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fantasme culinaire – Chapitre 1

fantasme culinaire - Chapitre 1



Le maitre d’hôtel entre en poussant une table roulante sur laquelle une magnifique jeune femme rousse est attachée. Ses cheveux, réunis en une savante coiffure, font une couronne flamboyante au-dessus de sa tête et un contraste magnifique avec sa peau laiteuse parsemée de fines tâches de rousseur.

Les bras liés le long du corps, paumes vers le ciel, les chevilles attachées aux cuisses pour maintenir ses jambes fines très écartées.

Sur sa poitrine menue mais ronde, des cercles du même métal que celui autours de son cou et ses poignets entourent ses seins et forment 2 coupes dans lesquelles ont été déposée de la crème chantilly parsemée de morceaux de fraises, de framboises et de pêches.

Sur son ventre plat, un éblouissant tableau coloré composé de fruits et légumes représente une soumise en posture de présentation.

Dans ses mains sont déposées des coupelles de sauce dont une légèrement pimentée.

Sur chaque sein se trouvent deux baguettes reliées par des élastiques qui enserrent ses jolis tétons.

Il nous faudra donc les détacher afin de s’en servir pour saisir les aliments.

Le maitre d’hôtel sort, nous laissant seuls, mon épouse, la sublime femme-uvre d’art et moi.

Dans un premier temps, nous n’osons pas toucher à cette merveille qui est pourtant offerte à tous nos désirs. Voilà deux ans maintenant que je préparais ce moment et, maintenant que je peux faire ce que bon me semble, je n’ose pas. Je reste subjugué par la beauté de l’ensemble, ému jusqu’aux larmes que ma douce amie ait accepté de se plier à ce petit jeu, que ma femme soit complice de cet instant magique.

Presque timidement, je m’approche et ma main passe sur sa joue, fait le tour du bâillon-boule qui obstrue sa bouche, descend dans son cou et remonte dans ses superbes cheveux roux.

Je me penche vers elle et lui dépose de doux baisers sur le front et les joues.

De l’autre côté et simultanément, mon épouse fait de même et je ne peux contenir quelques larmes de joie, de bonheur, d’émotions variées.

Pour la première fois depuis que je la connais, mes mains et ma bouche s’égarent doucement sur ce corps somptueux et en suivent toutes les courbes, les creux, les lignes élancées qui sont accessibles.

Mes mains glissent sur ses bras, suivent les épaules jusqu’à son cou fin et délicat, redescendent vers son ventre en effleurant l’extérieur de ses beaux seins ronds, effleurent ses flancs puis, arrivées aux cuisses, les contournent pour venir se poser sur les fesses, sublimes et rondes et finir leur route sur les chevilles si fines.

Ses petits gémissements étouffés par le bâillon ne me conviennent pas, me frustrent, donc j’ôte celui-ci et dépose un tendre baiser sur ces lèvres douces et délicates immédiatement suivi par celui donné par ma tendre compagne.

Je prends délicatement les baguettes afin que nous puissions commencer à déguster tout ce qui nous est ainsi offert. Un léger gémissement accompagne la délivrance de ces superbes mamelons lorsque le sang se remet à circuler librement mais aucun mouvement ne vient troubler le magnifique ordonnancement des aliments.

Cette peau douce et veloutée attire les baisers, les caresses et, tout en piochant de petits morceaux croquants ou fondants de légumes, de fruits, que nous partageons avec notre complice, nous la mettons à jour pour mieux y accéder.

Le premier morceau qui m’attire est une fine carotte que je trempe dans une des coupelles de sauce avant d’en croquer un bout.

Mon épouse se prend elle aussi au jeu et se met également à grignoter quelques morceaux de fruits et de légumes non sans en profiter pour chatouiller ou caresser quelques zones sensibles de notre « hôtesse ».

Notre excitation augmentant, les caresses et baisers se font plus précis, plus langoureux, plus sensuels et celle-ci se transmet naturellement à notre superbe amie. Les morceaux de fruits et légumes ne vont plus seulement dans les coupelles pour gagner d’autres saveurs mais également dans les orifices naturels de notre «table humaine ». que ce soit avec des baguettes ou avec nos doigts, tout est propice à faire monter le désir de chacun.

Par jeu, je trempe les légumes dans la sauce pimentée avant de les frotter sur le petit clitoris totalement érigé. Ses gémissements, soupirs et tremblements sont autant de signes révélateurs du plaisir que nous lui apportons.

Bien entendu, nous partageons à trois ce festin végétarien aux saveurs parfois marines, parfois sucrées mais toujours délectables.

N’y tenant plus, je pose mes doigts sur la fleur épanouie qui s’offre à nous et caresse, effleure cette orchidée sauvage. Chaque morceau de légume suffisamment ferme pour pénétrer cette fontaine d’élixir féminin y passe maintenant systématiquement jusqu’à ce que j’aille me servir directement à la source. Entre deux morceaux de fruits, je lape, je lèche ces pétales ouverts pour me repaitre de leur saveur douce.

Une fois les fruits et légumes consommés et les traces de chantilly léchées proprement, nous nous repaissons uniquement de ses fragrances intimes, de la saveur de son plaisir directement à la source chacun notre tour.

Après une ultime jouissance, je détache ma douce amie et, avec une huile de massage parfumée, nous massons délicatement ses membres ankylosés avant de l’aider à descendre de la table et se mettre debout.

Pour la première fois depuis qu’elle est entrée dans la pièce, Stéphanie s’adresse à nous et nous remercie pour le plaisir que nous lui avons donné. Elle nous fait toutefois part de sa frustration de n’avoir pas pu nous rendre la pareille et surtout, nous dit-elle avec son regard de louve en chasse, de n’avoir pas été physiquement comblée, emplie.

Avec un regard de connivence avec ma chérie, elle s’approche de moi, m’enlace puis se laisse descendre le long de mon corps.

Je sens ma chérie se coller derrière moi et passer ses mains le long de mes hanches pour défaire ma ceinture ainsi que les boutons de ma braguette aidée en cela par la superbe rousse agenouillée maintenant à mes pieds. Ces deux coquines font alors descendre mon pantalon et libèrent mon membre tendu depuis le début des agapes. Ma douce pose ses mains sur mes yeux et je sens une langue courir, virevolter sur ma hampe puis des lèvres douces et mouillées se serrent sur mon gland.

Une langue mutine le lutine, les lèvres commencent à descendre pour finalement réussir à me gober entièrement. Les mouvements de la langue sur ma verge m’amènent aux portes de la jouissance mais cette coquine veut autre chose. Elle s’allonge à nouveau sur la table mais les fesses au bord de celle-ci et m’invite à la pénétrer.

Un regard vers mon épouse me confirme son accord muet et je pénètre enfin cette douce chair que j’ai caressée et léchée tout à l’heure.

Les doigts de ma chérie viennent se poser sur ses seins mais à la demande de notre incandescente rouquine elle se déshabille et vient poser sa tendre minette sur la bouche de celle-ci.

Me voici donc en train de besogner une femme qui est en train de lécher la mienne.

Je crois être arrivé au paradis.

Quelques minutes auront suffi pour que nous accédions tous trois à un fabuleux plaisir, une jouissance rarement atteinte.

Le maitre d’hôtel, discrètement, vient nous faire signe que établissement ferme et qu’il est temps pour nous de nous séparer.

Comment ne pas être heureux d’avoir pu enfin rencontrer réellement cette amie que je n’avais jusque là vue qu’en photo ou vidéo mais avec qui je discutais depuis des années sur internet.

Et ce soir, nous avons pu réaliser tous les trois certains de nos fantasmes : mon épouse voulait pouvoir toucher, caresser une femme à sa disposition, Stéphanie souhaitait être femme objet et jouer avec des légumes et moi je voulais la faire jouir, lui apporter du plaisir en réalisant ses fantasmes et voir ma femme s’occuper d’une autre.

Une soirée de rêve. A moins que ce ne soit le rêve d’une soirée. Qui sait ?

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