ÉVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 67 : Coups de piston.
Ensuite comme nous sommes encore au début de l’après-midi, nous décidons d’aller nous baigner tous les quatre dans la piscine de nos amis, et après avoir nagé un peu sans complexes nous jouons au ballon, comme si nous étions redevenus des adolescents. Une fois sortis de l’eau nous nous séchons au soleil, allongés sur les serviettes qui nous ont servi lorsque nous nous sommes douché, puis les femmes s’habillent dans le but d’aller faire quelques courses, pour notre repas du soir. Marc a décidé de nous cuire de la viande au barbecue, ce qui convient à tout le monde, et nous la mangerons accompagnée d’une salade composée, qui sera préparée par nos compagnes.
Lorsqu’elles reviennent environ une heure plus tard, après s’être remises nues elles font un bref passage sur la terrasse, où nous sommes mon ami et moi affalés dans des chaises longues, à discuter de tout et de rien, puis elles vont dans la cuisine. Il ne leur faut pas bien longtemps pour concocter leur salade, puisqu’elles ressortent au bout d’une quinzaine de minutes, et Charlène dit à son mari :
— En ce qui nous concerne tout est prêt pour le dîner. Alors maintenant c’est à toi de jouer mon Gros, mais rien ne presse car il est encore tôt.
Sans s’attendre à une réponse de la part de Marc, elle étale sur le carrelage entre la piscine et nous, un des draps de bain qui décidément ne seront pas lavés pour rien, et elle s’allonge dessus sur le dos. Alice fait comme elle sans aucune hésitation avec une autre serviette qu’elle pose juste à côté de la sienne, elles ne tardent pas à se tourner l’une vers l’autre, puis elles commencent à s’embrasser tout en se câlinant.
Ce genre d’attitude ne m’étonne absolument pas de la part de mon amie, étant donné que je sais depuis longtemps qu’elle est bisexuelle. Mais même si je me doute que mon petit bout de femme a dû se comporter de façon identique avec Dorine, c’est la toute première fois que je la vois échanger plus que de simples baisers, avec une autre femme. De plus, elle ne semble absolument pas gênée de faire cela devant nous, comme si c’était pour elle tout à fait naturel, ce qui me surprend un peu vu son caractère pudique, mais me rend néanmoins très fier d’elle. Ma compagne est en effet en train de passer un nouveau cap, celui de l’exhibitionnisme, qui jusqu’à présent appartenait pour elle au domaine de fantasme.
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Je n’éprouve aucune jalousie, même si elles ne se comportent pas comme des femmes à la recherche de la simple jouissance, mais comme de véritables amantes, que rien ne presse dans leur recherche du plaisir. Je trouve cela à la fois tendre et excitant, surtout lorsque je vois Alice envoyer sa main vers la vulve de Charlène, tandis que cette dernière caresse la grosse poitrine de mon petit bout de femme, dont les tétons agacés deviennent de plus en plus durs, de désir et de plaisir mélangés.
Je tourne alors la tête vers Marc qui est toujours assis à côté de moi, et je constate que son sexe tout comme le mien a déjà commencé à prendre du volume, sous l’effet du charmant spectacle qui nous est offert. Même s’il n’est jamais en restes lorsqu’il s’agit de plaisirs sexuels, il lui arrive d’être assez réservé, surtout lorsque nous nous retrouvons entre hommes comme c’est le cas à présent. C’est pourquoi je ne suis pas surpris, lorsqu’il me dit sur un ton bourru :
— Moi jouer les voyeurs c’est pas trop mon truc, alors je vais aller m’occuper du barbecue.
Joignant le geste à la parole il se lève aussitôt, d’une manière que je trouve un peu trop brusque pour être naturelle, ce qui me fait sourire. Convaincu qu’il n’a absolument pas besoin de mon aide, et que nous ne ferions que nous marcher sur les pieds à vouloir faire la même chose en même temps, je reporte mon attention sur ma compagne et sa partenaire. Elles sont toujours en train d’échanger des baisers langoureux, tout en explorant leurs corps respectifs avec leurs mains.
Mon sexe qui avait fait une pause recommence à gonfler, et il finit par se dresser pour ce qui va devenir une solide érection.
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Les deux amantes décident sans vraiment avoir conscience de mon état de changer de tactique, puisqu’alors qu’elles se sont séparées d’un accord tacite, Charlène se remet sur le dos mais en pliant cette fois les jambes, et en gardant les cuisses écartées. Alice qui a bien entendu compris la suite logique se redresse, mais alors qu’elle semble enfin s’apercevoir que je suis en train de les regarder, elle hésite tout en rougissant. C’est pourquoi je l’encourage d’un sourire qu’elle me rend timidement, puis elle se décide à aller se mettre à quatre pattes sur notre amie, mais tête-bêche de manière à ce qu’elles puissent s’aimer, en se faisant un 69.
Maintenant qu’elle est dans cette position mon petit bout de femme me tourne le dos, cependant j’ai à présent une vue imprenable sur sa vulve, ainsi que sur sa rondelle fripée, mais également sur la langue que Charlène a sorti en grand de sa bouche, alors que l’arrière de son crâne est posé sur la serviette.
Mon membre pour sa part est à présent bien raide, mais je me contente de le décalotter, puis je le caresse distraitement avec ma main. Je n’ai en effet pas l’intention de me masturber, ce qui ferait jaillir irrémédiablement mon sperme, qui serait de cette manière perdu pour tout le monde.
La femme de mon ami s’est mise à lécher avec gourmandise le sexe offert de ma compagne, en commençant par ses grandes lèvres joufflues pendant plusieurs minutes, tout en poussant des soupirs d’aise, qui m’indiquent qu’elle est en train de recevoir un traitement similaire. Puis elle s’intéresse au nymphes, en fouillant méthodiquement leurs moindres replis, et en les décollant l’une de l’autre avec son appendice buccal. Elle ouvre ainsi l’accès du vagin de mon amante, tout en poussant cette fois des petits geignements de plaisir. Cependant elle ne s’intéresse pas à la grotte dont elle vient de dégager l’entrée, puisqu’elle dirige ensuite son organe fouisseur en direction du capuchon du clitoris, qui s’est déjà en partie retroussé, pour laisser apparaître le bout du petit bourgeon de chair rose-vif. Elle se met alors à émettre des couinements, qui cette fois encore démontrent que ma petite Poupée, a elle aussi déniché l’endroit le plus sensible de l’anatomie de sa partenaire.
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C’est sans surprise qu’elles arrivent toutes les deux à l’orgasme, et si celui d’Alice s’exprime par un gémissement mélodieux celui de Charlène est manifesté par un râle de jouissance, qui n’en est pas moins charmant. Les deux amantes restent un court instant immobiles, certainement pour récupérer du plaisir intense qu’elles viennent d’éprouver, puis mon petit bout de femme se retourne pour venir mettre sa tête en face de celle de notre amie, en faisant attention pendant qu’elle se déplace de ne pas lui monter dessus. Lorsque c’est fait elles recommencent à s’embrasser, et c’est ainsi qu’elles doivent je pense mélanger leurs mouilles, dont leurs bouches sont certainement encore gorgées.
Au bout d’une bonne minute ma compagne me regarde, et lorsqu’elle voit mon membre dressé elle me dédie un sourire grivois. Je n’ai pas besoin d’être devin pour savoir ce qu’elle a en tête, d’autant plus que c’est la raison pour laquelle je ne me suis pas vraiment masturbé. C’est par conséquent sans surprise que je la vois s’approcher de moi en restant à quatre pattes, et en évitant toujours avec soin le corps de notre amie, qui a à nouveau baissé la tête pour lui faciliter le passage.
Lorsqu’elle est assez près Alice se met à lécher mon membre avec gourmandise, comme s’il s’agissait d’une glace, tandis que je lui caresse tendrement les cheveux. Dans son regard marron-clair je vois à présent de la malice, c’est pourquoi bien que nous ne soyons pas vraiment seuls, même si Charlène qui s’est entre-temps relevée est retournée dans sa cuisine, et qu’elle a aussitôt été rejointe par Marc qui s’était fait discret depuis un petit moment, je décide de vérifier une de mes théories concernant les fantasmes de ma compagne.
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Lorsque je pose mes mains à l’arrière de son crâne, dans les yeux d’Alice la malice a été remplacée par une joie sauvage, et elle ouvre la bouche en grand. Prenant cela pour une invitation à aller plus loin je raffermis ma prise, et j’entreprends d’approcher sa tête de moi, tandis que mon sexe s’enfonce lentement en elle. Lorsque mon gland passe le niveau de sa glotte elle déglutit, ce qui me provoque une petit gémissement tant le plaisir que j’éprouve est intense, puis je continue, jusqu’à ce que le bout de son nez pourtant court, vienne s’enfoncer dans les poils de mon pubis. Je l’y laisse quelques instants, pendant lesquels mon petit bout de femme en profite pour me faire un clin d’il, puis je commence à la faire aller et venir le long de mon membre, sans me presser.
Je ne sais pas comment elle s’y prend pour respirer, toujours est-il que tandis que je lui baise la bouche, mon amante ne semble pas en éprouver la moindre gêne, et tout comme dans l’histoire qu’elle m’a raconté elle salive très peu, alors que son regard est toujours aussi clair. Si je n’avais pas su à quoi m’attendre j’en aurais été très étonné, non seulement parce qu’à ma connaissance très peu de femmes sont capables de ce genre d’exploits ; mais que cerise sur le gâteau, elle semble éprouver du plaisir à faire cela. C’est en tout cas ce que me laisse supposer la joie que je crois discerner tout au fond de ses pupilles, qui n’ont pas cessé de me fixer un seul instant. Bien évidemment je reconnais le savoir faire de Dorine, qui de toute évidence a été un très bon professeur, au point que je me demande si l’élève n’a pas d’ores et déjà dépassé sa maîtresse.
Mon membre coulisse dans le fourreau à la fois chaud et humide de mon amante, pendant une dizaine de minutes, jusqu’à ce que l’éjacule directement dans son gosier, et une fois que je me suis vidé je lui lâche la tête. C’est sans se presser qu’elle recrache d’elle même mon sexe, et lorsque c’est fait elle émet un rot sonore, qui en tout autre circonstance et venant d’une autre personne, m’aurait paru inconvenant.
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C’est à ce moment là que nous entendons des applaudissements, et en tournant la tête tandis qu’Alice lèche à nouveau ma queue pour y faire disparaître toute trace de son passage, je constate que Marc et Charlène sont revenus sur la terrasse, et sont en train de nous regarder. J’ignore depuis combien de temps ils jouent les voyeurs, mais mon ami ne semble plus gêné de le faire et son sexe est à présent bien raide. Sa femme qui n’a pas manqué de s’en apercevoir vient se mettre à genoux devant lui, et alors qu’elle commence à le sucer lui aussi, il dit tout en levant le pouce :
— Alors là, chapeau l’inconnue du bistrot d’en face !
Mon petit bout de femme devient aussitôt écarlate, ce qui ne l’empêche pas de sourire, et le fait qu’elle soit en train de devenir en plus d’une amante experte une parfaite exhibitionniste, me rend très fier d’elle.
Bien entendu pendant les ébats saphiques de nos compagnes, Marc n’a pas manqué de s’occuper de son barbecue, et une fois que les braises sont faites il cuit la viande. Nous mangeons ensuite sur la terrasse, car en cette fin du mois de juin les débuts de soirée sont déjà chaudes. Pendant le repas Alice et moi parlons peu, nous contentant de nous manger des yeux, et nous laissons à nos amis le soin de faire les frais de la conversation.
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Lorsque nous avons terminé et après avoir débarrassé la table, nous remontons dans la salle de jeu de la villa, et Alice va directement s’asseoir dans un des fauteuils, qui font face au lit rond équipé d’un matelas à eau. Elle nous fait ainsi comprendre qu’étant donné qu’elle a été prise en double en début d’après-midi, elle cède à présent sa place à Charlène.
Cet état d’esprit, qui démontre que mon petit bout de femme n’a pas la volonté d’établir un monopole ni d’en demander plus que sa part, me plaît énormément, parce que c’est le signe évident qu’elle s’est parfaitement intégrée dans le trio que nous formions mes amis et moi, avant sa venue. Par conséquent nos petites parties à quatre, qui seront je l’espère renouvelées régulièrement, se dérouleront de façon harmonieuse étant donné que chacune des deux femmes de notre petit groupe, est prête à céder sa place à l’autre ne serai-ce que par amitié.
Tandis que Marc met un autre CD dans le lecteur, qui est cette fois « Time And Tide » de Basia, sa femme se rend dans la petite salle de bain et elle en ressort avec son vibromasseur, qu’elle amène en souriant à ma compagne. C’est dernière qui s’est installée confortablement dans le fauteuil, a posé sans complexes ses cuisses sur les accoudoirs, ce qui fait qu’elle a les jambes largement écartées, et elle expose ainsi sa vulve mais également son anus. Elle prend sans aucune hésitation le sex-toy qui lui est tendu, et avec des gestes assurés qui démontrent qu’elle en connaît parfaitement le fonctionnement, elle le met en marche. Puis tandis que la chanteuse commence à entonner « Promises » un léger bourdonnement se fait également entendre, et mon amante commence à se caresser avec le jouet qui lui a été prêté.
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Charlène maintenant qu’elle n’est plus en possession de son gode vibrant, vient se mettre à genoux devant Marc et moi qui sommes debout côte à côte, et elle se met à tripoter nos sexes, en nous regardant à tour de rôle et en souriant. Puis lorsque nos membres sont bien raides et qu’elle les a décalottés, elle en suce un tandis qu’elle branle lentement l’autre, avant de faire l’inverse.
Cependant elle n’a pas l’intention de nous faire jouir de cette manière, et dès qu’elle nous lâche c’est comme un signal pour son mari, qui va sans attendre s’allonger le dos sur le matelas à eau. Une fois qu’il est installé sa femme va le rejoindre, puis après s’être mise à califourchon sur lui, elle s’empale sur son sexe tendu sans se presser.
C’est lorsqu’elle se penche en avant pour l’embrasser, exposant ainsi son anus, que je sais que je vais pouvoir grimper à mon tour sur la couche, et me mettre à genoux derrière elle entre les jambes de mon ami. Mais avant de faire cela je regarde Alice, non pas cette fois pour savoir de quelle manière elle réagit, parce je n’ai plus de doutes au sujet qu’elle accepte parfaitement de me partager, mais tout simplement pour savoir où elle en est dans sa recherche du plaisir en solitaire.
Mon petit bout de femme ne s’est pas embarrassée bien longtemps avec les préliminaire, puisqu’elle a déjà enfilé le vibromasseur qui a une taille similaire à mon sexe dans son vagin, et tandis que le sex-toy est en train de la stimuler en vibrant, elle caresse lentement sa grosse poitrine, dont les tétons sont dardés.
Nous échangeons alors un sourire puis je monte sur le matelas à eau, qui tangue légèrement en émettant des crissements de protestation. Cependant je ne m’en inquiète parce qu’il a déjà fait ses preuves, et je sais qu’il peut facilement supporter le poids de quatre personnes, puisque nous nous y sommes déjà retrouvés à deux couples, avec certaines de mes anciennes compagne dont mon ex-femme Mathilde.
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Lorsque je suis en place je pose mon gland contre l’anus de la femme de mon ami, qui tout en continuant à échanger un langoureux baiser avec son mari, pousse pour que le passage s’ouvre. Puis je l’attrape par le taille et je pénètre lentement en elle. Car c’est là la différence majeure entre Alice et Charlène : si la première aime avoir mal et serre parfois les fesses dans le but de se sentir forcée, la seconde est douillette, et elle préfère se faire sodomiser en douceur.
Cependant sa rondelle est parfaitement rodée et souple, ce qui fait que je peux m’introduire en elle dans un mouvement de reins fluide, et une fois que mon bassin est venu au contact de ses fesses, je commence à faire des allers et retours.
C’est moi qui fournis l’essentiel du travail, même si notre partenaire ondule du bassin dans le but d’augmenter nos sensations à tous les trois, alors que Marc qui ne peut guère bouger, se contente de peloter les seins de sa femme.
Notre accouplement « trioliste » dure une dizaine de minutes, autrement dit le temps de trois chansons, pendant lesquelles je m’applique à garder un rythme modéré, puis Charlène est prise d’un double orgasme, qui nous emporte avec elle dans la jouissance.
Une fois que je me suis vidé je me retire dans le but de les laisser seuls tous les deux, et je descends du lit pour faire face à mon amante en titre, juste au moment où elle est prise elle aussi par un plaisir très intense. Tandis qu’elle reste pantelante pendant quelques instants, j’en profite pour me mettre à genoux devant elle, et je retire doucement le vibromasseur, avant de lécher sa vulve qui reste béante, pour y récolter la mouille qu’elle a produite.
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Après que Charlène soit allée se vider les intestins dans la salle de bain, et qu’elle en a profité pour y nettoyer son sex-toy qu’elle a récupéré en passant, nous redescendons tous au rez-de-chaussée. Une fois que nous y sommes nous nous souhaitons de passer bonne nuit, et Marc et moi sommes les seuls à nous faire la bises, puisque les autres combinaisons consistent en un échange de salive.
Ensuite nous nous séparons, et j’entraîne Alice jusqu’à notre chambre d’une nuit en la tenant par la main. Cette pièce je la connais très bien, étant donné que j’y ai dormi fréquemment pendant mes périodes de célibat. Elle est comme celle des propriétaire de la maison équipée d’une salle de bain, dans laquelle nous allons prendre une douche rapide.
Je constate que mon petit bout de femme nettoie ma queue qui a sodomisé une autre femme qu’elle, avec le sourire aux lèvres et sans paraître éprouver la moindre émotion, ce qui fait d’elle en plus d’une très belle exhibitionniste, une parfaite échangiste.
Une fois propres et séchés nous allons nous coucher dans le lit à deux places, dans lequel nous ne tardons pas à nous endormir en nous faisant face, épuisés par cette journée qui a été pour mon amante riche en nouvelles expériences, et pour nous deux de plaisirs partagés.
À suivre…
