Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe gratuites

Evolutions – Chapitre 27

Evolutions - Chapitre 27



ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 27 : Nouveau départ.

Nous nous regardons en silence, puis je demande à Alice :

Tu vas partir directement chez toi, ou tu as envie que je te prenne une dernière fois avant de t’en aller ?

Quelle drôle de question mon Amour. On n’a pas véritablement baisé depuis hier, alors je n’ai pas l’intention de te quitter sans l’avoir fait.

Bien, dans ce cas, dis-moi où et comment ?

Elle réfléchit quelques instants, puis elle me répond tout en s’empourprant :

Puisque tu m’as déjà fait jouir dehors, je veux que tu me prennes sur la terrasse du haut, celle qui donne sur la piscine. Mais cette fois, tu mettras de la musique pour que tes voisins ne m’entendent pas gémir comme une chienne en chaleur. Sinon, ils vont penser que je suis également nymphomane.

Je souris à cette idée, et je lui fais :

Très bien, alors tu vas aller mettre tes chaussures de baiseuse de haute-compétition, et venir me retrouver là-haut.

Je monte le premier, et lorsque je suis dans le salon, j’insère dans le lecteur cd de la chaîne stéréo qui s’y trouve un album d’Anastacia, mon préféré qui est Not That Kind, en poussant le volume suffisamment fort pour que le son parvienne avec assez de puissance sur la terrasse. Une fois que je suis arrivé sur cette dernière, je constate que c’est le cas, alors je pose la télécommande que j’ai prise avec moi, et moins d’une minute plus tard tandis que la chanson titre est en train de jouer, mon petit bout de femme vient me rejoindre.

Elle a à présent aux pieds ses sandales à talons aiguilles rouges, et je constate immédiatement que mon choix musical a été le bon, puisque dès qu’elle est sur la pas de la porte, elle s’arrête, et elle commence à se déhancher lascivement. Me remémorant le strip-tease qu’elle m’a fait alors que nous n’étions encore que des étrangers l’un pour l’autre, mon sexe se met à gonfler puis à se dresser, ce qui amène un petit sourire sur le magnifique visage de celle qui est à présent mon amante.

₪₪₪

Alice reste sur place pendant une bonne minute, puis elle s’approche de moi en avançant très lentement, et tout en continuant à faire balancer son bassin. Lorsque la chanteuse entame I’m Outta Love, les dandinements de mon petit bout de femme deviennent plus prononcés, et étant donné qu’elle est arrivée à ma hauteur, elle décalotte mon gland.

Ma compagne évalue alors la situation, et elle constate que les alcôves qui encadrent la terrasse de chaque côté en allant plus loin que cette dernière bloquent la vue. Par conséquent, personne dans les propriétés voisines ne peut nous voir ni d’un côté ni de l’autre, et sur l’arrière de la villa qui est située à la périphérie de la ville, se trouve un grand champ de blé.

Mon amante est complètement rassurée par le fait d’être complètement invisible aux yeux du monde, qui sera également sourd grâce à Anastacia qui couvrira les bruits que nous ferons. Alors après avoir écarté les jambes, elle se penche en avant tout en étirant ses bras, jusqu’à ce que le haut de son corps soit à l’horizontale et qu’elle puisse poser ses mains sur la rambarde, dont elle teste la robustesse en tirant dessus. Je ne suis pas du tout inquiet à ce sujet, étant donné que je sais que la balustrade en bois massif est solide, et je souris de bonheur en voyant la lourde poitrine de ma compagne, grâce à la position qu’elle a adoptée pendre dans le vide.

C’est pourquoi je lui dis, tout en caressant distraitement mon sexe :

Blog ou pas, ça mériterait une photo.

Alors que j’étais convaincu d’avoir droit à une rebuffade de sa part, elle me répond tout en rougissant légèrement :

Alors qu’est-ce que tu attends, pour aller chercher ton appareil ?

Suite à cet accord donné, je redescends rapidement pour me rendre dans la cuisine et en revenir avec mon Canon, puis une fois revenu sur place, je constate qu’Alice n’a pas bougé et qu’elle est en train de m’attendre patiemment. Par conséquent, je me mets à faire des clichés d’elle de profil et de dos, et après s’être bien cambrée pour l’occasion, elle joue l’indifférente en regardant droit devant elle. Dans cette posture, sa vulve avec au centre de sa fente ses petites lèvres chiffonnées, mais également son anus sont parfaitement exposés, et je ne me prive pas de faire un gros plan dessus.

₪₪₪

Lorsque j’ai terminé de faire des photos je pose l’appareil, puis je vais me placer derrière Alice et je lui demande :

Tu la veux comment ma queue, ma Chérie ?

Je veux que tu me défonces le cul comme si j’étais la dernière des salopes, mon Amour.

Elle a parlé très calmement, mais sur un ton affirmatif, néanmoins je lui dis :

Non seulement tu vas avoir encore plus mal que les fois précédentes, mais en plus il y a de fortes chances pour que ton anus te brûle pendant un bon moment, et lorsque tu iras aux toilettes, tu risques de déguster.

Comme ça, je penserai à toi un peu plus fort. Mais rassure-toi, ce sera toujours avec autant de tendresse.

Je n’en suis pas convaincu, car je pense plutôt que sur l’instant, elle risque de me maudire, comme le font certaines femmes lorsqu’elles accouchent, vis-à-vis des hommes qui les ont mises enceintes. Néanmoins, si c’est ce qu’elle veut, je vais lui donner satisfaction en me disant que si ensuite c’est trop cuisant pour elle, cela la rendra à l’avenir plus prudente. Par conséquent, j’attrape la télécommande pour augmenter le volume de la musique, et j’en profite pour mettre la chanson Love Is Alive, qui est plus rythmée que les deux qui la précédent sur l’album qui sont des slows.

₪₪₪

Ensuite, je pose mon gland contre l’illet fripé de mon amante avant de l’attraper par les hanches pour la tenir fermement, puis je donne un coup de reins pour m’enfoncer en elle d’un seul coup, et ce jusqu’à la garde. Alice pousse lorsque je me fraie littéralement le passage un cri de douleur, c’est pourquoi je lui demande dès qu’elle s’est tue :

C’est vraiment ça que tu veux, ma chérie ?

Elle me répond d’une voix crispée, mais sans hésiter :

Oui mon Amour ! Je veux me faire défoncer et traiter comme une grosse chienne !

Alors je me recule tout en laissant mon gland en elle, et je reviens en avant jusqu’à ce que mes testicules viennent s’écraser contre sa vulve. Cette fois, sa plainte est moins prononcée, probablement parce que le passage est déjà fait, par conséquent légèrement rassuré, je me mets à aller et venir en elle, tandis qu’elle geint de douleur. Cela ne l’empêche pas de se mettre à m’accompagner dans mes mouvements, et c’est par conséquent complètement rasséréné que j’augmente la cadence, au fur et à mesure que mon sexe coulisse plus librement.

Cela arrive au point que je finis par la pilonner, ce qui fait augmenter de puissance et de longueur ses râles, qui heureusement sont toujours couverts par la musique. Le plaisir physique que je ressens est agrémenté par celui plus cérébral de voir les gros seins de ma partenaire se balancer librement de chaque côté de son buste, puisqu’étant donné que ses bras sont toujours tendus vers l’avant, il n’y a absolument rien pour leur faire obstacle.

C’est pour nous deux une véritable délivrance lorsqu’elle arrive à l’orgasme, tant je me retenais d’éjaculer depuis déjà pas mal de temps, à cause de l’énorme excitation que je ressentais de la posséder de cette manière. Lorsque son anus se resserre autour de ma queue, je m’enfonce en elle une dernière fois pour me vider avec délectation, tandis que je sens sans surprise du liquide chaud venir asperger mes testicules qui sont venus se coller contre sa vulve.

₪₪₪

Alice au même moment a poussé un gémissement plus puissant et plus long que les autres fois, mais qui n’en est pas moins resté mélodieux à mes oreilles. Cependant, j’ai des doutes pour ce qui est de savoir si cette fois, les voisins l’ont entendue, ou pas. Toutefois, je ne m’en préoccupe pas, et mon membre toujours planté en elle, je me penche en avant pour venir caresser sa lourde poitrine, tandis qu’elle garde la tête baissée et le reste du corps pantelant, toujours accrochée à la balustrade.

Une fois qu’elle a repris ses esprits et qu’elle fixe à nouveau l’horizon, je lui dis avec humour :

Tu n’es peut-être pas encore la reine des cochonnes, mais je crois bien que cette fois tu viens d’acquérir tes titres de noblesse.

Elle se met alors à pouffer de rire, avant de me demander entre deux hoquets d’hilarité :

Et il me faudrait faire quoi pour mériter la couronne ?

Tandis que je me redresse et que je me recule, sans pouvoir me retenir de lui mettre une bonne claque sur les fesses, ce qui lui provoque un petit cri de surprise, je réponds :

À mon avis, lorsque tu seras capable de faire ça devant d’autres personnes, tu mériteras ton trône, mais pas avant.

Ensuite, je l’aide à se mettre à son tour dans la position verticale, et même si lorsqu’elle réplique, elle est légèrement rouge, je constate qu’elle n’est pas du tout choquée, mais au contraire amusée par mes propos :

Alors il me faudra un peu de temps avant d’y arriver, mais vus les progrès que j’ai fait en l’espace dune dizaine de jours, tous les espoirs me sont permis.

Puis se rendant compte que son éjaculation s’est écoulée jusque sur le carrelage de la terrasse, elle ajoute :

Tu as de quoi nettoyer ici, ou est-ce qu’il faut que je descende chercher ce qu’il y a en bas ?

₪₪₪

Le fait est que pour éviter de les trimbaler d’un étage à l’autre, je possède certains des ustensiles pour faire le ménage en double. Mais avant d’aller les prendre, nous nous rendons dans la salle de bain, après que mon petit bout de femme ait enlevé ses sandales, sur lesquelles le produit de son éjaculation féminine a encore coulé. Heureusement, comme la fois précédente, il suffit d’un coup d’éponge pour les rendre comme neuves, et si j’ai remarqué qu’Alice se déplace à présent d’une manière étrange, comme si elle avait un balai dans le derrière, je ne fais pas de commentaire à ce sujet. Pas plus que par rapport au fait qu’elle garde les sourcils légèrement froncés.

Je lui montre ensuite où se trouve le matériel, dont nous allons avoir besoin pour faire disparaître les traces de notre accouplement bestial. Mais au moment où je vais attraper le balai mixte, elle prend d’office une serpillière qui n’a jamais servi et le seau qu’elle va remplir d’eau dans la salle de bain avant de retourner sur la terrasse. Je la suis, curieux de savoir comment elle va procéder, et je la vois avec stupéfaction se mettre à quatre pattes avant de commencer à frotter le carrelage, tout en me disant :

Tu rêvais de voir ta grosse cochonne en train de faire le ménage comme une souillon, alors régale-toi mon Amour.

Sans trop savoir si elle vient de me donner la permission de la prendre en photos, je me saisis de mon appareil, et constatant qu’elle n’émet aucune protestation, je commence à faire des clichés d’elle, sous tous les angles. Bien entendu, j’en profite pour me régaler du merveilleux spectacle qu’elle est en train de m’offrir, avec sa grosse poitrine pendant à nouveau à la verticale, et se balançant doucement au rythme de ses mouvements. Je suis alors convaincu que si je n’avais pas éjaculé moins de dix minutes avant, je me mettrais à bander comme un âne.

Même si ma compagne prend son temps pour me laisser celui d’immortaliser ce fabuleux moment, il dure tout de même trop peu à mon goût. Néanmoins, je suis tout de même heureux d’avoir pu y assister, d’autant plus que je suis convaincu que personne d’autre que moi ne sera autorisé à voir les clichés que j’ai pris.

₪₪₪

Lorsqu’Alice a terminé, je l’aide à se relever puis nous rangeons le matériel, et ensuite nous allons ensemble cette fois dans la salle de bain du bas, dans le but de nous laver étant donné que nous ne l’avons pas encore fait de la journée. Bien évidemment, elle commence par aller sur le bidet pour éjecter ma semence qui là où je l’ai envoyée est devenue un corps étranger, et si en le faisant elle fronce un peu plus les sourcils, c’est à peine si elle rougit.

Puis le même rituel que les autres fois s’ensuit, allant du brossage de nos dents au séchage mutuel de nos corps. Mais lorsque sans penser à ce qui s’est passé un peu plus tôt je pose mon doigt sur son anus, afin de le branler comme j’ai pris l’habitude de la faire, mon petit bout de femme met aussitôt sa main sur mon poignet pour m’en empêcher. Bien entendu, je n’insiste pas, comprenant aussitôt que l’accès à cet endroit va m’être pendant quelques jours interdit. C’est en tout cas ce que j’en déduis, étant donné que sa propriétaire n’a pas l’air traumatisée par le traitement que je lui ai fait subir un peu plus tôt. De plus, puisque nous n’aurons plus l’occasion de faire l’amour avant vendredi prochain, elle aura largement le temps de s’en remettre.

Une fois que nous sommes propres, ma compagne commence par regrouper ses affaires, qui sont plus nombreuses que celles du week-end précédent, étant donné qu’elle n’était venue qu’avec ce qu’elle portait sur elle. J’en profite pour transférer via mon ordinateur les nouvelles photos de mon appareil sur la clef USB qu’elle m’a rendue, et elle sourit lorsque je lui dis en la lui donnant à nouveau :

Pour ton blog, ma Chérie.

Il ne nous reste plus qu’à nous habiller, parce que je veux la raccompagner jusqu’à sa voiture, surtout pour rester le plus longtemps possible avec elle, mais aussi même si je ne lui en parle pas, au cas où elle croiserait un de mes voisins, curieux de savoir qui est la sirène qui a poussé chez moi un chant si mélodieux.

Alice remet donc son short et son t-shirt larges, sous lesquels elle n’enfile aucun sous-vêtement, ainsi que ses mules à talons en bois, qui ont séché et dont le cuir a vieilli un peu prématurément. Mais apparemment leur propriétaire a réussi son coup, étant donné que les auréoles causées par une de ses éjaculations féminines et que je n’avais même pas remarquées semblent avoir disparu. Quant à sa belle robe rouge, elle a été rangée dans son sac de voyage après avoir été soigneusement pliée, tout comme ses sandales à talons aiguilles qui sont de la même teinte écarlate.

₪₪₪

Lorsqu’Alice est prête, nous sortons, et une fois à côté de son Alfa-Roméo et après que j’aie posé son sac sur le siège passager, je l’enlace tendrement avant de l’embrasser. Je vois dans ses beaux yeux de la tristesse, pourtant elle a l’air plus sereine que dimanche dernier, sans doute parce que cette fois elle a tout comme moi la certitude que nous allons nous revoir, même si une longue semaine va nous séparer. Heureusement nous irons boire le café ensemble tous les midis, et ces moments partagés seront des oasis dans le désert de notre solitude.

Nous finissons par nous décoller l’un de l’autre avec regrets, mon petit bout de femme monte dans sa voiture en grimaçant lorsqu’elle s’assoit, et après m’avoir fait un dernier sourire elle manuvre son véhicule pour s’en aller. Lorsque ce dernier a disparu, je retourne dans la maison, que je trouve à présent désespérément vide.

À suivre…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire