Par ce beau jour d’automne,je me préparais pour partir en ville faire diverses choses qui me prendraient une bonne partie de la journée mais cela se ferait sans ma femme caroline,une petite blondinette qui possède une jolie poitrine au formes généreuses. Elle décidais de rester chez mes parents pour défaire les valises car nous étions en vacances chez eux.
Je la prenais dans mes bras et l’embrassait à plein poumon,elle me repoussait gentiment et me disait de partir comme ça je reviendrais plus tôt.
Ma mère qui faisait des ménages à droite et à gauche en avait pour une bonne partie de la journée, était absente. Il ne restait que mon père qui lui était à la retraite et qui montait une maquette de bateau au salon.
Je lui demandais s’il voulait venir avec moi mais il refusait et préférait rester à la maison.
Bref me voilà parti et au bout de 4….5….kilomètres je m’apercevais que j’avais laissé mes papiers de voiture dans le salon et je fais donc demi tour.
Je me garais devant le portail qui est tout de même à plus de cent mètres de la maison,et courrais dans la cour rejoignant le palier de la porte d’entrée.
Je rentrais et fonçais dans le salon les récupérant sur le meuble mais la pièce était vide,la maquette à l’abandon sur la table..bizarre me dis-je ?
Puis un cri de caroline attirait mon attention alors que j’allais sortir.
Je décidais de monter en douce pour voir ce qu’il se passait et là je fus choqué et figé sur place par ce que je voyais.
Mon père avait plaqué ma femme sur le lit; il était à genou au dessus d’elle l’empêchant de pouvoir s’échapper.
Il avait déjà sorti son pénis tout mou qui venait tapoter le menton de ma femme et moi dans tout ça, je ne bougeais point,de toute façon il ne pouvait me voir de là où j’étais. Ma femme se faisait violer et je dois dire que c’était l’un de mes fantasmes le plus profondément enfoui en moi: d’en voir un ou de le faire mais là, j’avais la chance d’en voir un alors je ne m’en privais pas.
Mon père insultait caroline de petite salope qui méritait ce qui lui arrive et qu’il allait la mater.
Caroline se débattait et tournait la tète à chaque fois qu’il voulait lui enfouir sa verge bien molle dans sa bouche.
De ses deux mains mon père lui maintenait la tête bien fixe et essayait d’enfourner sa queue dans la bouche de ma femme, qui restait bien fermée.
Tu vas la prendre petite pute lui disait il très énervé…
Il lui pinçait le nez pour l’empêcher de respirer ce qui eut comme réflexe de lui faire ouvrir la bouche et il ne se fit pas prier pour enfourner sa verge dans sa gorge.
Caroline se débattait se servant de ses bras pour donner des coups mais mon père étant un ancien videur, cela ne lui faisait pas grand chose. Elle tentait également de donner des coup de pied dans le dos de mon père mais elle n’arrivait pas à l’atteindre et dans la lutte sa jupe se relevait à chaque tentative. On pouvait voir entièrement son collant chair et son string rose.
A entendre les bruits de succion,caroline devait encaisser un sacré morceau mais ce ne fut pas la longueur de son pénis qui me surpris mais son épaisseur,il devait bien faire 5 à 7 cm de diamètre.
La bouche de ma femme se déformait à chaque passage,les mains crispées de caroline serraient fort les draps du lit, mon père profitait de sa nette domination pour caresser chaque partie du corps de caroline et sa main descendait encore et encore jusqu’à atteindre la partie la plus intime de ma femme.
Mon père se mettait à frotter frénétiquement sa main sur la chatte protégée par le collant et string,caroline eut le réflexe instantané de serrer ses cuisses pour empêcher ce frotti-frotta violent.
OH putain je vais te défoncer salope,tu m’excites avec ton petit collant lui disait il !!!
Il se retournait de 180 degré d’un coup la bloquant toujours sur le lit,caroline pouvait respirer normalement dès à présent car la bite épaisse de mon père restant tendu au dessus du chemisier de ma femme. Après avoir écarte les cuisses de caroline,deux déchirements distinct résonnaient dans la chambre,elle se retrouvait la fente à l’air,le string tombant à coté du lit,elle eut à peine le temps de crier que la langue fougueuse de mon père s’enfonçait dans sa chair bien rose.
Il léchait tel un animal sauvage,il ne lui ménageait pas son clitoris qu’il étirait en le mordant et cela dura 5 bonnes minutes pendant lesquelles ma femme appelait de l’aide et lui demandait d’arrêter mais en vain.
Il se levait du lit pour enlever le peu d’affaire qu’il lui restait sur le dos et juste au moment où il faisait tomber son slip au sol,caroline tentait de s’échapper mais sans bouger il lui attrapait le bras et la faisait tomber à genou et sans qu’elle est le temps de réagir,il lui enfonçait sa verge violemment dans la gorge a tel point que ses testicules vinrent taper les lèvres de ma femme.
Il lui maintenait bien la tête et lui imprimait une cadence régulière,caroline essayait de s’extraire en poussant ses bras sur le torse de mon père mais niet.
Après plusieurs va et viens,il la relevait et la jetait sur le lit,il eut beaucoup de mal à lui faire écarter ses cuisses pour se glisser entre elles mais là ça y était.
Mon père tout excité lui parlait crûment….
Je le voyais frotter sa queue sur la fente très peu ouverte malgré le léchage en règle quelle avait subi quelques minutes auparavant.
Caroline se mit à hurler soudainement plus fort,l’énorme barreau disparaissait centimètre par centimètre puis il donnait un grand coup de rein pour la dominer totalement.
A chaque pénétration,il n’arrêtait pas de lui dire qu’elle était bonne puis il lui prit les jambes et les mettaient sur ses épaules. De cette manière il pouvait mieux contempler son sexe prendre possession de caroline. Elle était à bout de force et ses légères repoussades sur le ventre de son violeur ne parvenait plus à le freiner dans la pénétration.
Mon père commençait à râler et sorti sa bite illico et éjaculait à flot sur le ventre de ma femme qui pleurait depuis un bon moment,puis il s’essuyait son pénis ruisselant sur la fente de caroline.
Le sentant toujours raide,il se ré-enfonçait en elle et reprenait un rythme effréné la faisant hurler de douleur.
Mais au bout de quelques secondes,il criait sa nouvelle jouissance et restait bien ancré au plus profond d’elle,déversant le peu de sperme qu’il devait rester dans ses couilles.
Quant à moi je fus vite revenu à la réalité quand le réveil sonna et oui ce n’était qu’un pure fantasme que je venais de rêver…………..mais je fis l’amour à ma femme la surprenant dans son sommeil.