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Fanny, chaude maman et belle-mère – Chapitre 7

Fanny, chaude maman et belle-mère - Chapitre 7



Le voisin arrive à la villa. Fanny l’accueille, il parle un peu de tout, il demande des nouvelles de son mari et des deux jeunes adultes. Fanny lui répond gentiment en passant sa langue sur ses lèvres. Déjà, le voisin a du mal, vu la tenue de la maîtresse de maison. En effet, Fanny avait mis un haut qui ne cachait pratiquement pas sa poitrine ; et bien sûr, comme d’habitude, elle avait mis des bas, un porte-jarretelles, et une jupe assez courte ouverte sur le devant où elle avait fermé que deux boutons sur les quatre. En croisant les jambes, Fanny laisse une vue sur ses magnifiques jambes et sur ses bas.

Ça va mieux avec ta femme ? lui demandais-je.

Ça ne va pas spécialement mieux… elle est toujours aussi froide et distante…

Je m’inquiète !

C’est parce que tu es un homme bien, dis-je, en posant ma main sur sa cuisse.

C’est la vie… et donc avec Thérèse, vous n’avez pas fait l’amour depuis longtemps ?

Non, depuis plusieurs mois maintenant !

Je ne vais pas te laisser comme ça !

Elle lui sort le sexe et elle commence à le branler, bien sûr, il ne tarde pas à bander.

Fanny, il ne faut pas… je ne veux pas être un homme infidèle !

Infidèle à qui ? Une femme laide et qui te rejette !

Fanny se met à genoux devant lui et continue à le branler délicatement.

Pourquoi vouloir rester fidèle à ta femme alors qu’elle te méprise, et moi, j’ai envie que tu me sautes ?

Parce que nous sommes mariés !

Attends que je te suce ; tu en auras rien à foutre de ton mariage !

Elle avale son sexe d’un coup, le gobant presque à fond, et commence à le sucer, mais il se retire alors en criant :

Non, Fanny !! Arrête, c’est mal !

Il se dirige vers la sortie !

S’il te plaît, attends.

Quoi ?

Regarde au moins ce que tu refuses à avoir…

Debout dans le salon, elle commence à retirer ses vêtements. Elle retire son haut. Puis elle baisse sa jupe blanche. Elle est nue au milieu du salon, les jambes écartées pour mettre en valeur son sexe épilé. Elle masse ses gros seins pour exciter son voisin. Il se fige complètement en la voyant et ne peut s’empêcher de regarder son corps.

Tu… tu es absolument superbe… mais…

Il se précipite alors sur elle et commence à bouffer la chatte de Fanny. Il enfonce sa langue et suce les lèvres de son clito. Il se relève pour lui rouler une pelle.

Prends-moi par les cheveux et baise-moi la bouche !

Il ne se fait pas prier pour le faire.

J’ai envie de ta queue !

Obéissant, il met Fanny à quatre pattes sur le canapé et enfonce sa queue dans sa chatte.

Putain, c’est bon. Continue, baise-moi !

C’est extraordinaire !! Tu mouilles tellement…ça passe tout seul !

Ce n’est pas comme avec l’autre frigo de Thérèse !

Stephen surgit avec son téléphone, et disant, terrifié, il remonte son pantalon et Fanny feint la surprise en se couvrant les seins.

Qu’est-ce que tu fais là ?

Ça se voit, je filme !

Arrête !

Je vais encore filmer ma mère à poil et le voisin !

Petit connard.

Tu n’es pas en position de m’insulter, tu retournes baiser ma mère !

Jamais !

Alors je vais montrer cette vidéo à ta femme !

D’accord, mais ne dis rien ?

Allez, baise-la cette sale pute !

S’il montre cette vidéo, on est foutus. Ne fais pas attention à lui, et baise-moi !

Il la pénètre d’abord timidement puis plus franchement.

Tu m’excites depuis longtemps, maman… regarde !

Stephen sort son sexe de son pantalon et le lui montre fièrement. Il fallait que Fanny joue l’étonnement, pourtant, elle avait envie que d’une chose : c’était de se faire pénétrer par son fils.

Stephen, range ça tout de suite !

Roger, le voisin, met Fanny à quatre pattes et la pénètre à nouveau.

Maman, tu es superbe !

Je t’en prie, Stephen, arrête de te branler ! C’est mal.

Allez, Roger, encule-la !

Il commence à l’enculer et cela rentre comme dans du beurre.

Putain, ça rentre tout seul !

Tu n’es pas le premier à l’enculer, et papa ne t’encule pas, je crois !

Non, c’est faux.

Ne parle pas comme ça de ta mère ! me dit Roger.

Parce que c’est une salope, et je vais te le prouver !

Stephen approche son sexe de la bouche de sa mère.

Suce-moi, maman, je sais que tu en as envie.

Tu veux ma grosse bite dans ta bouche ?

Il frottait son gland sur les lèvres ; en temps normal, Fanny l’aurait avalé. Mais avec Roger qui était là, elle n’osait pas, pourtant Fanny en mourrait d’envie.

Fanny, empêche-le de faire !

Tu n’as pas compris qu’elle en meurt d’envie !

Fanny, tu ne vas pas sucer ton propre fils ?

Elle cède et gobe la queue de son fils et commence à sucer goulûment !

Regarde Roger, elle adore ça !

Fanny léchait et pompait le sexe de son fils avec un grand plaisir.

Stephen a raison, tu es une salope, la pire des chiennes !

Ma mère est une nympho avide de sexe, elle sera toujours d’accord pour baiser !

Roger, prends ma chatte ; et toi, mon chéri, viens m’enculer !

Ils la baisaient comme cela pendant 20 minutes, puis les deux hommes lâchent leur purée sur le visage de Fanny.

Roger leur dit :

Putain, c’est la meilleure de ma vie !

Stephen, je peux te faire confiance, tu gardes la vidéo cachée ?

Du moment que tu gardes le secret de maman, Danny et moi !

Parce que tu baises aussi avec ton beau-fils !

Pas que mon fils et Danny, mais plein d’autres mecs aussi !

Roger une fois parti, mère et fils éclatèrent de rire et elle dit à son fils :

Tu as une bonne idée, je crois que tu l’as traumatisé !

Oui, maman ; mais ce n’est qu’un début !

Comment ça !

Tu verras ; maintenant, tu feras ce que je te dis, tu es ma chienne !

Oui chéri, je suis ta chienne.

Fanny accepte tous de son fils, mais avait peur ce qu’il avait prévu pour elle.

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