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Evolutions – Chapitre 61

Evolutions - Chapitre 61



ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 61 : Olympe de Villeneuve.

Le lendemain lorsque nous nous retrouvons sur la terrasse du bistrot d’en face, après avoir pris séparément notre repas de midi, je constate qu’Alice a à présent décidé de mettre quotidiennement des tenues sexy, et que de sa propre initiative, elle en a acheté au moins une nouvelle. Comme je n’ai rien à y redire, étant donné qu’elle est tout simplement attirante sans pour autant être vulgaire, je me contente de lui lancer un regard admiratif, qui me donne droit à un magnifique sourire de sa part. Elle semble être plutôt à son aise, ce qui démontre qu’elle a fait d’énormes progrès, quant aux hommes présents, s’ils la dévisagent toujours à la dérobée, ils commencent eux aussi à s’habituer à sa métamorphose.

Une fois qu’elle s’est assise en face de moi, je ne demande pas à mon petit bout de femme des nouvelles de Léa. Nous sommes en effet dans un lieu public, et j’estime que c’est déjà bien assez que nos petits secrets aient été éventés par les jumelles, sans prendre le risque qu’ils le soient davantage. Cependant, malgré ses traits tirés qui m’indiquent qu’elle a eu du mal à trouver le sommeil, ou alors qu’elle a eu une nuit agitée, ma compagne paraît sereine ; et j’en conclus que la situation a dû évoluer dans le bons sens.

Cela m’est confirmé lorsqu’elle me téléphone le soir, alors que je suis allongé nu sur mon lit, et qu’elle me m’annonce :

Ce matin, notre Bébé est venue me dire bonjour comme d’habitude. Enfin je veux dire comme à notre nouvelle habitude, en faisant tourner sa langue autour de la mienne. Cependant elle était toujours un peu renfermée, et ce n’est que ce soir qu’elle avait retrouvé son humeur normale.

Ce qui indique qu’elle a digéré la pilule, ou en tout cas qu’elle a commencé à le faire. Vous avez discuté de ce qu’elles ont découvert, sa sur et elle ?

Non, car je préfère attendre qu’elle soit prête à venir m’en parler. De toute façon, je ne vois pas ce que je pourrais lui dire de plus, puisque je lui ai déjà expliqué que ce que nous faisons toi et moi, correspond à nos besoins et à nos envies. Et même si ces derniers peuvent être considérés comme étant déviants, par ceux qui ont une morale plus stricte que la nôtre, je ne vais pas m’en excuser puisque j’assume ce que je suis. Pas même auprès de mes filles, qui sont pourtant les êtres que je chéris le plus au monde.

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Je partage le point de vue d’Alice, par conséquent, je suis décidé à la soutenir, et je l’aurais fait même si cela avait remis en cause leur déménagement pour que les jumelles et elle viennent habiter avec moi. Heureusement pour nous, ce ne sera pas le cas, puisque la situation a l’air de s’arranger. Il nous suffira juste d’attendre les bons moments, pour pouvoir nous amuser à nos petits jeux d’un genre un peu spécial, de manière à ne pas heurter la sensibilité des petites, et de l’une d’entre elles en particulier.

Étant donné que tout a l’air de mieux aller, je décide de taquiner mon petit bout de femme en m’exclamant :

Ah Bon ?!? Je croyais que c’était moi que tu chéris le plus au monde ?!?

Cette fois encore, elle n’est pas dupe, puisqu’elle me répond comme une maman parlerait à son petit enfant, pour lui expliquer quelque chose d’évident mais qu’il n’a pas compris :

Mais mon Amour, bien sûr que toi aussi je t’aime, et tout autant que Léo et Léa. Mais d’une manière différente.

Je n’en avais pas douté un seul instant, ce qui ne m’empêche pas de me sentir le plus heureux des hommes, et je continue à jouer le jeu en répliquant :

Ouf, j’ai eu peur.

Cela la fait rire, et étant effectivement rassuré mais au sujet des filles de ma compagne, je décide de changer de sujet de conversation, en lui demandant :

Tu sais, je suis de plus en plus convaincu que tu as un don pour raconter les histoires, et qui plus est de les inventer. Par conséquent, je t’encourage encore une fois à les mettre par écrit, avant que tu ne les oublies. Tu pourrais même les publier sur un site spécialisé dans ce genre de récits, en cachant ta véritable identité sous un pseudonyme.

Et tu en connais toi, des sites spécialisés sur lesquels je pourrais faire bander d’autres hommes que toi ?

Bien entendu, comme tous ceux qui ont été célibataires, il m’est arrivé d’en fréquenter. Celui que je préfère c’est XStory, et je trouve que tu y aurais ta place. Mais je précise avant que tu me fasses une remarque à ce sujet, que mon ordinateur portable est resté dans le placard, depuis que nous nous sommes rencontrés.

Ah bon ? Je ne savais même pas que tu as un ordinateur portable. On pourrait se skyper alors…

Je n’en vois pas la nécessité, étant donné que l’image de ton magnifique visage et de ton corps sublime, est très nettement imprimée dans mon esprit. Par conséquent, je préfère de loin écouter ta voix sensuelle au téléphone, qui me raconte tes fantasmes qui m’excitent, au point de me faire jouir à distance.

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Il me semble alors que ce que je viens de lui dire a plu énormément à Alice, parce qu’elle reste quelques instants silencieuse, probablement trop émue pour parler. Cela m’est confirmé lorsqu’elle me dit ensuite, avec sa voix devenue légèrement rauque :

Tu es un ange mon Amour, et je ne te mérite pas.

C’est marrant, je pense exactement la même chose de toi.

Tu veux que je te raconte la suite, alors ?

J’attends ça avec impatience.

OK. Bien entendu, au départ la fausse Duchesse ne connaissait la vraie Marquise que de manière mondaine, mais sa nouvelle réputation de la première est parvenue jusqu’aux oreilles de la seconde. Par conséquent, Olympe de Villeneuve a contacté Blanche Castelarnault, et elles se sont revues en privé, pour se raconter leurs vies parallèles et perverses. Mais cela, toi et moi nous ne le savons pas encore, et tandis que Belle nous quitte pour aller aider sa mère qui a terminé son exhibition, à descendre du tabouret de cirque, et que Léa vient nous retrouver, nous entendons qu’il y a du grabuge du côté de l’entrée du club.

Alice :

Notre fille est en effet allée dans les toilettes des dames, dans le prolongement desquelles a été installée une salle de bain avec tout le confort possible, dans le but que les femmes qui vident les couilles de clients, puissent se délasser après avoir fait leur show. Mais ces dernières se trouvent à l’opposé par rapport à la piste de danse, de l’endroit où nous entendons la voix, d’une femme indignée en train de s’exclamer. Francis se lève aussitôt pour aller voir ce qui se passe, car même si le service d’ordre est très efficace dans son cabaret, il est tout de même très inhabituel qu’une de celles qui y viennent se rebelle, étant donné qu’elles sont toutes plus ou moins soumises à leurs hommes.

Alice :

Par curiosité, tu le suis, tandis que Câline et moi nous restons sagement assises sur nos banquettes. Si je ne vais pas assister à ce qui va se passer, tu me le raconteras par la suite, et je le dis maintenant pour que la chronologie soit respectée. Lorsque vous arrivez, un des videurs qui pèse pourtant dans les cent kilos, et en train de s’écraser devant une femme qui doit faire la moitié de son poids, et cette dernière lui crie dessus : « Je suis la Marquise de Villeneuve !!! Et il n’est pas question que je me dévête pour pénétrer dans cet établissement !!! ». Tu es aussitôt amusé par la situation, tandis que le gros homme bafouille : « Mais… mais… c’est le… règlement… ma… Madame… ».

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Alice continue son récit :

Le patron que son employé n’a pas vu venir, parce qu’il lui tourne le dos pour faire barrage de toute sa largeur à la furie, décide d’intervenir. Il pose une main sur l’épaule du videur, ce qui fait sursauter ce dernier, et il lui dit : « Je pense que vue la qualité de cette personne, nous allons ce soir faire une exception, René ». Toi tu restes en retrait pour observer la scène, même si tu trouves dommage que cette femme de quarante ans reste habillée, car tu la trouves très attirante. C’est en effet une très belle personne aux traits de visage fins et aristocratiques, qui a des yeux couleur menthe à l’eau, qui s’accordent parfaitement avec sa chevelure auburn. Elle porte une robe verte qui moule son corps resté svelte malgré sa maturité, qui est très décolletée sur sa poitrine généreuse, et qui est soutenue par de fines bretelles, laissant nus ses épaules et ses bras parsemés de taches de rousseur, et lui arrive en haut des genoux. Avec ses escarpins à talons-aiguilles elle est aussi grande que toi, et tu en déduis qu’elle doit mesurer dans les un mètre soixante-cinq.

Alice :

Francis qui malgré son caractère directif, se révèle être un fin diplomate en tant que patron, s’adresse ensuite à la femme : « Madame la Marquise, nous sommes honorés de votre présence, et veuillez nous excuser pour ce regrettable incident. Si vous aviez pris le soin de m’annoncer votre visite, je me serais organisé pour que vous soyez accueillie d’une bien meilleure manière ». Ton ami sait en effet qui est cette personne bien qu’elle vienne dans son club pour la première fois, même si Duchesse ne lui a pas dit qu’elle la connaît, et en bon patron, il a immédiatement compris que si la nouvelle de son passage se répand dans le cercle fermé du monde libertin, cela lui fera une excellente publicité.

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Alice poursuit :

Olympe de Villeneuve se radoucit aussitôt, et alors que Francis l’a invitée à notre table après t’avoir présenté à elle, vous revenez vers nous. Lorsque tu es assez près, tu me fais signe de me lever, ce que les deux autres ne voient pas puisqu’ils sont devant toi, et je t’obéis immédiatement en gardant la tête baissée, aussitôt imitée par Léa. Si j’ignore qui est cette femme, j’ai tout de suite compris que si elle est restée habillée, c’est qu’elle est pour le moins ton égale, ce qui fait que sa condition est supérieure à celle de soumise que j’occupe, même si je ne suis pas contrainte mais volontaire. La Marquise lorsqu’elle s’assoit retrousse son jupon, et bien que le devant de sa robe continue à cacher son bassin, étant donné que tu es en arrière par rapport à elle, tu peux constater que ses fesses sont nues et cela te fait sourire. Cependant tu dissimules rapidement ton amusement en venant reprendre ta place, alors que je reste debout à côté de toi.

Alice :

Une fois qu’elle est installée, qu’une serveuse court-vêtue a apporté une coupe pour elle, et que Francis la lui a tendue après l’avoir remplie de champagne, Olympe de Villeneuve vous dit : « Je respecte les dominateurs mais je n’en fais pas partie, car je ne suis qu’une humble pécheresse, que ses démons intérieurs poussent à se vautrer dans la luxure. Par conséquent, serait-il possible que ces adorables créatures dont l’une est visiblement gravide, s’assoient elles aussi ? ». Cette fois, tu ne caches pas ton sourire et tu tapotes doucement la banquette, pour me faire comprendre que je peux m’y poser. C’est en effet une règle que nous avons établie toi et moi, car si dans la vie de tous les jours, tu me traites comme étant ton égale, lorsque notre jeu est lancé, ce qui inclut venir ici, je te dois une totale obéissance. Sinon je suis punie à la cravache, puisque nous avons déjà dépassé le stade du martinet, et les châtiments mérités que tu m’infliges, me sont administrés dans le mini-donjon, à présent aménagé dans le sous-sol de notre maison.

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Alors que je l’écoute, captivé par ce qu’elle est en train de me raconter, en me disant qu’il y a probablement dans son récit, des indices destinés à me faire comprendre ce qu’elle attend de moi dans la réalité, Alice continue sur sa lancée :

Une fois que je me suis assise à côté de toi et que notre fille a suivi mon exemple, la Marquise s’adresse directement à moi, ce qui surprend tout le monde : « Vous êtes Alice, n’est-ce pas ? ». Je lui réponds humblement, et en gardant les yeux baissés : « Oui Madame » « Vous pouvez cesser de jouer les soumises avec moi, et me regarder en face. Parce que j’ai appris par mon amie Blanche Castelarnault, que vous n’êtes pas une esclave sexuelle. Mais que vous ne vous comportez comme telle, que par amour pour Monsieur Berthier ici présent. Vous êtes par conséquent tout comme moi une libertine, et c’est pour vous rencontrer que je suis venue ici ce soir ». Francis est stupéfait par ces révélations, parce qu’il ne savait pas que la fausse Duchesse connaît la vraie Marquise, et toi tu es de plus en plus amusé par la situation.

Alice :

Tandis que tout le monde se tait, pendu aux lèvres d’Olympe de Villeneuve pour savoir ce qu’elle a encore à dire, cette dernière s’adresse à Câline : « Et toi tu es Léa, le petit Ange que Dieu a fait descendre sur terre, pour que les pauvres mortels que nous sommes succombent à la tentation ». Notre fille bien qu’étant devenue une parfaite exhibitionniste, que plus grand-chose n’intimide, devient aussitôt écarlate. Cela ne l’empêche pas lorsque la Marquise soulève le devant de sa robe tout en écartant les jambes, découvrant sa vulve joufflue parfaitement lisse ainsi que son pubis lui non plus sans aucun poil, et tatouée d’une fleur de lys de la même teinte que sa chevelure, d’aller se mettre immédiatement à genoux devant elle.

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Alice reprend, après une courte pause :

La Marquise sourit à notre fille, puis elle cale ses escarpins de chaque côté de cette dernière, contre le rebord de la table basse qui est au milieu des banquettes, ensuite elle me dit, tandis que Léa commence à lécher ses grandes lèvres charnues : « J’ai dans l’idée de vous inviter vous et vos filles, ainsi bien entendu que votre compagnon, à une Party que je vais donner en mon manoir, à la date du 21 décembre. Dans le but de fêter l’arrivée de l’hiver, voyez-vous ? ». Puis elle ajoute, après avoir poussé un soupir de contentement, provoqué par la langue agile de notre Bébé : « Vous m’avez chaudement été recommandées par mon amie Blanche, mais avant de concrétiser je voulais vous rencontrer, et pourquoi pas assister à l’une de vos représentations ».

Alice :

C’est à ce moment-là que Duchesse vient nous retrouver en compagnie de Belle, et bien que fatiguée par sa propre exhibition, la plus âgée des deux sourit, avant de venir embrasser la Marquise à pleine bouche en se penchant vers elle, ce qui fait pendre admirablement sa poitrine bien plus belle que la mienne. Sa fille fait ensuite comme elle, sous le regard éberlué de Francis, et Olympe dit à la petite après avoir poussé un geignement de plaisir : « Ta jeune amie est aussi goulue que toi, et elle ne va pas manquer je pense, de me mener tout droit au septième ciel ». Effectivement, Léa qui a commencé par lécher les grandes lèvres joufflues de la superbe rousse aux yeux verts, s’est ensuite intéressée à leur petite sur, dès que leurs aînées se sont ouvertes sous l’effet du plaisir, et nous pouvons tous remarquer à présent, que ses nymphes sont fines et ciselées.

Alice :

Mais quelqu’un d’autre vient jusqu’à notre table, et il s’agit du Monsieur Loyal du club, qui me dit : « Si tu te sens Madone, il va y avoir de la place pour toi dans cinq minutes ». Je le remercie d’un sourire, et après t’avoir jeté un bref regard pour savoir ce que tu en penses, je lui réponds : « Merci Max, tu peux m’annoncer », et il repart vers la piste. Léa pendant ce temps a déniché le clitoris de la Marquise, que nous découvrons d’une taille hors normes puisqu’il mesure pas moins de deux centimètres de long, et forme une excroissance qui malgré sa couleur rose vif, me fait penser à un haricot. Alors que notre fille commence à sucer son bourgeon, ce qu’elle ne pourrait pas faire avec la grande majorité des autres femmes, l’aristocrate se met à pousser des petits couinements de plaisir. Elle ne tarde pas à atteindre l’orgasme, en poussant sans aucune discrétion un véritable râle de plaisir, tandis que je me lève pour aller prendre place, sur le tabouret de cirque.

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À ce moment-là, Alice pousse elle aussi un gémissement à l’autre bout de la communication, tandis que j’éjacule dans un mouchoir en papier en grognant, et après quelques instants qu’elle a très certainement mis à profit pour se remettre de ses émotions, elle me demande :

Tu as aimé mon histoire, mon Nounours ?

Énormément, et vu comme tu as présenté la chose, la suite promet d’être tout aussi excitante.

Je suis bien contente que ça te plaise, car en même temps c’est un peu le but recherché.

Mais dis-moi, c’est Dorine qui t’a parlé d’Olympe de Villeneuve.

Bien entendu, qui d’autre ? Tu sais bien qu’avant de te rencontrer, j’étais une femme à la morale irréprochable.

Dis tout de suite, que c’est de ma faute si tu es une devenue ce que tu es !

Calme toi mon Amour, je n’ai jamais prétendu que tu es responsable de ce qui en train de nous arriver, et nous avons fait ce choix ensemble. Si je devais raconter notre histoire depuis le jour de notre rencontre, je dirais qu’avant de te rencontrer, j’étais un diamant brut, et qu’à force de patience, tu m’as polie, jusqu’à ce que je me mette à briller.

Je trouve cette manière de voir les choses, très poétique, même si nous sommes en train de parler de plaisirs sexuels, et pas des plus banals. C’est pourquoi je réplique, sur un ton radouci :

J’aime mieux ça. Cependant moi je t’aurais plutôt comparée à une terre aride, qui à force d’être arrosée est devenue fertile, et qui le matin est humide de rosée.

Tu es d’une humeur très romantique ce soir, mon Amour.

Oui, sauf que quand j’ai dit que tu étais arrosée je pensais à du sperme, et en ce qui concerne la rosée, il s’agissait de ta mouille.

Mon petit bout de femme éclate aussitôt de rire, et ce sujet étant clos, nous discutons ensuite de choses et d’autres, puis nous raccrochons après nous être souhaité de passer une bonne nuit.

À suivre…

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