Cette histoire sest passée en 1993.
A cette époque, javais 49 ans et ma femme en avait 50 ans, jétais 6 mois plus jeune.
Je travaillais à Issy-les-Moulineaux et elle à Clamart. Nous habitions à Bourg la Reine et en principe, elle rentrait avant moi.
Nous sommes marié depuis 1972 et nous aimions faire lamour de toutes les façons et à nimporte quel moment.
Depuis quelques temps, je remarquais que le Jeudi, elle partait travailler avec des tenues un peu sexy, soutien-gorge assorti au slip, bas, porte jarretelles.
Les premières fois je nai pas porté attention, car elle aimait porter de la lingerie fine et je dois dire que jaimais aussi.
Au bout de quelques semaines, jai quand même eu quelques soupçons et je lai attendu à son travail en fin de journée.
Je la vis sortir à lheure habituelle, mais au lieu de se diriger vers la maison, elle pris le chemin dun petit bois à proximité de Clamart qui était réputé pour les couples exhibitionnistes et quelques prostituées. Je la suivi de loin sans me faire remarquer, quand arrivé à lentrée du bois, elle gara sa voiture près du relais de chasse et monta dans une autre voiture qui la suivait et que je navais pas remarquée.
La voiture démarra vers le bois et jattendis un peu pour les suivre. De toute façon, je les retrouverais le bois est petit et je le connais bien, venant régulièrement pour mater les couples entrain de faire lamour ou sexhiber dans les voitures. Jarrive au centre du bois et je repère la voiture dans une allée, je me gare dans lallée à coté, Jattends quelques minutes et je rejoins la voiture à pied en prenant soin de ne pas me faire voir. Japerçois une demi-douzaine dhommes près de la voiture je mapproche doucement et je vois tous les hommes la queue sorti entrain de se masturber, je regarde dans la voiture et vois ma femme le chemisier ouvert, les seins sortis du soutien-gorge, la culotte retirée et les jambes écartée, son ami la branlait avec plusieurs doigts dans son vagin, ils avaient mis une serviette sur le siège pour ne pas trop salir celui-ci. Elle se fit branler jusqu’à la jouissance et son jus arrosa le siège. Un homme voulu ouvrir la porte, mais ils les avaient verrouillées, Un à un les mateurs jouissaient à leur tour sur la voiture et ma femme branlait son chauffeur.
Sans me faire voir, je regagnais ma voiture et attendis quelle récupère la sienne, je me cachais donc près du relais de chasse en attendant leur retour et plutôt que de partir, ils entrèrent dans le relais de chasse. En les épiant de loin, ils prirent une chambre pour assouvir leurs excitations.
Sans attendre, je regagnais mon domicile en réfléchissant à lattitude à tenir. Joptais pour ne rien dire. Je vis ma femme rentrer et attendis lheure normale de mon retour.
Je rentre à la maison comme dhabitude et je trouve ma femme, comme tous les soirs entrain de préparer le repas comme dhabitude. Je passe derrière elle et lembrasse dans le cou en lui caressant la poitrine, elle me donne ses lèvres et me dis: « Tu as lair bien excité ce soir, nous allons dîner et après on se fera lamour toute la nuit si tu veux ».
Jallais prendre une douche avant le repas, chose quelle avait faite en rentrant afin que je ne maperçoive pas de son odeur de jouissance.
Nous dînâmes et sans attendre, nous nous mîmes au lit pour faire lamour sans retenue, nous commençâmes par un 69 et ma langue entrait dans sa chatte qui avait déjà jouit plusieurs fois, et la voir sexhiber dans la voiture mavait surexcité. Ma langue quitta sa chatte pour aller senfoncer dans son petit trou, suivi de mes doigts, on avait lhabitude de toutes ces pratiques sexuelles et me laissa faire quand je lai sodomisée, peut-être même quelle l’avait fait avec son amant.
Plusieurs semaines se sont écoulées de la même façon et quand le matin, je la voyais shabiller sexy, je marrangeais pour aller la mater en sachant que de toutes façons, le soir, je lui ferai lamour et que son besoin serait décuplé par son exhibition.
De mon coté, jallais au bois les autres jours pour mater quelques couples et me branler devant comme des hommes le faisaient devant ma femme (ce quelle appréciait dailleurs).
Nous passions nos soirées à faire lamour et nus nous endormions dans les bras lun de lautre et quelquefois, je me mettais en elle et nous nous endormions comme cela.
Un jour, elle me confia que quand elle shabillait sexy, elle se mettait en elle des boules de geisha, pour jouir toute la journée assise au bureau ou en se déplaçant, ce qui ma beaucoup excité ne sachant pas quelle était adepte de cette pratique, que cétait une collègue qui lui en avait parlé et quelle avait acheté cela sur internet.
Je lui demandais de les porter tous les jours pour être très excité le soir et quelle ne se lave pas pour que je puisse sentir son odeur de jouissance.
Lun et lautre, nous continuons notre petite vie de débauche, elle sans savoir que jétais au courant de ses exhibitions et de son amant.