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Faux jumeaux, vrais plaisirs – Chapitre 1

Faux jumeaux, vrais plaisirs - Chapitre 1



Ma soeur Jumila et moi sommes jumeaux. Nous avons 19 ans. On fait tout à deux. On pense pareil. On réagit idem. Et en plus, nous sommes inséparables.

Curieux de tout, on adore découvrir. marcher, parler, lire, on a appris ensemble. Et la sexualité aussi, bien sûr. Explorer nos corps enfants, se caresser adolescents puis on est passé à l’acte. On avait l’impression de connaître les gestes, les envies de l’autre comme étant les nôtres. On a tout essayé, le cunnilingus et la fellation, différentes positions de notre imagination et la sodomie. Dans nos lits, celui de nos parents, chez la famille ou dans la nature. Et même en voiture.

Nos parents ignoraient notre relation et ne parlaient jamais de sexualité.

Jumila aimait le sexe avec moi mais elle disait toujours qu’elle voulait connaître d’autres choses. Quand je lui demandais ce qu’elle cherchait, sa réponse était:" je ne sais pas, je veux découvrir, c’est tout". Nous avions des rapports 3 à 4 fois par semaines mais elle prenait l’habitude de s’enfermer dans sa chambre, alors qu’avant, nos portes n’étaient jamais fermées. Elle devait se masturber car j’entendais des gémissements. Puis, elle commença à introduire le chien. Argan, un alaskan malamute d’un an et demi, haut de 80 cm, tout fou et très excité. Peu de temps après, des couinements se mêlaient aux gémissements de ma soeur.

Plus nos rapports s’espaçaient et plus elle s’enfermait. Pratiquement tous les jours, avec ce chien. Pour moi, c’était pire qu’une trahison. J’étais mis à l’écart, et remplacé par mon propre chien. C’était insupportable!

Un jour, j’attendis que ma soeur rentre avec Argan. 10 minutes et j’ouvrais la porte pour les trouver, elle à 4 pattes et lui en train de la monter. La scène ne me choqua pas( je l’avais deviné ) mais elle m’excita. Ma jumelle me regardait en râlant, un sourire aux lèvres.

Une érection commençait à me gêner.Je défis mon pantalon et mon caleçon. Jumila m’interrogeait du regard. Qu’allais-je faire? Sans un mot, je m’avançais, non pas vers sa bouche mais derrière elle. Ou plutôt derrière le chien. Voilà une occasion d’expérimenter autre chose, ^pour moi aussi. Me baissant, je me plaquais à son cul. Mon sexe rentra très facilement.

Mmmm, comme c’était bon. Il continuait à pistonner ma soeur. Je n’avais rien à faire, ça rentrait tout seul. Mes gémissements se mêlèrent au concert de soupirs. On prenait notre pied tous les trois. La sensation d’enculer le chien était différente de celle avec Jumila. Les râles, les coups de reins et d’imaginer le tableau faisaient monter l’excitation. Je bloquais Argan au fond du vagin de ma soeur pour lui donner des coups de queue rapides.

Je le sentis alors se contracter. Et ma jumelle s’écria:"vas-y, remplis moi!" Pendant plusieurs minutes, le chien se vida les couilles dans sa maîtresse puis se détendit sans chercher à se dégager. Je repris mes va-et-vient et Jumila se caressa le clitoris, ce qui lui provoqua un orgasme.

Je me dégageais du chien, le repoussais et sodomisa aussi sec ma soeur. Elle eût un cri de surprise, bien vite remplacé par "oh, c’est bon. Défonce-moi." Ace moment, je voulus la punir de m’avoir trompé et fait souffrir. Je lui enfonçais ma bite… et plus un mouvement.

Elle remua du basin mais je lui attrapais les hanches pour l’immobiliser. "prend-moi, je t’en prie. Ele me suppliait de la baiser. Mais non, je ne bougeais pas. C’était encore plus jouissif que de l’enculer. Quand j’en eus assez de la faire languir, je repris mon pistonnage. Par petits coups. Un centimètre, lentement et je ressortais. Elle gémissait:"plus vite, mon salaud."

Plus vite? Ok. Elle se prit toute ma bite d’un coup. Cri de douleur. "Alors, c’est qui la salope qui se fait baiser?"

"C’est moi, dit Jumila, et j’aime ça." Le chien était de nouveau en érection. Le rapprochant, elle en profita pour lui tailler une pipe.

Excité par cette vision, Je la bourrais de plus en plus rapidement puis Argan et moi partîmes en même temps.

"Aaaah, c’est bon. Prend mon foutre." Je la traitais de garce, de pute. Ca décuplait mon plaisir. Je me vidais de ma colère, de ma jalousie, toute cette rancoeur que j’avais en moi. J’aurais voulu la déchirer, lui faire mal autant elle m’avait fait souffrir.

"Désormais, tu baiseras avec qui et quand je te le dirais."

"Oui, maitre"

"Et maintenant, nettoie-moi." Docilement, ma soeur se retourna et engloutit ma queue.

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