J’ai compris que me femme ne prenait pas cette histoire au sérieux et qu’elle n’était pas du tout amoureuse de lui. Mais quand même, et malgré le fait que j’ai marqué mon accord à sa venu dans notre maison, c’était dur à accepter.
Elle l’avait invité, ou peut-être s’était-il invité lui-même, à venir diner à la maison. Nous sommes lundi et je cogite. Je ne pouvais pas rester ce soir-là, ou si ?
En tout cas, mes hésitations font rire ma femme, ce qui a le mérite de dédramatiser la situation. Ce qui me stress le plus est de voir comment il s’y prend et j’ai peur de découvrir que je suis terriblement pas à la hauteur. Est-ce qu’il la fait crier ? Est-ce qu’elle prends un plaisir fou ? Pleins de questions viennent à moi, une chose est certaine avec moi elle ne crie pas et quand elle joui j’ai l’impression de la chatouiller, cela dure 5 secondes …
Mardi, ma décision est prise, jeudi j’irai trainer en salle de fitness, elle ferme à 22h00. Cette histoire qui m’avait excitée au début, ne m’amuse plus du tout, il y a un trou énorme entre le fantasme et la réalisation de celui-ci.
Le fameux jeudi venu, je passe directement du boulot à la salle, soirée sportive pour tout le monde ! Le deal était clair, elle allait menvoyer un texto quand il arrive et un autre quand il part.
En regardant ma montre et mon téléphone dans les vestiaires, je me rends compte qu’il a du retard… une heure, deux heures … Je l’appelle, pas de réponse. Je me rends illico à la maison en disant que je suis quand même un gros con.
J’ouvre la porte et je la vois sur le canapé seule.
— Il n’est pas venu ? dis-je
— Non, il a annulé à la dernière seconde, dit-elle avec un sentiment d’humiliation.
— Pourquoi ?
— Je ne sais pas, il avait un truc, un imprévu… mais c’est pas grave, je m’en fous, c’est un immature, me dit-elle en souriant cette fois-ci afin de me montrer à quel point cela ne l’affectait pas.
Nous allons nous coucher vers 0:30 quand soudain le téléphone retentis, un texto, étant plus vif que ma femme au réveil et faisant une chose rare, je lis le texto :
"toujours partante ?" Enzo …
Ma femme se réveille et le lis à son tour. Elle me demande si elle doit répondre, je dis non évidement, qu’il aille s’amuser avec d’autres. Elle pense que son coup du soir est tombé à l’eau et qu’il se tourne vers elle maintenant. Elle décide donc de répondre plutôt par vengeance et par amusement, jassiste à tout ça minute par minute.
0:35 – "Partante pour ? :-)"
0:36 – te faire baiser chez toi…
0:36 – non, j’ai un homme déjà dans mon lit
0:37 – et alors ? vire-le
0:38 – lol, t fou, il va dormir ou ?
0:39 – bin dans le salon 🙂
Soudain, ma femme réponds après quelques minutes :
0:45 – ta bite me manque
Elle me regarde et étant encore dans le fantasme, je commence à bander. Je sens son cur battre de plus en plus fort. La réponse d’Enzo ne tarde pas.
0:46 – arrête tu me fais bander, viens je suis dans ma caisse 🙂
Elle voulait vraiment y aller, je pris mon courage et je décide l’accompagner ! Elle s’habille et mets des vêtements hyper-sexy.
Je conduis ma femme au lieu du RDV, je suis en quelques sortes son bodyguard. Il monte dans ma voiture à l’arrière, ma femme y était déjà. En fait, elle s’était installé là depuis que nous avons quitté la maison. J’avais conduit ma femme en voiture pour se faire sauter !
Les présentations sont rapides, je lui sers la main et je reste au volant. Ils commencent à s’embrasser, à se caresser, se sentir, de manière tendre et un peu bestial à la fois. Il sens ses cheveux, elle se frotte à son torse. L’accouplement est proche. Je regarde. Ils sont toujours assis l’un à côté de l’autre.
La main de ma femme commence à caresser sa queue au travers de son jeans, on aperçois déjà la taille, et c’est vrai que je ne fais pas le poids. D’un geste lent et plein d’érotisme , elle le pousse un peu en arrière, et défait sa ceinture. J’avance un peu les sièges afin qu’ils aient de la place à l’arrière. Tout ceci dans un silence impressionnant.
Elle baisse son pantalon à mi-cuisse et colle son visage contre son boxer afin de sentir sa queue contre son visage. Le jeune homme est calme et il ferme un peu les yeux pour éviter mon regard. On évite de se regarder, étant tous les deux presque gênés. Finalement, il n’est pas aussi arrogants que ce que je croyais.
Et dans ce silence en plein milieu de la nuit, ma femme lui annonce, très timidement :
— Je vais te sucer.
Et là, j’explose. Elle sort sa queue, immense, au-moins 20 cm. Elle commence à donner des bisous dont le bruit sur la queue de ce jeune homme m’ont troublés et remplis dexcitation. Elle le suce en le regardant, elle aime ça, c’est interminable et je vais de surprise en surprise quand elle passe un coup de langue sur ses couilles. La mini-jupe qu’elle avait mis pour cette occasion commence à remonter à force de s’abaisser sur la bite de son petit copain et on voit la totalité de ses belles fesses. Elle portait un string blanc, magnifique.
— Viens sur moi. Lui dit-il.
On sens de la complicité, ma femme s’exécute et réponds en lui chuchotant dans l’oreille, sans doute par gêne par ma présence :
— Je veux te sentir en moi, ta grosse queue m’a manquée.
Elle s’écarte de son amant afin de retirer son string. Elle tends ses jambes et attrape la haut du string.
— Fallait pas en mettre un. Dit-il. Ils se sourit tendrement. Et là, je remarque que me femme m’ignore complétement. Plus tard, elle m’a avoué que cela l’a gêné, et que si elle m’avait regardé, le plaisir aurait été freiné.
Après avoir retirer son string, tout en gardant ses bottes noir en cuir à petit talon qui lui arrive à la cheville, elle le chevauche. La queue d’Enzo est bien humide et la chatte de ma femme trempée. Il la pénètre doucement tout en l’embrassant. J’ai aussi appris plus tard, qu’il faisait de la sorte à chaque fois, cette manière issue de leur premier accouplement, ou ma femme sentait des douleurs dues à sa grosse bite. Alors il l’embrassait pour faire passer l’engin.
Ma femme, celle avec qui je vis depuis 4 ans, à remonter sa jupe jusqu’à la taille, à retirer son string, en gardant ses bottes, est assise sur la bite d’un autre homme.
J’ai une vue de tout ce qui se passe. La queue est enfoncé à moitié, elle commence à bien la sentir, les va-et vient se font de plus en plus vite et de plus en plus profond. Ses deux mains sur ses fesses, il la baise à fonds. La voiture commence à bouger, elle soulève son pull et je vois qu’elle n’a pas de soutien.
— Lèche-moi les seins bébé.
— J’adore tes seins et ton cul.
— Moi j’adore quand ta queue est bien en moi, reste comme ça longtemps mon chéri, tu me rempli trop bien.
— Je vais jouir
— Moi aussi
Il a éjaculé en elle, elle a joui en poussant de petits cris et en agrippant à ses cheveux, ceci pendant presque une bonne minute, c’est interminable, elle a pris un plaisir immense, je ne l’ai jamais vu dans cet état. Ils restent un instant accouplés, elle se dégage et l’embrasse. Il remonte son pantalon et s’en va. Il a eu ce qu’il voulait, pourquoi devrait-il resté ?
Ma femme est complétement désorienté à l’arrière de la voiture, son string n’est même pas encore remonté. On dirait qu’elle a bu.
Pendant le trajet, je réfléchis, et j’ose enfin dire un mot :
— Vous ne mettez pas de capote ? Dis-je soudainement !
Aucune réponse. L’humiliation ultime. En fait, elle était toujours en extase…
Là connaissant, elle a du prendre toutes les précautions. Je l’espère. C’est juste une histoire de baise. Ils ne se voient que pour baiser, j’en ai la preuve. Cela va-t-il s’arrêter un jour ?