Maman me suça la queue jusqu’à ce que plus rien n’en sorte la nettoya avec volupté.
— Dieu que c’est bon, je ne pensais pas un jour boire ton jus mon fils, mais c’est extra !
— Moi non plus maman, tu étais un rêve merveilleux pour moi, je me contentais de voir ton corps dis-je
— Comme quoi rien n’est sûr dans la vie, allez ! Allons-nous laver ensemble sous la douche, puis on passera au trois mon pervers de fils me répondit-elle
Je suivis maman, nus tous les deux, je pus admirer ses fesses rebondies et fermes, cela m’excita je redevins aussitôt moins mou, en imaginant ma queue dans ce sillon merveilleux. Arrivés dans la salle de bains, maman se retourna et remarqua mon début de rigidité.
— C’est mon cul qui t’excite, sale pervers me dit-elle
— Oui maman, j’imaginais ma bite dans ton sillon répondis-je
— Tu l’auras un jour, Clo si tu fais ce que j’attends de toi. Promis tu l’auras me répondit-elle
— Oui c’est vrai ? Hum je me suis souvent masturbé en pensant cela tu sais, j’adorerai, l’informai-je
— Moi aussi j’aime bien avoir une belle queue dans mon cul, et tu es bien monté alors on va se régaler toi et moi mon fils, me confirma-t-elle
Je ne pensai pas que maman, fut une femme aussi libérée et vicelarde, je dois tenir d’elle, je commence à comprendre mon vice pour le sexe et mon voyeurisme exacerbé. Je m’imaginai des jours merveilleux et hautement sexuel avec cette mère lubrique à souhait. Je fus heureux de penser à l’avenir.
On fut tous les deux, maintenant, dans la baignoire debout maman ouvrit la pomme de douche et commença à nous mouiller tous les deux, elle s’arrêta sur ma queue et la caressa en la mouillant plus qu’il ne fallut, elle alla jusqu’à mon anus bref je redevins dur de nouveau, ce qui enchanta maman, elle me savonna devant, derrière.
— Tu es beau Clo, tu es bien constitué, je suis fière de moi et de toi. J’avais besoin d’une queue travailleuse à la maison et je t’ai maintenant pour notre plus grand plaisir à tous les deux, me notifia-t-elle
— Toi aussi tu es belle maman, tu me fais bander, même si cela n’est pas autorisé, je bande pour toi et je rêve de te faire tous les trucs possibles et imaginables, lui annonçai-je
— Moi aussi, j’ai envie de faire des tas de trucs avec toi, on va bien s’amuser mon fils, pas de doute on est des pervers tous les deux, hum ! Que c’est bon, allez Clo ! Savonne-moi à ton tour. Tu veux bien ? Tu pourras ainsi me toucher et découvrir mon corps me dit-elle
— Oui avec plaisir maman, répondis-je
Je savonnai son corps délicatement et doucement m’attardant sur sa poitrine, si belle et ferme, puis je massai son ventre avec volupté car j’arrivai au cur de mon désir le plus fou, sa chatte rousse, je passai d’abord mes doigts sur celle-ci, puis avec le majeur, je sillonnai en remontant le centre de ses lèvres externes. Ce fut d’une douceur incroyable en redescendant je fis la même chose et en remontant j’y ajoutai l’index, en enfonçant les deux, pour ouvrir ses lèvres inférieures. Je devinai le trou du vagin et en remontant je cernai son clitoris, celui-ci grandit à ce contact. J’en déduisis que maman ne demeura pas insensible à mes mouvements, cela m’invita lorsque je redescendis à aller plus loin, comme elle fit avec moi, j’arrivai à son anus doux et plissé, je fis des cercles courts sur celui-ci avec mon index, maman gémit légèrement, alors une envie d’y enfoncer mon majeur me prit, ce que je fis.
— Salaud n’en profite pas trop, ce n’est pas encore l’heure de prendre mon cul chéri m’ordonna-t-elle
— Ok Sarah, tu permets maman que je t’appelle Sarah ? Demandai-je
— Oui tu peux, tu es mon homme maintenant me lança-t-elle
En revenant sur sa chatte je pus constater une lubrification de celle-ci, ce qui me donna un sourire de vainqueur. Je finis le savonnage de ses belles jambes élancées et de ses pieds mignons à mes yeux, je me trouvai aux pieds de maman avec une vue splendide sur son sexe et son anus. Je bandai fermement. Je me relevai pour passer la pomme sur son corps afin de la rincer. Sarah prit ma queue dans sa main, elle me caressa d’avant en arrière doucement.
— Tu pensais à quoi quand tu t’es masturbé devant moi tout à l’heure me demanda-t-elle
— Je m’imaginais baiser tes seins magnifiques, répondis-je
— Hum ! Une branlette espagnole, cela te dirait de faire le trois, ainsi questionna-t-elle
— Oh oui, j’aimerais beaucoup maman, tu veux bien ?
— Oui, sentir ta bite entre mes seins cela m’excitera, je vais m’asseoir, toi tu passeras tes jambes à l’extérieur des miennes, tu seras à bonne hauteur pour te branler entre mes seins, d’accord ?
— Oui ! Compris dis-je excité
En regardant en arrière, je sus que ce fut elle qui décida que cela arriverait. Elle, assise sur le bord de la baignoire et, comme elle me regarda, je sus que je pus lui donner un baiser amoureux. J’ai fait. Nos lèvres s’entrechoquèrent, la douceur de ses lèvres me fit quasiment pleurer de bonheur, quand je sentis la langue de maman percer mes lèvres pour venir dans ma bouche que celle-ci tournicota dans ma bouche à la recherche de ma langue que je mis à disposition pour ce baiser. Je crus mourir de bonheur et de plaisir. Ce fut et sera toujours le plus beau baiser de ma vie. Je rendis ce baiser avec grande suavité, maman me serra contre elle pour me démontrer, sans doute, son émotion aussi intense que la mienne. Je sus que ce serait bien de la toucher.
J’eus le sein de ma mère à la main. Ce fut crémeux à mon contact. Ma main se glissa sous son sein alors que nous nous embrassions et je remontai vers le téton. Je ne pus pas le voir, mais je pus dire à quoi cela ressembla de le caresser. Le mamelon épais et l’aréole environnante furent caillouteux. La chair était douce au contraire. Je le mis en coupe et je le sentis, et je fus excité de savoir que je tins le sein de ma mère. Je caressai un sein puis l’autre, je pinçai les tétons avec douceur et fait des cercles avec mes doigts, ceux-ci durcirent et s’allongèrent. Je cassai notre baiser et me penchai pour sucer les tétons un par un, je léchai ses seins, je les découvris avec ma bouche pendant un certain temps puis je me relevai. Maman gémit quand je lâchai ses seins.
Une fois debout face à maman assise, je pris ma bite bandante avec une main puis je la passai sur ses tétons avec délicatesse, force, puis rigueur, Sarah reprit ses gémissements.
— Hum c’est bon, tu es un bon garçon perverti à souhait, j’aime ce que tu me fais, tu as une bonne bite mon salaud, tu es doué pour m’exciter lâcha-t-elle
— Moi aussi je t’aime maman salope, je t’aime, tu ne peux pas imaginer combien je t’aime et te désire avouai-je
— Maintenant mon cur, mets ta bite entre mes seins et branle-toi entre mes seins comme si tu baisais, tu vas baiser mes seins mon cochon vicieux, on va aimer, me dit-elle
— Je fis ce que maman me dit de faire, je posai ma bite entre ses seins, Sarah prit ses seins entre ses mains et les serra sur ma queue, ma bite fut comprimée dans un puits de douce chaleur.
— Va mon salaud ! Branle-toi mon ange, hum ta bite est bien ferme je la sens bien, murmura-t-elle
— Oui maman, toi aussi tu as une douce chaleur et je sens ta peau si douce c’est bon, j’aime, répondis-je
— Je commençai mes va-et-vient entre ses seins en reculant mon ventre et en revenant contre son corps, je regardai maman qui lorgna la tête de ma queue allante et venante entre ses seins, sa bouche s’ouvra comme si elle voulut prendre cette tête de bite dans la bouche.
— Je commençai à petite vitesse puis je mis mes mains derrière ses épaules et j’activai mes allers-retours, maman serrai de plus en plus fort ma bite en serrant plus ses seins merveilleux.
— Tu aimes gros cochon, je sens ta bite qui enfle encore plus, j’aime sentir ta queue qui se branle, tu me fais mouiller mon baiseur vicieux me dit-elle
— Oui j’aime, c’est mieux que dans mon imaginaire, j’adore te faire cela, je sens bien tes seins, je ne vais pas tarder à venir maman, salope je t’aime, gémis-je
— Oui mon chéri ! Balance-moi ton foutre sur moi, je vais aimer recevoir ta semence sur moi murmura-t-elle
J’allai de plus en plus vite, puis je sentis arriver mon sperme dans la tige de ma queue, je la sentis couler jusqu’à l’explosion, un premier jet puissant arriva sur son visage, maman pourlécha ce qu’elle put avec sa langue, d’autres jets allèrent sur son cou, ses seins. Maman lâcha ses seins, me fit reculer s’abaissa et prit ma bite en bouche pour finir de me pomper. Elle avala le peu qui sortit de ma queue puis continua à me sucer pour nettoyer au mieux mon sexe. Elle m’écarta pour pouvoir prendre avec ses doigts les reliquats de sperme sur son cou et ses seins en portant ses doigts à sa bouche. Elle lécha ceux-ci pour tout mettre sur sa langue, elle m’attira à elle et m’embrassa fougueusement, je sentis et goutai mon sperme sur sa langue. Je fus surpris par cela mais je lui rendis son baiser chaleureusement.
Je pensai que maman fut vraiment une grande salope, à ce moment-là, me faire goûter mon sperme en m’embrassant, mais je fus tellement dans le plaisir que je ne pouvais qu’admirer la lubricité de Sarah. Comme si elle devina mes pensées elle me dit :
— Mon chéri, sache que rien n’est sale, ni dégoûtant en amour, tout est permis, aucun tabou si les deux amants sont en osmose, en désir et aimant ce qu’ils font en acte d’amour.
— Je crois que je suis d’accord avec ce que tu dis maman, j’aime tout ce que l’on fait et j’apprécie le tout, tu peux me croire, répondis-je
Pendant que maman parla, je vis sa main descendre vers son entrecuisse et celle-ci caressa sa chatte.
— Maman tu te branles toi aussi ? Demandai-je
— Oui amour, je suis trop excitée, j’ai besoin de jouir moi aussi, gémit-elle
Elle s’assit sur le tapis de bain, s’adossant à la baignoire, et accentua sa masturbation, ses doigts virevoltèrent de son vagin à son clitoris de plus en plus vite, elle fut ailleurs, son visage se transforma, sa tête se mit à dodeliner de plus en plus vite, ses gémissements allèrent de plus en plus haut, elle serra ses cuisses sur sa main et puis la deuxième vint aider la première à la masturbation jusqu’à ce qu’elle me dise :
— Bébé, mets-moi deux doigts dans la chatte et baise-la avec tes doigts, vite je vais venir cria-telle
Ce que je fis avec plaisir, j’enfilai deux doigts dans son minou, cela fut gluant de cyprine maman dégoulina de son jus, je trouvai cela beau et bon de sentir la chaleur de sa chatte, la douceur de la grotte de plaisir de maman, je m’activai au mieux en dedans d’elle, je sentis mes doigts prisonniers de ses spasmes musculaires vaginaux, elle gémit de plus en plus fort. Ses doigts sur son clito tournoyèrent encore plus vite.
— Huehum !!! Plus vite, plus fort trésor je viens, je viens gémit-elle
Disant cela je vis qu’elle se mit deux doigts dans l’anus lubrifié par son jus, je sentis ses doigts contre les miens qui branlèrent son vagin.
— OUI, je jouis amour je jouis, putain que c’est bon ! Cria-t-elle
Elle s’arc-bouta, souleva ses fesses, hurla des mots crus et salaces, je sentis un flot arriver sur mes doigts une déferlante de cyprine, je fus aux anges de connaitre cela avec maman, la première jouissance d’une femme sur mes doigts, j’enfonçai au plus profond que je pus et restai là sans remuer. Maman retomba sur ses fesses, libéra ses mains, avec l’une de ses mains elle passa ses doigts dans mes cheveux, me caressa puis attira ma tête pour m’embrasser de nouveau alors qu’elle n’avait pas encore reprit respiration normale. Je libérai le vagin de maman de mes doigts.
Elle cassa notre baiser puis dit :
— Mon Dieu cela fait du bien, j’ai eu une bonne jouissance, trésor, grâce à toi, tu m’excites trop mon cochonou.
— Toi aussi tu m’excites, je suis heureux d’être là avec toi, c’est mon paradis, dis-je
Puis sans savoir pourquoi, je me mis à plat ventre sur le tapis de bain, face à maman, j’écartai ses jambes et je me mis à lécher sa chatte goulument. Les lèvres de sa chatte furent veloutées et l’humidité qui brilla sur elles fut douce. Je léchai le capuchon qui dissimula son clitoris et quand ma langue trouva le nud, maman donna un petit cri de plaisir. Je léchai dans l’ouverture alors que ses plis lisses se séparèrent. Cela me rendit encore plus actif quand j’entendis les gémissements que fit ma mère pendant que je la mangeai. Avec ma langue j’essuyai ses lèvres intimes de tout son jus, son entrée de vagin, son anus aussi, j’entrai ma langue le plus profond possible dans son vagin et son anus. Son gout de cyprine me plut, la main de maman dans les cheveux, appuyant ma tête sur sa chatte et son anus, je sus que maman apprécia mon idée. Moi aussi, la découverte de sa chatte me combla follement, j’avais la tête à l’envers, tout cela inonda mon cerveau de désir, de lubricité et volupté pour maman.
Je me soulevai, pris maman sous ses aisselles et je l’allongeai sur le tapis de bain. Maman se laissa faire ne disant rien, me regardant avec ses yeux lubriques, que je commençai à connaitre, me laissant faire car elle fut encore sous le fait de son orgasme récent. Je me remis entre ses jambes et j’apportai ma bite tendue à l’ouverture de maman. La seule façon dont je pus décrire cette première relation chair-chair est « magique ». Avec un coup lent, j’entrai et je la rejoignis. Elle laissa échapper un long soupir de soulagement que je ressentis aussi, alors que la pénétration se termina au plus profond d’elle et que sa chair fut fermement enroulée autour de mon sexe. Je limai quelques fois, elle répondit avec ses hanches et me dit :
— Cela fait si longtemps bébé, oui, OH, OH… Fais-moi l’amour mon chéri, j’ai besoin que tu me fasses l’amour… Baise-moi trésor, je veux ta bite.
Je sus qu’elle ne parla pas seulement de sexe et en la dégauchissant avec ma queue, je répondis :
— Je suis amoureux de toi maman et je veux t’aimer comme ça toujours. Je veux prendre soin de toi et te faire sentir bien, je te connais maman et je t’aime…
Une fois dit cela, elle m’émut avec plus d’enthousiasme et dit :
— Oui chérie tu me connais, je veux que tu me connaisses, oui, oui… Tu es si bon pour moi Clo, tellement bon pour ta maman, ça fait du bien bébé davoir quelqu’un à l’intérieur de moi que je veux, je te veux Clo, mon doux bébé, mon doux Clo… OH… OH… Oui mon chéri, oui…
J’augmentai le rythme et elle correspondit à mes mouvements. Je la bourrai rapidement et lui donnai toute la longueur de ma queue, la poussant profondément dans sa chatte.
— Oh maman, je te sens si bien dis-je
Cela ne commença pas à raconter les sensations que je ressentis dans la chatte de ma mère. Si ce fut une perversion, c’était fabuleux, alors que je glissai le long des parois du canal de velours de ma mère.
— Oui Bébé, moi aussi je te sens bien me répondit-elle
Elle commença à gémir alors que je la pilonnai fort dans mon excitation. Elle fut tellement bruyante que je pensais que je lui faisais mal.
— Est-ce trop maman, trop dur ? Demandai-je
— Non bébé, prends-moi comme tu veux, je veux être baisée comme ça, je veux que tu sois dur pour moi, je veux que tu me prennes comme ça, oh mon Dieu oui bébé, oui…
Elle leva les jambes et les posa sur mes épaules en s’ouvrant pour être pénétrée encore plus profondément. Son cul a l’air bon et ferme et elle a une belle rondeur rose. Je poussai aussi loin que possible et nos corps claquèrent à la fin de chaque coup.
— Tu me remplis si bien mon bébé ; te sens-tu parfaitement bien dans ma chatte. Dit-elle
— J’ai été fait pour toi maman. Tu m’as créé pour toi répondis-je
Elle sourit et dit :
— Oui bébé, je suis pour toi, seulement pour toi… Toujours pour mon gentil pervers garçon chéri… Oh oui, comme ça, oh mon Dieu, tu es si loin en moi, oui bébé oui…
Même si je fus relativement inexpérimenté, je sus que ce fut bon d’être dans la chatte de ma mère. Et que ce soit parce que nous allions si bien ensemble physiquement ou parce que je l’aimai tellement, je sus qu’aucune femme ne put me faire ressentir ce que ma mère me fit ressentir. Chaque coup dans elle se sentit comme la première entrée chaude quand deux deviennent un.
Elle fut mouillée, douce et céda à mon sexe aussi dur que je pensai n’avoir jamais eu. Elle a dit :
— Oui bébé, c’est bien, oui comme ça, aime-moi comme ça, ooohhhh… N’arrête pas bébé, ne t’arrête jamais.
Notre rythme augmenta au fur et à mesure que le ton de nos voix s’amplifia.
— Clo encore et encore comme je l’ai dit, oh putain.
Je ne pris pas à la légère que je fus un fils dans la chatte de sa mère. Ce fut grave et important, mais surtout, ça nous sembla bien. Je caressai sa chair mouillée et maman a dit :
— Oui Clo, tu es mon amour, tu es mon amour
Alors qu’elle posa ses mains sur mes fesses et m’attira violemment contre elle.
Comme nous grimpions tous les deux en intensité, maman commença à respirer profondément comme si elle fut sur le point de jouir. Avant elle, elle dit :
— Attend, arrête bébé
Alors que ses mains me poussèrent à cesser mes entrées. Elle m’encouragea à bouger pour qu’elle puisse se lever sur moi et une fois fait, elle m’a souri et a dit
— Ouais, laisse-moi…
Elle posa sa main sur ma poitrine et leva et abaissa ses hanches, s’empalant lentement sur elle-même. Je regardai ma queue épaissie disparaitre dans le creux chaud. Je mis mon pouce sur sa capuche et la peau douce glissa de son clitoris. Je le pressai et encerclai pendant que maman se leva et tomba sur moi. Elle dit
— "Mmmm…"
Chaque fois que ma baguette la remplit. Peu de temps après, ses mouvements accélérèrent et son gémissement devint un cri alors que le pouce et la queue la travaillèrent. Elle me conduisit jusqu’à ce que nous revenions au rythme effréné dans lequel nous fûmes auparavant.
Alors que je sentis mon orgasme devenir immanent, je la renversai et conduisis avec force sa queue dans sa chatte. J’ai dit :
— Maman, Maman, Maman…
Alors que je me mis en tête que je devais la faire jouir. Elle dit :
— Oui bébé, oui bébé… Ohhh… Je souffre pour toi Clo, mon Clo mon bébé, oui, oui… OUI, OUI, OUI…
Je ne sus pas qui fut le plus fort, elle se raidit et me saisit. Je poussai contre ses hanches arquées, et elle laissa échapper un long moment,
— "OOOOOHHHhhhhh…"
Alors que mes premiers jets durs se jetèrent dans son ventre et crémèrent l’intérieur de la chatte de ma mère. Comme elle dit :
— Mon bébé, si bien…
Dans le calme après, nos lèvres se rencontrèrent pour un long baiser doux qui dit que la mère et le fils s’aimèrent, et firent bientôt l’amour à nouveau. Maman a roulé sur son ventre avec un soupir. Je caressai doucement son cul lisse tout en soupirant. Après avoir caressé la longueur de son corps, je lui dis :
— Je n’ai jamais réalisé que quelque chose pouvait se sentir aussi bien.
— Je n’ai également jamais réalisé quel beau cul tu as maman continuai-je
Elle ria et dit :
— Oh, allez.
— Non maman. Vraiment, c’est comme du velours, et si rond et crémeux, et comestible.
Maman cria et ria quand je mordis une de ses fesses. J’embrassai et léchai cette fesse et elle roucoula joyeusement. Puis je commençai à la toucher sexuellement, laissant mon doigt traquer la ligne de partage. Et quand je poussai un doigt plus profondément, elle gémit involontairement et s’ouvrit légèrement. Je posai le doigt sur l’anus de ma mère puis croisai ma jambe pour la mettre à califourchon.
La sensation de ma chair chaude et endurcissant sur son cul réveilla son désir et elle dit :
— Sois de nouveau en moi Clo.
Je me frottai contre elle, elle se leva en me montrant ses deux ouvertures. J’entrai dans la chatte de ma mère et je fus immédiatement dans sa chatte et pénétrai dans la mesure du possible. Elle laissa échapper un long soupir qui combina contentement et excitation alors que je me pressai contre ses sphères charnues.
Mes caresses me semblèrent encore plus longues et profondes que quand elle fut de face. Mon expérience limitée me surprit à l’idée qu’une position différente put me donner une nouvelle sensation. Elle dit :
— Oui
Alors que je caressai et que cela ressembla à "Oui" de toutes les manières possibles. Je lui touchai la chatte en entrant et en sortant, puis mon doigt mouillé fora son petit trou. Et quand je mis mon doigt en elle, elle prit une profonde inspiration.
— Oui maman, tu as un beau cul, beau, beau, beau. Dis-je
Mon doigt entra et sortit d’elle en contrepoint à ma bite. Je massai mes pouces dans sa chair, une nouvelle douleur et la faim furent allumées.
— Bébé, as-tu déjà eu quelqu’un comme ça ?
Comme je ne répondis pas tout de suite, elle sut que je ne fus pas sûr de ce qu’elle demanda et elle dit :
— As-tu déjà eu des relations sexuelles anales auparavant ?
— Non maman. Répondis-je
Elle tourna la tête et me sourit
— Je suis heureuse. Maintenant, je peux faire quelque chose qu’aucune femme n’a jamais fait… Si tu veux bébé. Dit-elle
Je regardai son beau cul et dit :
— Oui maman je veux, avec toi.
— Oui mon amour, fais-le. Me recommanda-telle
Je me dégageai de pomper la chatte de ma mère et de répandre les globes de son cul. Je regardai le petit trou rose. Un jour avant, l’idée que je puisse avoir des relations sexuelles anales avec ma mère fut exagérée. Maintenant, cela sembla être une extension naturelle de l’amour.
Maman respira fort et je fus très excité quand je l’embrassai et que je frottai le manche entre les sphères.
— Je t’aime maman, je te veux dans tous tes trous. Dis-je
Je pressai ma bite contre son cul puis posai mon doigt sur son pli et dit :
— Je te veux tellement maman.
— Oui chéri, je le veux aussi. Dit-elle
Je la tenais par les hanches et la positionnai pour me recevoir. Ma bite fut droite, longue et tendue pour entrer en elle. En utilisant mes hanches, je plaçai le bout de ma queue sur son orifice tendre et je poussai.
— OHH… Cria-t-elle
J’appuyai sur son anus. Malgré, ma bite mouillée du jus de sa chatte, je dus quand même me battre contre le passage étroit pour aller à fond de bite.
— Oh mon Dieu ! Dit maman
Alors que je me démenai pour avoir les derniers centimètres en elle.
La chaleur intense et la pression de ma queue dans son passage étroit furent une nouvelle expérience et cela me sembla aussi bon que je pus l’imaginer. La signification des rumeurs de maman ne fut pas aussi claire pour moi et je demandai :
— Est-ce que ça va maman ?
— Oui bébé, c’est incroyable. Me répondit-elle
Mes insertions se stabilisèrent et maman se relâcha avec mon rythme car la détente de sa tension me permit de me concentrer davantage sur les pénétrations sensuelles. Il y a plusieurs façons de décrire l’acte incestueux qu’une mère puisse commettre avec son fils, mais ce que cela signifia pour moi fut :
— Ma mère m’aime.
— Oui chérie, Ohhh, je suis tellement remplie de toi, tellement à l’intérieur de moi, OH mon Dieu, je suis tout élargie, je ne peux plus en prendre mais je ne veux pas que tu arrêtes, aime-moi, aime-moi, aime-moi plus bébé… Encore et encore, gémit-elle
Je poussai jusqu’à ce que tout mon sexe soit en elle et je me dressai contre elle.
Je pompai allègrement et dit :
— Est-ce bon maman ?
— Oui, oui, oui, OHHhhh, oui, c’est bon mon amour, c’est tellement bon. Dit-elle
En prenant l’ouverture serrée de ma mère, je sentis qu’elle se joignit à moi. Ce que je ressentis quand je fus dans sa bouche et dans sa chatte, je le sentis encore plus maintenant, maman m’aimera toujours.
Je me retirai de son cul et je la retournai pour me faire face, puis je rentrai de nouveau dans son cul. Maman sut pourquoi je l’ai fait. Je voulus lui montrer l’amour dans mes yeux. Aucun de nous n’eut à dire quoi que ce soit alors que nous voyions chacun le visage de l’amour. Et comme je pompai plus vite et plus profondément dans le cul de ma mère, nos yeux n’eurent jamais perdu contact. Je sus à ce moment que tout ce dont j’eusse besoin d’une femme, je le recevrai de ma mère. Je voulus toujours l’entendre dire ça et moi aussi, je me dirigeai de plus en plus profondément dans son canal anal, je dis :
— Maman, es-tu à moi ?
— Oui mon chéri, je suis à toi. Tout de moi est à toi, toujours, toujours bébé, Ohhhh… Oui mon chéri, comme ça, à l’intérieur de moi, ô Dieu, mon doux bébé… Ohhhhh… Me répondit-elle
Je me déplaçai comme si l’électricité se répercuta dans son corps et je sus ce qu’elle ressentit parce que les sensations de pression le long de mon sexe pendant que j’appuyai sur son trou du cul furent terriblement bonnes. Cela continua jusqu’à ce que je ne puisse plus le supporter, mais avant que je touche la chatte de maman, elle cria et elle cambra son dos.
Ma mère adorée arriva à l’orgasme parce que mon sexe fut en elle et la pensée de cela me conduisit à un rythme effréné de pénétrations anales. Son orgasme déclencha complètement le mien, et à ce moment-là je commençai à libérer de longs courants de jets de foutre dans son cul aimé. Jusqu’à ce que l’orgasme intense ferme ses yeux, elle dit :
— CLAUDE… JE T’AIME… AHHHHhhhh…"
Et si elle m’entendit dire quelque chose en jouissant, ce fut le plus beau mot que je connus,
— MAMAN… MAMAN… MAMAN… Continuai-je à lui dire alors que je conduisis ma dureté dans sa douceur anale, mon amour dans le sien.
Quand elle eut fini, elle fut toujours en mouvement et excitée. Elle me tint violemment et dit :
— Claude, Claude est-ce que c’est vrai, est-ce le genre d’amour que tu veux ?
— Oui maman je te veux, je vais toujours te vouloir. Répondis-je
— Et nous allons être ensemble et rester ensemble et nous aimer l’un l’autre ? Demanda-t-elle
Je souris et dit :
— Oui, oui et oui.
Elle m’embrassa et me tint et dit :
— Oui, bébé, oui, oui, oui.
Au diable le challenge entre nous deux, nous oubliâmes cela à l’instant que nous comprimes mutuellement la naissance de cet amour entre nous …
Depuis…
Aussi étrange que cela puisse paraître, maman et moi, vivons une vie « normale » depuis ce début de relation intime. Notre vie sexuelle est géniale, mais c’est plus que cela parce que notre vie amoureuse est encore meilleure. C’est une mère, une amoureuse et une femme pour moi. Je n’ai jamais aimé une autre femme, ni être pour quelqu’un comme nous sommes l’un pour l’autre. Nous sommes amoureux même si nous sommes, mère et fils, l’amour est la meilleure chose qui puisse arriver à deux personnes.
***
Si la continuité de cet amour vous intéresse et que vous aimeriez savoir comment cet amour évoluera entre eux, faites-le-moi savoir, je vous confierai la suite…