Le lendemain matin, alors que les rayons du soleil pénètrent dans la chambre à travers les lames des volets, je suis réveillé par une étrange sensation.
Ma femme est en train de me sucer la bite tendrement, tout doucement comme j’aime.
Je fais mine de ne pas me réveiller, elle me pompe alors de plus en plus fort, en aspirant de toutes ses forces mon gland.
Ce traitement me fait vite arriver au bord de l’extase, j’éjacule alors en plusieurs jets puissants qui d’habitude finissent dans les draps, alors que la Catherine aspire et avale tout goulûment, je l’entend m’aime susurrer "MMMM c’est bon, donne moi tout, j’aime ton foutre".
La journée débute bien, je suis heureux de voir les changements de pratique sexuelle de ma femme.
Je me rendors alors quelques instants, à mon réveil j’entends ma femme qui prépare le café dans la cuisine. J’enfile un caleçon et je descends dans la cuisine, je trouve ma femme uniquement vêtue d’une petite culotte. Encore un truc inhabituel pour elle.
Je lui souris lui dis bonjour en l’embrassant tendrement, sa bouche à encore le gout de mon sperme, elle me sourie. Je ne relève pas la chose, par contre je luis dis que j’ai fais un sacré rêve érotique ce matin, je rêvais qu’elle s’occupait de ma queue pendant que je dormais, ceci à pour effet de faire reprendre vigueur à mon chibre.
Elle sourie et me propose alors un bon café, elle me sert en prenant bien soin de venir se frotter contre moi, je lui glisse alors une main baladeuse sous la culotte. En temps normal, elle n’aime pas ça, surtout le matin et me repousse immédiatement. La, elle se laisse faire, je fini par la doigter sauvagement alors qu’elle gémit de plus en plus.
Je la porte sur la table, devant moi, je suis à hauteur de sa chatte toute mouillée, elle me supplie de la baiser comme une pute.
Encore une nouveauté pour elle, elle me demande de la baiser comme si elle était ma pute, elle me lance "allez baise ta pute comme tu veux, bourre moi la chatte, doigte moi le cul, bouffe mes seins".
Je ne me fais pas prier et le pistonne comme une brute, le vagin d’abord, puis je la retourne sur la table, lui écarte les jambes et l’encule d’un coup, elle crie "Oui, oui, fort, bourre moi le cul, défonce moi comme une pute".
Ses mot décuple mon désir, je sors de son cul, la retourne de nouveau et lui attrape les cheveux pour attirer sa bouche à ma queue, elle l’avale entièrement, je lui prends alors la tête et la baise comme un fou.
Elle gémit elle bave, elle s’agrippe à mes fesses, je sens ses doigt au bord de mon anus qu’elle écarte au maximum, dans un cri de jouissance j’éjacule dans sa bouche, mais cette fois c’est moi qui dirige l’opération, je maintien sa tête pour garder ma bite au plus profond de sa gorge, elle avale une nouvelle fois tout mon jus, elle finie même par me nettoyer la bite minutieusement, non sans me fourrer un doigt dans le cul, elle termine en me remerciant et en me disant "ta bien baiser ta pute, c’est cadeau ce matin, c’est gratuit."
Nous déjeunons alors en parlant de choses et d’autre, mais au fond de moi, je me demande bien ce qui a pu changer chez elle, pour qu’elle accepte finalement maintenant tous mes fantasmes.
Je me lance et lui demande "dis chérie, comment se fait-il que tu accepte maintenant d’avaler et de baiser comme ceci le matin, en plus je sais bien que c’est toi qui me suçais tout à l’heure dans le lit, non pas que je n’aime pas tout ceci, bien au contraire, mais jusqu’à présent tu étais plutôt pas très chaude pour ces trucs?"
Avec un large sourire elle me répond "tu n’aime pas ta nouvelle femme-pute, si tu veux jarrête tout."
Je lui réponds que non, j’adore ça et ne veux plus que cela change, elle me dit alors "et bien c’est OK, on continue, on pourra même peut être tout réaliser…"
Elle me tourne le dos et s’en va à la salle de bains me laissant une nouvelle fois sans voix, et plein d’interrogations.
La journée passe, en début d’après midi, le téléphone sonne, ma femme décroche, je comprends que c’est Marie.
Elles parlent de banalité, du menu de ce soir, il semble que Marie se propose d’amener le déssert, ce qui fait sourire largement ma femme, je ne comprends pas pourquoi, elle raccroche.
Je demande à ma femme "Qui était-ce?" elle me dit que c’est Marie et qui faut que j’aille chez elle de suite, car elle à une fuite d’eau. Bizarre je n’avais pas compris ceci, mais c’est vrai que je nentendais que les dialogues de ma femme.
Je me rends donc chez Marie non sans me réjouir que ce soit ma femme qui m’y envoi, je me dis que Marie à du inventer cette histoire pour me faire venir au plus vite afin de profiter de moi avant notre soirée à la maison avec ma femme.
Arriver chez Marie, le sonne, je lentends me dire d’entrer, j’avance dans la maison et la découvre dans son canapé à poil en train de se masturber avec un double gode vaginale et anale.
Cette vision me fait l’effet d’une décharge électrique dans le bas ventre, mon chiffre réagissant au quart de tour à la situation. Elle me dit "bonjour mon gros lécheur, je t’attends depuis un bon moment, viens remplacer ce gode j’en peux plus, prends moi comme une pute que je suis"
Décidément elles se sont donné le mot aujourd’hui, elle fantasme toutes sur le fait de faire les putes avec moi me dis-je.
Je me déshabille en deux temps trois mouvement et prend en main le gode, pour accélérer la cadence tout en léchant la chatte béante qui se présente devant moi. Je soulève Marie par les jambes, je suis debout, nous sommes en 69 mais debout, je bouffe le cul et la chate de Marie pendant qu’elle s’agrippe à ma bite en la suçant comme une folle.
Je sais par les confidences faites par Marie à ma femme qu’elle n’aime pas la sodomie, je me dis alors que je vais l’enculer directe pour lui apprendre à me chauffer comme ceci.
Je la remets alors dans le canapé à 4 pattes et présente ma queue contre son anus déjà bien mouillé par toute cette branle qu’elle s’est donné et par mon léchage en règle.
Elle me dit alors "oui encule moi, mais graisse moi d’abord"
Jamais une fille ne m’avais parlé aussi crument, cela m’excite encore davantage, je lui demande si elle a du lubrifiant.
Et la, ses paroles m’achève, je lentends me dire "prend du beure sur la table dans la soucoupe". En effet sur la table je vois une tablette de beurre déballée, je plonge deux doigts dans la beure qui est déjà mou, je lui enduis le cul, faisant pénétrer mes doigts au plus profond de ses entrailles, elle gémit déjà comme une folle.
Je m’essuie les doigts sur ses vêtements qui jonchent le sol, et j’enfourne ma bite d’un seul coup dans ce cul graissé pour l’occasion. Elle hurle de douleur, puis immédiatement se met à gueuler "Oh oui, encule moi, fourre moi le cul, graisse moi bien, encore, encore, fais moi mal".
Je l’ai alors limé comme un fou, le beurre fondu giclait à chaque fois que j’arrivais contre son cul, elle en demandait toujours plus, avec des mots tous plus crus les uns que les autres, ceci décuplait mon désirs, ses gros nichons ballotaient dans tous les sens, elle se mit à avoir des soubresauts, des spasmes, elle jouissait et me le faisait savoir en cirant "Je jouie, oh oui je jouie par le cul, c’est bonnnnnnnnnn".
Ceci eu pour effet de me faire partir aussi je me lâchais au plus profond d’elle, mes jambes flageolaient, c’est vrai que je nétais pas habituer à cette fréquence sexuelle.
Après quelques instant nous avons repris nos esprits, nettoyer l’endroit, puis je lui demandais ce qui lui avait pris.
A son tour, tout comme Catherine quelques heures plutôt elle me répond du tac au tac "tu n’aime pas ta nouvelle amante-pute, si tu veux jarrête tout"
Mis à part le mot "amante" employé au lieu de "femme" c’est au mot près les paroles de Catherine.
Une fois de plus je suis troublé, je l’embrasse goulument et la quitte non sans lui dire de ne rien laisser paraitre ce soir à la maison devant Catherine.
Elle me rassure en me confirmant qu’elle amènera le dessert, qu’elle venait justement de commencer à préparer.
Arriver à la maison, Catherine est sur la terrasse, elle me demande alors ce qu’il y avait, je lui réponds "oh rien une simple fuite à un robinet, j’ai resserré, c’est régler".
"Ah bon j’avais peur que ce soit sa chatte qui fuyait" me répond elle en continuant à lire sa revue.
Décidément ma femme à bien changé, mais tant que j’en profite, je ne suis pas contre.
Nous nous préparons alors pour la soirée, dans l’attente de l’arrivée de notre invitée, ma femme est habillée très sexi, je lui fais remarqué, elle rougie et me dit "A soirée spéciale, tenue spéciale…."
J’allais lui demandé ce que cette soirée avait de spéciale quand la sonnette de l’entrée retentie….
A suivre.