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Fantasme professionnel – Chapitre 10

Fantasme professionnel - Chapitre 10



Rosalie et Emmanuelle quittèrent les WC d’un pas décidé. Elles navaient plus quà sortir de l’hôpital et rejoindre Maître Pittet dans son cabinet ; malheureusement, cétait sans compter sur l’infirmier maître-chanteur. Celui-ci, ayant recouvré ses esprits, s’était lancé à la poursuite des deux femmes et beuglait des menaces et des insultes à tout-va à leur encontre.

Plus rapide, l’infirmier gagna rapidement du terrain et finit par rattraper Rosalie ; il la plaqua contre une cloison du couloir.

Maintenant, tu vas me donner tes photos, et plus vite que ça, salope !

Rosalie n’en menait pas large face à cet infirmier beaucoup plus grand et plus imposant qu’elle ; mais, au grand dam de l’homme, elle n’était pas du genre à se laisser impressionner. Et encore moins quand la personne qui tentait de l’impressionner l’insultait.

Si tu crois que c’est en m’insultant que tu vas obtenir quoi que ce soit, tu te mets le doigt dans l’il, pauvre impuissant !

Comment m’as-tu appelé, pétasse ?

Sur ces mots, l’infirmier gifla Rosalie sous le regard effaré d’Emmanuelle. L’homme allait recommencer à la frapper lorsqu’une voix se fit entendre :

Hé ! Qu’est-ce qu’il se passe ici ?

Les trois acteurs du pugilat se retournèrent et virent un jeune infirmier noir, plus petit que lagresseur, interloqué par ce qu’il voyait.

Retourne danser avec les petites vieilles, négro !

Tu te prends pour qui ? Je n’ai pas d’ordre à recevoir de quelqu’un qui s’abaisse à frapper une femme. Lâche-la, ou je te dénonce au directeur de lhôpital !

La menace sembla fonctionner puisque l’infirmier lâcha les épaules de Rosalie et tourna les talons sans mot dire. La jeune avocate eut alors une idée ; elle s’approcha de son sauveur et lui dit :

Merci pour votre intervention, Monsieur. Sans vous, je ne sais pas ce que ce malade aurait pu me faire.

Ne me remerciez pas, Mademoiselle : je n’ai fait que ce que pensais devoir faire. Vous savez, j’en avais assez d’entendre les infirmiers parler aussi mal du Docteur Perrin. Elle a la chance d’être jolie et haut placée ; et rien que pour ça, ils la considèrent comme une… chienne, comme ils disent.

Rosalie et Emmanuelle furent abasourdies d’entendre cela de la part du jeune infirmier, qu’elles croyaient jusqu’à ce moment aussi pervers et malintentionné que les autres.

Retrouvant sa lucidité, Rosalie demanda à l’infirmier s’il était disposé à témoigner en faveur d’Emmanuelle.

Si je peux rendre service à deux jeunes femmes aussi magnifiques que vous, c’est d’accord.

Très bien ; venez avec nous au cabinet de notre avocat : il se fera un plaisir de vous ajouter à la liste des témoins.

Après avoir débadgé pour prendre une pause, linfirmier se rendit avec les deux femmes au cabinet de Maître Pittet. À leur arrivée, Georges les accueillit de son habituel « bonjour » et leur demanda qui était leur mystérieux invité.

Nous avons eu quelques complications, Maître : l’infirmier que nous avons réussi à piéger s’est lancé à notre poursuite et aurait pu saborder tout notre stratagème si ce monsieur n’était pas arrivé à temps. Nous l’avons également convaincu de témoigner en faveur d’Emmanuelle.

Comment vous appelez-vous, Monsieur ?

Laurent Mouchamba, Maître.

Très bien. Je vais ajouter votre nom à la liste des témoins à charge.

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Donnant suite à lidée de Rosalie, Georges Pittet avait fait aménager la maison inoccupée quil possédait dans la vieille ville de Fribourg afin que Charlotte, son épouse, puisse sy livrer aux activités sadomasochistes quelle appréciait tant Faisant dune pierre deux coups, elle pourrait ainsi sadonner à ses penchants pervers de dominatrice, ce qui pourrait lui procurer en sus de discrets mais non négligeables revenus qui échapperaient à la fiscalité. Charlotte Pittet sétait laissée facilement convaincre, tant les avantages lui semblaient appréciables Elle officierait sous le pseudonyme de Maîtresse C.

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Le clocher illuminé de la cathédrale St Nicolas surplombait les façades gothiques des maisons bourgeoises dont certaines dataient du treizième siècle de la Basse-Ville, ce quartier huppé entouré dun méandre de la Sarine. Andreas W. arpentait nerveusement les ruelles, essayant de se dissimuler sous le parapluie qui le protégeait autant des regards des rares passants que de la froide pluie fine.

Des pensées contradictoires lassaillaient sans cesse : « Comment en suis-je arrivé là, moi, le bourgeois respectable, membre éminent du Conseil communal et président du Conseil dadministration de lune des plus grandes banques du canton ; moi, que les administrateurs ont surnommé "lImplacable" ? ».

Bien sûr, il y avait eu Meredith, cette gouvernante anglaise à qui ses parents avaient confié son éducation Une vieille fille sèche au visage sévère qui nhésitait pas à le châtier physiquement lorsque le garnement quil avait été dépassait les bornes de la bienséance. Andreas se souvient encore de cette correction magistrale quelle lui avait appliquée alors quil venait davoir 16 ans ; il faut dire quil lavait bien méritée : il faut avoir lesprit tordu pour dissimuler une crotte de chien dans une chaussure de sa préceptrice !

Sétant assise pour retirer sa bottine, elle découvrit létendue des dégâts Sa fureur éclata, lui faisant mêler sa langue maternelle au français :

Oh, my God Andreas, ici, tout de suite ! Youre such a pig ! You deserve Vous méritez

Penaud, les yeux baissés, ladolescent se tenait devant Meredith.

Apportez-moi ma badine, et vite !

Il comprit que la correction serait sévère Il sempressa daller chercher la fine baguette de bambou et la tendit à sa préceptrice. Celle-ci abaissa vivement le short dAndreas, entraînant du même coup son slip et, dune poigne assurée, le fit basculer sur ses genoux. La badine se déchaîna sur le fessier du garnement, zébrant son postérieur rebondi. Sous lavalanche de coups, ses jambes étaient agitées de soubresauts et il se mit à pleurnicher ; pourtant, la sensation de brûlure se transformait progressivement en une agréable chaleur qui envahissait insidieusement son bas-ventre. Il sentit sa petite verge devenir toute dure ; et plus les coups sabattaient sur ses fesses, plus une excitation jusqualors inconnue lenvahissait. De délicieux fourmillements faisaient vibrer son petit membre à présent décalotté, dont le gland glissait avec délectation sur le doux tissu de la robe de Meredith. Il fut brutalement submergé par une vague de plaisir qui le fit hurler.

Se méprenant sur la cause de ce cri, la sévère femme pensa quil était dû à un surcroît de douleur ; craignant dêtre allée trop loin dans sa punition, elle cessa de frapper Andreas.

Ça suffit comme ça. Jespère que vous avez compris !

Ladolescent se remit debout, sa petite verge encore agitée de tressaillements ; mais ce nétait pas cette modeste virilité que regardait sa tourmenteuse : son regard était fixé sur les taches blanchâtres qui maculaient sa robe.

Vous êtes abject, Andreas. À genoux !

Elle lattrapa derrière la nuque et plaqua son visage sur le tissu souillé.

Léchez, ignoble individu ; et en lapant votre immonde semence, vous répéterez « Je suis un porc » !

Ladolescent ne put quexécuter lordre qui venait de claquer. Cest tout dabord en hésitant quil pointa sa langue pour lamener au contact de son sperme encore tiède. La main de Meredith appuya plus fort sur sa nuque, mettant fin à ses hésitations. Sa langue sécrasa sur la substance gluante et, pour éviter de sétouffer, il fut forcé davaler une première lampée du liquide visqueux.

Je suis un porc

À chaque nouvelle gorgée, il répétait cette phrase comme une litanie et, curieusement, cette situation avilissante lexcitait de plus en plus ; sa petite verge sétait redressée, et cest avec plaisir quil continuait à lécher la robe de sa tortionnaire. Alors quil avalait les dernières gouttes de sperme qui engluaient sa langue, il ne put retenir une nouvelle éjaculation. Andreas venait de découvrir le plaisir de la soumission.

Dès lors, il neut de cesse de rechercher ce genre de situation avilissante. Jusquà présent, les rares dominatrices quil avait rencontrées navaient pu lui faire revivre la jouissance de sa toute première expérience. Ces professionnelles ne faisaient que simuler lautoritarisme, alors quil recherchait une domination non feinte ; cest pourquoi son attention avait été attirée par une annonce parue dans "Le Matin" : « Maîtresse C. vous fera regretter dêtre venu ! » Suivait un numéro de téléphone portable. Rendez-vous avait été pris et un mot de passe convenu.

Quartier de lAuge. Rue dOr. Une maison que rien ne distinguait des autres. Il appuya sur le bouton de linterphone.

Qui est-ce ?

Petit cochon.

Cétait le mot de passe. Un déclic, et la porte souvrit. Il se retrouva dans un couloir ; sur sa droite, une porte avec la mention « Salle dattente ». Il y pénétra. Sur une table basse, un masque de cochon accompagné dun feuillet manuscrit : « Déshabille-toi et mets le masque. À quatre pattes, et attends-moi. ».

Fébrile, Andreas se dévêtit ; une fois nu, il dissimula son visage derrière le masque et prit la position qui lui avait été indiquée. Dans cette posture, avec son gros ventre pendouillant et ses chairs flasques et roses, il ressemblait vraiment à un porc ; à un gros cochon, plus précisément. Il attendit. Longtemps, lui sembla-t-il Pressentant les plaisirs à venir, il se sentit envahi dune excitation malsaine et sa petite verge se raidit, masquée par les replis de son abdomen.

Au bout dun moment qui lui sembla une éternité, il perçut une présence. Dans le silence, une voix ricanante séleva :

Ça, un petit cochon ? Mais cest un gros porc ! Tu dois te sentir chez toi, dans le quartier de lAuge

Andreas sentit un collier enserrer son cou, puis le contact dun instrument froid sur son ventre, tentant décarter ses chairs blafardes pour dévoiler sa petite bite en érection.

Non, ce nest pas un gros verrat ; tout juste un jeune goret, si jen juge daprès la taille de ses attributs

À ces mots blessants, le bourgeois ressentit une bouffée de chaleur lenvahir. Les hautes fonctions et la position dominante quil assumait dans la société avaient besoin dêtre contrebalancées par une attitude de soumis. Et se soumettre à une femme était encore plus humiliant pour "lImplacable", surtout si cette femme était capable de lui faire revivre ses premiers émois sexuels.

Il tressaillit lorsquil lui sembla être un coup de cravache atteignit ses grosses fesses adipeuses.

Allez, mon gros porc ; suis-moi !

Il se sentit tiré par son collier vers une destination inconnue

[ à suivre ]

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