ÉVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 29 : Neuf pieds sous terre.
Nous sommes à présent le vendredi 10 juin, ma semaine de boulot vient de se terminer, et quand je rentre chez moi, je suis étonné de constater que l’Alpha-Romeo d’Alice est garée devant la maison. Ce n’est pas ce que nous avions prévu, vu que je devais aller les prendre, elle et ses filles, sur le coup des sept heures trente à leur villa. Mais le fait que mon petit bout de femme soit venu avant cela me montre qu’elle a autant envie que moi que nous nous retrouvions seuls tous les deux, ce qui me fait énormément plaisir.
Étant donné que je vais la ressortir, je ne mets pas ma Challenger dans son garage, mais je la gare devant, puis lorsque je suis dans le vestibule je hume l’air, pour arriver à retrouver l’odeur du parfum léger et boisé de mon amante. Il est bien là, alors je vais directement dans notre chambre pour me mettre nu, et ranger le costume que j’ai porté toute la journée pour travailler.
Ensuite seulement je vais retrouver ma compagne ; malgré l’impatience qui m’a prise en me rendant compte qu’elle est là, et en repassant par le séjour, je remarque les signes de sa présence. La porte-fenêtre du milieu est ouverte ; sur le dossier d’une chaise, elle a posé ses vêtements qui sont un short et un t-shirt que je devine qu’elle doit porter large ; et son sac à main noir, toujours le même est accroché au dossier d’une chaise.
Quant à mon petit bout de femme, c’est cette fois, sans surprise, que je la découvre sur la chaise longue qui est au bord de la piscine, allongée sur le dos avec les mains sous la nuque, les cuisses largement écartées, et sa crinière d’ébène attachée en queue-de-cheval haute. Elle a bien entendu adopté cette posture dans le but de profiter pleinement du soleil, même si je constate que comme pour la marque de son alliance, les traces du maillot de bain qu’elle avait l’habitude de porter avant de me rencontrer ont disparu, et que son magnifique corps mat et bronzé a à présent une belle teinte uniforme.
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Alice, qui a la tête tournée vers moi, me regarde m’approcher en souriant ; et lorsque je ne suis plus qu’à un pas de son siège, elle me dit :
Moi qui croyais que tu serais aussi impatient que moi à l’idée de nos retrouvailles, je suis déçue.
Au ton de sa voix, je comprends que ce n’est pas un reproche ni une déception qu’elle éprouve, mais une simple constatation. C’est pourquoi tout en lui tendant la main pour l’aider à se relever, je lui réponds amusé :
Tu pensais que j’allais me précipiter vers toi, en jetant mes habits au sol, comme un adolescent pressé de retrouver sa petite amie qu’il n’a pas vue depuis une semaine ?
Nous ne sommes plus des gamins, et je plaisantais mon amour. Dis-moi plutôt ce que tu penses de mon bronzage. Est-il assez bien à ton goût ? Ou est-ce que je dois continuer à me faire suer en me dorant la pilule ?
Tu étais déjà très belle avant, et maintenant tu es parfaite. Il ne te manque plus que des piercings aux tétons et au clitoris, un tatouage ou deux, et tu seras prête pour concourir au championnat de la reine des cochonnes.
Tu es sérieux là ?!?
J’éclate de rire avant de la prendre dans mes bras, et de répondre :
Moi aussi je plaisantais, ma Chérie. Tu as un corps magnifique qui ajoute à ton charme naturel, alors pour rien au monde je ne voudrais que tu y changes quoi que ce soit.
Puis j’ajoute malicieusement :
Quoiqu’un joli tatouage ne serait pas pour me déplaire…
Puis, je pose mes lèvres sur les siennes, tout en l’enlaçant tendrement.
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Nous nous embrassons langoureusement pendant une dizaine de minutes, pendant lesquelles mon sexe s’est dressé pour devenir dur comme un bout de bois. Lorsque nos langues humides se décident à se séparer, je demande à Alice :
On va faire ça où cette fois ? Car je suppose que tu n’es pas venue ici juste pour me montrer ton bronzage ?
Elle sourit, avant de me répondre :
J’ai envie de me faire enculer à quatre pattes, dans la future salle de tortures.
Je ne lui pose pas de question pour savoir si elle pense vraiment que nous allons aménager un donjon dans le sous-sol de notre habitation, par contre je fais une objection :
Ça caille en bas, tu ne préférerais pas qu’on reste au niveau du plancher des vaches, ou qu’on prenne plutôt de la hauteur en allant à l’étage ?
Elle se moque aussitôt de moi :
Mais c’est une petite chochotte, mon gros Nounours.
Je ne m’arrête pas non plus sur le fait que Nounours est probablement le surnom dont je vais hériter, mais je suis piqué au vif par celui de me faire traiter de chochotte. Par conséquent, je prends mon petit bout de femme par la main, et je l’entraîne vers la maison, tandis que les talons en bois de ses mules qu’elle a remises claquent joyeusement sur les dalles de la terrasse.
Il ne nous faut pas bien longtemps pour descendre au niveau inférieur, en passant par la buanderie, puisque de là, un deuxième escalier va jusqu’à la chaufferie alors que le premier qui est dans la cuisine donne sur le cellier ; avec juste à côté la cave à vin. En plus de ces trois pièces qui ont une utilité certaine, il y en a trois autres qui servent de débarras, et les deux plus petites sont encombrées comme dans toutes les maisons par de vieux meubles, ainsi que d’autres objets dont je n’ai plus l’usage. La dernière par contre, comme l’a constaté ma compagne lorsque je lui ai fait faire un complément de visite il y a moins d’une semaine, est complètement vide. Elle mesure quatre mètres sur cinq, ce qui fait qu’elle a la même superficie que les chambres à coucher, et on pourrait largement y installer un petit donjon, avec à l’intérieur tout un matériel défié au sadomasochisme.
C’est par conséquent là qu’elle me suit, et si elle frissonne, ce n’est certainement pas à l’idée ; dans le futur, je pourrais l’emmener ici pour la faire souffrir, à l’abri des regards et des oreilles indiscrètes, mais parce qu’à cet endroit, il ne fait pas plus d’une quinzaine de degrés.
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Néanmoins, et bien que le sol de la pièce soit fait de ciment brut qui a été lissé pour pouvoir se nettoyer plus facilement lorsque nous y sommes, Alice se met à quatre pattes sans hésiter, et je lui demande :
Je suppose que tu préfères que je fasse preuve de retenue pour que tu ne sois pas obligée de marcher comme un canard devant tes filles, comme ça a certainement été le cas dimanche dernier.
En m’entendant dire cela, mon petit bout de femme devient écarlate, et elle me répond :
Elles s’en sont, bien entendu, rendues coptes ; et pour ne pas leur mentir, j’ai été obligée de leur expliquer que je m’étais fait enculer de façon un peu rude. Mais je leur ai également dit que c’était moi qui avais demandé à l’être, et que par conséquent tu n’y étais pour rien. Donc tu n’as pas à t’inquiéter mon Amour, elles ne te considèrent pas comme étant un ogre, et elles ont toujours envie de te connaître un peu mieux.
Tu as vraiment utilisé le mot enculé pour leur expliquer ça ?!
Bien sûr que non, j’ai parlé de sodomie. Mais en même temps, quel que soit le terme employé, la chose reste la même. Sans surprise, Léa est devenue écarlate et Léo a été curieuse, surtout pour ce qui est de savoir ce que l’on ressent lorsqu’on se fait trouer le cul par une bite. Par conséquent, j’ai dû leur faire un complément d’éducation sexuelle, ce qui n’a pas été trop difficile, étant donné que nous sommes très proches, les unes des autres, elles et moi. Mais pour répondre à ta question, je ne veux pas que tu fasses preuve de rudesse, car si j’ai quand même envie de recommencer ce qu’on a fait là-haut, on le gardera en réserve pour quand on ne se verra pas plusieurs jours après, de façon à ce que j’aie le temps de m’en remettre.
Cette dernière remarque me fait sourire, et je me décide à prendre place à genoux derrière elle, dans le but de la satisfaire au mieux de mes possibilités.
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J’essaie de ne pas penser au fait que le sol est encore plus froid que l’air de la pièce, je commence par poser mon index sur l’anus d’Alice, et je me mets à le caresser pour voir comment il réagit. Sa rondelle répond assez bien à mon attouchement, et lorsque je pousse avec mon doigt, il s’enfonce avec une résistance toute symbolique. Mais de toute évidence, il en sera autrement avec mon sexe qui est bien plus gros, c’est pourquoi je demande à mon petit bout de femme :
Tu veux que je te prépare un peu avant avec ma langue ?
Non mon Amour. Encule-moi directement, et l’on verra bien comment ça se passe. Parce que je te signale qu’on n’a pas non plus toute la soirée, et qu’il va falloir qu’on aille chercher les filles pour aller au restaurant.
Bien évidemment, elle a raison. C’est alors que ma queue, à l’idée de ce qui allait se passer, n’a pas faibli une seule seconde. Je pose mon gland toujours décalotté contre l’illet fripé de mon amante, puis après avoir posé mes mains sur ses hanches, je pousse en douceur.
La rondelle de chair s’écarte lentement pour me laisser entrer en elle, et la seule réaction de celle à qui elle appartient est une légère plainte, ce qui ne m’empêche pas de lui demander lorsque mon membre a pénétré en elle, d’environ un tiers de sa longueur :
Ça va ma Chérie ?
Oui mon Amour, je gère.
Suite à cette affirmation de sa part, je continue ; et je m’enfonce en elle d’un nouveau tiers tandis qu’elle râle doucement, avant de marquer une seconde pause et de lui demander à nouveau :
Ça va toujours ?
Cette fois elle s’exclame, pour manifester son impatience :
Oui ! Mets-la-moi bien profond !
C’est demandé si gentiment que je serais un mufle de ne pas répondre à ses attentes, par conséquent je continue à pousser jusqu’à ce que mon sexe soit entré en entier, et que mes testicules arrivent au contact de sa vulve. Sans surprise, ma partenaire a poussé une autre plainte, mais étant donné que c’est elle qui a voulu que les choses se passent ainsi, j’arrête de m’en inquiéter.
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Lorsque je me recule, je dois forcer un peu, ce qui provoque un nouveau geignement à Alice, et je m’arrête avant que mon gland ne ressorte pour repartir aussitôt en avant. Bien entendu, je vais lentement, et j’attendrai avant d’accélérer peu à peu la cadence, que mon sexe arrive à coulisser plus librement. Cependant, mon petit bout de femme qui ne partage pas mon envie de prudence n’attend pas ce moment pour m’accompagner dans mes mouvements. Car elle se met elle aussi à bouger, ce qui imprime à sa lourde poitrine, un léger mouvement de balancier.
Peu à peu, nous prenons de la vitesse, tout en gardant une allure modérée, et je sais à présent que chez mon amante, la douleur a cédé la place au plaisir, non pas que ses râles aient changé d’intonation, mais parce que je commence à bien la connaître.
Elle regarde comme à son habitude droit devant elle, et moi j’en profite pour admirer ses seins superbes, qui dépassent de chaque côté de son torse. Ils ont pris de l’amplitude, et ils viennent à présent buter contre ses bras en faisant un bruit mat, ce qui me plaît énormément.
Notre accouplement contrairement à d’autres qui l’ont précédé n’a rien d’effréné, ce qui n’empêche pas notre plaisir d’augmenter de puissance, et ce jusqu’à l’explosion finale. Sans surprise, cela se traduit chez ma partenaire par un resserrement de sa rondelle, tandis qu’elle pousse son premier véritable gémissement, qui arrive jusqu’à mes oreilles comme une musique mélodieuse. Quant à moi, stimulé par le fait que mon membre se retrouve subitement bagué alors qu’il avait fini par prendre ses aises, j’éjacule en elle, en grognant de plaisir.
Nous restons ensuite quelques instants emboîtés l’un dans l’autre, profitant du pur moment de félicité qui a fait place à l’extase ; puis je me recule pour déculer ; et je me relève, avant d’aider ma compagne à en faire autant.
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Alice me remercie d’un sourire, et en nous tenant par la main, nous remontons au rez-de-chaussée, pour ensuite aller dans la salle de bain dans le but de nous laver. Bien entendu, elle va avant cela s’asseoir sur le bidet, et comme elle me l’avait prédit, cela lui est devenu tellement naturel qu’elle ne rougit même plus. Notre passage sous la douche se passe exactement comme les fois précédentes, et mon petit bout de femme me laisse lui doigter l’anus, bien que ce dernier doive être douloureux.
Après nous être séchés vient le moment de nous habiller ; et si je mets comme à mon habitude un polo, un pantalon à pinces, et une paire de mocassins, mon amante enfile son short et son t-shirt sans rien mettre dessous. J’adore cette nouvelle résolution de sa part, étant donné que si ses vêtements cachent son corps et que par conséquent la morale est sauve, sa lourde poitrine peut bouger pratiquement sans aucune entrave, et se balancer au rythme de ses mouvements. Je trouve cela tout simplement sexy en diable ; mais ce qui me plaît le plus ; c’est que ma nouvelle compagne ; en le faisant, et vu son caractère, accomplit un véritable acte de bravoure.
Lorsque nous sommes prêts, nous sortons de la maison, nous montons dans ma Challenger, et nous prenons la direction de la villa d’Alice, pour aller chercher ses filles, avant de nous rendre au restaurant.
À suivre…
Je suivais toute cette histoire « Evolutions » sur un autre site (+ de 100 chapitres)… je cherche à pouvoir en lire la suite…. Fantamsatique….