Eve5
Jétais invité chez les enfants pour lanniversaire de Benjamin. Jarrivais chargé de gros sacs.
Ils étaient heureux de me recevoir et réciproquement. On sest fait la bise puis nous sommes dirigés vers le salon. Nous avons bu du champagne, Eve une demi coupe seulement, puis sommes passés à table. Jétais collé à ma belle-fille et mon fils faisait le service. Entre deux plats, elle me demanda :
« Tu as ce quil faut ? »
« Oui, ma chérie ». Et de lui poser ma main sur la cuisse.
« Pas tout de suite, tout à lheure, après le repas, tu veux bien ? ». Je retirais ma main.
« Je taime ! »
« Moi aussi ! »
Nous avons fini le repas et sommes allés manger le gâteau danniversaire au salon.
Jai débarrassé les assiettes et me suis assis près de ma maîtresse, sa femme.
Je pris un des sacs pour lui tendre un paquet.
« Benjamin, pour ton anniversaire, tu vas avoir quelques surprises comme tu le demandais !»
Il déballa son cadeau comme un gamin. Cétait une caméra numérique haute définition.
« Ouah ! Merci papa ! »
« Elle est prête à lemploi, jai mis une carte mémoire de haute contenance, mais, il faudra la nous la prêter »
Et mon fils de découvrir son jouet. Il dirigea la caméra sur nous alors que Eve se lovait sur mon épaule. Benjamin semblait surpris de cette familiarité, mais continuait à nous filmer.
Elle se redressa pour prendre un autre paquet et lui tendre. Embarrassé, il mit sa caméra en pause et jai pris le relais. Eve lui tendait le paquet quil déballa sur toute une parure de sous-vêtements féminins. Alors là, il était estomaqué, son épouse lui offrait les objets de son fantasme. Il ne savait plus quoi dire et cela nous amusa. Eve dit :
« Cest pour Sonia ! »
Mon fils me regarda avec un regard de reproche, mais aussi dune forme de soulagement.
Eve pris la caméra pour que je puisse lui offrir une paire de cuissardes à hauts talons.
Cette fois, il était heureux de recevoir ce présent. Il caressait le cuir avec douceur et je crois que javais visé juste. Elle lui offrit un nécessaire de maquillage et des escarpins à hauts talons également. Il ne savait plus où se mettre. Je lui ai tendu la caméra et il a poursuivi le reportage.
« Mais Ton épouse mérite également un cadeau ! »
Joffrais à Eve une nuisette transparente très sexy.
Elle se mit à califourchon sur mes cuisses tournant le dos à son mari à qui elle fit signe de sapprocher. Puis, elle se pencha sur moi, souffla « Merci mon amour ! » et de membrasser passionnément alors que son époux filmait la scène.
Elle se redressa et regarda lobjectif avec malice.
Benjamin avait encaissé le coup ! Lamant de sa femme était son propre père.
Elle se pencha pour attraper un sachet quelle moffrit.
« Ca cest pour toi ! Ca mettra en valeur ton beau cul ! »
Cétait un string pour homme noir.
« Coquine ! Viens ici ! »
Je lembrassais à pleine langue et Benjamin soufflait dexcitation à coté de nous.
Elle reprit une position normale et dit :
« On va essayer tout ça, je vais dans la chambre et toi, Sonia, tu vas dans la salle de bain pour te changer ! ». Son ton était autoritaire et son mari allait sexécuter quand je dis :
« Attends Eve, Jai autre chose pour toi »
Elle déballa le paquet qui contenait un gode ceinture réaliste sans être trop imposant.
« Cest pour utiliser avec qui ? »
« Qui tu voudras ! Homme ou femme »
Elle me sourit de son regard espiègle et quitta la pièce.
Je restais seul avec mon fils qui ne savait comment aborder le sujet, il avait arrêté la caméra.
« Pour une surprise, cest une surprise » bredouilla-t-il.
« Vas te changer Sonia ! Tu vas être en retard pour la suite »
Il partit rapidement en emportant ses cadeaux. Pendant ce temps, jai disposé la caméra sur un meuble en la calant pour faire un plan fixe sur le canapé. Je lançais lenregistrement pour exécuter un strip-tease et enfiler le string que ma maîtresse mavait offert.
Tous ces évènements mémoustillaient et jenfilais le sous vêtement sans jamais être face à lobjectif mais plutôt en exposant mes fesses.
Je me suis assis, jambes écartées et le tissu de mon slip était tendu comme un chapiteau. Je me malaxais de temps en temps pour prolonger mon érection.
Eve fit son apparition et quelle apparition ! Elle était hyper sexy avec ses bas, sa culotte fendue, le déshabillé qui couvrait ses formes généreuses. Elle chaussait des souliers à talons qui accentuaient sa cambrure. Mais surtout, pointait un faux sexe entre ses jambes. Comme elle sétait mise devant une lampe, son corps en ombres chinoises se découpait de façon merveilleuse. Elle sapprocha de moi et releva son sexe à hauteur de ma bouche pour me dire avec candeur :
« Tu veux bien me sucer ? »
Jai ouvert la bouche et lobjet y est entré. Elle sétait positionnée pour que la scène soit bien cadrée et mappuyait sur la tête pour que jen avale plus encore. Je me prenais au jeu et suçais cette fausse bite au goût de caoutchouc. Mon front touchait son gros ventre mais je mappliquais à en enfoncer le plus possible quand elle allait en avant.
« Cest bien, tu suces bien, chéri! »
Sonia apparut ! Cétait une femme splendide qui était devant nous.
Sans se démonter, Eve dit :
« Viens sucer mon mec, salope !». Ce que fit prestement Sonia en sinstallant à genou entre mes jambes ouvertes. Elle descendit mon string et se mit à me sucer avec passion.
Eve alla chercher la caméra et fit un gros plan sur la scène, elle pointait, de temps en temps, lobjectif vers le sexe tendu de mon fils.
« Patrick chéri, tu veux pas sucer un peu cette pute ? »
Si Benjamin était aux anges dentendre ça, moi jétais plus réservé. Elle allait plus loin que ce que nous avions prévu. Malgré tout, cétait lanniversaire de mon fils et il voulait des surprises.
Sonia sest redressée pour soulever sa robe et me laisser agir. Pour plus de commodités, je me suis mis à genou pour emboucher son phallus. Son pré sperme translucide avait un petit goût pas si désagréable. Je lai sucé comme si javais fait ça toute ma vie alors que cétait une première.
Jy prenais plaisir et ça néchappa à ma maîtresse qui nous dit :
« Mettez vous par terre en soixante-neuf »
On sest sucés mutuellement pendant longtemps. Javais mis un doigt dans son trou et lui faisait de même sur moi.
« Ca suffit maintenant, petite garce, va tallonger sur le canapé. Mon mec va te trouer le cul ! »
Sonia sest relevée pour sallonger sur le canapé jambes ouvertes. Moi je voulais la prendre par derrière, aussi je lai faite mettre sur le ventre. Elle était impatiente, mais Eve voulait dabord bien cadrer lanus de son mari avant que je menfonce.
La pénétration fut très lente et Sonia couinait à chaque millimètre. Eve zoomait sur les rictus que faisait son mari et y trouvait un plaisir sadique.
« Allez chéri, bourre moi cette traînée ! »
Et je me suis mis à aller et venir et Sonia haletait. Eve sétait reculée pour avoir un plan large de notre copulation. La situation était excitante et javais une barre de fer pour perforer cette belle femme, mon fils !
« Vas-y papa, bourre moi fort ! »
Je redoublais dactivité, mais sentais monter ma semence. Je nai rien fait pour larrêter et Sonia sest affalée quand jai éjecté mon jus en elle. Eve est vite revenu entre nos jambes pour assister à la sortie de ma bite et à lécoulement qui sen suivit.
Jai senti sa main venir jouer avec mon anus alors quelle filmait toujours. Elle ma enfoncé un doigt et la retiré pour le remplacer par son gode. Je ne len croyais pas capable, mais elle me força et entra en moi.
Jétais déchiré. Elle ordonna à son mari de tout filmer et Sonia prit le caméscope pour immortaliser cette femme enceinte en train de prendre lanus de son père.
Je sentais son gros ventre dans mes reins et surtout me sentais écartelé quand elle senfonçait.
Elle me plaqua sur le cuir du canapé et me tenait les épaules en coulissant en moi. Cétait à la fois délicieux et douloureux. Elle me pénétra dix bonnes minutes et ressortit.
« Voilà, la voie est ouverte ! »
Que voulait-elle dire par là ? Javais accepté beaucoup ce soir, mais ses fantasmes semblaient sans limite.
Elle a disparu, pour revenir habillée, tenant un petit bagage en plus de son sac à main.
Elle me dit en désignant son mari :
« Chéri, tu toccupes delle ce soir, je vais dormir chez toi. Reviens vite demain, jai trop envie de faire lamour ! »
Benjamin était devant le fait accompli, mais ne sen offusquait pas du tout. Si elle lui fit une simple bise amicale, elle membrassa avec fougue.
Sonia était partie se nettoyer et quand elle revint, cétait avec de nouveaux bas, culotte et escarpins.
Elle était penchée en avant et je matais ses formes. Elle avait inséré la carte mémoire pour la visualiser sur grand écran. Nous avons alors revu avec grand plaisir certaines scènes tout en se caressant mutuellement, puis, trop excités, sommes allés nous coucher dans le lit conjugal.
