Jeudi 12h26.
La soirée de mercredi avait été encore une fois très sympa. Il fallait que je le fasse poireauter un peu, deux fois qu’il m’invitait et que je disais oui sans la moindre résistance. J’attrapais mon portable.
« Samedi impossible, j’ai déjà des projets, désolée ;) »
Deux minutes plus tard,sa réponse ne se fit pas attendre.
« Vendredi alors ? »
« Non plus, je suis prise tout le week-end. Je suis une femme occupée moi ! »
Pas de réponse.
Vendredi 18h30.
Je me garais devant la maison de mes parents. Mon père, un industriel à la tête d’une société internationale, donnait une réception avec ses collaborateurs et clients importants. Il avait insisté sur l’importance de ma présence.
Dans ces moments-là, j’avais l’impression d’être un chiot de concours. Malgré tout, mes parents m’aidaient beaucoup pour mes études, et je me devais de les aider quand ils le souhaitaient.
Je coupa le moteur, défis ma ceinture, attrapa mes talons sur le siège passager et les enfila sous ma longue robe noire. Cette robe si sage de face dévoilait tout mon dos, je suis sûre qu’elle n’aurait pas laissé de marbre Greg.
« Maman ? Papa ? C’est moi !
— Je suis dans le salon, viens m’aider à terminer de mettre les fleurs en place, me répondit ma mère. »
Une demi-heure plus tard, les invités arrivèrent, et la maison se remplit rapidement. Beaucoup d’homme en costard, avec leurs montres de luxe et des poules siliconées pendues à leurs bras. Je discutais avec un petit groupe de jeunes investisseurs quand mon père m’appela.
« Gabi, ma chérie, je souhaiterais te présenter un ami. »
Et qu’elle ne fut pas ma surprise de découvrir Greg aux cotés de mon père.
« Grégory, permettez-moi de vous présenter Gabrielle, ma fille adorée de 19 ans. Gabi, je te présente Grégory Moralis, le PDG de Archi’tech, la société avec qui nous collaborons pour notre prochaine usine. »
Et il était architecte en plus ! Je saisis la main qu’il me tendait.
« Enchantée Monsieur Moralis !
— Je vous en pris, appelez-moi Greg. »
Mon père fut appelé par un autre convive, me laissant là, face à lui.
« Que fais-tu là ? Tu as dû bien te marrer ! Lui lançais-je.
— J’ignorais totalement que tu étais sa fille, je l’ai découvert ce soir. Suis moi sur la terrasse, dit-il en m’attrapant par la main. »
L’air frais me fit du bien, la coupe de champagne apportée par un serveur aussi. La terrasse était quasiment déserte, et la vue sur le parc rendait ce coin apaisant.
« Tu es sublime dans cette robe, tu sais, et je suis ravi que nos chemins se soient croisés ici ce soir. Nous pourrions peut-être poursuivre la soirée ensemble ensuite, me proposa-t-il.
— Greg, mes parents sont dans la pièce à côté, pensant que leur chère petite fille est encore vierge et innocente. »
Un groupe d’homme sorti sur la terrasse, brisant notre intimité. Je posa ma coupe de champagne, je dois avouer que l’alcool me rendait aventureuse, et surtout sexuellement avide.
« Désirez-vous voir le parc Monsieur Moralis ?
— Avec grand plaisir »
Je descendis les quelques marches qui nous séparaient de la pelouse et m’enfonça au milieu des arbres pour disparaître de la vue des personnes présentes dehors. Greg me suivait, docilement. Je m’arrêta près de ma balançoire d’enfant, dans un coin du parc isolé.
« Tu as vraiment un cul sublime » Greg s’était arrêté juste derrière moi, je sentais ses doigts courir sur mon dos nu. Il déposa une série de baiser glissant entre mon oreille et mon épaule, cela ne me laisser pas insensible.
« Greg, mes parents ne sont pas loin. » Il arrêta ses caresses, me retourna face à lui, me colla contre son torse, et je pus sentir son érection.
« Alors il va falloir que tu sois plus discrète que d’habitude, bien que j’adore t’entendre crier ton plaisir. » En prononçant ses mots, il avait glissé ses mains sur mes fesses et m’embrassa à la fin de sa tirade.
J’enroulais mes bras autour de sa tête, me laissant aller au plaisir qui grondait en moi. Il releva le bas de ma robe, promena sa main sur ma jambe nue puis l’enroula autour de lui tout en continuant de m’embrasser, ses mains sur mes fesses.
L’effet que me faisait cet homme était indescriptible, bien que j’ai connu de nombreux amants avant lui, autant ne m’avait autant excité. Il reposa ma jambe, j’en profita pour déboutonner son pantalon, et saisir son sexe en érection. Il me retourna, dos à lui, ma main toujours autour de sa queue, il saisit mes seins sous le tissu tendu de ma robe.
Il malaxa les pointes, les fit rouler entre ses doigts, pendant que je le masturbais doucement. Je gémis de plaisir.
« Chut, me murmura-t-il à l’oreille, tu te souviens, tu dois être silencieuse ou maman et papa sauront tout de la salope qui bout en toi. »
Il glissa une de ses mains sur mon ventre, descendant plus bas, et passa sous la dentelle de mon tenga, continua jusqu’à mon sexe humide. Ma main se resserra sur sa bite de plus en plus dure. Il jouait avec mon clitoris, j’avais envie de crier mon plaisir, je me mordis la lèvre pour empêcher tout son de sortir.
Sa deuxième main lâcha mon sein et caressa mes fesses, puis d’un coup, il introduit un doigt en moi, j’en aurait hurlé de plaisir. Il jouait d’une main avec mon clitoris, de l’autre avec mon vagin. Je posa ma tête en arrière sur son épaule. Ses caresses s’intensifièrent et il introduit un deuxième doigt en moi.
Ce mec savait exactement comment me rendre dingue, je m’accrocha à son bras pour l’encourager. J’y étais presque, j’allais jouir, ici, au milieu du jardin de mes parents, pendant une de leur réception guindée.
« Pas encore, soit patiente, me dit-il devinant mon orgasme proche. Je veux que tu sois à moi, que tu devienne ma chose, que je fasse ce que je veux de ton corps. Tu comprends ce que cela veut dire Gabi ? »
J’étais incapable de parler, je voulais mon orgasme plus que tout, je secoua la tête en guise de réponse.
« J’aime posséder les femmes avec qui je couche. » Je sentis ses doigts bouger entre mes fesses, caressant mon petit trou. C’est donc ça qu’il voulait. « J’aime les posséder entièrement. » Il glissa un doigt en moi, m’arrachant un petit cri de plaisir. Sa main était à présent séparée entre mon vagin et mon anus, et cela me faisait tellement mouiller.
Il repris son manège sur mon clitoris, je ne tiendrais vraiment pas longtemps comme ça. Il ajouta un second doigt dans mes fesses. La chaleur montait, j’allais exploser autour de ses doigts. « Vas-y ma belle, jouis pour moi » Ces mots finirent de me faire basculer, et je jouis entre les arbres.
Je me retourna pour faire fasse à cet homme, véritable distributeur d’orgasme. Il sortit un mouchoir de sa poche, s’essuya les doigts, et m’embrassa quand il eu finit. Je me préparais à avaler son sexe pour lui rendre la politesse quand un bruit nous arrêta.
« Gabi ? » Merde mon père. Je remis rapidement ma robe en place pendant que Greg se habillait aussi de son côté.
« Ici papa, je fais visiter le parc à Monsieur Moralis. »
En quelques secondes, mon père nous rejoignit.
« Votre parc est magnifique, et votre fille une hôtesse parfaite, déclara Greg, elle m’a dit qu’elle étudiait l’architecture, je serais ravi de lui proposer un stage dans mes bureaux.
— Oh ce serait merveilleux, n’est-ce pas chérie ? »
Ma mâchoire faillit se décrocher, il ne manquait pas de culot.
« Oui, j’en serais ravie Monsieur Moralis, merci beaucoup, minaudais-je comme une collégienne.
— Voici ma carte professionnelle, appelez-moi quand vous le souhaitez pour régler les détails. »
Je saisit la carte qu’il me tendait et m’excusa auprès des deux hommes pour m’échapper de cette situation à risque. La soirée se finit sans que j’ai à recroiser Greg.
Samedi, 01h32.
« Tu m’en dois un, mais te voir jouir comme ça était un délice. Bisous sur tes fesses parfaites. »