« TIT ! TIT ! TIT ! »
Le respirateur qui assurait la survie de notre fils diffusait un bruit rassurant, celui des battements de son cur
Adrien reposait sur son lit d’hôpital, les deux bras dans des gouttières de plâtre, des ecchymoses monstrueuses et des griffures déformaient son si beau visage.
Sa mère, Cécile, pleurait doucement en contemplant l’amour de sa vie, que le Ciel avait failli lui enlever !
Dans sa main elle tenait une lettre chiffonnée, re-chiffonnée par le stress, qui lui faisait agiter ses doigts de façon nerveuse.
« Il faut sortir madame Cousinet, vous ne pouvez rien faire de plus pour lui, pour le moment.
Il doit se reposer et vous aussi.
En tout cas il est définitivement hors de danger, avec néanmoins une très longue période de convalescence.
Et la prochaine fois, évitez de lui acheter un cabriolet sport. » dit le chirurgien qui venait d’opérer et sauver notre petit trésor
Cécile retrouva son mari, qui fumait nerveusement sa cigarette devant le service des urgences.
« Alors ? Qu’est-ce qu’ils ont dit ?
– Oh Patrice, ils l’ont sauvé, mais il restera longtemps dépendant.
— Ne t’inquiète pas ma chérie, on assurera
— J’ai quand même une mauvaise nouvelleet je crois que ça va être très difficile d’assurer comme tu dis !
Ce n’était pas un accident, lis ! »
Je pris le chiffon de papier qui était une lettre d’adieu.
« Mes chers parents,
Quand vous lirez cette lettre, j’aurai rejoint mon créateur.
JE serai mort !
Cette décision je l’ai murement pesée, mais je ne vois aucune échappatoire à mon problème sentimental et amoureux.
Maman, je suis amoureux de toi, mais pas de façon affective comme tout bon fils de famille
Je suis follement amoureux de ta personne, ton Être, ta féminité, ton corps.
Je suis puceau, j’ai 18 ans et je veux que ce soit toi qui me prennes ma virginité.
Oh ! Maman !! J’ai envie de faire l’amour avec toi, je te veux, je veux te pénétrer avec mon pénis, te faire jouir, prendre du plaisir de ton corps de déesse .
Je veux te masturber, jouer avec ton sexe, te doigter, lécher ta chatte en feu, ta fente, prendre ton clitoris entre mes dents pendant que toi tu prendrais ma queue dans ta bouche divine.
Je pourrais passer toutes mes nuits avec ma langue entre tes cuisses ou ton trou du cul. J’en rêve et j’en crève maman !
Et je sais que ce n’est pas possible, tu es mariée avec mon père qui est un homme admirable que j’aime et que je ne veux pas trahir !
Car je sais que si je voulais vraiment, si j’étais une ordure, je pourrais te faire céder à mon désir et même à mes caprices et mes fantasmes les plus secrets et les plus sales !
Je sais que secrètement tu as envie de moi, je vois comment tu me regardes avec fascination et envie depuis que je suis devenu un homme.
Pour ma plus grande honte j’avoue que je t’ai souvent allumée, me débrouillant pour que tu me découvres nu, en érection dans ma chambre, au sortir de la piscine ou de la salle de bain !
Moi-même j’ai pu de loin te surprendre nue et je t’ai trouvée méga bandante.
En réalité je me suis conservé vierge pour toi
D’ailleurs tu dois savoir que tous mes copains rêvent de te sauter et même de te partouzer a plusieurs et j’ai toujours émis le désir secret de participer à un plan cul avec toi et mes potes et de t’offrir a leur convoitise sexuelle !
Je me lâche, ça n’a plus d’importance a présent.
Désolé de vous avoir fait du mal, pardonnez-moi.
Papa , maman je vous aime !
Votre Adrien. »
Sous la signature il avait imprimé une photo nue de ma femme en porte-
jarretelles noir, et bottines en cuir noir à talons hauts, pour tous vêtements.
La photo était très ancienne, ma femme devait avoir dans les 18 ans, la chatte découverte aux lèvres gonflées par le désir, par sa position langoureuse et provocante, puisqu’elle posait un pied sur le banc d’un jardin municipal, les bras en arrière, les petits seins arrogants aux pointes en érection offerts au ventelle riait à gorge déployée !
Griffonnés au crayon a coté, un petit cur brisé et des larmes
J’étais abasourdi ! J’avais pris un grand coup dans l’estomac !
Moi, jeune commissaire de police de 40 ans, j’avais un fils incestueux, libidineux et suicidaire qui voulait baiser sa mère !
Et d’après la teneur de la lettre, sa mère, ma femme, n’aurait pas été contre ?!
Celle-ci d’ailleurs, très mal à l’aise se tordait nerveusement les mains
" C’est vrai, tu veux baiser avec Adrien et ses potes, te faire partouzer par toutes ses jeunes bites, te faire mettre par tous les trous !
Sale petit pute, avec tout ce que j’ai fait pour toi !
Tu te souviens d’où tu sors Cécile la Féline, dite « la Chatte en chaleur » la plus grosse salope du quartier des Muettes !
Tu vas y retourner « tasspe » ! "
J’avais rencontré Cécile, alors jeune inspecteur de police, elle avait 18 ans et exerçait avec brio le plus vieux métier de monde, avec une réputation qui dépassait notre petit département de l’est.
J’étais très vite tombé amoureux fou d’elle et l’avais tirée des griffes de ses macs, lui avait fait un enfant, Adrien et l’avais épousée.
Elle avait alors retrouvé le droit chemin, était une honnête femme et mère de famille, dont personne n’aurait pu imaginer la jeunesse.
D’ailleurs même nos ébats étaient plus que conventionnels, ce que je regrettais souvent en pensant a son potentiel .
Mais je ne voulais pas prendre le risque de réveiller de vieux démons, morts et enterrés.
Cette photo était un choc pour moi, ou ce petit con l’avait il dénichée ?
« Décidément telle mère, tel fils »
Ma pauvre femme éclata en sanglots et se jeta à mes genoux :
« Je t’en supplie Patrice ne fais pas ça, aime moi !
Moi je t’aime, tu es le seul homme de ma vie, même s’il n’a pas tout à fait tort !
Je ferai tout ce que tu voudras pour me rattraper ! »
Vraiment tout ????!!!!!