Le lendemain matin, ma mère arriva dans la cuisine alors que je préparais le repas du midi. Elle vint se coller à moi par derrière et membrassa dans le cou :
« que fais tu mon chéri ? »
« ça te branche un pique-nique ce midi ? »
« super idée ! où allons nous ? »
« je sais pas, on trouvera bien tinquiète »
Il faisait un temps magnifique, nous partons en voiture vers larrière pays, javais bien une idée mais rien de certain. Au bout de 30mn de route, je trouvais ce que je cherchais, un coin reculé au bord dune route où personne nallait jamais, et à quelques mètres, des arbres qui faisaient de lombre et surtout qui nous cacheraient déventuels promeneurs. Mais je nétais guère inquiet car nous étions hors vacances scolaires et en pleine semaine. Je stoppais la voiture sous un arbre et nous nous dirigeons vers le coin que javais repéré. La route était en contrebas ce qui faisait que personne ne pouvait nous voir, les arbres nous donnaient de lombre, nous étions seuls. Je plaçais une couverture sur lherbe et je me mis en maillot tandis que ma mère fit de même, se retrouvant en maillot 2 pièces qui moulait son opulente poitrine. Je la matais avec gourmandise et elle sen aperçut :
« tu les aimes hein ? petit salopiaud !!! regarde comme ils sont beaux »
Elle les caressa à travers létoffe, les soupesa. Je ne répondis rien et mallongeais sur la couverture, elle sinstalla à coté de moi. Je sentis sa bouche sur mon oreille, sa langue me faisait frissonner. Je tournais la tête et happais sa langue, ma bouche engloutit la sienne comme si jallais lavaler. Elle recule en riant :
« gourmand va ! »
« dis que tu naimes pas ! »
Elle ne répondit pas et enroula sa langue autour de la mienne. Je dégrafais son haut de maillot, libérant ainsi sa poitrine gonflée. Je glissais une main sur un sein. Elle soupira :
« mmmmmmmmmmhhhhhhhh !!! »
Mes doigts jouait avec son téton qui durcissait sous la caresse. Puis je glissais ma main sur son ventre et mes doigts se faufilèrent sous son maillot, allant à la rencontre de sa toison. Je glissais un doigt dans sa fente déjà mouillée et cherchait son point G, jarquais mon doigt en elle pour titiller cet endroit. Elle jeta sa tête en arrière :
« mmmhhhh ! mais cest génial !!! tu fais ça si bien !!! »
Je glissais un autre doigt, ce qui la fit gémir encore plus. Elle se redressa, enleva son bas de maillot et se mit sur moi en 69. Elle tâtait ma bosse, jouant avec mon sexe à travers le tissu. Jécartais ses lèvres et glissais ma langue dans sa chatte pour aller et venir en elle comme avec mon sexe. De son coté, elle me libéra de mon maillot et engloutit ma verge avec vigueur. Ma langue la fouillait avec ardeur, je sentais sa mouille inonder ma bouche et couler sur ses cuisses.
« tu aimes ce que je te fais ! hein ma salope de maman ? »
Elle me répondit tout en me masturbant
« oh oui mon amour chéri ! tu fais ça si bien !!! »
Elle me repris en bouche, sa langue jouant sur mon prépuce. Elle gémit de plaisir :
« je jouis ! vas y, ne tarrête pas !!! oui cest bon !!! ouiiiiiiiiiiiii !!! »
Elle eut un premier orgasme. Mais cela ne lui suffisait apparemment pas et à moi non plus. Elle se redressa, pivota sur elle même pour se mettre face a moi et sempala sur ma bite luisante de sa salive. Elle eut un râle en sentant mon gland toucher le fond de sa cavité utérine. Je la tins par les hanches tandis quelle allait et venait sur moi. Ses seins ballotant sous mes yeux, ma bouche sempara dun téton, ma langue joua un moment avant de soccuper de lautre. Nous faisons lamour longtemps, Je la faisais stopper ses mouvements quand je sentais que jallais venir. Elle eut ainsi plusieurs orgasmes de plus en plus rapprochés. Elle me complimenta :
« tu es un véritable étalon ! je ne sais pas qui ta apprit tout ça mais cest génial ! je nai jamais connu tant de plaisir dans les bras dun homme, pas même avec ton père ! »
« cest normal maman, tu mexcites tant ! jai envie de te faire jouir pour te prouver à quel point je taime ! »
Sa bouche avala la mienne. Mes mains empoignèrent ses globes charnus que jaimais tant, ses globes durcis pas la jouissance. Après un moment, elle jouissait à nouveau puis elle déclara forfait en roulant sur le coté et en respirant bruyamment :
« je suis morte, tu mas tué !!! mais comment fais tu petit coquin ? »
« pardonne moi mais tu es tellement belle, tu mexcites à un tel point que jai juste envie de te donner du plaisir ! je taime maman ! »
« moi aussi mon amour, moi aussi je taime, et moi aussi je veux te donner du plaisir ! viens là, viens sur moi »
Je minstallais à califourchon sur elle et glissais mon pieu entre ses seins quelle tenait serrés lun contre lautre. Elle me branlait avec sa poitrine, me regardant avec un petit air coquin.
« tu aimes mes seins hein ? vicieux ! obsédé ! cochon !!! »
A ces mots, je ne pus me retenir plus longtemps et je me libérais sur sa poitrine, giclant mon sperme sur sa bouche, son visage , son cou et ses nibards. Elle avala toute la semence qui se trouvait à portée de langue et étala tout ce quelle avait sur elle avec ma queue. Quelle cochonne !
Je restais un moment a ainsi sans bouger puis je me redressais. Nous avions apporter de quoi nous laver et après un brin de toilette nous avons remis nos maillots et nous avons mangé. Rassasiés et épuisés, on sendormait sur la couverture, il ny avait que le vent les oiseaux et la nature autour de nous. Nous étions tranquille. Je me réveillais 2h plus tard, la tête de ma mère sur mon épaule. Elle reprit ses esprits un peu plus tard et voyant que je la regardais elle sourit.
« à quoi penses tu ? » me dit-elle
« à des coquineries ! des choses peu avouables ! »
« ah ! tu veux pas me raconter ? je pourrais peut être taider qui sait ! »
Ma mère avait décidément le chic pour assouvir tout mes fantasmes.
« jaurais voulu savoir ce que toi tu aimerais, car depuis quelques temps nous nassouvissons que mes désirs et rien dautre ! tu en as peut être ? »
« oui mais ils ne sont guère avouable eux aussi ! et peut être que tu ne voudras pas ! »
« je ne peux pas le savoir si tu ne me dis rien »
« ok mais tu risques d’être surpris je te préviens ! »
« ah ? tu attises ma curiosité »
« eh bien jaimerais faire lamour avec 2 hommes »
« quoi ? cest tout ? »
« ben cest déjà quelque chose ! tu imagines si javais dis ça à ton père ? »
« oui daccord mais là cest à moi que tu en parles, et jai peut être la solution »
Sans le savoir, ma mère allait réaliser mon phantasme en même temps que le sien. Elle eut lair étonnée :
« tu voudrais ? tu connais quelquun hein ? vicieux va ! »
« oh oui je veux, et je connais quelquun ! et je suis certain que la personne en question acceptera »
« qui est ce ? je la connais ? »
« oui tu la connais bien ? cest quelquun de la famille ! »
« décidément ! qui ? dit moi ne me fait pas languir »
« ma cousine Josie »