. Jai beau lui assurer que tu portes de la mamelle 100% naturelle, il ne me croit pas.
Voyant que Chantal est accompagnée, tous les hommes présents détalent en moins de 5 secondes, nous laissant seul avec elle. Je mapproche delle et lui saisis délicatement un sein qui jailli immédiatement de son bonnet.
– Alors Patrick, je crois que tu dois admettre que tu tes trompé. Regarde-moi ces loches, cest du vrai. Viens ten assurer par toi-même.
Le gamin hésite, se demandant probablement si cest du lard ou du cochon. Il faut dire que lair désemparé et inquiet de Chantal ne doit pas le mettre très à laise.
– Allez, vas-y, tâte la marchandise, elle adore cela. Hein Chantal, cela ne te dérange pas de faire plaisir au gamin ?
La mère de famille, confrontée à cette situation déstabilisante, hésite. Il faut que je la fusille du regard pour quelle sorte de la léthargie dans laquelle elle sétait réfugiée.
– Heuu, non, non. Balbutie-t-elle.
– Alors, tu vois. Fais-toi plaisir, ce nest pas tous les jours que tu auras la chance de caresser des seins de cette taille.
Le gamin sapproche timidement en fixant Chantal dans les yeux. Celle-ci ne peut soutenir son regard et se tourne vers moi. Ses yeux expriment toute lincompréhension et la détresse qui laniment. Du regard, je lui fais comprendre que jattends de sa part une totale obéissance.
Patrick se saisi de son sein gauche, déjà sorti de son logement, et commence à le caresser craintivement. Devant la passivité de Chantal, il senhardit et commence à malaxer plus fermement la masse charnue qui lui est offerte. Chantal ne parvient pas à étouffer un soupir, dont il nest pas aisé de déterminer sil indique quelle désapprouve notre comportement, ou bien quelle nest pas insensible à la situation. Une réponse nous est vite apportée par ses tétons qui commencent à pointer, trahissant ses sentiments profonds.
Cela semble agir comme un déclencheur sur Patrick qui attrape le téton de Chantal, et commence à le faire rouler entre son pouce et son index.
Chantal se pince les lèvres pour ne pas crier. Elle peine de plus en plus à retenir ses larmes.
La voir ainsi tiraillé entre excitation et honte, ne fait que décupler mon désir.
Patrick est aux anges, il pétrit maintenant les deux seins de Chantal sans retenu, son sexe tend de manière obscène son maillot de bain. Nul besoin de linciter à caresser Chantal, il se colle désormais à sa plantureuse partenaire et gobe un de ses tétons quil commence à suçoter.
Je me glisse sous une douche pour essayer de calmer la monumentale érection qui manime également, je naimerais pas que quelquun me surprenne ainsi. Si je suis prêt à assumer le fait de passer pour un voyeur, je tiens à éviter de donner le sentiment que je ne me contrôle pas.
Chantal repousse doucement Patrick, qui la regarde avec étonnement, ne sachant plus que faire.
– Excuse-moi mon garçon mais nous ne pouvons pas continuer Il y a du monde Et puis, ce nest pas bien ce que nous faisons Je pourrais être ta mère !
– Mais et lui, dit-il en me désignant, il pourrait aussi être votre fils
– Oui, mais
Chantal troublée, ne parvient pas à finir sa phrase, elle se contente de tenir le garçon à distance. Bien quelle vienne de se dérober, je suis favorablement impressionné par ce quelle a accepté jusquà présent. Ne souhaitant pas pousser ma chance plus loin au risque de créer un esclandre au sein de la piscine, je viens à sa rescousse.
– Alors Patrick ! Je ne me suis pas moqué de toi hein ! Bon maintenant il faut que tu la laisses. Mais passe nous voir avec tes copains lorsque nous serrons près des bassins.
Le garçon sarrache à son rêve, récupère sa serviette quil entoure autour de sa taille pour masquer son érection, et file vers la piscine.
Je mapproche de Chantal, la saisie dans mes bras et lembrasse fougueusement. Le contact de ses seins contre moi menflamme. Je suis à deux doigts de péter les plombs et de lattirer dans une cabine de toilette, pour la bourrer sauvagement.
Je parviens à reprendre mes esprits. Chantal sabandonne dans mes bras, comme si elle cherchait à savourer ce moment de tendresse après la tourmente quelle vient de vivre. Je la laisse se détendre en continuant de lembrasser, puis soudainement, je décide dasseoir mon emprise sur elle et je lui mords la lèvre. Elle pousse un cri et se dégage, surprise.
– Cest moi qui fixe les règles. Tu étais daccord avec ça. Alors, ne tavise plus daller à lencontre de ce que je te demande de faire. Ok ?
– Oui, Thierry, mais ce que tu exiges de moi nest pas évident. Je taime et je ne veux pas te faire de la peine, mais depuis quelques temps tu me demandes des choses folles. Je ne suis pas habitué à cela.
– Ce ne sont que des petits jeux, alors fait-moi confiance. Je ne fais cela que pour renforcer notre amour. Tu dois bien te rendre compte que du fait de notre différence dâge, nous devons veiller à entretenir notre flamme. Et ces petits divertissements y contribuent. Maintenant, si tu penses que ce nest plus de ton âge je taime, mais je suis jeune, et tu cours le risque que je me lasse de tes refus, et que jaille trouver une jeunette un peu plus délurée cest à toi de voir.
– Mais Thierry, je taime. Je ne pourrais plus vivre sans toi Je te promets que je vais faire tout mon possible, mais tu dois te montrer compréhensible. Je ne peux pas me balader au milieu des gens avec un maillot si
– petit ? Est-ce ma faute si tu as de si gros seins et un cul aussi rebondi ? Tu devrais être reconnaissante que je tai demandé de te raser, tu aurais été maline avec ta touffe qui dépasse. Tu vois je prends soin de toi. Alors pour le moment, contente-toi de rentrer en scène, ton public tattend. Ne me déçois pas.
Chantal déglutit et dun pas quelle voudrait aussi assuré que possible entre dans la piscine. Elle est surprise pas le monde présent dans et autour des bassins. En cette période estivale, les plages de la piscine ne sont pas loin dafficher complet. De plus, son passage dans les vestiaires a dû provoquer son petit effet, car plusieurs personnes semblent guetter son apparition. Chantal, cherche désespérément des yeux un endroit où sinstaller, puis elle se dirige vers un coin de la plage extérieure. Je la dévore des yeux
Le maillot 2 pièces est très échancrée sur ses hanches, et le tissu de son haut est bien trop étroit pour sa généreuse poitrine. Le bas remonte très haut sur ses hanches, et derrière, le maillot ridiculement trop petit lui rentre un peu entre ses fesses. Chantal tente maladroitement dadopter une démarche discrète, mais se faisant elle ne réussit qua cambrer encore plus son derrière, ce qui la rend encore plus aguichante. Elle jette un il sur son maillot de bain et saperçoit avec effroi quune fois mouillé, le tissu de son bas épouse de manière provocante le relief de son sexe.
Clairement, ce maillot fait plus que mettre en valeur les appâts de la mère de famille. Et leffet sur les personnes qui la croisent est immédiat, elle provoque la stupeur et les rires au fur à mesure quelle avance. Se rendant compte de cela, elle se déconcentre et accentue encore son déhanchement. Cela tourne au numéro de lap danse !
Devant, le tissu très fin, se resserre pour ne cacher quà peine sa fente. Derrière, du fait de ses mouvements, le maillot sapparente de plus en plus à un string, et le « V » plonge entre ses fesses où la fine bande reste cachée. Il semble écarter les fesses de Chantal, les séparer, et rendre sa croupe encore plus provocante et excitante. Plus elle marche, et plus le maillot disparait entre ses fesses.
Je la rejoins au moment où elle atteint un des rares endroits légèrement isolé de la plage. Chantal se tourne vers moi. Son visage est tout rouge et ses yeux gonflés. Elle est parfaitement consciente de leffet quelle provoque autour delle.
– Thierry, je ten prie rentrons. Il y a plein de gens. Regarde ces jeunes de cités qui me fixent partons, je te ferrais lamour dès que nous serrons à la maison, ce serra super
– Non, une fois à la maison tu ne vas pas me faire lamour, je vais te baiser, et tu vas adorer Pour ce qui est des jeunes, évidement quils te regardent, tu nas pas cessé de les allumer en roulant du cul lorsque tu es passé à côté deux. Ne tétonne pas ensuite sils soient excités. Et ne me dit pas que tu ne las pas fait exprès.
– Mais enfin, Thierry
– Tu ne récoltes que ce que tu as semé. Allez, allonge-toi là.
Chantal ne se fait pas prier pour sallonger sur le sol, espérant ainsi se rendre moins visible aux yeux de tous.
Un groupe de jeunes installé non loin de nous, ne quitte pas du regard les formes de ma compagne, ils se sont arrêtés de parler. Il y a 6 jeunes de 17 ans environ.
– Tu sais que tu as un public conquis, ma chérie ça te plaît ?
Chantal tourne la tête, et croise le regard des jeunes qui la dévorent des yeux. Elle tente maladroitement de retirer le bas de son maillot qui a glissé presque complètement entre ses fesses pendant quelle marchait. Se faisant elle ne fait quagiter de manière grotesque son postérieur devant les yeux des jeunes.
Pas que des jeunes dailleurs, je reconnais à proximité le vieux croisé dans les vestiaires. Couché sur le ventre et revêtu de lunettes de soleil il fixe Chantal comme si de rien nétait.
– Tu veux bien me passer de la crème solaire sur le dos ? Elle est dans le sac.
Le son de ma voix semble extirper Chantal de ses pensées. Je renchéris :
– Et si je te demandais de te mettre à quatre pattes pour la prendre comme ça, par jeu ?
Chantal se redresse, le souffle court. Lentement, elle se met à 4 pattes. Elle a beau tourner le dos aux jeunes qui se sont insensiblement rapprochés, elle peut sentir leurs regards sur ses fesses, sa raie qui semble aspirer le trop fin maillot qui ne forme plus quune mince bande entre ses fesses. Ses seins débordant de toutes parts du tissu superflus et se balançant comme 2 grosses mamelles à chaque fois quelle respire.
– Ecarte un peu tes cuisses Je suis sûr que tu commences à mouiller
Chantal fait mine de mignorer et savance à 4 pattes vers le sac, les jambes plus écartées. Elle sent le tissu de son maillot glisser dans sa raie, dévoilant la naissance du renflement de ses lèvres. Malgré tous ses efforts, ses seins continuent à se balancer. Elle attrape le sac et se dépêche de rejoindre sa place.
– Tu aurais pu mieux ajuster ton maillot de bain, ma chérie Tu fais un peu vulgaire comme ça. Si tu provoques les gens il ne faut pas se plaindre de leur réaction ensuite. Approche-toi, que jessaye darranger un peu cela.
Chantal, les yeux pleins de gratitude, se réfugie prêt de moi. Jattrape la ficelle qui strie ses hanches, et fait mine de tirer dessus.
– Dis-donc, cest solide ce truc. Parce quil y a de la pression. Tu devrais peut-être faire un petit régime pour maigrir du cul et des hanches non ?
– ???
– Non, je rigole, il est à croquer ton petit fion. Mais cest vrai que dans ce maillot, il démontre une certaine présence.
Ma main remonte le long de sa hanche et se dirige vers son sein gauche dont je peux entrevoir la pointe chercher à sextraire de son emballage de tissu. Je fixe Chantal. Ses yeux se troublent, elle semble rentrer en transe.
Mon doigt atteint son haut de maillot et se met à suivre le fil tendu à craquer qui part dans son dos. Jusquà rejoindre lattache. Dun coup de pouce jouvre celle-ci. Chantal sort de sa torpeur et pousse un cri. Lattache du haut vient de lâcher et elle tente désespérément de retenir le dérisoire morceau de tissu tout en contenant sa poitrine.
– Oh, Chantal, fait attention on dirait que tu las fait exprès
Ses seins se balancent, lourds, provocants et gonflés, les pointes durcies.
De derrière nous nous entendons des cris en provenance du groupe de jeunes. Visiblement ils nont rien manqué du spectacle. Dune voix tranquille je poursuis.
– Tu es sûr que le topless est autorisé ici ? Vu le public qui fréquente cette piscine, à ta place je me montrerais plus prudent.
Chantal semble dépassée par les évènements. Elle me fixe avec incrédulité, en cachant sa poitrine de ses bras croisés.
Son soutien-gorge gisant à ses pieds.
Elle nose plus bouger ni reprendre son maillot. Elle semble paralysée.
– Visiblement tu es beaucoup plus coquine que je ne le pensais. Tu sais quoi, ça me plait. Je crois que nous allons bien nous amuser tous les deux. Pourquoi cherches-tu à cacher tes jolis seins ? Cela servait à quoi que tu retires ton maillot ?
– Mais Thierry cest toi qui
– Tu maccuse de quoi ? Tient, tu las bien mérité.
Me saisissant de son haut de maillot je lance celui-ci vers le groupe de jeune, ce qui provoque un hourra général, puis une mêlée indescriptible dont son cache curs semble être la cible.
Horrifiée, Chantal se retourne pour suivre son maillot des yeux. Se faisant elle libère ses seins qui reprennent leur liberté pour se balancer dans tous les sens.
– Tu veux te rhabiller ? Va chercher ton maillot. Je suis sûr que tu mouilles rien quà cette idée. Regarde-toi, on dirait une chienne en chaleur qui rêve de se faire monter. Allez, va chercher ton maillot. Noublie pas que cest un cadeau que je tai fait.
Au loin, les ados ne contiennent plus leur excitation. Ils commencent à sadresser à Chantal :
– He Madame, tu as perdu quelque chose ?
– Petit, petit, vient chercher.
– He Monsieur, elle est folle ta meuf. Elle va se faire démonter si elle continue.
Je regarde Chantal et lui chuchote.
– Je suis sûr que tu nauras pas le courage daller le rechercher.
Chantal me foudroie du regard, hésite un instant et se lève. Puis se dirige dun pas décidé vers les jeunes.
Elle est quasiment nue, simplement couverte dun morceau de tissu roulé en ficelle qui lui écarte les fesses et dun minuscule triangle de tissu qui peine à cacher son sexe.
Devant sa réaction, les jeunes pris au dépourvu se taisent. Ils semblent hypnotisés par le balancement de la paire de seins qui se dirige vers eux. Arrivée à leur niveau, Chantal leur demande gentiment de lui rendre son bien. Cela semble réveiller le groupe qui reprend ses railleries.
– Salut la vioque, quest-ce que tu viens faire ici ?
– Tas perdu quelque chose Madame ?
– Dit, cest du naturel ou du silicone ?
Rassemblant son courage, Chantal, tente de garder sa contenance.
– Allez, sil vous plait, rendez-moi mon maillot.
– Pourquoi, tu es très bien comme ça. Moi jaime bien
– Oui, dailleurs tu devrais ouvrir les bras que lon profite du paysage.
– Oui, si tes gentille, nous on sera sympas
Chantal commence à paniquer, elle ne voit pas comment elle va récupérer son bien. Et elle se rend compte que plus la discussion séternise et plus le nombre de personnes qui sintéresse à la scène augmente. Elle se trouve là, debout, à moitié nue, exposée devant une vingtaine de personnes qui se délectent de plus en plus ouvertement de son anatomie. Elle fait le tour des adolescents qui lentourent. Lun deux, tel un zombie, a les yeux bloqués sur son sexe quil détaille comme un dément. Les autres semblent toujours attendre que celui qui tient son haut parle avant dintervenir. Visiblement celui-ci est leur meneur. Elle décide de jouer son va-tout en sadressant à lui.
– Tu veux bien être gentil et me le mettre ?
– Moi, mais pourquoi je ferais ça ? Je taime bien comme ça.
– Peut être que tu ne sais pas mettre un soutien-gorge ? Cest la première fois que tu en manipule un ?
– He, tes vraiment folle toi, je vais te montrer si je ne sais pas mettre un soutif. Approche tes gros nichons.
Chantal sapproche de lui et lui tourne le dos. Le garçon lui passe le soutien-gorge autour du cou et dispose les bonnets sur les seins qui pendent. Pour se faire il approche sa tête de son oreille et lui susurre.
– Dits-moi, tu es une chaudasse toi. Jaime ça. Et pis tu as un boule qui est aussi bon que tes bzezs. Cest qui le type qui est avec toi ? Ton mec ? Tu devrais laisser ce tocard et rester avec moi, je suis certain quon samuserait bien. Quest-ce que tu en penses.
– Que tu parles beaucoup mais que pour ce qui est de mettre mon soutien-gorge tu nes pas très efficace.
– Putain la salope, elle me plait, Dit-il en sadressant à ses copains.
Il plaque les bonnets sur la poitrine de Chantal quil saisit à pleine mains. Profitant de loccasion pour lui pétrir ouvertement la poitrine. Chantal à de plus en plus de mal à résister au caractère hautement érotique de la situation. Elle se fait peloter les seins par un banlieusard inconnu devant une vingtaine dhommes qui semblent tous peiner à cacher leur érection. Le tout devant son fil. Elle espère de toutes ses forces quelle ne va pas se mettre à mouiller abondamment, ce qui aurait pour effet de rendre son bas encore plus moulant et la ridiculiser auprès de tous les mâles présents.
Le jeune attrape les deux agrafes et les rapproche dans son dos. Il se penche sur son oreille et lui susurre à nouveau :
– Je mérite bien une petite récompense, tu ne crois pas ? Alors si tu veux que je ferme ton cache nibards, tu te penches et tu frotte ton gros cul sur ma bite, ok ?
– Devant tout le monde ? Ce nest pas possible enfin.
– A toi de voir, mais si tu ne texécute pas dans les 5 secondes, je jette ton soutif en pâture à mes potes. A toi de voir.
Chantal perd tout espoir de sortir avec les honneurs de cette situation. Elle se penche ce qui a pour premier effet de faire pendre ses seins dans le vide. Puis elle recule doucement jusquà effleurer le bas ventre de son maître chanteur avec son postérieur. La dureté du sexe quelle sent tout contre sa croupe la surprend. Un frisson électrique parcourt tout son corps. Des gouttes de sueur commencent à perler le long de son échine. Comme dans un brouillard elle se voit onduler légèrement des fesses contre le bâton dur du jeune. Les commentaires fusent autour delle.
– Waouh la salope, je ny crois pas. Regarde-moi ce boule.
– Et tu crois quelle va nous sucer devant tout le monde ensuite ?
– Et puis les loches quelle a. Jai jamais vu une pute pareil.
– Regarde, elle se comporte comme une jument qui veut se faire monter.
– Vu les pis quelle a, je dirais plutôt une vache. Et moi je me sens une âme de taureau.
Les commentaires se bousculent dans la tête de Chantal. Lui chauffent les sens. Elle se sent toute lascive, brulante. La grossièreté des propos, les attouchements de ladolescent dans son dos, le contact de la colonne de chair qui tente de sinfiltrer dans sa raie culière, les regards fous de désirs de tous ces hommes autour delle, le sentiment de dégout quelle imagine chez son fils à son égard, tous ces éléments la rendent folle. Elle narrive plus à penser. Son cul semble se mouvoir tout seul, comme aimanté par le sexe quelle astique.
Soudain, elle sent une main la pousser et elle se retrouve seule au milieu de tous, son soutien-gorge attaché tant bien que mal. Elle en est la première surprise, mais le jeune à bien remplit sa part du marché.
Elle sort de son semi coma et se précipite vers son fils, quelle regarde avec honte. Que peut-il bien penser de sa mère ? De son comportement inacceptable. Elle ne comprend même pas comment elle a pu se laisser aller à un tel comportement.
A sa grande surprise, Thierry lui sourit et lui glisse à loreille :
– Je suis fier de toi. Tu mas vraiment impressionné.
– Cest cest vrai ? Tu ne dis pas ça pour te moquer ?
– Non vraiment, tu tes montrée fantastique cela me donne encore plus envie de jouer avec toi. Allez, vient te baigner avec moi.
– Tu ne crois pas que nous devrions partir, regarde tout ce monde autour de nous. Cela commence à me faire peur.
– Désolé, mais de te voir te frotter texhiber devant tout le monde comme cela, je nai pas pu me retenir. Jai éjaculé dans mon maillot. Alors il faut que jaille me baigner pour laver cela. Et à voir la tâche qui décore ton maillot, il semble que tu ais également besoin de faire un petit tour dans leau.