Farid et les autres 2
Décidée de garder une trace de ses moments volé de pur sexe je commençais mon journal intime qui relatais mes ébats, ca me permet des années plus tard de me remémorer avec délice ses moments de baise.
Mercredi 11.02
Hier soir après ma première aventure avec Farid j’ai évité le regard de Franck, j’avais peur qu’il ne devine quelque chose mais tout s’est bien passé, il m’a fait l’amour j’avais pas trop envie mais je me sentais coupable de lui refuser mon corps alors qu’une heure auparavant je me laissais assaillir par Farid.
J’attends Farid dans la buanderie mais il ne vient pas, quel salop, il à une femme à sa merci prête à lui laisser faire ce qu’il veut et il ose m’ignorer
Jeudi 12.02 20h10
Farid entre dans la buanderie
-bonjour Farid pourquoi t’es pas venu hier ? Je t’ai attendue
-pourquoi j’ai des comptes à te rendre ? Met toi à genoux.
Le ton est donné il va falloir que je m’habitue a cette manière de me soumettre à un male. C’est humiliant mais dans cette relation je ne cherche pas à être valorisée, aimée. Comme je lui ai fait comprendre je veux juste sa queue et il l’a très bien compris.
Je m’exécute, il baisse son survêt sort sa queue de l’autre main me tire la tète sans ménagement et à peine la bouche ouverte il m’enfonce sa bite au maximum, surprise je manque vomir. Il s’en fout il continue à me pilonner la bouche. Je voudrais le sucer le lécher mais ce n’est pas ce qu’il veut, il veut juste baiser ma bouche. Ma tète est coincée entre sa queue et la machine à laver, a chaque coup de bite violent ma tète tape contre la tôle de la machine et fait un bruit sourd.
-t’aime ca salope hein ? Regarde moi dans les yeux quand je te baise la bouche. De sa main agrippé dans mes cheveux il me tire la tète a l’arrière. Et de l’autre il se branle à quelques cm de mon visage. Quand je te le dit t’ouvre la bouche ok ?
-non Farid pas ca, je n’aime pas le gout et l’odeur du sperme
-fallait y penser avant salope, si t’es pas contente va te plaindre à ton mari
Je n’ai pas le choix faut que je me plie a ses caprices, après tout c’est moi qui l’ai voulu je peu pas faire marche arrière. Il a le gland dans ma bouche continue de se branler frénétiquement et la dans un grognement animal il déverse un flot de sperme dans ma bouche, puis enfonce sa queue, la retire l’enfonce a nouveaux. J’aurais préféré qu’il jouisse au fond de ma gorge j’aurais avalé sans trop sentir ce gout et cette texture sur mon palais, ma langue. Je suis dégouté par ce sperme dans ma bouche.
Il se fout de ce que j’aime ou pas, il pense qu’a son propre plaisir, me force a déglutir, a lécher sa queue jusqu’à qu’il n’y ai plus de trace de sperme.
Il me laisse là à genoux, me tapote la joue et me dit c’est bien salope a demain.
-hé mais Farid et moi ? Tu penses pas à moi ? Je voulais qu’on baise ? J’ai pas pris mon pied moi.
-vas te faire niquer par ton cocu moi ca me suffit pour aujourd’hui, et il tourne les talons.
Déçue, vexée et frustrée, je m’essuie avec un t shirt trouvé là et je me remets a mon repassage en espérant que demain il me prendra.
Vendredi 13.02
Lorsque j’entre dans la buanderie je remarque la présence de deux miroir accrochés au mur, un derrière la machine a laver et l’autre sur le mur de coté, ces deux morceaux de glace de 50cm sur 1m peuvent paraître inutile dans une buanderie mais je comprends que Farid qui est macho, égoïste est tout a fait le style de personne a se mater dans la glace pendant qu’il baise.
20h05 Farid entre. Avant que je dise quoi que ce soit il me dit
-aujourd’hui c’est vendredi 13, ton jour de chance tu va avoir le gros lot bb, je t’offre deux miroirs. Penche toi sur la machine tu pourras te regarder te faire mettre par ton beur préféré pendant que ton homme regarde les infos juste à coté.
Quel gougeat, il sait qu’il me met mal a l’aise en parlant de mon mari comme ca, je me sens suffisamment coupable pour qu’il n’ait pas besoin d’en rajouter.une foi penchée il relève la robe de chambre sur mon dos il tire un tabouret et se place derrière moi, puis je sens sa langue me lécher le minou, puis s’enfoncer facilement dans ma chatte et il me broute sans ménagement, me mordille les lèvres, aspire mon clito. Ses mains malmènent mes seins il tire dessus comme si il espérait en tirer du lait. En tournant ma tete je vois son reflet dans le miroir, sa tete qui voudrais rentrer au-dedans de moi, le miroir me renvoi l’image d’une tete dont le visage a disparu entre mes fesses, au comble de l’excitation je jouis en me mordant le bras, si je crie comme j’en ai envie, mon mari risque d’accourir en pensant que je me fais agresser..
Farid se relève et d’un violent coup de bite il s’enfonce en moi, je suis tellement mouillé que je ne sens plus trop sa bite. Il s’en aperçoit et pour que je le sente mieux en moi il me relève la jambe gauche qu’il met sur la machine a laver puis entreprend de me lever aussi la jambe droite, je suis dans une position des plus inconfortables mais me retrouve empalée sur son sexe, si il s’enlève je tombe par terre je ne sais pas ou m’accrocher et suis dépendante de sa bite, ses deux mains sous mes fesses aident sa queue a soutenir mon poids.
-et la salope tu la sent ? regarde toi dans le miroir, voit comme t’es en train de te faire démonter la chatte, grosse pute. Il me pilonne maladroitement, la position n’est pas confortable pour lui aussi mais au moins il sent sa bite aller loin au fond de moi, me heurter me blesser et ca l’excite.
Je sens qu’il est en train de prendre son pied, il s’énerve, s’excite sur moi, m’insulte, sa bite maintenant me fait mal, malgré la douleur je jouis une deuxième fois. Puis il me suit dans la jouissance il se contracte et m’insulte de plus belle, je vois dans le miroir son visage qui se crispe, ses lèvres se pinces. Ses muscles bandés, ses abdominaux contractés, il transpire sa sueur tombe de son front sur le bas de mon dos.
Tient prend ca salope, t’aime te faire niquer ta race chiennasse, dis le que t’aime la bite de beur.
-oui Farid j’aime, vas y continue, j’aime trop ce que tu me fais.
Son plaisir fini il ressort, me remet debout sans ménagement, j’ai une crampe je reste nue, devant le miroir, appuyée contre cette machine à laver témoin de nos ébats avec des douleurs dans mon corps meurtri. Il s’approche tout près de moi, je crois qu’il veut m’embrasser et temps mes lèvres mais, comble dl’ humiliation, c’était juste pour s’essuyer la bite contre mes hanches, j’ai vraiment l’impression d’être une serpillère .
C’est vraiment le pied, avec mon mari je joui de ses caresses, de son sexe, de sa tendresse de son amour. Avec Farid c’est totalement différent, c’est plus cérébrale, je jouis d’une situation, d’un endroit inapproprié, de ses insultes, de sa brutalité de sa mentalité, je jouis de cette image que me renvoi le miroir d’une femme infidèle qui se fait prendre bestialement par le jeune voisin.
Il y a en moi deux femmes, deux opposés qui se complète, je suis partagé par la honte l’envie de tout arrêter et d’oublier et l’envie d’aller plus loin, d’essayer des truc nouveaux de me faire baiser par des inconnus….
Laquelle des deux va gagner ??
Florence.
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