Ton corps svelte, tes mains, tes jambes, ton regard, ton sourire, tes yeux pleins de douceur, tes seins, tes fesses sont pour moi synonymes de beauté pure. Tes défauts sont qualités à mes yeux, tes qualités sont autant de plaisir(s). Toi seule sait m’apporter la tendresse qui fait que la vie vaut d’être vécue. L’érotisme puissant qui suinte par tous les pores de ta peau est le piment qui saupoudre de soleil ma vie de tous les jours et toi seule sait donner et recevoir sans limites caresses et jouissance extrême. Un lit, une forêt, une voiture, un couloir, un hôtel de passage, un salon, tous ces lieux sont propices à l’imagination débordante de tes fantasmes, un aéroport, une aire d’autoroute, de simples toilettes, un parking en plein air, tout est prétexte pour une quête d’absolu. Seule la recherche d’un plaisir partagé fixe une limite à nos plaisirs.
J’aime la façon dont tu sais me donner la douceur de ta bouche et de tes lèvres qui se posent sur ma peau, sur mes seins, sur mon sexe. La fugacité du plaisir quand la chaleur de ta bouche absorbe peu à peu le désir de ma queue jusqu’à exacerber un plaisir, à la limite de la douleur et de la jouissance. Effleurement de tes doigts sur mon sexe et mes bourses, plaisir sublimé par les mots qui peu à peu s’échauffent au fur et à mesure de ton excitation. Fouillis léger de tes ongles dans le méli-mélo des poils de mon sexe, tu sais exciter mes sens en partant de mes pieds, sucer mes orteils à loisir, remonter sur mes jambes, t’arrêter sur les points sensibles de l’intérieur de mes cuisses, griffer légèrement la peau pour varier les sensations, tourner autour de mes couilles dans l’attente de les prendre à pleine mains tandis que ta bouche revient sur ma queue, glisse sur la hampe jusqu’à ce que tes mains cèdent la place à ta langue, qui tourne, virevolte et les absorbe une à une, pour glisser plus bas, là ou tu sais encore trouver des zones puissamment érogènes. Ta langue à présent glisse entre mes fesses, lèchent le bourrelet et s’infiltrent enfin à l’orée de mon corps, ta salive humecte abondamment cet orifice de plaisir et de jouissance, jusqu’à ce que ton index, puis ton pouce s’enfonce en moi. Tu fouilles mes entrailles pour me faire bander plus fort, tes yeux pétillent en regardant ma queue qui se tend vers toi, tu l’absorbes à nouveau et la mâche doucement.
Je me tourne peu à peu sans que tu ne me quittes d’un millimètre, je me glisse entre tes cuisses et j’écarte tout doucement la corolle de ton sexe, tu es trempée par le plaisir que tu me donnes, ton odeur m’excite et je commence à te rendre tes caresses. Un doigt léger sur le bourgeon de ton clitoris t’envoie des myriades d’aiguilles de douceur et de jouissance et je te caresse ainsi, sans discontinuer, pendant de longues minutes. Ma langue à présent vient prendre la place de mes doigts qui s’enfoncent dans ta vulve détrempée. Ma bouche glisse sur ton clitoris, le lèche, le mâche ou l’agace d’une dent aiguisée. Je glisse à mon tour vers ton orifice le plus secret, caresse volée sur ton plaisir, jouissance fugace entre la honte, le désir de donner plus et la peur inexpliquée de cette offrande que tu sais me faire mais que tu crains. Au plus fort de ton excitation, c’est pourtant toi qui, un beau jour, m’offriras ton cul dans un geste érotique, obscène et amoureux. Nous faisons l’amour depuis de longues heures, j’aime retenir ma jouissance, savoir que ton plaisir va revenir, que ton excitation ne diminuera pas et que tes orgasmes ne sacrifieront qu’au choix de leur origine : exploser sous ma langue quand tu me regardes te lécher tout en me caressant moi-même, jouir sous mes doigts en ressentant les soubresauts de ma queue au fond de ta bouche, irradier ton plaisir en sentant les perforations de ma queue qui va et vient sans discontinuer au fond de ton ventre, qui continue à te baiser pendant que tu jouis de plus en plus fort, sans pouvoir t’arrêter, jouir sans me voir, allongée sur le ventre, les mains liées dans le dos, soumise, impuissante. Tu sens ma queue qui s’enfonce inexorablement dans ton sexe, qui te quitte, qui agace l’entrée de ton cul et revient enfin dans ton ventre. Jouir en te caressant, les jambes écartelées et mon cul écrasé sur tes lèvres qui me mangent. Jouir sous ma langue pendant que tu m’encules d’un doigt sensuel ou avec un sexe d’artifice avec lequel je t’ai caressé quelques instants plus tôt. Jouir, jouir, jouir et ressentir ta jouissance encore plus intense au moment où j’éjacule mon sperme entre tes lèvres, dans ton corps, sur tes seins, dans ta main que tu serres pour retenir cette explosion et venir me boire au fond de ta gorge. Je n’ai jamais fait l’amour avant de te connaître. Les corps que j’ai cru aimer se sont effacés dans la sublimation de notre plaisir.
Profiter d’une seule de tes caresses est aussi fort dans mon cour, dans mon âme et dans mon corps qu’un orgasme avec une autre femme. Je t’imagine me rejoindre dans la campagne proche de Paris, nous avons échangé une dernier e-mail pour savoir où nous retrouver et comment nous reconnaître. J’en ai profité pour te préciser que je souhaitais que tu viennes habillée d’un chemisier large qui laisse deviner une poitrine libre et accessible, un jupe ample qui laisse tes jambes offertes à ma convoitise. Tu as toi-même choisi de porter un porte-jarretelles noirs avec des bas assortis et un string très léger et trop grand pour toi. Tu sais que tu ne viens pour l’instant que pour donner et surtout prendre du plaisir. Tu ne peux t’empêcher de mouiller abondamment avant même d’arriver. Tu arrêtes ta voiture. Je suis déjà là, garé en bordure de la route. Tu t’apprêtes à descendre et je te fais signe de monter dans ma bagnole. Sans un mot, je t’embrasse et démarre. Tu me regardes toi aussi sans un mot. Je suis plus âgé que toi mais sans plus. Tu devines là une maturité dans les gestes de l’amour, tu l’espères. Tu me détailles. Les traits te plaisent, un corps sportif, forgé par de longues années d’Arts Martiaux te tente.
Je t’emmène au bord d’un lac en pleine nature. La nuit commence à tomber, nous sommes seuls. Je me tourne vers toi et te regarde. J’admire ta beauté, la finesse de tes traits. Tu me souris, je te souris. Je prends tes lèvres tout doucement, les effleure, les suce, les lèche, les mange. Ma langue joue avec la tienne et je commence à te caresser les joues, le cou. Je descends vers tes seins que je devine déjà tendus, les caresse au travers de l’étoffe fine de ton chemisier. Défaisant un bouton pour faire durer le plaisir qui s’installe, mes mains descendent sur ton ventre, se glissent plus bas entre tes jambes, que j’écarte. Je découvre avec plaisir la douceur de tes bas, remonte lentement en faisant crisser le nylon, atteint la chair nue. Tu frissonnes. Je n’ai aucun mal à parcourir ton mont de vénus, libre sous le string large. Je joue avec les poils délicats de ton sexe, écarte tes lèvres mouillées et frôle ton clitoris. Ta vulve est moite et gonflée. D’un mouvement très doux, je t’excite, te caresse en variant le toucher, la vitesse de mes gestes, je m’insinue en toi. Ta respiration s’accélère, ta main descend vers moi, ouvre ma braguette et sors mon sexe raide que nul sous-vêtement ne protège. Tu me caresses à ton tour, calquant le rythme et la force de tes gestes sur les miens. L’instant se prolonge, les caresses sont douces. Nous avons, l’un et l’autre à la fois, envie d’aller plus loin et de prolonger la jouissance de nos doigts. Je prends ta main pour te guider, puis sans prévenir, je la ramène dans ton dos, courbe ta tête vers moi et enfonce mon sexe au fond ta gorge. Ce simulacre de viol t’excite au plus haut point, tu me suces avec une délicatesse sans pareille. Tu enfonces mon gland au plus loin, jouant avec tes joues et ta langue pour m’aspirer, tu me mordilles légèrement, reviens à plus de douceur et me donnes ainsi un plaisir qui se prolonge et que tu partages. Je t’intime l’ordre de te caresser en même temps que tu me suces. Tes doigts s’infiltrent en toi et jouent avec ta chatte tandis que mes mains caressent tes seins. Tu jouis une première fois sans interrompre ta fellation. Je me retiens pour ne pas exploser dans ta bouche. J’ouvre la porte et admire ton corps défait dans la lumière du plafonnier qui nous éblouit un court instant. Je t’attire dehors, t’adosse sur le capot déjà froid de la voiture. J’écarte tes bras et tes jambes dans une pose impuissante et impudique. Je défais un à un les boutons de ton chemisier pour mettre à nu tes seins dans l’air doux de la nuit. Je m’agenouille entre tes cuisses, t’écartèle des mes deux mains, et pose mes lèvres sur les lèvres de ton sexe. Je les aspire, les suce, les mâche avec douceur. Je m’imprègne de ton odeur. Mon menton ruisselle de ton désir. Je lèche doucement ton clitoris et commence à le sucer, adaptant le rythme de ma caresse à tes soupirs pour faire monter le désir. Je te pénètre de deux doigts réunis en un long va-et-vient subtil qui t’affole, je quitte ton sexe et reviens au plus profond, profitant alors pour pénétrer ton anus d’un troisième doigt inquisiteur. Je te caresse longuement. Tu sens une boule de feu qui chauffe au fond de ton ventre, qui monte, monte, monte…
Tu exploses dans une nouvelle jouissance et dans le même temps je me relève et enfonce mon sexe au fond de ton ventre détrempé, ta jouissance se prolonge et dure un instant que nul ne saurait préciser. Nous nous allongeons dans l’herbe sur une couverture que j’étends pour nous protéger de l’humidité. Nous parlons longuement sans qu’un instant tu ne cesses de me caresser avec douceur, juste pour entretenir mon désir. Lorsque je ne pense plus pouvoir me retenir, je prends ta main pour prolonger ces instants magiques. Nous faisons peu à peu connaissance, échangeant nos fantasmes, nous promettant de nous revoir. À mon tour, je te caresse à nouveau de mes doigts, puis de mes lèvres. Tu t’agenouilles pour m’offrir tes lèvres tandis que je caresse tes seins, tes mains se glissent vers mes bourses, les caressent, les soupèsent, les excitent. Un doigt se glisse entre mes fesses, au plus secret, augmentant ainsi mon plaisir. Je profite égoïstement pendant un long moment, puis je me retire et contourne ton corps. Je te plie en avant, visage au sol, et relève tes fesses. Je les écarte pour venir me glisser sous toi avec mes lèvres, je te lèche, passant successivement de ton clitoris à ta chatte puis revenant sur ton anus que j’apprivoise. Ma langue s’enfonce au plus secret. Je me relève et présente mon sexe à l’entrée de tes entrailles. Je te pénètre avec douceur mais sans arrêter la lente progression de ma queue dans la chaleur de ton ventre. Je suis au fond de toi et reste ainsi un moment abruti par le bonheur. Tes mains glissent sous toi. Tu te caresses d’une main, glisses tes doigts dans ta chatte venant ainsi me caresser au travers de la fine membrane qui nous sépare. Ton autre main caresse mes bourses et je te fais l’amour avec une régularité et un rythme qui te font jouir plusieurs fois de suite. Je ne sais encore si je vais préférer jouir dans ton sexe, dans ton cul, dans ta bouche ou inonder ton corps au rythme de tes doigts.