Mais il se vide toujours et sa liqueur part en longs jets qui s’élèvent et retombent sur la robe de Stéphanie.
Le sperme dégouline aussi le long de sa gorge et inonde la vallée située entre ses seins aux tétons durcis.
— Excuse-moi, Stéphanie ! Quel beau spectacle mais tu m’as tellement bien travaillé que je ne me suis plus contrôlé. J’ai peur que ta robe soit foutue !
Les jumeaux sont arrivés eux aussi au plaisir et reprennent leur souffle.
Stéphanie, une fois remise, s’acharne à déshabiller son invité. Elle reprend l’initiative :
— Bien les enfants ! Maintenant que vous êtes bien échauffés, il faut faire honneur à notre invité. Approchez-vous ! Il ne vous mordra pas ! Vous aussi, les garçons ! Profitez de cette occasion peut-être unique de voir et même de toucher un tel engin !
Patrick avait doucement débandé mais l’organe reste quand même impressionnant.
— Mon Dieu ! Constate Béa. Regardez les garçons ! Même au repos, sa bite est plus grosse que les vôtres !
Ils sont vexés mais ne peuvent que constater. Les filles s’emparent de leur nouveau jouet qui frétille de plaisir dans leurs mains. Il s’allonge… S’allonge… Mais surtout l’épaisseur du chibre devient monstrueuse.
— C’est pire que sur la vidéo ! Constate Célia. Mon minou ne pourra jamais l’avaler !
— Ne t’inquiète pas ! La rassure sa mère, tu verras que ton vagin est très élastique et absorbera quand même sa poutre !
Filles et garçons prennent en main à tour de rôle ce bélier hors-norme. Les jumeaux constatent qu’il n’y a que leur majeur qui arrive à toucher leur pouce autour de cet engin peu commun.
Pour eux, c’en est trop et ils laissent définitivement leur place aux jumelles.
Elles doivent déployer toute leur jeune science pour sucer une telle gourmandise mais si la bouche arrive avec difficulté à absorber le gland trigonocéphale, leur bouche n’est pas assez profonde pour en goûter tout la longueur. Elles doivent se contenter que de la moitié.
Tour à tour, se passant le relais, elles essaient pendant près de dix minutes de le faire jouir mais n’y arrivent pas.
Patrick prend enfin la parole :
— Je suis venu pour vous, les filles, mais vous acceptez aussi que votre maman en profite ?
— Bien sûr ! Rétorquent-elles en cur. Maman vient !
Stéphanie se dévêt et les rejoint après lui avoir passé un préservatif XXL, elles sont les trois sur le bord du divan, les jambes en l’air lui présentant trois vulves épilées.
Il commence par goûter chaque source de plaisir, aspirant les clitos, en titillant les bourgeons. Les jumelles mouillent énormément, gémissant de bonheur sous ses caresses labiales mais ses deux mains s’égarent souvent dans les chattes orphelines de sa langue.
— Eh les hommes ! Je n’ai qu’une bite et un petit coup de main serait le bienvenu ! Léo, occupe-toi de ta femme et les jumeaux, vous vous relaierez pour les jumelles !
Ils ne se font pas prier et chaque tenon trouve sa mortaise.
Mais Béa se rebiffe quand il place le monstrueux engin contre sa gaine de velours et qu’il s’enfonce lentement dans son conduit serré. Elle grimace, couine devant l’intrus:
— Aaaaaaaahhh ! Qu’il est gros !
Le membre pénètre et ressort de quelques centimètres puis replonge encore plus loin en elle.
Elle hurle encore en grimaçant les yeux serrés puis se met à râler de plaisir mêlé de douleur.
— Aaaiiiieeee !!!Putain ! Vas-y doucement ! Oh ouiii !!
Il commence des allers-retours lents puis de plus en plus rapides, modelant ce corps encore juvénile à la taille de son organe.
Elle gémit de plus en plus fort attirant les regards de sa sur et de sa mère. C’est la première à atteindre l’orgasme. Elle se cabre et explose.
Un violent orgasme l’emporte toute entière dans un océan de jouissance qu’elle n’a encore jamais atteint.
— Ouiiiiiiii ! Ooooooh putain ! C’est ça l’orgasme ? Ouiiiiiiiii ! Je ne savais pas que c’était aussi violent !
Elle vient d’avoir son premier véritable orgasme. Ce qu’elle avait connu avec les jumeaux et Léo n’avait rien de comparable à la puissance de sa jouissance.
Elle revient peu à peu à elle. Ses muscles vaginaux se contractent encore indépendamment de sa volonté. Mais elle ressent comme un manque et réalise le vide dans son bas-ventre.
Patrick a pris la place d’un jumeau et tient sa sur par la taille pour s’enfoncer lentement en elle.
Celia prend un grand bol d’air et retient sa respiration quand le monstre la pénètre doucement, elle écarquille les yeux tellement la douleur est douce, sa chatte avalant le pieu de chair centimètre par centimètre.
Un cri :
— Ooouuuiiiii ! Puis après un instant de silence :
— C’est un peu douloureux mais c’est si booonnn ! Quel morceau ! Mamaaannn !
Il donne un violent coup de reins s’enfonçant en elle et la pilonne comme un métronome, ses coups de butoir la font décoller du divan à chaque fois que la verge défonce le fond de sa grotte.
— Ouaaaaaaaaaaaaaaaaaah le pied ! Nnoooooooooooon ! Oouuuuuuiiiii !
Il la laboure plusieurs minutes et elle découvre l’odeur et le goût de l’Amour, une saveur et un parfum puissants qui dépassent tout le reste. Elle le ressent avec tous ses membres, toutes ses fibres, tous ses nerfs, et ne fait plus qu’un avec lui. À ce moment-là, elle cesse de penser.
Léo c’est déjà vidé dans la chatte de Stéphanie et les jumeaux ont pour la deuxième fois vidé leurs burnes, les trois hommes regardent maintenant la copulation de Patrick.
Il accélère le mouvement, laissant penser à Célia qu’il va jouir, elle voudrait qu’il jouisse !
Et cette idée « inconsciente » déclenche en elle d’immenses vagues de plaisir.
Tous ses muscles sont tétanisés et sa vulve se contracte frénétiquement autour du braquemart, comme pour le retenir. Elle n’a plus aucun contrôle, lui griffant le dos en criant de toutes ses forces.
Mais il la quitte pour plonger son bélier dans le sexe maternel délaissé par Léo.
Stéphanie n’est pas une oie blanche mais l’introduction de ce gourdin si épais la ramène à la jeune fille innocente qui vient de perdre sa virginité.
La maman découvre les sensations de cette pénétration nouvelle pour elle et se délecte de cette masse de chair si massive digne d’un festin de reine, de cette verge incroyablement bandée.
Elle veut l’engloutir en totalité. Elle veut se rassasier de cette hampe luisante de cyprine de ses filles sur toute sa longueur.
Il la travaille lentement la faisant monter dans les tours. Elle hurle de toutes ses forces.
Ce n’est pas les 23cm de cette verge et son épaisseur inusitée qui la font décoller mais la science de cet homme à savoir si bien en tirer le maximum.
La bite s’enfonce régulièrement dans son abricot à une vitesse lente mais pénétrante. Depuis qu’ils sont tous à forniquer, il est le seul à ne pas avoir montré un signe de ralentissement.
— Alors ma chère ! Suis-je à la hauteur de tes espérances ? L’interroge-t-il.
Il glisse dans la gaine encore souple. Elle se retient tant qu’elle peut tellement c’est bon, ne voulant pas partir sans lui. Elle aime bien sentir une bite qui se vide en elle mais elle sent inexorablement le plaisir monter en elle, comme un feu qui la brûle lentement.
Il la pilonne à toute vitesse, déchaînant son plaisir qui dure… dure.
Elle s’impatiente, attendant qu’il l’inonde de sperme, mais ce n’est pas un homme comme les autres.
Elle attend encore en ouvrant la bouche et il comprend son désir. Elle veut sa queue et son jus dans la bouche pour le partager ensuite avec ses filles qui viennent de prendre ses couilles dans leurs mains pour les caresser.
— Aaaaah ! Bande de salopes ! Aaaaah ! Je vais juter ! Attention cette fois !
L’avertit-il en retirant le préservatif de son manche gonflé et le présentant à cinquante centimètres du visage de Stéphanie.
Ses filles ont vite réagi et encadrent de leur tête celle de leur mère.
Les trois premiers jets de sperme sont si copieux et puissants qu’ils sont suffisants pour inonder totalement la bouche et le visage de Stéphanie. Mais l’étalon éjacule encore et encore.
Chacun de ses « Aaaah ! » précède un bon jet de semence épaisse et grumeleuse qu’il dirige d’une main ferme sur les visages des jumelles.
Son orgasme se prolonge aspergeant les femelles insatiables de son jus… Les jumelles qui étaient trop occupées tout à l’heure découvrent avec effarement le pouvoir éjaculatoire sidérant de cet homme. Elles n’ont jamais vu un homme décharger autant et avec une telle force.
Des filaments de jute dégoulinent de leurs cheveux, le long de leur visage pour goûter sur leur poitrine. Les derniers jets qui se sont écrasés entre les seins de Stéphanie dégoulinent au fond de cette vallée.
— Sainte-Mère ! S’écrie Célia. C’est bien mieux que sur la vidéo ! Il en avait dans les couilles le quinqua !
(À suivre)