On me trouve un peu enveloppée parce que je suis bien en chair, ce qui ne veut rien dire sur mon tempérament volcanique. Jaime lamour, jaime jouir longuement, souvent peu importe avec qui ou quoi. A regarder dans mes tiroirs on pourrait croire que je fais une collection particulière de jouets : ils me servent tous. Même le chapelet de billes que je mets dans mon petit trou souvent.
Un de mes ex trouva que je suis réellement fatigante pour un homme normal, comme si baiser était un passe temps ordinaire. Il est heureusement parti, sorti définitivement de ma vie. En plus en me traitant de toxicomane de la bite! Cest vrai quil ne me suivait pas toujours dans mes délires de baise : je voulais faire lamour devant lui avec dautres, hommes ou femmes. Je voulais le voir aussi dans des bras masculins pendant quil se faisait mettre au cul. Pour moi cétait normal de prendre tous les plaisirs lun devant lautre. Lui sen tenait à la position du missionnaire, à conditions que je ne lui demande pas de me sodomiser ou de le sucer en avalant sa semence.
Javais une autre ressource, en cachette bien sur, une copine Eugénie, avec qui je méclatais quand nous étions nues dans un lit. Maintenant je nai plus quelle pour jouir à deux. Entre nous point de honte à dire des rêves oniriques ou même sadomasochistes. Une chose nous attirait : trouve un seul mec pour nous deux. Cest plus compliqué que dans les romans. Pour une femme seule, cest soit passer pour une pute, soit une salope. Alors pour deux filles portées sur le lesbianisme sur les bords, là cest la panique.
Nous avons mis au point une feinte pour trouver lhomme idéal : se faire lever normalement par nimporte qui, baiser avec et se faire surprendre par lautre.
Je suis dans un bar, dégustant une liqueur, assise bien en vue. Je regarde autour de moi les « clients potentiels ». Je téléphone souvent à Eugénie pour la tenir informée. Je dois patienter une bonne ½ heure avant que je sois abordée par un homme dune quarantaine dannée, semblant bien fait. Je fais le numéro de ma copine, sans prendre la parole ; elle na quà écouter. Je ne fais que jouer le rôle dune femme en mal de baise, ça mest facile. Laffaire est vite conclue. Il vient près de moi, essaie de membrasser sur la bouche, ce que je refuse deux fois avant de céder. Sa langue entre dans ma bouche. Je commence à mouiller. Il continue son baratin dont je me fous totalement, jai envie de sa queue pas de son cur.
Jentends vaguement un soupir au téléphone, Eugénie doit se branler. Elle au moins peut se soulager sans crainte. Enfin il me caresse vite fait la poitrine avant de passer sa main sur mon jean. Je le sens à peine. Sil pouvait passer sa main directement sur ma chatte
— Où allons-nous? me demande-t-il,
— Chez moi, cest le plus simple.
— Tu veux bien que je te baise.
— Bien sur cest bien pour ça que tu viens?
Jentends le déclic de lappareil qui raccroche : Eugénie attend dans une pièce que je sois en bonne position.
Le retour chez moi se fait comme si nous étions de véritables amoureux : il me fait entrer dans des entrées dimmeubles pour membrasser, ce quil fait très bien. Il en profite toujours pour me mettre la main au panier, ce qui ne peut que mexciter. Enfin nous entrons dans lappartement : pas de trace de ma copine. Je me demande où elle peut être, dans la cuisine peut-être?
Direction la chambre à coucher. Cest lui qui dirige, ce que jaccepte avec plaisir, jai envie de sa bite nimporte où. Sa bouche dérape vite vers le cou puis vers mes seins quil découvre :
— Tu es sacrément sexy avec ta poitrine florissante.
Il me déshabille trop lentement; je commence à avoir sérieusement besoin de sa queue nimporte où. Jarrive à lui faire enlever sa chemise puis en forçant à peine son pantalon et son slip. Bonne pioche, sa bite est grosse, pas trop, juste dans les dimensions qui me vont. Sans autre forme de procès il vient sur moi qui écarte bien les cuisses. Il ne me pelote pas un seul instant et pourtant je me laisse faire comme une jeune vierge innocente. Je reçois son pal en pleine figue. Mouillée comme je suis, il entre trop facilement. Il va me faire jouir vite.
Je me crispe quand je jouis en criant. Eugénie profite de cet instant pour entrer dans la chambre.
— Quest-ce que tu fais?
— Je baise, ce nest pas interdit.
— Tu nous gênes.
— Jai envie de ton type.
— Demande-le-lui.
Mon type se demande si cest du réel. Il commence à débander en sortant de moi. Elle le prend dans sa main pour le remettre droit. Surpris il se laisse faire. Maintenant cest mon amie qui soccupe de lui.
Elle lembrasse sans cesse jusquau moment où elle se couche contre moi pour se faire mettre. Lexcitation de se voir avec deux filles le fait bander encore plus. Il satisfait les premiers besoins dEugénie, qui jouit en me tenant la main.
Il ne la lâche pas, sa queue dans le con de ma copine. Cest bien pour elle, et moi? Je vais masseoir sur sa bouche. Elle connaît assez ma chatte pour savoir où mettre sa bouche. Je fais face à notre amant, je regarde laccouplement ce qui bien sur mexcite encore plus. Je peux quand même me pencher en avant pour que je puisse la branler. Lui regarde le tableau de la bouche de celle quil baise me lécher. Il accélère son allure jusquau moment où Eugénie jouit.
Je le veux pour moi maintenant. Je me mets en levrette pour la suite. Je nai pas besoin de faire un dessin : il me barbouille le cul de cyprine avant de me la mettre dans le cul. Ouf, il y a tellement longtemps que je ne me suis pas faite enculer que je désespérais. Jallais me branler comme normalement je fais quand jai une bite dans le cul. Eugénie devine mon besoin et se met en 69 pour me sucer. Je nai quà me baisser un peu pour avoir sa foufoune dans le bouche.
Lui continue à me limer : cest sacrément bon de le sentir aller et venir dans ma gaine. En plus il me semble que mon amie me suce mieux que les autres fois. Je suis vernie. Pourvu quon ne le perde pas : il est un amant précieux. Je ne peux dire combien de fois je suis partie. Jétais dans un autre monde plus riant.
Il se laisse aller en jouissant au fond de mon anus. Jai pris un pied pas possible. Mais si jai bien joui, Eugénie en veut encore.
Nous restons en 69, nous suçant, nous mettant les doigts dans tous les trous pour bien jouir devant lui qui redresse sa queue. Eugénie lembrasse sur la bouche avant de lui donner aussi son cul en restant couchée sur le dos. Je ne suis que spectatrice, je ne peux que me masturber en les voyant baiser.
Il la lui met bien profond, comme à moi sans doute. Je ne vais pas en 69, je me contente de branler Eugénie. Je suis vicieuse en entrant deux doigts dans le cul de notre amant : il aime assez puisquil en redemande après coup.
Il sappelle Saturnin, comme le canard dont je me sers pendant le bain pour me branler.