Allongé sur le ventre en extase, mon père fait de lents va-et-vient dans mon cul dilaté, ses mains caressent mes cheveux et sa bouche susurre à mon oreille.
Frédéric – Je t’aime ma chérie.
Emile – Moi aussi, je t’aime papa…lui dis-je d’une voix lente et amoureuse, doucement une main agrippe mes cheveux et me tire en arrière, l’autre commence à me mettre une fessée.
La partie tant attendue arrive, cela y est, je me mets doucement à quatre pattes, et de plus en plus fort, mon père commence à m’enculer comme sa pute, son énorme paire de couilles remplies écrase mon petit paquet de soumise.
Frédéric – T’aimes ça que je t’encule, hein, petite chienne ?
Emile – Oh putain, oui papa, j’adore ça, encule-moi ! Je suis ta petite chienne !
Frédéric – *sa main claque mon cul violemment* Grosse pute va !
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Non, ne nous jugez pas.
C’est difficile ce genre de situation, vous ne pouvez pas forcément savoir…Quoique…Vous avez dû vivre ce genre de chose, vous êtes face à une situation où vous pensez à tout et rien. Des choses improbables, on fait des rêves terribles, des cauchemars, on s’imagine parfois des choses comme "Bah, et si je tuais mon frère ?" en le regardant, une pensée d’une nanoseconde qui s’en va et nous fais juste sourire et parfois nous demander pourquoi nous en venons à penser cela, à nous dire que le cerveau est une drôle de chose et que Freud doit avoir raison parfois, le con.
En fait, c’est humain, notre univers, notre imagination collective se nourrit des films, livres et histoires que l’on nous raconte, c’est normal.
Lorsque j’avais à peu près 11 ans, pour ma part, je passais mes journées à me branler. Très vite, j’ai arrêté de me mentir, manifestement je regardais beaucoup plus les énormes bites et paires de couilles dans ces films que les demoiselles en chaleur, et très vite, je le devenais à mon tour.
Alors, quand j’eus à peu près 12 ans, dès que mes parents ont divorcé, en fait, le soir à l’abri des regards de ma sur avec qui je partageais une chambre, je m’imaginais à la place de ces demoiselles; et doucement envahir mon trou de mes doigts inexpérimentés, mordre mon oreiller, piquer des fruits pour m’entraîner avec ma bouche et le reste aussi d’ailleurs.
Rapidement, je suis passé aux pornos gay, et encore une fois, j’y passais mes journées, je pouvais me faire jouir en godant mes fesses avec ce concombre une vingtaine de fois dans la journée sans jamais me lasser.
Puis, je regardais alors vers la fin de mes 13 ans du porno plus hard, maintenant avec des histoires de familles par exemple, entre un père et un fils, qu’il surprend en train de se travestir, et le punit avec son corps.
Et ainsi de suite, jusqu’au jour de mon dix-huitième anniversaire.
Autant vous dire que moi, mes pulsions n’étaient pas étranges, mais parfaitement familières et tournées vers mon père.
Mon père, Frédéric, fait partie de ces gens à avoir eu un enfant "sur le tard" ou en tout cas, à l’époque cela devrait être le cas.
Ma mère, Sophie, a accouché de moi une semaine ou deux après l’anniversaire des 33 ans de mon père.
Je suis venu mettre un pied dans la maison plus d’un an avant ma sur, Emilie.
Mes parents ont eu l’idée brillante de nous appeler Emile et Emilie, très drôle à la naissance, lorsque ma sur est décédée à ses 15 ans, c’était tout de suite beaucoup moins marrant.
J’avais plus de 16 ans et évidemment j’ai pleuré toutes les larmes de mon corps, quand bien même je n’aimais pas trop ma sur…Du haut de son adolescence, elle passait ses journées à s’habiller et se maquiller comme la dernière des catins, et sortir baiser en soirée.
Impuissant, mon père n’a jamais pu la faire changer, et elle a fini par se faire renverser par une voiture, une soirée un peu trop alcoolisée. Les médecins ont omis le détail de sa nudité et nous, nous avons demandé de l’habiller pour "préserver sa dignité" lors du passage en morgue.
Peu de temps après, j’avouais mon homosexualité à mon père, nous partagions à deux le même toit, je me devais d’être honnête.
Il l’a accepté très rapidement, il paraissait même, peu surpris, m’indiquant simplement de le dire à ma mère, chose que je n’ai d’ailleurs toujours pas pris le temps de faire, elle doit le savoir, et puis je n’ai pas envie de lui parler.
Et donc pendant cette année et demie restante, je passais de plus en plus de temps maintenant à me goder avec un vrai gode acheté dans un sex-shop peu regardant, en regardant par le trou de la serrure mon père se doucher, à porter quelque sous-vêtements de ma sur et continuer de me goder, cette fois-ci, en écoutant mon père se masturber.
Mon pauvre père aimant et adorable travaillait et essayait de m’apporter tout ce dont j’avais besoin; et moi, je passais mon temps à le regarder comme un objet, à admirer son corps musclé, à mater ses couilles et sa queue surdimensionnées toute la journée, en admiration lorsque j’arrivai à le voir se masturber avec son fleshlight, cette chair siliconée avalant la bite de mon père, qui ressort d’un centimètre ou deux tout au bout. Oui oui, surdimensionnée au point où un sex-toy de taille classique ne permet pas de l’engloutir entièrement pourvu qu’il écrase un peu le jouet contre son bassin.
Et moi, je ne pensais qu’à une chose, gober ses énormes couilles viriles, branler son gros chibre pour le faire cracher et boire son jus avec amour, me mettre à quatre pattes, être sa chienne videuse de couilles toute la journée ! Me faire tourner comme une énorme pute.
Frédéric – Mon chéri ?
Emile – Ah ! Hein ?…
Frédéric – Bon anniversaire, mon ange, je t’ai fait ton petit-déjeuner.
Emile – Ah. Hum. OK, j’arrive, merci beaucoup.
Sorti de mes pensées, je me lève; je suis clairement membré à un tiers de mon père, mais pour autant, cela ne m’empêche pas d’avoir mes 11 centimètres en érection, cette nuit fut pleine d’émotions…
Pourtant, je n’ai fait que revivre mes séances de voyeurisme à l’insu de mon géniteur.
Parfois, je me sens mal de le reluquer et l’admirer comme cela, alors je me fais excuser, et je lui fais des câlins, trouvant une fois de plus une excuse pour me coller à lui et caresser son torse musclé, faible comme une femme fragile, besoin d’être cajolée…
Je suis fin, très fin, trop fin, je me fais bizuter par toutes les brutes du lycée qui refoulent leur homosexualité…Et pour autant, je ne suis pas trop gêné, c’est évident qu’ils ont juste envie de me violenter et me baiser comme des mâles alpha, aucun ne passe à l’action et ils sont trop cons pour me maltraiter, donc ils se contentent d’insultes et de crachats à côté de moi, j’ai l’habitude.
J’ai les cheveux mi-longs châtains, les yeux noisette, enfin, rien de bien original. Seule originalité, je suis particulièrement glabre et j’y tiens, je m’épile presque tous les jours, je glisse comme personne à la piscine.
Levé, je m’étire, enfile un jogging et un débardeur sur ma peau douce et crémeuse.
Je descends mes escaliers et m’installe à table; mon père me sert mes ufs Bacon, et mon thé.
Frédéric – Bon, alors, ça fait quoi d’être majeur ?
Emile – *en mangeant* Bah, écoute…Rien de spécial. Mais maintenant, je peux boire ce que je veux quoi.
Frédéric – Tu fais une fête avec tes copains ce soir ?
Emile – Mh…Je suis pas sûr, vu qu’on est en semaine je pense qu’on fera ça un week-end un peu plus tard, j’ai pas pris le temps de l’organiser.
Frédéric – Bah, écoute, tu peux le faire ici si tu veux.
Emile – Ouais, je pense qu’on va faire ça.
Frédéric – Et tu veux faire quoi ce soir du coup ?
Emile – Bah, je sais pas…Je ferais mon anniv plus tard papa, t’inquiète pas.
Frédéric – Oh, bah si, quand même, on va se faire un petit truc tous les deux !
Emile – Bah, on prend juste un petit gâteau si tu veux.
Frédéric – C’est tout ? Tu es sûr ?
Emile – Oui, papa, t’embête pas, t’es trop mignon.
Frédéric – Bah, non, mais je veux pas que tu te sentes trop seul ce soir, moi.
Emile – Eh bah, si je fais un cauchemar je viendrais dormir avec toi !
Frédéric – Bah, ça serait bien que tu trouves un garçon avec qui dormir, pas que quand tu fais des cauchemars, t’entends.
Emile – *rougit* Papa !…
Frédéric – Je pense que pour tes dix-huit ans, tu peux te permettre de…voir des gens.
Emile – Papa… *sourit bêtement*
Frédéric – Je veux surtout pas que tu passes à côté de ta jeunesse mon grand; ta mère et moi, on s’est installés très vite, on aurait peut-être dû faire notre vie chacun de notre côté avant de se marier et d’avoir des enfants.
*silence*
Frédéric – Je t’aime mon chéri.
Emile -… Moi aussi je t’aime, papa…
Frédéric – *avec un léger sourire plissé en soupirant* Tu fais la gueule ?
Emile – Mais non…
Frédéric – Mmmh…*relève sa tête avec son doigt* C’est pas une petite tête qui fait la tête ça ?
Emile – *rigole*, Mais non !
Frédéric – Tu…Tu fricotes un peu avec des gars ?
Emile – Papa. *silence* Tu as pas à t’en faire, OK ? Je…J’ai des potes, j’ai des gens dans mon entourage, eh oui, je *guillemets avec ses doigts* "fricote" avec des garçons.
Frédéric – *gêné, mais rassuré* OK… Cool. Cool cool…*mal à l’aise*
Emile – *soupir* Papa, je sais que c’est pas le meilleur des sujets à aborder pour toi, mais c’est toi qui m’en parles !
Frédéric – *circonspect* Comment ça ?
Emile – Bah, je sais bien que mon homosexualité te…gêne.
Frédéric – Mais…Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
Emile – Bah, je sais pas…On en parle jamais déjà.
Frédéric – Mais, on parle juste pas de sexualité; si tu veux m’en parler, je suis là, tu sais, ça ne me gêne pas, au contraire !
Emile – Au contraire ?
Frédéric – *gêné* Non, pas "au contraire", mais…enfin, tu vois…
Emile – *sourit et ricane*
Frédéric – *rougissant et souriant* Bon, bref ! Si tu veux m’en parler, ça ne me gêne pas, là !
Emile – Je rigole, je me fous de toi.
Frédéric – *souris* Petit con, va. Allez, mange.
Emile – *comme un enfant* Gnagnagna !
Frédéric – *l’imitant en se levant* Gnagna. *tire la langue et s’en va*.
Mon père parti, je continue mon petit-déjeuner; mon estomac, toujours un peu noué de notre conversation.
J’aime mon père, beaucoup trop, à un stade où il ne sait pas que je l’admire, lui voue un culte terrible, je l’aime comme une femme aime son mari rentré de la guerre pour la prendre pendant la décennie à venir.
Alors oui, j’ai eu des expériences à droite et à gauche, sauf, qu’avec mes conneries, de mater la grosse queue de mon père, j’ai commencé à chercher des trucs de sa taille, et mes godes sont de plus en plus gros, à sa taille la plupart du temps, autant vous dire que je me remplis bien, par contre…Je taille une pipe ou deux à des gars un peu précoces qui m’arrosent vite, et quand j’arrive à en trouver un, un peu sauvage pour me baiser, déjà je ne sens pas grand-chose une fois le plug enlevé, et cela ne dure jamais trop longtemps…
Alors, dans mes soupirs, j’aimerais lui dire que je l’aime, et que je n’ai d’yeux que pour lui; quand il me parle d’autres garçons, j’aimerais lui proposer d’être sa chienne, de me coller à lui… Aaah ! Il faut que j’arrête, je suis tout juste sorti de mon rêve, j’ai déjà envie de lui.
Mon petit-déjeuner englouti, je file me laver. Ma douche prise, j’enfile un jean et un t-shirt; rien de vilain, mais j’aurais préféré prendre ceux de ma sur…Bon, tant pis, j’attendrais que mon bel adonis musclé ne soit plus là, mais dans l’envie, je mets quand même un string que j’ai piqué dans ses affaires, je me sentirais plus féminine.
Je file en bas, tout jovial, tout pimpant, mon père sur l’ordinateur change vite d’onglet, je ricane me demandant ce qu’il regardait. Il me regarde et me demande si cela va.
Il est un peu en panique, donc je réponds que cela va, et je m’installe sur le canapé pour regarder la télé, en faisant mine de ne pas bouger. Je le vois surfer un peu sur ses mails, et plein de trucs sérieux.
Emile – Mon papounet d’amour que j’aime à moiii ?
Frédéric – Oui, mon cur ?
Emile – Je pourrais avoir un verre d’eau servi avec amour ou pas ?
Frédéric – *se tourne vers moi* Et t’es pas assez grand pour te le prendre tout seul ?
Emile – Oui, mais c’est mieux si c’est toi ! *avec un air mignon très féminin*
Frédéric – Ah, bon ?
Emile – Voui !
Frédéric – *soupir en souriant* Bon, d’accord.
Emile – Ouaai !
J’ai toujours eu cette attitude avec mon père, espèce de gamine qui aime qu’on la coucoune; et je sens que mon père aime bien le faire, cela lui fait du bien…Je lui fais souvent à manger, le ménage, je lui ai même fait un massage à quelques occasions quand il était vraiment bloqué, où j’ai pu masser lentement son beau torse musclé avec des huiles, j’avais envie de le manger tout cru !
Mais toujours est-il qu’il est parti pour quelques secondes, je saute du canapé et file sur le PC pour essayer de voir ce qu’il était en train de regarder.
Alors…Non…Non…Non…Mail…"Confirmation d’inscription à T…" Tinder ?! Ah ! Mais il ne regardait pas du tout de porno, en fait !
J’attrape son téléphone et le déverrouille. Alors, Frédéric, 52ans, nanana…Ah ! Ouais, il s’est vraiment inscrit pour "Faire des rencontres". Mmh…Mouai, le connaissant s’est "Tiré un coup" qui se transforme en "Je suis amoureux" en "Cette fois-ci, c’est elle qui m’a baisé"…
Frédéric – Eh, qu’est-ce que tu fais là !
Emile – *vers lui* Alors, c’est pour ça que tu voulais que je me casse ce soir en fait ?
Frédéric – *rougit*, Mais… Non,mais…Tu as pas à…A regarder mon téléphone comme ça, enfin !
Emile – Papa.
Frédéric – Et c’était pas pour ça…Je me dis juste que comme moi, j’essaye, ça serait bien que…Bah, toi aussi.
Emile – Papa.
Frédéric – Je veux pas te laisser seul, alors, si tu avais quelqu’un avec qui tu…
Emile – Papa oh !
Frédéric – Hein ?
Emile – Papa, c’est pas grave ! Tu as le droit de vouloir rencontrer une fille pour toi.
Frédéric – *soupir*
Emile – Je veux juste pas que tu te fasses prendre pour un con, c’est tout.
Frédéric – Comment ça ?
Emile – Mmmh, je te connais hein ! Tu serais capable de lui payer des billets d’avion à 2000 balles pour la faire venir jusqu’ici.
Frédéric – *soupir* OK…
Emile – En plus, t’es tout beau sur tes photos là, regarde-moi ça. *pointe l’écran* regarde-moi si elle est belle celle-là, t’es trop mimi !
Frédéric – Bon, allez, ça va, te fous pas de ma gueule non plus.
Emile – Mais pas du tout ! *se lève pour lui laisser la place* Allez, vas-y, et une mignonne hein !
Frédéric – *rougissant, mais rassuré* Gnagnagna !
Emile – *avec une voix féminine* Gnagnagna ! *bisou sur la tête* Mmmwah ! T’es beau, mon papa, je t’aime. *enlace son père assis sur l’ordinateur*
Frédéric – *caresse son avant-bras de sa main* Moi aussi, je t’aime, mon chéri…Merci.
Emile – Mais c’est rien, allez.
Je me réinstalle dans le canapé, mais en m’asseyant, j’y réfléchis quand même…Ce n’est pas con cela; tiens, les sites de rencontres…Bon, le problème c’est qu’on est en petite banlieue de ville donc dans ma bourgade, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de gays…
Si c’est bien une chose que mon père pourrait m’envier, c’est Grindr…Je crois que je n’ai jamais autant entendu d’histoires de baise hardcores qu’avec cette appli.
Bon…Mais alors je me mets sur Grindr moi aussi ? Tss, fêter mes 18 ans, un petit soumis qui aime se trav, imberbe, mignon, féminin et bien salope, je vais pouvoir organiser un gang-bang avec 40 mecs…
— 20 minutes plus tard –
Mais c’est de la merde, cette appli ! Putain, le premier gay à la ronde, il est à 180 bornes, quoi ! Je suis dégoûté…
Je pose mon téléphone, en me disant que j’aurais mieux fait d’être une gonzesse finalement, j’aurais pu trouver un mec…
Et dans une épiphanie, j’écarquille les yeux. Mais…Si je me démerde bien…Je pourrais me faire passer pour…Et si je suis honnête, le mec pourrait très bien être bi et kiffer l’idée. Quand soudain me vient une inquiétude : mais, si je croisais mon père sur l’appli ?…
Et d’un sourire sardonique, malin, coquin, je pense : et si j’arrivais à retrouver mon père sur l’appli…
Alors, j’étais parti, je me lève, monte dans ma chambre, et pique des affaires à ma sur, une perruque par trop moche que ma mère portait pour faire "poupoupidou" pendant les soirées costumées, avec un peigne, je vais me démerder.
J’enfile le tout et me maquille, le tout, assez rapidement, pour pouvoir finir cela et me maquiller avant l’heure du repas avec mon père. Et alors…Je suis, mais…Une grosse cagole.. Alors ouais, là c’est sûr, je vais choper, mais du chien en chaleur qui veut se vider dans la MST sur pattes…Bon, je recommence.
Après une trentaine de photos, j’arrive à en sélectionner 3 ou 4, et cela va, je suis plutôt mignonne, on ne me reconnaît pas du tout, je suis pour le coup, assez surpris moi-même, je fais un peu coquine, mais je ne fais pas grosse salope, c’est très bien.
J’hésite…Pendant un moment…Jenny 20 ans, en rase campagne, intéressée par des vieux…Si quelqu’un qui me connaît était dessus…
Bon, et puis merde, on ne me reconnaît pas, et en plus je pourrais l’enlever, go sur le marché !
Et là, effectivement, beaucoup plus de mecs, des jeunes, des jeunes, des un peu moins jeunes, genre la trentaine… Bon. OK. OK. OK. Rien de foufou, je nen matche aucun, en fait…Et c’est fini. Quoi ? Mais… Comment cela finit-il ? Il me propose que des gens je ne sais pas où maintenant.
Alors "Paramètres de recherche"… Aaah, j’avais bloqué à 40 ans ou moins. Alors, on va mettre 55, je ne devrais pas trop en avoir-
WOW oulah ! Je croule sous les profils là, je reconnais certains profils, des vieux du coin qui ont envie de baiser, et ils ne se cachent pas trop, eh, bah !
Et au fur et à mesure que je swipe à gauche, je me rends compte que je n’ai matché personne…Pourquoi ? Je suis trop à la recherche de mon père ? Je ne veux voir personne d’autre. Qu’est-ce que cela veut dire, je peux très bien avoir envie de rencontrer d’autres gens… Même si je l’aime, mon papounet…Mon papa…Mon beau papa viril et musclé…
Levé de mes pensées, je jette mes yeux sur mon écran, mon doigt collé au tactile, je ramène doucement la photo que j’allais swiper à gauche ; mon père.
— A SUIVRE –
Message de l’auteur :
"Bonjour à tous, j’espère que ce premier chapitre vous a plu et bien fait bander ! Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis TrappyBoi, jeune homme en transition qui à mon stade est plus une jeune salope, j’écris donc, vous vous en doutez, avec mon cur et mon expérience !
N’hésitez pas à commenter ou à m’envoyer un message, je réponds toujours. S’il vous prend l’envie de papoter, n’hésitez pas, cela me ferait toujours plaisir !
Mesdames, gardez vos culottes mouillées, messieurs, l’élastique risque encore de se tendre, on se retrouve au prochain chapitre, bisous partout <3" – TrappyBoi