Patrice et Cécile eurent une très longue conversation cette nuit là, à propos de l’avenir de leur fils.
Il était encore fragile et il ne fallait pas créer de malaise.
La semaine suivante, il devait se faire enlever ses plâtres, définitivement.
Il fut décidé que sa mère ne le lâcherait pas et qu’elle se promènerait tout le temps avec lui et Patrice avait pensé à une solution pour qu’Adrien ne se lasse pas : sa mère allait l’allumer constamment et peut être de temps en temps accéder à ses lubies, cela dépendrait.
Si les deux promirent haut et fort de s’en tenir à la morale de rigueur chacun présentement espérait vite franchir les digues !
Cécile se martelait continuellement dans la tête l’objectif de sauver son fils, et pour cela était prête à de nombreux et variés, voire exotiques « sacrifices » !
Quant à Patrice, il espérait que les odeurs de mouille de « la Féline » allaient bientôt lui revenir aux narines, fut-ce par l’intercession de son filsil savait que quand le processus de dévoiement de sa femme serait enclenché, la dépravation ne serait pas loin et la débauche suivrait après. Il s’en léchait les babines ! Et espérait bien en profiter aussi !
« Alors mon chéri, premier jour de liberté, que veux-tu que nous fassions aujourd’hui ?
— D’abord maman, si tu veux sortir en ville avec moi, je ne sais pas si ces frusques sont indiquées !
— Comment ça ces frusques ? Un jean et un polo noir
— Maman le jean il n’est pas taille basse, il te moule pas les fesses et le polo, on dirait une serpillère. !
Laisse- moi faire je vais te relooker moi ! »
Patrice, derrière la porte était fier de lui-même, son plan marchait à merveille, sous peu il allait entendre les soupirs de jouissance de sa femme et ses ahanements quand son fils la prendrait par tous les trous.
Suivant sa bonne connaissance de la psychologie et de l’âme humaine, il estimait à deux semaines, le temps dont aurait besoin son fils pour se taper sa mère !
En ville Adrien se sentait des ailes ; quel bonheur de retrouver l’usage de ses bras et de remarcher normalement. Il souriait à la vie, d’ailleurs de nombreuses jeunes femmes qu’il croisait lui jetaient des illades intéressées, voire lubriques.
Sa mère en était jalouse, elle qu’il avait traitée de sac de pomme de terres, une heure auparavant ; elle décida de prendre les choses en main
Dans le magasin de vêtements, Cécile fit exprès de choisir des fringues monstrueuses et de s’offusquer des choix pour le moins audacieux de son fils pour relooker sa vieille mère !
Cécile ressortit de la cabine en escarpins noirs, tailleur gris anthracite, chemisier crème, bas noirs, et évidement un porte-jarretelles noir choisi par son fils avec les sous vêtements assortis.
Cécile choisit de garder ses nouveaux vêtements et à la caisse laissa ostensiblement dépasser de la pile d’anciens vêtements, ses sous tif et Tonga noirs en dentelle
Adrien à qui rien n’échappait comprit que sa mère se baladait chatte et seins à l’air sous l’ensemble classe mais strictele jeu avait commencé, il allait faire monter les enchères.sa mère l’allumait, elle voulait jouer, on allait jouer !
Avisant un autobus à impérial, ils le prirent, et ne voyant pas de places au premier niveau, ils durent escalader l’échelle métallique pour monter au niveau aérien où ils se retrouvèrent seuls dans le fond du bus
Bien sur le choix d’Adrien n’était pas anodin ! Il avait repéré ce bus à impérial bondé au feu rouge et savait qu’ils devraient monter à l’étage ; et pour cela grimper l’échelle métallique, et le garçon laissant sa mère monter en second, tous les passagers pourraient constater qu’elle avait le sexe à l’air et se rincer l’il !
Des jeunes désuvrés, dont certains connus défavorablement des services de police, remarquèrent le manque de sous vêtements de cette femme fort jolie et bourgeoise, leur sang ne fit qu’un tour :
« Putain t’as vu la BCBG, Mourad, elle est à poil sous ses fringues, j’ai vu sa chatte
— Tu déconnes !
— Non c’est vrai, et en plus je la connais, c’est la salope du commissaire du 3° district, «Cousin » ou un truc comme ça, son keuf de mari nous a arrêtés, mon cousin et moi pour trafic de petites pilules. »
Le dernier qui avait parlé, Marco ne portait pas vraiment les flics dans son cur, alors s’il pouvait tirer quelques satisfactions de cette femme, qui s’exhibait avec indécence dans « son bus », il n’allait pas se gêner, mais ça resterait bon enfant, il n’avait pas envie de replonger pour 5 ans.
Mais avec les bourgeoises, un peu de grande gueule, du bluff et en général on en tirait ce qu’on voulait sans devoir les forcer !
Les 5 montèrent, l’un filmerait la scène en retrait, ça pourrait toujours servir de moyen de pression psychologique !
Ainsi Cécile et son fils se retrouvèrent entourés de Marco qui s’assit juste à sa droite, Malik dans son dos et Mourad a sa gauche ; Enzo le cousin se plaça derrière Adrien et Kevin, un peu en retrait, filmait sa mère.
Quand mère et fils comprirent la tournure des évènements, il était trop tard.
Cécile comprit très vite qu’elle allait payer de sa personne, non sans un tressaillement familier dans son ventre.
Adrien lui, commençait à s’intéresser à la suite des évènements, non sans une petite crispation de peur, discrètement il sortit son Smartphone de sa poche pour avoir un angle sur sa mère et commença lui aussi à filmer.
Décidément, sans être une starlette de Saint-Tropez, Cécile était déjà très demandée
Marco prit la parole :
" Alors les amoureux, on prend l’air ? (En fixant Cécile), tu comprends ce que je veux dire ? Tu prends l’air ! Enfin je devrais plutôt dire « ta petite chatte prend l’air ! »
Tu sais que tu es dans mon bus ici, tu peux pas emmener des michetons pour sucer des queues ou te faire peloter, ou gamahucher par tes clients sans me demander mon autorisation et payer la dime !"
Cécile, outrée, répondit :
« Ça va pas non , je suis pas une pute, lui c’est mon fils !
— Et tu te balades sans culotte en compagnie de ton fils ? Mais t’es une perverse ou quoi ? (et écartant un pan de la veste, il vit le sein pointer à travers le tissus fin du chemisier) mais en plus t’as pas de sous tif, tu baises avec ton fils ou quoi ? (la remarque lança un choc électrique au niveau du bas ventre de ma femme, et elle sentit qu’elle commençait à mouiller sérieusement, mais comme elle ne portait pas de culotte)
— Il y a une règle ici, celle qui se comporte en pute on la traite comme une pute ! (et il passa une main sur le coté de la jupe et la releva, imité par Mourad tandis que Malik immobilisa les épaules de Cécile.) "
Cécile se retrouva la jupe relevée,par les deux brigands, la chatte à l’air, les attaches du porte-jarretelles apparentes.
Sa seule pudeur consistait à garder les cuisses serrées, pendant combien de temps encore ?
Elle pressentait que les deux jeunes allaient les lui écarter d’office et qu’elle se retrouverait, son petit coquillage humide exposé en pleine lumière sous les yeux de son fils.
Cette pensée perverse agrémenta son ventre d’une vague de désir sexuel, et fit encore un peu plus gonfler ses levres intimes et écarter l’ouverture de son con.
Adrien essaya de se lever, mais entendit le cliquetis d’un couteau a cran d’arrêt, et sans voir la lame, en comprit la signification.
Adrien était neutralisé et il pouvait voir ,non sans grand plaisir et excitation, les cuisses de sa mère en face de lui que les mains des deux malfrats écartaient d’un commun accord ,pour faire apparaitre le mont de Venus avec la toison taillée en petit triangle bien droit, les lèvres qui commençaient à gonfler de plus en plus , la fente qui se dilatait et la cyprine qui s’écoulait déjà sans effort..
Si même le cerveau de « la chatte en chaleur » avait voulu refuser l’inéluctable, son corps était prêt a l’acte sexuel !
Cécile « la Féline » était de retour, après 18 ans d’absence et elle avait envie de s’éclater après toutes ces années d’abstinence !
Son mari ne s’était pas trompé, il l’avait dit a mot couverts : la tragédie d’Adrien allait avoir des répercussions plus qu’heureuses sur leur vie érotique !
Dehors ! La chaste Cécile, bonne mère de famille et épouse modèle du commissaire :
la « chatte en chaleur » de la cité des muettes avait refait son apparition au grand plaisir de son fils Adrien qui louchait déjà sur le sexe maternel !