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Fabrique à soubrette – Chapitre 1

Fabrique à soubrette - Chapitre 1



Encore une traduction tres libérale d’un texte venu d’un site "Sissykiss"

H-H & H-F Fabrique à soubrette ou un couple kidnappe des jeunes pour en faire leur esclave soubrette travesti

Ennui mécanique et dépannage

Cétait super javais enfin ma propre voiture. Bien sur ce nétait quune petite voiture mais je men fichais. Mes parents me lavaient offert pour mes 18 ans et aujourdhui je partais voir mon cousin qui habitait la capitale. Cétait un long chemin mais lorsquon est jeune on ne pense quau plaisir, pas aux problèmes, en effet il allait se marier et je ne voulais pas louper cet événement.

Javais fait mon trajet quelques jours avant et étant désargenté javais prévu de passer par les petites routes. En partant dès la fin de lécole je devais arriver vers 2 ou 3 heures du matin.

Tout se passait bien, javais plaisir à rouler sur les routes désertes car la nuit était tombée mais le temps minquiétait un peu. Nous étions fin novembre et vu le ciel je craignais que la neige se mette à tomber, la météo ne disait rien dans ce sens mais ce ne serait pas la première fois quil se trompe.

De temps en temps je traversais des villages ou bien sur tout était fermé. A la campagne les paysans nont pas lhabitude de faire la fête. Je commençais à être inquiet car jallais bientôt manquer dessence. Il fallait absolument que je marrête dès que je verrais une station ouverte. Ah linsouciance de la jeunesse ! Javais de la chance, quelques minutes plus tard au nouveau village une station était ouverte. Jai donc fait le plein et ouvert le capot pour rajouter un peu dhuile, je savais que javais une légère fuite. Brusquement une envie de pisser me prit et laissant tout en plan je me précipitai aux toilettes. Heureusement elles étaient libres.

De retour à la voiture jy trouvais un homme, la quarantaine, aux larges épaules qui mattendait devant le capot

-« Bonjour je vous ai vu remettre de lhuile et je voulais voir si vous naviez pas de problème. Effectivement ce nest quune petite fuite. Bonne route ! ». Il séloigna pour rejoindre son véhicule, un poids lourd. Je neu que le temps de le remercier de sa prévenance quil était déjà à son volant.

Je payais puis moi aussi je partis en accélérant pour rattraper mon retard. Je navais pas fait 10 km que le voyant dhuile salluma. Pas daffolement ce devait être un défaut de la sonde car je venais den remettre et je continuais. Brusquement plus rien, plus de moteur mais aussi comme cest une direction assisté un volant très lourd et des freins quasi inutilisable. Difficilement sur ma lancée jarrivais à me garer à peu prés en sécurité.

Jeu beau injurié la voiture et la traiter de tous les noms elle refusa de repartir et ce nest pas avec mes petites connaissances en mécanique que jarriverais à la réparer. Plus quà attendre quun nouveau camionneur sympa veuille bien sarrêter et me dépanner. Cétait la nuit noire et javais un peu peur malgré mon insouciance naturelle car aucun véhicule ne passait malgré les minutes qui ségrenaient.

Enfin de la lumière sur la route ! Je sortis de la voiture et fit des appels avec ma lampe de poche. Cétait un camion et effectivement il sarrêta. Surprise cétait le même gentil monsieur qui sétait intéressé à mon sort à la station service. Il y avait dans le cockpit une silhouette féminine, surement sa femme.

-« Alors quel est le problème cette fois ci ? ».

-« Aucune idée, je ny connais rien en mécanique ! ». Il me demanda douvrir mon capot et se pencha longuement sur le moteur et me fit essayer de démarrer

-« Désolé il ny a plus rien à faire, le moteur est serré ! »

-« Cest vraiment pas mon jour ! Quest ce que je vais pouvoir faire ? ». Jétais complètement désemparé et le routier pris de compassion me fit une proposition

-« Si vous voulez nous allons remorquer votre voiture jusquà chez moi, cest une ferme et nous avons plein de chambre et demain matin jirai voir mon garagiste. Ok ? »

-« Oh merci vous me sauvez ! Je ne sais pas comment vous remercier ! Vous me direz combien je vous dois!

-« Pas de problème dans notre région on a lhabitude de sentre aider. Pas question dargent, plus tard vous rentrez le même service à un autre. Ce sera ma récompense »

Visiblement javais en face de moi un bon samaritain.

-« Montez dans le camion bien au chaud avec ma femme. Je moccupe daccrocher votre voiture ». Je me précipitais tout content dans la cabine rejoindre sa femme une belle femme blonde, plus grande que moi avec un magnifique visage. Il est vrai que je ne suis pas taillé en athlète et plutôt poids plume ! Le mari par comparaison était un géant !

-« Bonjour je mappelle Marc votre mari est vraiment quelquun de sympa de maider ainsi sans me connaître ! ». Nous avons pu discuter quelques minutes avant que le mari revienne se mettre au volant. Elle sappelait Mary, son mari Jim et elle était très contente de maccueillir pour la nuit, dailleurs ajouta telle nous habitons à quelques minutes dici.

Une fois ma voiture accrochait nous repartîmes cette fois bien au chaud. Javais vraiment beaucoup de chance car depuis ma panne aucun autre véhicule ne passa par cette route. En discutant jappris dailleurs que je métais trompé de route et que celle ci ne menait quasiment nulle part si ce nest chez eux. Je me sentais à laise avec eux et ils me posèrent des tas de question sur moi et jy répondais avec plaisir. Sur mes parents, mes études, ce que jespérais faire de ma vie, ou je partais ainsi dans la nuit. A un mariage alors que moi jétais bien trop petit pour intéresser une fille ! Je leur ai même avoué être puceau et ils nont pas ri, ils me traitaient avec respect et gentillesse. Je sus par contre quils étaient mariés depuis leur rencontre au lycée, lui était capitaine de léquipe de foot et elle pom pom girl. Ils avaient eu une fille qui fut tué il y a deux ans par un chauffard sur cette même route et quils avaient hérités de la ferme, il y a une dizaine dannée. On était devenu en quelques minutes de bons amis.

Arrivé chez mon bon samaritain et découverte du piège

La route ne fut pas très longue mais par contre on sest engagé ensuite sur des chemins de terre, impossible de me repérer et suite à une longue descente nous sommes arrivés devant un portail doù on apercevait une vaste demeure à deux étages. Nous étions arrivés !. Je me suis exclamé avec une légère crainte

-« Ouah quelle maison ! » Et Mary de mexpliquer

-« Cest un peu triste cest vrai mais nous y sommes très attaché. Par contre il y a beaucoup de travail pour la maintenir propre »

-« Allez avec ma femme je vais moccuper de vos bagages et de la voiture » me proposa Jim.

-« Merci cest gentil, toutes ses émotions mont fatigué »

Je suivis Mary qui me fit pénétra dans le hall. Déjà je fus impressionné par le choix rustique des meubles mais aussi par leur qualité. Manifestement le couple avait de largent. Elle me fit entré dans une grande cuisine superbement équipé et me proposa un sandwich. Je lavalais rapidement tellement jétais affamé

–« Il est très bon merci, jen avais besoin »

-« Je suis contente pour vous. Désirez vous autre chose ou préférez vous que je vous montre votre chambre en attendant que mon mari soccupe dehors ? »

-« Merci je nosais vous le demander, je tombe de sommeil »

Sur ses pas nous montâmes à létage, suivi un corridor, tourner à droite pour suivre un autre corridor pour enfin sarrêter devant une porte. La maison était vraiment gigantesque.

-« Jespère que vous ne men voudrez pas mais je vais vous proposer la chambre de ma fille, cest la seule en état car nous sommes en pleine rénovation »

-« Bien sur que non Mary, vous êtes déjà si aimable de me recevoir!

On entra dans la pièce et elle alluma la lumière. Je suis resté scotché devant la magnificence de la chambre toute en dentelle et en couleur pastel doù dominé le rose. Même les rideaux dentelés au possible étaient rose ! Cétait la pièce la plus féminine qui mait été donné de voir !. Pour couronner le tout en plein milieu se dressait un lit à baldaquin avec les rideaux roses et des grands nuds en satin rose vif pour les attacher. Sur le côté jentrevis derrière une porte une baignoire et un WC. Les commodités pour la chambre, le luxe! Jallais être comme un pacha pour cette nuit. Rompant le silence Mary dun ton naturel me proposa

-« Pourquoi ne prendriez vous pas un bain pendant que je vais voir pourquoi mon mari tarde tant ? Vous aurez vos nouveaux vêtements sur votre lit en sortant du bain »

-« Merci cest une bonne idée ». Jessayais de faire bonne figure car jétais gêné en tant que garçon de me trouver devant tant de douceur féminine.

Elle tourna les talons et sortit me laissant seul pour explorer la pièce. Je maperçu que les tiroirs de la grande commode et que la penderie était encore rempli de vêtements de leur fille. Je savais quil y avait des parents qui ne pouvaient pas faire le deuil de la mort de leur enfant et gardait tout intact. Je nosais pas fouiller et partit vers la salle de bain qui était à limage de la chambre, très féminine. Je me déshabillais sans attendre le retour de Jim et me plonger dans leau chaude, en écoutant la radio qui était à côté. Quel plaisir de se prélasser alors quune heure avant je claquais des dents dans le froid ! Nayant pas mes affaires je me lavais avec le savons disponible, savon qui bien sur était très parfumé, à la fraise semble til, mais pour une fois cela ne me dérangeais pas. En sortant du bain jeu la surprise de voir que mes vêtements avaient disparus. Surement Marie en maitresse de maison attentionné qui est parti les laver pensai je. Entouré dune serviette de bain rose je pénétrai dans la chambre. Là, assise sur le lit, les jambes croisées Marie me regardait sans ciller. Jetant un coup dil alentour je ne vis pas ma valise.

-« Jim nest pas encore revenu avec mes affaires ? » demandai je légèrement inquiet devant lattitude plutôt froide de Mary.

-« Venez vous asseoir à coté de moi, nous avons à discuter ». Elle tapota le lit à coté delle. Tout cela me semblait bien étrange mais jobéis fut le ton employé. Elle mentoura les épaules avec son bras et mannonça

-« Il faut comprendre chérie que votre voiture nest pas tombé en panne toute seule »

-« Comment cela ? »

-« Restez calme et ne minterrompait pas sil vous pait ». Pris par surprise je hochai la tête pour acquiser.

-Lorsque nous vous avons vu à la station, nous avons tout de suite su que vous nous étiez destiné. Vous étiez seul et votre physique est plutôt gracile. Tout ce que nous recherchions et Jim a fait le nécessaire sur votre voiture pendant que vous étiez aux toilettes. Elle disait cela calmement tout en me tenant fermement par les épaules. Dans quel guêpier suis allé me fourrer ? Cétait dingue !

-« En fait demain vous irez nulle part car vous nêtes pas parti pour la capitale. Pendant que je moccupais de vous, Jim est allé bruler vos affaires et faire disparaître votre petite voiture. Comme personne ne nous a vu vous aidant sur la route ou vous emmenant ici vous aurez dans quelques semaines fait un fugue et tout le monde clôturera le dossier de votre disparition ».

-« Allez-vous faire foutre salope ! Laissez-moi partir sinon gare à vous ! » Je hurlai de rage en tentant de méchapper de son étreinte. Avant même de comprendre elle était debout et me gifla avec une violence inouïe pour une femme qui semblait pourtant fragile. Elle me saisit ensuite par mes cheveux longs, me tordit la tête et me coucha sur ses genoux. Une de ses mains ma bloqua un bras avec une clé dans mon dos ce qui me fit hurler de douleur et de lautre elle commença a à me fesser.

-« Jamais je vous dis bien jamais vous me manquerez de respect ainsi. Vous avez bien compris ? ». Elle semblait réellement furieuse et après avoir dégagé mes fesses de la serviette continuèrent à me frapper. Elle était bien plus forte que moi et je ne pouvais que subir.

-« Vous allez vous comporter comme une jeune fille raisonnable et vous nous devrez le respect à Jim comme à moi ! Comprenez-vous ? ». Et elle continuait à frapper. On va vous apprendre à devenir notre femme de chambre, cest votre destin et vous devrez être très obéissante ! Est-ce compris cette fois ou je continue à frapper ? »

-« Ouch! Non! Arrêtez! Jai bien compris. En fait javais les larmes aux yeux et je navais pas encore réellement compris ce qui se passait mais je voulais que tout sarrête.

-« Cest bien jeune fille, je vais vous apprendre tout ce quil faut pour devenu une soubrette stylée et une femme qui sait se tenir. Si vous faites rapidement des progrès et faites votre travail sérieusement vous naurez plus à vous préoccuper des fessées ». Elle disait cela tout en caressant maintenant mes fesses dune main légère. Cela me faisait vraiment du bien et je commençais à me détendre en zappant tout ce qui pouvait meffrayer, je ne pouvais que me taire étant physiquement inférieur.

-« Au cas ou vous voudriez vous faire la malle, je vous signale que vous êtes à plusieurs km de tout voisin et aussi de la route. Même sans laide du chien on vous retrouverait facilement et le châtiment est simple: la mort. Vous ne seriez pas le premier croyez moi. Si vous avez un sous de bon sens vous devez comprendre quon ne plaisante pas et que tout ce que vous avez à faire est de devenir une bonne fille et vous pouvez jouir de cette magnifique chambre. Ce nest pas si mal ». Jétais sans voix.

-Suivez moi chérie je dois vous préparez. Au fait Jim veut quon vous appelle Marissa. Cela vous plait Marissa ? ». Je hochais la tête et la suivit dans la salle de bain. Elle me fit masseoir dans la baignoire, tout nu, et me passa une teinture dans les cheveux. De brun jallais devenir une blonde platine daprès le flacon. En attendant que cela prenne, mes cheveux entoures dune serviette, elle me mit debout et me frictionna avec une lotion marron sur tout le corps en insistant sous les aisselles et autour de mon sexe ainsi que mes fesses. Me retrouvait tout nu devant cette belle femme ne me faisait plus rien tellement jétais devenu un pantin dans ses mains et je comprenais que la crème marron devait être un dépilatoire. Je navais déjà pas beaucoup de poil mais maintenant jallais être tout lisse. Une fois sous la douchette je constatais effectivement la disparition de ma pilosité et ensuite elle passa à mes cheveux quelle rinça soigneusement. Elle semblait vraiment satisfaite de ce quelle voyait.

-« Décidément Jim a le flair pour choisir ! » pensa telle à voix haute en regardant le corps fluet et la petite queue insignifiante, gage dune future acceptation de sa métamorphose. Javais bien compris que jétais un cobaye intéressant. Elle me demanda de me pencher et je sentis une aiguille me piquait la fesse.

-« Ne vous inquiétez pas Marissa ce nest quune piqure dstrogène à longue action. Une par semaine et des pilules aux hormones chaque jour et vous serez bientôt une adorable fille avec toutes les rondeurs là ou il faut. Elle disait cela en me regardant bien dans les yeux afin de saisir ma réaction mais je restais exprès de marbre tout en pensant la vouer à tous les diables et lui dire que jamais je navais rencontré une femme aussi méchante et cruelle. Je me contentais de baisser les yeux. Elle me tenait, pour linstant du moins.

Elle mamena devant la coiffeuse, me fit masseoir et sassit sans vergogne à califourchon sur mes jambes. Bien installé, presque visage contre visage elle me sécha les cheveux, les peigna et les fixa avec une laque en bombe, puis avec une pince elle se mit à mépiler les sourcils jusquà en faire un arc très féminin et sensuel. Ce nétait pas fini, loin sen faut, avec un pistolet spécial elle me perça les deux oreilles et immédiatement me mit des lourds pendentifs. Je sentais leur poids en permanence mais pire à chaque mouvement ils me tapaient le cou ce qui fait que jen avais conscience en permanence. Elle descendit de mes genoux, sassit sur la coiffeuse et mes mains posées sur ses cuisses me lima les ongles en les dessinant plus pointu pour les féminiser. Une fois fait elle me les enduisit dun vernis à ongle rose en mindiquant

-« Ils ne sont pas très long actuellement mais on va les laisser pousser. Par contre il faudra bien veiller chaque jour que le vernis ne soit pas abimé nest ce pas, cela vous évitera les faux ongles qui sont plus fragiles et donc plus de risque de recevoir une fessée. Vous voyez je ne suis pas si méchante ! ». Elle disait cela en souriant ! Elle pensait surement que cétait de lhumour!

Elle me prit par la main et on retourna dans la chambre, elle ouvrit une commode et en sortit un panty avec plein de fioritures et un soutien gorge assorti, elle fouilla encore un peu et en sortit aussi un corset qui savéra être un serre taille. Sans me donner de détail elle me fit mallonger sur le lit. Je ne comprenais plus rien car elle agissait dans mon dos, soudain un sentiment de froid sur ma poitrine mais sa main qui mempêchait de bouger. Attente puis de nouveau une autre sensation sur mon autre sein. Je nosais pas bouger et fermait les yeux.

-« Je viens de vous mettre une belle paire de seins qui vous fera un bonnet D mais ce nest que provisoire car vous aurez très vite votre propre poitrine. En attendant vous pourrez vous baigner, sauter, enfin faire tout ce que vous voulez la colle spécial vous permettra de les conserver au moins un mois. Apres nous en mettrons dautre suivant lavancement de votre poitrine ». En me remettant debout je pus constater queffectivement les seins tenaient bien place et avec les pendentifs à mes oreilles je ne risquaient pas de les oublier !. Cela me semblait si farfelu que jétais prés déclater de rire car je devais surement faire un rêve. Dans mon brouillard personnel je vis Mary me tendre le serre taille à moitié délacé et de lenfiler. A ma grande honte pour lui faire plaisir et aussi pour atténuer sa méfiance je lenfilais. Elle me demanda de retirer ma respiration et commença à serrer. Petit à petit je sentais létau se resserrer. Javais déjà vu des photos de femmes avec des corsets qui leur faisaient une taille de guêpe incroyable mais il semblait que Mary voulait battre tous les records. Je narrivais plus à respirer lorsquelle sarrêta enfin. Je dus reconnaître que cela me faisait une taille fine mais aussi des hanches plus larges ! En me retournant même mes fesses avaient pris du volume ! Alors quest ce que cela sera après le traitement aux hormones ! Je ne voulais pas limaginer une seconde. Il me fallait fuir.

-« Vous devrez le porter jour et nuit car avec votre traitement cela va modifier votre corps et répartir vos amas graisseux. Le but est une taille fine et des hanches bien développé. Nest ce pas lidéal pour une soubrette dévoué corps et âme ?.

Pourquoi répondre à ce monologue ?. Mais mon mutisme ne lui plaisait pas. Je reçu une gifle qui menvoya valser sur le lit.

-« Votre mutisme minsupporte et vous me manquer de respect. Cela fait plusieurs fois que jessaye de vous faire participer à cette transformation qui fera de vous une soubrette heureuse et accomplie mais vous en avez que faire ! Je vous conseille de me répondre à moi comme à Jim lorsquon vous pose une question ? Croyez moi vous allez apprendre le respect ! »

-« Je mexcuse » bafouillais je, en me frottant la joue

-«Je ne veux pas dexcuse! A chaque fois que nous posons une question, nous voulons une réponse. Cest clair non ? Par exemple pour ma question vous auriez dû répondre que vous étiez très heureuse de porter ce serre taille qui vous permettra ensuite dêtre une jolie femme très sexy. Ce nest pas difficile non ? ». Elle était complètement folle de vouloir que je sois le mec le plus heureux dêtre travesti en femme !

-« Je vous prie de mexcuser Marie mais cest vrai je suis très heureux de porter cela ainsi dans quelques temps je serais une femme super sexy »

-« Je préfère ma chérie. Met ce joli panty et je vais taider à accrocher ton soutien gorge ». Ce que je fis sans rechigner sous lil ravi de ma geôlière. Il est vrai aussi que le soutien gorge maidait à soutenir mes gros seins qui pesaient sur ma poitrine !. Et elle ajouta

-« Une soubrette se doit dêtre respectueuse envers son maitre et sa maitresse et il vous faudra répondre essentiellement par des Oui Madame et des Oui Monsieur. Il est évident que le « Non » nest pas approprié pour une soubrette. Avez-vous compris ? »

-« Oui Madame »

-« Cest beaucoup mieux. Maintenant vous aller enfiler ce porte jarretelle et je vais vous aider à enfiler ses bas. Je vous préviens vous devez apprendre rapidement si vous ne voulez pas finir dans un trou au fond des terrains de mon cher mari ! » La menace était sans équivoque et je fis très attention à chacun de ses gestes. Ma vie en dépendait. Lorsquelle me montra comment enroulés les bas satinés le long de ma jambe et les attachait au porte jarretelle quelle me fit mettre je pris conscience de ma peau devenu lisse et qui ainsi transmettait les sensations directement au cerveau, le plaisir était décuplé, en vérité je navais jamais connu un tel plaisir et un frisson traversa mon corps. Tout senchainait si vite que je navais pas loisir de réfléchir, cétait surement voulu par ce couple diabolique qui nen était visiblement pas à son coup dessai. Elle mentraina vers larmoire, choisit une tenue de parfaite soubrette, rose et blanche, avec tablier et gros nud derrière comme dans les palaces de la côte dAzur et me lenfila sans aucune réaction de ma part..

Mon martyr nétait pas fini, je dus repartir vers la salle de bain ou elle me maquilla avec poudre, mascara, faux cils et un rouge à lèvres très convaincant si je voulais faire carrière Rue Saint Denis. Apres deux bonnes heures dapprentissage je fus enfin autorisé à dormir, je pus retirer mes nouveaux vêtements tout en me laissant le serre taille et en me demandant denfiler une chemise de nuit digne des années 20 avec dentelle sur dentelles. Autant préciser quelle viendrait vérifier la nuit si je portais bien ce quelle avait demandé. Une fois partit mais par acquis de conscience je suis allé à la porte qui bien sur était fermé à clé. Qui ne risque rien na rien comme on dit. Fatigué je me suis endormi avec pour consolation le fait que la douceur de ma chemise de nuit me plaisait sur mon corps entièrement glabre. Décidément linsouciance de la jeunesse était bien utile.

Mes journées de soubrette

Le lendemain fut aussi une journée détude. Elle maida à mhabiller, vérifia que mon serre taille était suffisamment serré et mappris à faire la cuisine, à nettoyer les meubles. Je ne devais manger que lorsque la table de mes maîtres soient desservis et que la vaisselle soit faite. Je navais même pas le droit de grignoter et bien sur lorsque je mangeais cétait froid. Evidement je mangeais moins et je devenais de plus en plus mince pour le grand plaisir de Marie qui adorait me prendre les mesures Poitrine-Taille-Hanche.

Plusieurs jours passèrent et ma formation devenait de plus en plus relax comme si je dépassais leurs prévisions et que jétais doué dans mon nouveau métier, soubrette et esclave de ce couple.

Cela faisait deux mois que je me faisais appeler Marissa et je navais toujours pas trouvé de moyen de méchapper. Par contre jétais bien perçu par Jim et Marie qui était plutôt cool avec moi. En effet je travaillais dur pour maintenir propre cette grande bâtisse et javais quune seule hâte le soir mettre ma chemise de nuit et retirer mes talons aiguille !. Chaque nuit par contre jéchafaudais un plan pour méchapper et petit à petit jy arrivais. Jessayais dêtre le plus performant possible, de faire des efforts pour féminiser ma voix, pour être le plus obéissant afin quils acceptent de me prendre pour aller faire des courses ou que je sache ou ils gardaient leurs clés. Pour ce qui était de téléphoner cétait inutile, ils avaient des portables et il fallait le code pour chaque utilisation. Par contre ce qui minquiétait cétait mon corps. Mes seins commençaient à pousser, mes hanches à déborder alors que javais perdu du poids et mes fesses de sarrondir pour devenir un appel au viol ! Je ne pouvais même pas compter sur le facteur vu quil déposait le courrier à plus dun kilomètre de là mais petit à petit jaccumulais les renseignements qui me permettront un jour de méchapper. Cette nuit là, mort de fatigue, jétais en train de rêvasser sur mon lit, songeant à ma future évasion et aussi à la chance que javais davoir été kidnappé mais dêtre toujours en vie. Bien sur je devais vivre en femme mais au fond je métais habitué et je devenais même coquette. De plus je nétais jamais brutalisé tant que jobéissais bien aux ordres. A ce moment la porte de ma chambre souvrit, je navais pas la force de soulever mes paupières mais une respiration puissante me fit comprendre que ce nétait pas Marie mais Jim qui entrait ainsi pour la première fois dans mon intimité.

Jallais lui demander ce quil désirait lorsquil me dit

-« Bonsoir Marissa vous allez être une bonne fille et rester calme ». Pendant ce temps sous mes yeux horrifiés il déboucla sa ceinture, déboutonna son pantalon et sortit sa queue. Je navais jamais eu loccasion de voir une bite daussi prés dautant plus que celle-ci était énorme !. Je ne savais pas quoi faire et jai donc choisi de lui obéir c’est-à-dire de ne pas bouger. De sa grande main il entoura sa queue déjà bien droite et se mit à se caresser. Je ne mettais jamais moi-même branler car mes pulsions sexuelles nétaient pas très fortes mais je savais quand même ce quil faisait. Gêné dêtre si prés, doucement, je commençais à mécarter pour rejoindre lautre coté du lit mais je fus arrêté par un ordre

-« Ou comptez vous aller jeune fille ? Revenez immédiatement ! ». Javais peur car il appuyait beaucoup sur le mot « jeune fille » et je craignais quil abuse de moi mais jétais bien obligé dobéir et me rapprochait.

-« Plus prés ». Je me suis rapproché du bord en évitant de le regarder.

-« Plus près ». Mon cur se mit à battre violemment. Je hurlais dans ma tête mon dégout dêtre aussi faible et de devoir obéir ainsi. Je bougeais de nouveau et je sentis sa queue me touchait le coté de la tête. Mon Dieu protégé moi !

-« Cest bien Marissa vous êtes une bonne fille ! Tournez la tête vers moi et regardez moi dans les yeux ». Ce que je fis bien sur et il commença à me passer le bout de sa bite sur mon visage comme une légère caresse. Je retenais mon souffle en espérant quil ne me demande pas de le sucer. Dune main il continua à se branler et de lautre il rejeta mes draps me dévoilant entièrement dans ma jolie chemise de nuit rouge couvert de froufrous et de mignons petits nuds en satin. Stoïque je ne pouvais quattendre, ce que je fis. Je me rendis compte brusquement quil accélérait le rythme de sa branlette et daprès les grognements qui sortaient de sa bouche il allait éjaculer sur mon visage ! Cétait la honte absolue ! Lhumiliation suprême !

-« Oh Princesse comme vous êtes belle dans votre mignonne chemise de nuit. Humm vous me plaisez beaucoup ! Ohhh ! Yeah!!!!. Il poussa un long gémissement, sarrêta de se caresser et éjacula sur mon visage! Sa bite était juste au niveau de ma lèvre supérieure et je reçu le première giclée visqueuse par surprise et je dus en avaler un peu. Je fermais les yeux sur limage dun homme la tête en arrière et le corps tendu ventre en avant et éjaculant par longue rafale sur moi.

Soudain le silence me surpris. Jouvris un il, lautre étant fermé par une rafale de sperme. Jaurais voulu menfuir dans la salle de bain pour me laver mais jétais paralysé par la peur. De sa grande main il appuya sur mes joues pour que jouvre la bouche

-« Ma petite Princesse va avaler le sperme de son maître chéri » mannonça til en promenant son doigts sur le sperme étalé et le portant à ma bouche. Il refit cette opération jusquà ce quil ne reste rien. Je déglutissais sans dire un mot, les yeux fermés, anéanti par la honte et le dégout. Lui par contre ne voyait que mon obéissance et pensait il peut être que cela me plaisait !. Jeu beau déglutir plusieurs fois le gout salé continuait à imprégner ma bouche ! Je le vis se rhabiller sans un mot et partir, pour lui je nétais quun prostitué de plus. Je me mis à pleurer prenant soudainement conscience que même ma chemise de nuit faisait de moi une femme. Je laidais en soubrette toute la journée et jallais lêtre en prostitué la nuit. Jamais plus je ne serais un homme ! Sans même me laver je sombrais dun coup dans un sommeil profond.

Le matin je me levais comme dhabitude et allait à la salle de bain. La peau de mon visage me tirait et en regardant de plus prés je vis des traces de sperme séché partout. Je me lavais en frottant bien fort et comme chaque matin pour suivre les ordres de Marie je me parfumais et me maquiller avant de rejoindre ma chambre. Comme dhabitude Marie me choisissait ma tenue pour la journée et je retrouvais le tout sur mon lit. Jespérais quaprès cette nuit je naurais à porter quune simple tenue de bonne avec des talons presque plat, ce qui arrivait parfois mais je dus déchanter. Sur un cintre trônait une incroyable robe rose courte faites de dentelles, de ruban et semble til un mélange de satin et de mousseline ! Sur le lit deux jupons très mousseux, un soutien gorge et un porte jarretelle fantaisie ainsi que des bas roses. Au pied du lit des escarpins avec talon aiguille de 10cm. Manifestement le choix était voulu par Marie pour que jexcite son époux !. De bonne je passais à pute !. Je mécroulais sur le sol et me mit à sangloter de désespoir. Marie qui devait écouter à la porte pénétra dans le pièce et en chemise de nuit se pencha sur moi

-« Que se passe-t-il Marissa ? Vous vous êtes fait mal ? ». Il ma fallu quelques secondes pour sortir un « Non » peu convaincant.

-« Tant mieux alors dépêchez vous de vous préparer vous avez le petit déjeuner à faire ».

-« Sil vous plait Madame je ne veux pas être une fille, je ne veux pas porter cette robe trop excitante pour votre mari ». Javais réussi à faire parler mon cur mais mal men a pris. Je fus saisi par les cheveux, ma tête repoussait en arrière et je reçu plusieurs magistrales gifles de la part de ma Maitresse.

-« Vous êtes vraiment une petite fille ingrate ! Je suis outrée alors quon fait tant de chose pour vous ! Maintenant vous allez pouvoir pleurer pour quelque chose ! ». Elle mavait pris le bras, lavais tordu dans le dos, sétait assis sur le lit et me mit sur ses genoux. Sans attendre les coups se mirent à pleuvoir à toute volée.-« Arrêtez de gigoter cela ne fait quaggraver la situation ! Cest ainsi que vous me remerciez ! Une jolie chambre ! Des vêtements magnifiques ! Vous vivez dans une maison au grand air, très agréable et on veut demande seulement un peu de nettoyage et quelques câlins pour mon mari, mais non cest encore trop! Décidément les jeunes filles ne savent plus remercier les personnes qui les accueillent si gentiment ! »

-« Je suis désolé Miss Mary ! Vous avez raison ». Jessayais de parler à travers mes cris et mes pleurs.

-« Marissa, vous mavez déçu et je crois que je vais prendre rendez vous avec mon ami le médecin pour vous faire castrer la semaine prochaine. Cela vous calmera cest sur ! ». A cette nouvelle dans ma tête je me suis mis à crier Oh Non! Oh Non ! »

-« Sil vous plait Madame Pas la castration ! Je vous promets dêtre gentille avec votre mari ! Sil vous plait »

-« Trop tard jeune fille ma décision était prise. Manifestement ce sexe vous perturbe et vous empêche dêtre féminine à 100%. Je vous avais prévu en février, je ne fais quavancer la date. Vous verrez que plus tard vous me remercierez ! ». Elle avait cesse de frapper en disant cela et me caressait doucement mes fesses brulantes. Jaimais cette main qui apaisait ma douleur et je me détendis.

-« Maintenant habillez vous avec cette magnifique robe et aller nous préparer le petit déjeuner » mordonna telle dune voix douce.

Une fois la porte fermée je me jetais sur le lit et me mit à crier dans mon oreiller afin que personne ne mentende ! Je nen revenais pas ! Etre castré! Mais que pouvais-je faire? Me suicider ne pouvait être que le seul échappatoire mais mon désespoir nétait pas assez fort. De temps en temps javais des plaisirs en faisant mon travail, jaimais bien aussi sentir mes seins lourds bougés dans mon soutien gorge ou simplement le vent qui sengouffrait sous ma jupette lorsque jétais dans la cour. Une suite de petit plaisir qui me faisait sentir vivante. Résigné, les jambes flageolantes, je mis mon panty, mon soutien gorge, les jupons et tout de suite après la robe afin déviter de penser. Attaché mes escarpins fut difficile vu lépaisseur des jupons. La prochaine fois je mettrais mes escarpins avant ! Toujours mon envie de bien faire et daméliorer quelque soit la situation ! Jétais incorrigible ! Une fois fait je fis le nud dans mon dos avec le large ruban et me dirigeais vers ma coiffeuse pour me maquiller. Je me vis, les larmes aux yeux dans le miroir, la robe de satin avec ses manches bouffantes, sa couleur rose, ses dentelles et ses multiples rubans aurait plutôt convenu à une petite fille de 5 ans allant assister à un mariage ! Je finis mon maquillage, mis mes nombreux bijoux, mes boucles doreille et me dirigeais vers la porte sans oublier de mettre mon bonnet dentelé rose qui sattachait par un large ruban sous le menton.

La maison était calme et jai commencé mon travail. Je me haïssais dêtre aussi soumis car jessayais de mappliquer pour faire un petit déjeuner parfait pour celui qui mavait éjaculer au visage hier soir et pour celle qui mavait fessée et voulait me castrer ! Mary arriva la première

-« Ce bacon sent très bon Marissa ! Et les petits pains sont croustillants comme je les aime ! Cest super Marissa ». Elle me parlait comme si de rien nétait et je répondis de même

-« Très content que cela vous plaise Madame ». Je me serais giflé ! Jim pénétra dans la pièce et sassit sur sa chaise habituelle. Honteux dans ma tenue petite fille je baissais la tête pour lui demander rituellement comme chaque jour

-« Puis je vous servir du café Messier ? ». Cette fois ci il attendit quelques secondes avant de répondre tout en me regardant. Cela me parut une éternité !

-« Oui Merci jen prendrai un petit bol. Vous êtes très attirante dans cette tenue Marissa ! On dirait une petite fille mais vu votre âge ce serait plutôt une petite fille aguichante et vicieuse ! » Il éclata de rire

-« Seriez-vous vicieuse Marissa ? » demanda til en souriant.

-« Oh non Messier ! » affirmais je choqué, immobile devant lui

-« Dommage ! Que cela ne vous empêche pas de me servir ». Ce que je fis en mexcusant.

Jétais soulagé lorsque le petit déjeuner fut fini. Jallais enfin pouvoir commencer mon vrai travail, le nettoyage et le dépoussiérage de cette vaste maison. Malheureusement ce jour là, à chaque mouvement de mon corps le bruissement des jupons et mes fesses bien à lair me rappelait que jétais devenu un objet sexuel en même temps quune soubrette. Par contre je navais pas imaginé ce qui se passa le soir même.

Soubrette la journée, suceuse de bite le soir

Nous étions le soir, le repas sétait bien passe, javais fini la vaisselle et mapprêtait à aller me coucher car comme chaque soir jétais très fatigue. Travailler dans les champs ne devait pas être facile mais surement plus facile que le mien : 14 heures par jour de travail sur des talons aiguilles la plupart du temps !

-« Marissa chérie quand vous aurez fini venez me voir dans ma chambre sil vous plait, jai besoin de votre aide comme jeune fille pas comme soubrette rassurez vous ». La demande de Mary était demandée si gentiment que je ne pus mempêcher de répondre avec empressement

-« Bien sur Madame jarrive »

Elle quitta la cuisine pour monter dans sa chambre tandis que jattendais quelques minutes faisant semblant de finir mon travail. Enfin je me décidais et montait les marches précipitamment pour bien faire sentir à ma patronne que jétais heureuse de laider « en tant que jeune fille ». Je noubliais pas quelle mavait pas reparlé de la castration et si je me montrais plein de bonne volonté peut être changera telle davis. Arrivé devant la porte je frappai poliment.

-« Entrez donc ma chère ! ». En ouvrant la porte je maperçu que Mary était en train de se déshabiller. Jeu le temps dadmirer ses magnifiques seins si fermes. Elle sen aperçu et me signala

-« Oh ne vous inquiétez pas vous en aurez aussi des aussi beaux et même surement plus gros ! ». Cétait dit dun ton léger, me rappelant les piqures dstrogènes chaque semaine et les pilules de tout les jours et il est vrai que cela faisait déjà de leffet. Mary passa une somptueuse chemise de nuit et sinstalla confortablement dans son lit, plusieurs oreillers sous la tête et se mit à lire. Perplexe jattendais lorsque le bruit de la douche me rappela que surement Jim allait arriver. Étais-je là pour lui ? Inquiet je demandais

-« Excusez moi Madame mais comment pourrai je vous aider ? »

-« Oh je suis désolé Marissa, vous devez être fatigué venez vous asseoir à coté de moi en attendant ». Attendre quoi ? Je nosais pas lui demander mais jétais reconnaissant de pouvoir reposer mes pieds. Je massis donc précautionneusement à ses cotés. Jai pu entendre la lumière de la salle de bain séteindre et Jim arriva dans la chambre, entièrement nu et sans un mot se coucha. Mary se releva et me prenant par le poignet me fit faire le tour du lit. Jim nous regardait avec une drôle de lueur dans les yeux.

-« Ma petite Marissa vous allez me rendre un grand service, vous allez faire une fellation à mon cher Jim. Vous savez ce quest une fellation je suppose ? ». « Bordel de merde oui je sais ce quest une fellation salope ! » cétait ma réponse dans ma tête. Javais appris à me taire. Je répondis la voix tremblante

-« Hum oui Madame je sais »

-« Cest bien ma chérie tu verras cest très facile, tu montes sur le lit, tu rampes sur tes genoux entre ses cuisses et tu noublie pas de le regarder dans les yeux ! Cest tellement plus excitant ainsi nest ce pas chérie ? ». Jai fermé les yeux et en tremblant je montais sur le lit et mavançait comme elle me lavait demandé. Je posais mes mains sur les cuisses poilues de mon maitre et attendit, son pénis au repos à quelques centimètres de mon visage.

-« Cest bien ma grande, penche la tête et prend cette magnifique queue dans ta belle bouche » et en disant cela calmement sa main sappuya sur ma nuque. Je suivis le mouvement sans résister. Ma bouche toucha sa queue qui se mit dun bond à grossir. « Oh non ! » me disait mon cerveau affolé mais en réalité jouvris la bouche et engloutis son gros sexe qui continua de grossir. Cétait doux et chaud et propre puisquil sortait de la douche me trouvais je comme excuse devant ma lâcheté.

Sa queue continua à grossir et emplit rapidement ma bouche. Ma mâchoire me faisait mal mais mon souci de bien faire aidant jessayais de ne pas le toucher avec mes dents. La main de mon maitre avait remplacé celle de Mary qui tranquillement était retourné se coucher et lire son roman. Jim appuyait sur ma tête et ne me laissait pas le temps de souffler. Impossible de parler, je ne pouvais que geindre pour montrer mon désarroi. Toujours niché entre ses cuisses jai pu soulever une main pour montrer que jétais au bord de lasphyxie. Il relâcha la pression quelques secondes et changea de tactique en me baisant comme si ma bouche était une chatte.

-« Tes lèvres bien serrées ! Aspire bien ! Oui cest bon ! Oh tu as bien fait de thabiller comme une petite fille cela mexcite ! Oui aspire bien ! Caresse mes couilles ! » Il me prodiguait des conseils et comme un abruti je mexécutais immédiatement pour bien lui plaire. Mary interrompu sa lecture pour mexpliquer

-« Cest bien Marissa, tu comprends maintenant pourquoi tu le suce. Sa queue est bien trop grosse pour ma bouche et toi tu as lair davoir de sacré disposition ! Tout à lheure je vais pouvoir baiser et cela durera plus longtemps pour mon grand plaisir. Mon mari est un peu obsédé et il aime bien les petites filles. Dorénavant plusieurs fois par semaine tu seras chargé de le dégorger. Jespère que cela te convient ? Une queue comme celle là cest rare non ? ». Pendant que dans ma tête je hurlais mon désaccord Jim commença à frémir et avant que je ne puisse réagir se met à remplir ma bouche de son sperme chaud. Sachant ce qui mattendait javalai immédiatement le flot qui arrivait par saccade, cela mévitera de lavaler froid comme la nuit dernière. Mary tout en me regardant avaler le sperme reprit la parole pour me signaler

-« Au fait chérie ne vous levez pas pour le petit déjeuner demain matin car vous devrez être à jeun pour la castration. Nous avons rendez vous demain matin. Faites attention Marissa vous laissez couler du sperme sur les draps ! Vous ne voulez pas que je vous punisse la veille dun événement aussi important tout de même ! ». La bouche pleine je cherchais ma respiration tout en essayant de digérer ce quelle mavait annoncé ! Mon cerveau était annihilé, KO.

-« Allez avaler chérie. Voila cest bien. Il faut nettoyer maintenant ». Et de sa main sur la nuque elle me remit entre les cuisses de Jim et me demanda de tout lécher. Ce que je fis consciencieusement. Je me sentais vraiment femme avec mes seins qui tremblotaient dans mon soutien gorge et mes grandes et lourdes boucles doreille qui se balançaient à chaque coup de langue. Je me suis aperçu avec horreur que javais du plaisir a avoir fait cet effet à mon maître. De soubrette jétais devenu amante et je me promis de ne pas manquer une occasion de lui montrer que je laimais. Jaimais mon bourreau ! Javais oublié mon rendez vous de demain ! Mary maida à me remettre debout et memmena jusquà la porte. Jétais de nouveau seul.

Castration et retour à la maison

-« Alors jespère que ma princesse a fait de beaux rêves ? » Cétait Mary qui venait me réveiller. Encore endormi je regardais le réveil : 4 Heures et soudain tout me revient. Anéanti devant mon destin je la laissais mhabiller dune robe légère à fleurs et me voila dans la voiture. Avant de partir elle me menotta les mains dans le dos, me mit la ceinture, un bâillon boule dans la bouche et une cagoule pour ne pas voir le trajet. Le trajet fut très long et seulement rompu par la monotonie du moteur et la radio en sourdine. Je ne pouvais croire que cela allait marrivé et inquiet je préférais me rendormir. Je fus réveillé par Mary qui me secouait. Nous étions arrivés dans une sorte de garage sous sol. Nous montâmes au deuxième ou je vis une pancarte signalant « Madame Judith Lovelli Obstétrique et Gynécologie ». Mary me remit aux mains dune infirmière très jolie qui mentraina dans une pièce. La elle me défit les menottes mais en me prévenant quil valait mieux pour moi être une petite fille obéissante. Je compris le message car javais aperçu un malabar dans le couloir. Toujours avec mon bâillon je dus me déshabiller entièrement. Par pudeur je cherchais à cacher mon sexe mais aussi ma poitrine qui devenait vraiment volumineuse. Je ne savais plus que faire lorsque je fus entrainé dans une grande salle ou une deuxième infirmière mattendait. Sans un mot elles me firent mallonger sur une table métallique très froide et attaché aussi bien le torse que les bras. Dans cette position inconfortable je dus patienter jusquà larrivée dune dame en blouse blanche, la doctoresse surement vu son air sérieux et lempressement soudain des deux infirmières. On me courba la tête en arrière quon fixa avec une sangle et mes pieds furent mis dans des étriers me laissant ainsi les cuisses grandes ouvertes. Jentre aperçu des linges quon posait sur moi, une aiguille qui me piquait au bras puis plus rien. Je ne repris conscience que dans une autre pièce. En vérité je mis plusieurs secondes avant de comprendre que cétait ma chambre et que jétais de retour à la maison. Retrouvait ainsi un endroit familier, fusse la maison de mes bourreaux, fut pour moi un réconfort, je me sentais bien dans cette maison, habillé de ma chemise de nuit préférée et blotti dans mes draps. Je me rendormis..

-« Eh bien Princesse vous avez bien dormi ? » Cétait la voix de Mary. Je levais les yeux pour la trouver au dessus de moi, tout sourire.

-« Oui Madame merci ». En disant cela je maperçu que ma voix était devenu bien plus aigue que dhabitude. Je me raclais la gorge et recommençais

-« Hum oui Madame ». La voix était toujours haut perché. Je venais de comprendre avec horreur. Mary voyant la terreur se répandre sur mon visage me caressa les cheveux gentiment et confirma

-« Jai demandé au médecin de modifier un peu tes cordes vocales, cela va tellement mieux avec ton nouveau corps et tu ne mueras plus puisque tes ridicules boules sont parties. Cest bien mieux ainsi ma chérie ». Elle me disait cela calmement me souriant malicieusement.

-« Debout jeune fille il est lheure. Le petit déjeuner ne va pas se faire tout seul nest ce pas ». Elle avait repris son ton de Maîtresse.

Une fois partit, je me levais pour me dirigeait vers la salle de bain. Il me fallait absolument savoir ce quils mavaient fait. Une fois tout nu je constatais avec soulagement que ma petite queue était toujours là mais en tâtant je maperçu que je navais plus de boule ! Ma bourse était plate et vide et je navais pas de pansement seul deux petites incisions prouvaient bien que jétais passé sur une table dopération. Jamais plus je ne pourrais être un homme, un père, plus jamais ma queue ne se dresserait toute droite même toute petite lorsque cela marrivait jétais fière. Jétais condamné à rester une fille et à rester au service de mes maîtres car que pourrais-je faire dans le monde extérieur ? Pute ?

Vingt minutes après ma crise de nerf et mes pleurs jétais maquillé, habillé dune sobre tenue de soubrette et en train de préparer le petit déjeuner pour mes patrons. Je navais plus de place dans le monde extérieur et je mappliquais pour les satisfaire.

Jeu ensuite pendant mes taches de nettoyage tout le temps de repenser à ma situation. Elle était relativement simple : jacceptais ma situation ou je devenais fou. Je devenais fou et cétait la mort assuré car bien sur il était hors de question pour mes maîtres de memmener à lhôpital ou simplement me virer donc le mieux était de tout faire pour devenir indispensable afin de rendre agréable la situation dautant plus que je me plaisais en femme, jaimais mes seins, mon petit cul bien ferme, mes hanches larges, je me sentais belle avec mes longs cheveux bouclés qui me descendait jusquà mi dos lorsque je les relâchais. Je voyais bien le regard des ouvriers de la ferme lorsque je les croisais dans la cour !. Ma décision prise une étrange paix menvahit, jallai laisser tous mes ressentiments, toutes mes humiliations pour ne voir que le plaisir dêtre soubrette dans cette grande maison sans avoir à me battre pour gagner ma vie. Jétais reconnaissant à Mary et Jim de ce quils avaient fait pour moi. Le soir même entre les jambes de Jim je lui prouvai tout mon amour en le léchant, en le faisant gémir, en marrêtant puis en lavalant dun coup pour bien le pomper. Je me mis à bien étudier son visage pour apprendre à devenir la meilleure suceuse de bite quil na jamais connu. Je menhardis même à passer ma main sur son ventre et en remontant en allant pincer ses tétons crispés. Du coin de lil je voyais que Mary était intrigué de me voir ainsi si professionnelle. A cet instant je me sentais fier dêtre Marissa, la jolie et douce jeune fille qui faisait bander son patron !

Le lendemain matin je pus constater que ma décision doublier Marc et dêtre Marissa avait tenu bon et cest dun pas léger que je me dirigeais vers la cuisine pour préparer le petit déjeuner. Jallais faire plaisir à mes patrons et jétais heureuse. Durant la journée je me pris plusieurs fois à penser au soir ou jallais

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